Reprise du message précédent :

Arf, j'suis en retard    Bon il doit bien y avoir des équivalents à Paris quand même, peut-être du côté des ressourceries : http://www.paris.fr/services-et-in [...] aisselle_8

Je ne sais pas si cela à sa place ici?

https://www.quechoisir.org/actualit [...] =nlh170223

 
Pour ceux qui compostent, quelle taille avez-vous, pour quel type de foyer ?
 
Concrètement on a de la place sur la balcon mais je vois pas l'utilité de mettre 4 fois trop grand

Incroyable    

C'est l'hallu ce truc !

 
Ben non justement, c'est du plastique. ²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²²

Ouais j'ai vu cet article il y a quelques temps sur fb, j'ai halluciné, moi qui étais toute contente d'acheter des bouteilles plus fines et sans l'opercule en alu
Maintenant je suis revenue aux briques de toute façon, d'autant que j'essaie d'acheter du lait plus "équitable" (du genre "c'est qui le patron" ou un minimum local) et qu'ils utilisent plutôt des briques.

 
Bah, perso c'est pas le cas de mes bouteilles (lait bio Carrefour). Je doute que ce soit si courant que ça, d'autant que Que choisir adooooooooore faire flipper les gens un peu comme les couv de Voici.

C'est aussi ce que je me suis dit, que Que Choisir et consors aiment bien faire flipper en criant au loup mais il s'est avéré que c'était le cas de mon lait Carrefour, je ne sais plus si c'était le bio ou l'autre mais un que je prenais régulièrement en tout cas.
 
Edit : si, c'est bien le lait bio Carrefour Bio :
http://courses.carrefour.fr/drive/ [...] 8/667083/3

"cette bouteille sans opercule etc. etc."

Faut prendre le bio alors. Mais ça a pu changer depuis l'article, j'avais vérifié il y a peu.

refresh
Après il y a tellement de lait et de conditionnements différents, si ça se trouve celui de chez toi n'est pas le même ou ne sort pas de la même usine et du coup n'utilise pas les mêmes bouteilles.

 
En effet.
En direct de mon frigo    

 

 
Tu veux faire du lombricompost?

Pas lombri pour l'instant, juste compost sur le balcon On verra si la version simple nous convient

 
Le truc c est que sur balcon tu n auras pas l écosystème d un compost de jardin, c est pour ça qu on préconise plutôt un lombricompost pour un balcon. Ça peut fonctionner mais ça sera moins efficace je pense, du coup pour la taille je ne peux pas t aider!

Comment peux tu faire un compost sur un balcon? Tu as un rez de jardin en fait?  
Parce que sans vers pas de compostage.

Bah heu je sais pas, j'ai lu plusieurs articles de blogs et un bouquin qui disait ça très possible

C'était une question, ça m'etonne tout simplement. C'est long la décomposition naturelle ya des trucs qui mettent des années.

On verra Si c'est pas satisfaisant on s'orientera vers du lombricompost. Mais j'ai un vague espoir de pouvoir refiler mon pseudo-compost à la déchetterie, et du coup le compost serait surtout une poubelle de 75L m'évitant d'avoir à y aller trop souvent

J'ai des potes qui ont ça, c'est assez rigolo, faut pas avoir peur de toucher les vers pour les remettre dans le droit chemin si nécessaire  

J'ai surtout pas envie du tout de voir les chats se faire une Pumba
 

 

Les vers ça se balade partout, j'en ai eu dans des pots de plantes d'intérieur que j'avais laissées en pension à quelqu'un, après je les ai retrouvés un par un desséchés par terre au milieu de ma chambre.  

En mettant de côté le débat féministe qui est un peu HS ici, j'aime beaucoup cette BD :
https://m.facebook.com/story.php?st [...] 6759922876
C'est très intéressant de voir que ce qui pèse en général dans le quotidien, ce sont non seulement les tâches à assurer (ménage, courses, RDV...) mais aussi et surtout leur organisation

Je viens de le lire et c'est très vrai.  
Mais je pense que c'est vraiment à celui qui fait, ou qui vit, ce genre de choses que oui c'est un travail même s'il n'y a pas de traces. Bref la notion de travail est dure à définir au final.

 
Exactement, et c'est ce qu'on dit ici depuis le début d'ailleurs : l'organisation est pour moi la clé d'une vie quotidienne meilleure car lorsque c'est bien huilé, la charge mentale devient justement beaucoup plus légère même si elle existera toujours.

 
C'est une question de tempérament aussi, chez moi on est deux à détester planifier quoi que ce soit dans la vraie vie et je crois qu'on est bien plus heureux dans notre appart crade et en bordel. Ça me refoutrait dans le cul de la dépression si je devais planifier mes lessives ou je sais pas quoi.  
 
