Reprise du message précédent :
 
 
Pareil ici... Les jeunes font tout et n'importe quoi il ne se passe rien. Ils tagguent le lycée qui est refait à neuf: pas de soucis. La fois où l'élève a allumé son briquet en classe: pas de soucis. On se fait insulter, ils s'embrassent/se tripotent partout dans les couloirs: pas de soucis. Les téléphones portables en classe, dans les couloirs: pas de soucis! MARRE!
 
Hier encore un élève m'a mise hors de moi. Regards provocateurs, insolence...  "l'espagnol c'est pas un cours, ça sert à rien (Terminale commerce, hein!), il sort son portable je veux lui confisquer, il le remet dans sa poche et me dit "non, je ne vous le donnerai pas" avec un grand sourire de "va te faire foutre", je lui demande de réviser pour son bac oral qu'il passe lundi "bah pourquoi faire, puisque même avec 4 j'ai mon bac!" Du coup il fout le bordel et empêche les autres (et moi du coup!) de bosser correctement.  
Je lui demande de m'attendre à la fin du cours pour aller voir la Proviseure "pas longtemps je ne vais pas vous attendre quoi", je lui dit qu'il va (encore!) avoir droit à un rapport et là il me sort "je m'en fout, ils servent à rien et puis je fais pas de vœux après le bac donc je m'en tape. En plus je lui ai demandé (à la Proviseure) mes rapports de 2e et 1e elle me les donne pas"... et puis on arrive chez la Proviseure, je lui explique tout et je m'adresse à l'élève "au fait, tu n'as pas quelques chose à demander à Madame la Proviseure?" et là il la regarde et dire texto: "ouais, mes rapports? ils sont où?"  
J'étais choquée qu'il lui parle comme ça mais elle n'a rien dit! Je suis partie énervée/outrée... tout ce que vous voulez..
La secrétaire me rattrape en me disant que je dois signer mon rapport d'inspection. et là je n'entends rien dans le bureau à côté. Le gamin ne se fait pas engueuler, il est assis limite avec la jambe sur le bureau! J'HALLUCINE!!!  
Tu m'étonnes que tout parte en sucette!!! Ils ne font que des conneries et ils ne sont pas punis! rien ne se passe et toi tu passes pour une conne parce que du coup, il est en position de pouvoir. dégoutée!  
Finalement je me demande si aller bosser ailleurs ne me réconcilierait pas avec le métier tiens...

disons que là je suis à 10mn de chez moi... les autres établissements sont beaucoup plus loin

J'ai un peu ce phénomène (collège rural) et il me semble que meve aussi en a parlé ?
 
Nous on a des gamins qui n'en ont rien à foutre de se faire mettre en colle car, je cite "je préfère encore être au collège qu'à la maison"...

On a parfois ça aussi.
Certains sont limite contents de venir en colle avec moi.  

Dans un bahut de campagne dans lequel j'étais, on en étais arrivé à se dire qu'on ne mettrait plus de TIG, les gamins étaient contents de le faire et d'aider notre "homme à tout faire" (une perle en plus, super sympa, serviable et qui faisait du super boulot) qui s'occcupait du collège

En fin d'année, le lendemain de la soirée cabaret du collège, les gamins se proposaient spontanément pour aider à aller ranger la salle des fêtes, la nettoyer ...

Et le dernier jour on a même eu des 3e qui nous embrassaient en pleurant en partant.

Je pense aussi que ça doit être nettement plus reposant d'être dans un établissement perdu dans la pampa, en ville les gamins sont cinglés ..

J'ai des gamins qui sont venus me voir en me disant qu'ils avaient fait un pari de se prendre une observation. Comme une punition ca doit faire chier les gamins et que j'aime les faire chier, j'ai dit niet de suite. Raison : je suis pas là pour vous faire plaisir, et une observation ou une punition, c'est la pour faire caguer. (à posteriori, c'est aussi une bonne chose parce que ca peut devenir une entourloupe).

