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  Besoin urgent d'aide pour TPE sur Jules Verne Cinq semaines en balln

 


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Besoin urgent d'aide pour TPE sur Jules Verne Cinq semaines en balln

n°3160415
daria_g
Posté le 24-02-2011 à 10:28:23  profilanswer
 

Bonjour, je suis actuellement en train de rédiger un blog pour mon TPE sur Jules Verne donc la problèmatique est: Les hypothèses avancées par Jules Verne sont elles fiables ?  
 
Le truc c'est que je me trouve en face d'un énorme problème.  
 
Voilà, je suis en train de rédiger ma troisième partie qui porte sur le chapitr X de cinq semaines en ballon. Voici l'extrait (quelque peu raccourci)
 
« Mes moyens d’ascension et de descente consistent uniquement à dilater ou à contracter par des températures diverses le gaz renfermé dans l’intérieur de l’aérostat
. Et voici comment j’obtiens ce résultat.
 
« Vous avez vu embarquer avec la nacelle plusieurs caisses dont l’usage vous est inconnu. Ces caisses sont au nombre de cinq.
 
« La première renferme environ vingt-cinq gallons d’eau, à laquelle j’ajoute quelques gouttes d’acide sulfurique pour augmenter sa conductibilité, et je la décompose au moyen d’une forte pile de Bunsen. L’eau, comme vous le savez, se compose de deux volumes en gaz hydrogène et d’un volume en gaz oxygène.
 
« Ce dernier, sous l’action de la pile, se rend par son pôle positif dans une seconde caisse. Une troisième, placée au-dessus de celle-ci, et d’une capacité double, reçoit l’hydrogène qui arrive par le pôle négatif.
 
« Des robinets, dont l’un a une ouverture double de l’autre, font communiquer ces deux caisses avec une quatrième, qui s’appelle caisse de mélange. Là, en effet, se mélangent ces deux gaz provenant de la décomposition de l’eau. La capacité de cette caisse de mélange est environ de quarante et un pieds cubes.
 
« À la partie supérieure de cette caisse est un tube en platine, muni d’un robinet.
 
« Vous l’avez déjà compris, Messieurs : l’appareil que je vous décris est tout bonnement un chalumeau à gaz oxygène et hydrogène, dont la chaleur dépasse celle des feux de forge.
 
« Ceci établi, je passe à la seconde partie de l’appareil.
 
« De la partie inférieure de mon ballon, qui est hermétiquement clos, sortent deux tubes séparés par un petit intervalle. L’un prend naissance au milieu des couches supérieures du gaz hydrogène, l’autre au milieu des couches inférieures.
 
[…]
 
« Ils descendent tous deux jusqu’à la nacelle, et se perdent dans une caisse de fer de forme cylindrique, qui s’appelle caisse de chaleur. […]
 
« Le tuyau parti de la région inférieure du ballon se rend dans cette boîte cylindrique par le disque du bas ; il y pénètre, et adopte alors la forme d’un serpentin hélicoïdal dont les anneaux superposés occupent presque toute la hauteur de la caisse. Avant d’en sortir, le serpentin se rend dans un petit cône, dont la base concave, en forme de calotte sphérique, est dirigée en bas.
 
« C’est par le sommet de ce cône que sort le second tuyau, et il se rend, comme je vous l’ai dit, dans les couches supérieures du ballon.
 
[…]
 
« En effet, que se passera-t-il ? Une fois le chalumeau allumé, l’hydrogène du serpentin et du cône concave s’échauffe, et monte rapidement par le tuyau qui le mène aux régions supérieures de l’aérostat. Le vide se fait en dessous, et il attire le gaz des régions inférieures qui se chauffe à son tour, et est continuellement remplacé ; il s’établit ainsi dans les tuyaux et le serpentin un courant extrêmement rapide de gaz, sortant du ballon, y retournant et se surchauffant sans cesse.
 
[…]
 
« Pour opérer l’ascension, je porte le gaz à une température supérieure à la température ambiante au moyen de mon chalumeau ; par cet excès de chaleur, il obtient une tension plus forte, et gonfle davantage le ballon, qui monte d’autant plus que je dilate l’hydrogène.
 
« La descente se fait naturellement en modérant la chaleur du chalumeau, et en laissant la température se refroidir. L’ascension sera donc généralement beaucoup plus rapide que la descente. Mais c’est là une heureuse circonstance ; je n’ai jamais d’intérêt à descendre rapidement, et c’est au contraire par une marche ascensionnelle très prompte que j’évite les obstacles. Les dangers sont en bas et non en haut.
 
« D’ailleurs, comme je vous l’ai dit, j’ai une certaine quantité de lest qui me permettra de m’élever plus vite encore, si cela devient nécessaire. Ma soupape, située au pôle supérieur du ballon, n’est plus qu’une soupape de sûreté. Le ballon garde toujours sa même charge d’hydrogène ; les variations de température que je produis dans ce milieu de gaz clos pourvoient seules à tous ses mouvements de montée et de descente.
 
« Maintenant, messieurs, comme détail pratique, j’ajouterai ceci.
 
« La combustion de l’hydrogène et de l’oxygène à la pointe du chalumeau produit uniquement de la vapeur d’eau. J’ai donc muni la partie inférieure de la caisse cylindrique en fer d’un tube de dégagement avec soupape fonctionnant à moins de deux atmosphères de pression ; par conséquent, dès qu’elle a atteint cette tension, la vapeur s’échappe d’elle-même.
 
[…]
 
« Voilà mon secret, Messieurs, il est simple, et, comme les choses simples, il ne peut manquer de réussir. La dilatation et la contraction du gaz de l’aérostat, tel est mon moyen, qui n’exige ni ailes embarrassantes, ni moteur mécanique. Un calorifère pour produire mes changements de température, un chalumeau pour le chauffer, cela n’est ni incommode, ni lourd. Je crois donc avoir réuni toutes les conditions sérieuses de succès. »
 
 
 
J'ai mis en gras les informations relatives à la construction de la machine et en rouge les informations que je trouve inexacte.  
 
Voila en quoi réside mon problème:  
 
Je voulais d'abord prouver que ce que Jules Verne dit est vrai mais je me suis rendue compte que ça ne l'était pas car il veut faire marcher son appareil en chauffant de l'hydrogène ce qui est (je pense) dangereux. De plus, il réalise une élètrolyse avec l'histoire des caisses ce qui augmente mon embarras puisqu'ayant réalisé l'experience moi même j'ai observé un dégagement de dihydrogène, gaz extremement inflamable.  
 
Je sais que toute cette explication n'est pas très claire donc voilà mes deux questions principales:  
 
1) Est ce que c'est bien une élèctrolyse que le personnage du texte réalise ?  
2) Est ce qu'il essai de faire chauffer du dihydrogène ? Est ce que c'est dangereux ?  
3) Peut on traiter cette troisième partie en deux points: evocation des problèmes et leur résolution ---> dire pourquoi le dispositif ne marchera pas en citant différents évènements historiques et parler du fonctionnement d'une montgolfière (chauffage de l'ait tout simplement + pousées d'Archimede) et du fonctionnement d'un ballon (enfermement d'un gaz plus léger que l'air + lest)
 
Je me rends bien compte que tout cela est assez compliquée mais je vous serai vraiment reconnaissante pour votre aide.  
 
Merci beaucoup en tout cas  :)

mood
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Posté le 24-02-2011 à 10:28:23  profilanswer
 


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