« Oui mais des fois on n'a pas le choix » : ça dépend aussi. Cette haine de la planification est probablement un des ingrédients de ma décision de n'avoir ni enfant ni animal de compagnie

j'ai des gosses, et je ne plannifie rien
les lessives, c'est quand le bac est plein, idem pour le LV, on le lance quand il est plein, en fait on ne plannifie rien de rien, et on ne s'en porte pas plus mal

Idem, pas de planning malgré le lardon. Ce n'est pas encore nécessaire, en fait. On anticipe certains trucs (liste de courses qu'on remplit au fur et mesure, agenda partagé pour les RDV) mais on ne s'est pas dit que les courses devaient être faites le samedi de 9h34 à 10h08 (et ouf que, j'espère ne jamais en arriver là).

 
 
Je ne crois pas que la BD parle d'organisation, mais juste de "gestion". Je le vois très bien avec mon conjoint : il peut passer 15 fois devant un truc posé sur l'escalier qui doit être monté, il va pas "penser" à le monter. L'exemple du biberon sorti du LV est très parlant je trouve.

Vous confondez planification et organisation.

Rien n'est planifié chez moi non plus je vous rassure (enfin sauf les trucsstyle RDV /obvious).

Par contre notre organisation fait que les tâches sont effectuées en temps et en heure (en fonction du temps de chacun) : en gros on ne repousse rien, si l'un des deux trouve le bac à linge sale trop rempli, il fait une machine. Si l'autre rentre plus tôt le soir, il étend la dite machine. etc

On se repose mutuellement l'un sur l'autre en fait : aussi je sais que lorsque je rentre tout sera à peu près fait (on est pas des ayatollahs de la corvée non plus) et vice versa. C'est une sorte de contrat moral entre nous pour que nous y trouvions tous notre compte au final : comme ça chacun participe aux tâches de manière "déresponsabilisée" sans le voir comme une contrainte et le reste de la famille profite des bénéficies de cette "tranquillité" de taches et d'esprit.

Oui, ce qui est intéressant c'est le fait qu'elle parle de la charge que représente la prise de tête des tâches courantes. Si on ne se prend jamais la tête à ce sujet, la charge mentale n'existe pas.
Là où il y a un déséquilibre c'est quand on ressent le besoin de vivre dans un milieu organisé et qu'on ne peut (cas des femmes surchargées dans la BD) ou ne veut (cas de leurs conjoints attentistes) pas prendre en compte cette gestion, en plus de la réalisation des tâches.

Elle parle aussi de la tolérance au bazar vers la fin : déléguer cette gestion invisible c'est aussi accepter que les trucs ne soient pas faits. Le truc qui « doit » être rangé, chez moi il traîne. J'ai eu une pile de serviettes éponges sur un tabouret dans la chambre pendant un mois alors que le placard de la salle de bains est à 1m50. Théoriquement elles auraient dû être dedans, mon conjoint avait la flemme, j'allais pas faire un drame pour ça alors que j'en ai rien à battre : après tout c'est assez arbitraire de déclarer que les serviettes doivent être dans le placard, qu'est-ce que ça peut me foutre qu'elles soient à 1m50, c'est aussi facile de les trouver et de les attraper et on va pas se battre pour une question de principe.

On a fini par les ranger quand on a eu besoin du tabouret comme on vide le lave-vaisselle quand on a trop de vaisselle sale qui traîne et qu'il faut bien la mettre quelque part.

Je ne nie pas l'existence du fait, loin de là, et j'en ai été témoin toute mon enfance en regardant ma mère (colérique et stressée) se débattre avec ça et essayer de régenter mon père (mou et désorganisé).

Edit : j'ai toujours pas retrouvé ma chaussette à paillettes, je suppose que c'est le karma

Justement, pour le coup, je ne suis pas tout à fait d'accord avec toi, malgré les guillemets.
Il n'y a pas de convention des nations unies du ménage qui édicte les règles. Si le tabouret est un mode d'entreposage qui te satisfait, pourquoi pas ?
Je connais des gens qui se sentent mal si leurs chaussettes ne sont pas repassées. Je l'accepte pour eux mais je m'en fous totalement en ce qui me concerne, ça ne me viendrait jamais à l'idée de le faire.

Ben je sais pas, j'ai vraiment eu l'impression dans mon enfance que ma mère était contrainte par des critères extérieurs, que l'aspirateur devait être passé et le sol lavé tous les WE, que ceci ou cela devait être rangé, et que sinon elle serait jugée comme étant une mauvaise personne et une mauvaise mère ou je sais pas quoi. Bon après elle était vraiment parano, ça doit jouer.