Mas si les gamins ca doit leur "faire plaisir" d'être en colle, autant inverser les punitions: si t'es un peu chiant, tu prends direct une heure, si t'es méga chiant, un avertissement et au bout de trois t'es interdit d'heure de colle

En fait, ils ont déboulé au CDI pendant la récré et ils m'ont dit "monsieur, vous pouvez me mettre une observation s'il vous plait?" "C'est pour un pari monsieur".

Y'en a qui ont essayé de faire n'importe quoi, ils ont eu des problèmes (je m'entends très bien avec la vie scolaire).

Et les exclusions temporaire ?

 
Même phénomène ici : à la maison faut s'occuper des frères/soeurs, faire le ménage et la cuisine.

Oh, des vacances!

Dans ce cas faut revenir au martinet

Bonjour à tous!
 
Clairement, en étant à l'échelon 6, combien de points d'indices en plus au 1 er janvier 2017?
 
Et si j'ai bien compris, le passage à l'ancienneté est supprimé, donc je passerai forcément au choix ou au grand choix?
 
Merci pour vos réponses

 
Je cherche à comprendre les docs des syndicats à ce sujet. Je veux bien de l'aide.
Et suis à l'échelon 6 aussi.

Tu gagneras moins de 5€ par mois en plus

oui même  si je suis pas dans la pampa chez nous il y a clairement un phénomène "j'aime bien venir au lycée"
 
ils voient leurs potes, les parents préfèrent ça à la rue, et je crois le "pire"  même nous ils nous aiment bien...c'est un cadre familier, ça fait parti de leur vie, d'une routine, l'été parfois c'est l'ennui...Un ami vient de recevoir un cadeau de la part de la pire chieuse de la classe ou il est PP...
 
Bon là on a perdu en effectif mais on entend toujours "mais vous serez là hein la semaine prochaine?".
 
 
Pour ce qui est des sanctions , des collègues PP ont signalé que le bordel dans les couloirs devenait insupportables et que les insolences se multipliaient, "on" leur a répondu  "ah ben ce sont les jeunes de maintenant ,il va falloir vous y faire".
 
On a été presque étonnés quand la pro adjointe (nouvelle cette année ) n'a pas hésité à passé au dessus des "mises en garde" et à coller de vrais avertissement et même un blâme lors d'un conseil (j'ai cru qu'on lui faisait une ola ).
 
 

http://www.snuipp.fr/De-nouvelles-carrieres

Donc rien pour l'échelon 6 si j'ai bien compris

bah ton échelon va progressivement passer à 492 IM au lieu de 467 actuellement, 478 dès 2017, 483 en 2018, 492 en 2019. A toi les putes et la coke.

objectif : classe exceptionnelle  

Et en faiteuuu:  
 
"Non, les enseignants ne seront pas revalorisés réellement d’ici 2020 : voilà pourquoi !
La forte revalorisation des salaires des enseignants annoncée dans les médias pour une énième opération de com en cette fin de quinquennat agitée est loin d’être immédiate. Nous allons vous démontrer pourquoi:
 
La revalorisation est avant tout de long terme, du fait de la création des classes exceptionnelles et de la possibilité pour la grande majorité des enseignants d’accéder en fin de carrière à leur hors-classe.  
C’est aussi enfin une bonne nouvelle que les enseignants en éducation prioritaire soient mieux payés car leur métier est bien plus exigeant et fatigant nerveusement.  
Il aurait été bienvenu comme l’avait suggéré Aide aux Profs en 2014 qu’un système d’allègements horaires devant élèves puisse être appliqué à partir de 50-55 ans en contrepartie d’autres missions comme les IMP pour épauler leurs collègues sur d’autres missions.
 
1) La valeur du point d’indice stagnait depuis 2010 à 55,5635 €/an. Au 1er janvier 2017 la valeur du point d’indice sera de 56,2323 €/an. Soit un gain de 0,6687 € donc 1,2034% d’augmentation.  
 