Après, clairement, je me sens "mieux" dans un intérieur rangé, mon conjoint aussi, et je pense que c'est le cas de pas mal de gens quand même.
Ne plus avoir de culotte propre, c'est quand même emmerdant, dormir dans des draps sales, pas très agréable. Mais c'est plus facile d'attendre que le conjoint le fasse, c'est sûr, encore plus de se cacher derrière le fait que "moi ça me dérange pas, si lui ça le dérange il a qu'à le faire".

perso, "gestion" ça me plaît bien. je fonctionne beaucoup comme ça.  
y'a rien qui me fout plus en rage que de devoir faire une machine, voir qu'une casserole a été posée sur la machine parce qu'il n'y a plus de place dans l'évier vu que la vaisselle n'a pas été faite, qu'on ne peut pas poser la casserole dégueue sur l'égouttoir vu que la vaisselle propre n'a pas été rangée, que la table est prise parce que le linge propre a été posé dessus, etc, etc. franchement c'est un sketch. du coup on fait les trucs, et puis c'est tout.  
y'a aussi le fait que je bosse chez moi et que mon conjoint non. quand tu pars le matin et que ton évier est plein tu peux t'en foutre et te dire que tu feras ça le soir, t'as pas la crassouille sous les yeux, mais perso j'estime que si j'ai envie d'un café pendant ma journée de boulot je peux m'en faire un sans soit devoir dégager l'évier pour remplir la bouilloire au robinet soit me taper la vaisselle.  
le petit truc qui semble innocent mais qui te fout en l'air ton organisation, ça me donne envie de tuer. après, mon conjoint s'occupe de tout ce qui est extérieur à la maison, je trouve ça pas mal équilibré. je sais que je me rends peu compte de ce que ça lui coûte et que lui non plus ne pige pas vraiment l'energie que ça me bouffe de tout compter, mais c'est comme ça pour l'instant.

J'ai pas le cul sorti des ronces perso: j'ai du mal à déterminer à quel point ça s'applique à mon couple ou pas
 
 
Clairement je me fade le gros de la gestion. Toutes les "errands" (course au sens large) c'est moi qui y pense et organise. Je me fade la totalité des courses, de la liste à l'action physique, et je dois en ranger moi-même 80% (il est pas content sinon, et il laisse là). Je cuisine à 100% ou presque, ce qui fait que les midis où il est là, j'ai droit au sempiternel "je mange quoi ?". Il n'est de pratiquement aucune aide quand je lui demande ce qu'il veut/s'il a une idée de quoi manger.
 
A côté de ça, on est en mode 0 gestion pour la lessive. Parfois on se dit "bordel, on a pris du retard" ou "objectif voir le fond de la panière d'ici la fin de la semaine". On le fait, ou pas  
Je ne m'occupe absolument pas du ménage de la SDB, ni l'organisation ni l'action. C'est généralement fait avant que je la trouve crade (j'ai un niveau de tolérance très élevé, qui serait même extrêmement élevé si c'était moi qui devais nettoyer d'ailleurs ), et assez peu du ménage global de l'appart.
 
La litière je me la suis fadée des années, gestion et nettoyage. Un mois de grossesse et paf, vapeur renversée, monsieur s'est rendu compte (par la force des choses) qu'il était nécessaire de s'en occuper, depuis on alterne.
 
Bref, ce qui est intéressant, c'est que j'ai genre 50% de la charge mentale évoquée dans la BD. Mais ça ne veut pas dire que mon mec en assume 50%

Pour moi c'est pas tellement le planning le problème mais le simple fait de devoir tout penser, tout faire ou dire de faire, d'avoir du coup toujours l'esprit en ébullition à se demander ce qu'on va manger, du coup s'il faut s'arrêter faire des courses, si les gosses ont besoin de fringues, s'il leur reste un slip propre pour demain, quand est-ce que ça tombe les 6 mois au voir desquels il fallait revoir le pédiatre ou les 2 ans de l'échographie... Et après tout ça, est-ce qu'au moins il y a des bières au frigo

Comme on a pas d'enfant, le simple fait de devoir lui dire de mettre la table alors que je fais à bouffer depuis 30min m'exaspère.
 
Mais il suffit de demander!

j'avoue que de ce coté, j'ai de la "chance" : la "pensée" de faire les choses est présente chez mon mec et moi. Est ce le fait qu'il ait été elevé quasi que par sa mère et / ou sa grand mère ? je ne sais pas, mais du coup, c'est plutot moi qui laisse trainer les trucs et lui qui ramasse
 
mais de fait, quand on a eu les grumelles, ca a été une evidence qu'il fallait un minimum d'organisation commune mais que surtout, on ne vivrait jamais dans un interieur parfait digne des magazines    
celui qui voit le truc, il fait  
et pour vivre simplement, et bien on s'aide de pas mal d'objets : lave linge + seche linge (sinon clairement le linge attendait longtemps avant d'etre étendu). Lave vaisselle. Robot aspi. etc... Liste de courses faite par toute la famille en temps reel quand il manque un truc / on arrive en fin de truc. Ca aide