2) Tout le monde semble avoir oublié que la part que l’agent prend à sa charge sur son traitement brut mensuel pour la pension civile augmente jusqu’en 2020 selon ces taux :
2015 : 9,54%  
2016 : 9,94%  
2017 : 10,29%  
2018 : 10,56%  
2019 : 10,83%  
A compter de 2020 : 11,10%.  
L’augmentation sur 5 ans se situera donc à 1,56%. Le dégel du point d’indice se traduit donc pour l’instant pour les enseignants sur 2015-2020 à 1,56% – 1,2034% soit encore une perte de 0,3566%
 
Sans compter que l’Education nationale convertit les primes en points d’indice : alors que rien ne grevait leurs primes, ils se verront taxés désormais sur la valeur de ces défuntes primes de la CSG non déductible, de la CSG déductible, de la CRDS, de la Contribution Solidarité, de la Cotisation Salariale RAFP. Tout cela va peser un peu plus dans la balance, et si l’augmentation du brut est attrayante, le paiement en net, au final va réserver des surprises. Chaque enseignant pourra pour la seule année 2017 s’offrir un caddie de courses à l’hypermarché du coin en plus s’il est en couple avec deux enfants.
 
Cela suffira-t-il à lui donner envie d’oublier le moment venu :
 
- les effets de la réforme des rythmes scolaires sur la dégradation de ses conditions de travail ?
 
- la réforme du collège qui l’a sérieusement surchargé en 2015-2016 et sans doute bien au-delà ?
 
- la réforme du collège qui l'aura peut-être privé de son poste fixe s'il enseignait les Lettres Classiques en collège ? Ou s'il enseignait l'allemand en classes bilangues ?
 
- la loi de renforcement de la déontologie des fonctionnaires du 20 avril 2016 qui va lui interdire la création d’une autoentreprise pour temps partiel de droit et à temps complet, et en cumul d’activités accessoires ?
 
- la suppression du projet personnel dans le cadre de sa démission avec IDV du fait du décret du 19 mai 2014 ? Sans compter l'application de plafonnements tels dans l'octroi des sommes obtenues, que les sommes ont été divisées par plus de deux en regard du texte initial de 2009 ?
 
- l’absence de réelle politique dédiée à la reconversion, tout l’accent étant mis sur les changements de discipline et de niveau, même si l’on en a assez d’enseigner ?
 
- la stagnation du quota de postes en PACD et PALD depuis près de 15 ans alors que le ratio demandeurs/postes proposés ne cesse d’augmenter ?
 
- l’accroissement des mises en disponibilité d’office et des mises en retraite pour invalidité d’enseignants faute de moyens de leur proposer autre chose alors que beaucoup sont toujours en mesure de travailler ?
 
- la pérennité de l’attitude coercitive des personnels de direction, formés à ne plus voir dans les équipes qu’ils pilotent, leurs anciens collègues, mais « des enseignants souvent résistants au changement » ?
 
- l'écran de fumée que constituent les CHSCT qui n'empêchent en rien les dirigeants d'un service ou d'un établissement de manager dans la souffrance leurs personnels en toute impunité ?
 
- la méfiance institutionnelle des services RH et DPE envers eux, les conduisant à une infantilisation outrancière ?"

Pour aider, j'ai modifié la mise en page des grilles pour une comparaison facilitée :

(le changement de vitesse d'avancement bien pour ceux qui passaient à l'ancienneté, ca change rien au final pour ceux qui passaient la plupart du temps au choix, et ceux qui travaillaient beaucoup pour passer tout le temps au grand choix se font sodo-gravier )

 
Et une raison de plus pour ne pas s'investir plus (outre le fait que je n'aime pas le bénévolat ^^ )

En gros, qu'on fasse de la merde ou qu'on ait bien bossé et eu une bonne note à l'inspection, ça ne change plus rien?

C'est comme ca que je l'interprète

En gros vous vous plaigniez d'être pas assez reconnu pour tout le travail personnel que vous fournissiez? désormez, vous aurez l'esprit tranquille et reposé : vous pourrez faire de la merdre qu'on s'en appercevra pas, juste qu'on prévoit en 2030 2500 établissement privés construits par cisco/véolia/microsoft, les EPLE deviendront progessivement des filières pro meme au collège, les élèves ayant besoin d'un cadre correct iront biensur dans des écoles privés à seulement 3000 euros par an, avec bien sur, des contrats avantageux à la sortie (pour la grandeur de l'éducation française, évidemment)

 
Déjà que le bénévolat obligatoire me saoulait, je vais encore plus pointer mes 108h.

Et après la pseudo ministre va nous sortir que le mérite sera davantage pris en compte. Effectivement encore plus qu'avant à moins d'être complètement dévoué à la cause mieux vaut en faire le moins possible. C'est assez terrible. Moi en tout cas j'ai choisi ma voie : je fais au mieux ce que je choisis de faire et de la manière dont j'ai envie de le faire.

Sans compter que les 108h vont être encore plus fliquées et surchargées de tâches obligatoires.

Ça ils peuvent toujours essayer

 
fainéant de fonctionnaire !
plus sérieusement, je trouve qu'on a un métier qui n'est pas vraiment facile à évaluer en charge horaire. Là où un collègue met peut-être 1h à préparer une éval qui tienne la route, peut-être qu'un autre mettra moins ou plus pour le même résultat.

voilà. moi j'dis c'est une honte.

N'est-ce pas.
Quand on sait quand elles sont dépassées dès la moitié de l'année...

Le seul truc vraiment évaluable c'est le temps passe devant élève. Le reste dépend en effet du rythme personnel de travail, de l'exigence qualitative de chacun dans la preparation de ses seances, de la matière enseignée, du rythme de renouvellement des programmes...

Je suis bien content d'être doc

En maternelle, tu peux chiffrer tes heures de prép et en primaire, au minimum, celles de correction, prép et évaluation. Entre deux qui en font le moins et ceux qui en font trop, on doit pouvoir avoir une moyenne par élève.
Sans oublier le boulot fait sur le temps de midi.

Le commentaire vient de Sud éducation alors il faut le prendre comme tel:
 
"Modifications des obligations réglementaires de service des personnels du 1er degré : un projet néfaste qui augmente leur charge de travail !
Communiqué de la Fédération SUD éducation
mercredi 18 novembre 2015
mis à jour jeudi 3 décembre 2015
 
Avec ce projet, Le MEN décide d’augmenter purement et simplement dans un même temps contraint les obligations de service et les missions des enseignant-es du 1er degré déjà pléthoriques, pour avant tout pouvoir mettre en œuvre ses contre réformes en accentuant le contrôle et les pressions hiérarchiques sur les personnels.
 
Le ministère a décidé de modifier le décret qui régit les obligations de service des enseignant-es du 1er degré inscrites actuellement dans le décret du 30 juillet 2008.
 
Un cadrage encore plus restrictif des 108H
Dans ce projet de décret, les obligations de service et les missions des enseignant-es se confondent, ce qui restreint la très relative et très insuffisante liberté d’utilisation des 108 h annualisées dont disposaient jusqu’à présent les enseignant-es du 1er degré.
 
Le projet de décret maintient les 60h dédiées aux APC (aides pédagogiques complémentaires) -dont nous demandons toujours l’abrogation- comme dans la circulaire en vigueur actuellement, mais il donne une définition encore plus limitative des 36 h devant les élèves et un cadrage strict des 24 h consacrées aux concertations dont l’utilisation ne serait plus forfaitaire.
 
Cette disparition d’utilisation forfaitaire concerne également les autres 24 h consacrées aux travaux d’équipe pédagogique, dans lesquelles sont encore ajoutées des obligations alors que ce volant d’heures est déjà insuffisant pour y assumer l’ensemble des missions consacrées au fonctionnement des écoles et à la scolarité des élèves.
 
Un reniement du MEN sur ses engagements
Cette suppression de l’utilisation forfaitaire des deux fois 24h est une remise en cause des engagements pris par le ministère auprès des représentant-es des personnels, en 2013, lors des concertations sur les rythmes scolaires et la modification des obligations de service des enseignant-es du 1er degré.
 
Ce reniement du MEN montre ce que valent ses engagements à géométrie variable et la réalité de ce que sont le dialogue social et autres négociations qui ne sont que des mascarades et des manœuvres auxquelles la fédération SUD éducation a toujours refusé de participer.
 
Même temps de concertation et plus de choses à faire !
Avec ce projet, Le MEN décide d’augmenter purement et simplement dans un même temps contraint les obligations de service et les missions des enseignant-es du 1er degré déjà pléthoriques, pour avant tout pouvoir mettre en œuvre ses contre réformes en accentuant le contrôle et les pressions hiérarchiques sur les personnels.
 
C’est le nombre de choses à faire dans les 108h qui augmente : plus de missions dans le même temps contraint.
 
Le ministère en profite aussi au passage pour augmenter de 6h le temps de travail des enseignant-es qui exercent en prison.
 
En échange de cette dégradation des conditions de travail, le MEN évoque une hypothétique augmentation de la prime de ISAE, qui ne seraient que quelques miettes en échange de cette régression (1).
 
Nous exigeons que ce projet de décret soit retiré !
Ce projet n’est qu’une illustration supplémentaire de la dérive managériale dans laquelle s’inscrit le MEN et de sa volonté d’augmenter toujours plus les prérogatives de la hiérarchie. Il est, à ce titre, en adéquation avec les attaques du ministre des finances, contre le statut et pour les rémunérations de fonctionnaires au mérite.
 
Nous refusons l’augmentation de la charge de travail des enseignant-es !
 
Pour SUD éducation, à l’inverse du management et de l’autoritarisme, nous portons un projet d’autogestion des établissements scolaires avec une diminution du temps de travail de toutes et tous, une diminution du temps de service devant élèves pour dégager du temps pour la concertation et le travail en équipe.
 
C’est pourquoi nous revendiquons :
 
-La suppression des APC
 
-La diminution du temps de travail hebdomadaire des enseignant-es : 18 h devant les élèves et 6 h de concertation.
 
-Des heures de concertation pour le travail en équipe autogérées par les équipes pédagogiques.
 
Un autre projet pour l’école, égalitaire et émancipateur
 
(1) A cette époque, le MEN avait consenti -en catimini, sans communiquer publiquement sur ce point et en faisant du chantage aux représentant-es des personnels en leur défendant d’en faire état sous peine de retirer cette mention de son projet- à rendre forfaitaire une partie des 108 h annualisées pour que les PE utilisent librement ces heures et n’aient à pas en rendre de compte à leur hiérarchie.  
Il s’agissait, pour le MEN, de reconnaître, certes à la marge, le travail « caché » des enseignant-es du premier degré dont le temps de travail se situe bien au-delà des heures inscrites dans leurs obligations de service. (Rappelons que selon la DEPP, la moyenne d’heures de travail hebdomadaire des PE se situe à plus de 40 h par semaine).  
C’était également une compensation de l’augmentation de l’amplitude des horaires de travail, liée à la mise en œuvre de la réforme des rythmes scolaires."
 
Projet de décret: http://www.sudeducation.org/Modifi [...] tions.html

Et on atteint les 12 semaines de cours avant les grandes vacances: il est tellement beau, le respect du rythme de l'enfant au centre de toutes les préoccupations.

Je serai dans la bonne zone l'année prochaine

Je suis dans aucune zone, pas de boulot \o/

 
La zone C : un mois entre les vacances de noël et celles d'hiver