Reprise du message précédent :

je fais plutôt 2 bidons vélo, et une barre en + sur le vélo.
Par contre je bouffe pas en cap

 
Pour un M, l'alimentation en course reste inutile. C'est bien souvent plus pour se rassurer psychologiquement qu'autre chose, mais si tu as fais de bons repas la veille et la matin de la course, pas la peine de se surcharger l'estomac avec tous les produits énergétiques, qui risque même de te causer quelques désagréments si ton estomac ne les accepte pas.
 
A la rigueur, tu peux te faire un (voir deux) bidon de boissons énergétiques (du sirop marche parfaitement bien également). Il faut arrêter de tout miser sur les gels, les pastilles, les poudres que les fabricants mettent sur le marché à prix d'or. Si vous saviez avec quoi j'ai fais Embrun, vous souririez bien

 
On en parle de cette butte des Vignes à la sortie HFR ou tu étais pas loin de déclipser
T'as prévu d'aller à LC cette semaine ou semaine pro ?

si c'est pas un jambon beurre, c'est pas drole!

Un jambon beurre fromage même !

edit : Seulement un jambon fromage

Tu fais ton M avec le temps qu'il me faut pour un S  , t'as pas le temps d'avoir une fringale  

 
C'est pas une question de temps passé, c'est une question d'énergie dépensée

Effectivement
 
Je crois que je me prend trop la tête avec ces histoires d'alimentation en course en fait

 
On sera au moins deux de hfr à Nice alors !
Tu connais le parcours vélo ? je vais probablement aller faire le col d’Eze dimanche matin, ça te dit ? on pourra discuter nutrition...

 
C'est plutôt une question de filière énergétique principale. Sur du long, en endurance la filière énergétique contribuant le plus relativement est l'oxydation des lipides, les apports lipidiques sont donc plus important que les gels.
Le jambon beurre fromage au milieu est plutôt recommandé.  
Sur un M en dessous de 3h, normalement avec de l'entrainement ça se fait sur les réserves de glycogène musculaire. Il n'est pas inutile de prévoir une boisson isotonique permettant de s'hydrater et de renouveler partiellement le
glycogène musculaire.  
Mais comme le dit Pedro les gels et barres sont un peu superflues. Un gel pour la course à pied pour se rassurer, éventuellement.
 
Perso en cap je ne peux rien avaler non plus si je ne m'arrête pas (et je ne m'arrête pas sur un 10km).

 
surtout je pense qu'il faut que chacun se fasse sa propre XP, tout le monde ne réagit pas pareil aux différents produits.
Certains partent avec 3 gels pour un 10K, perso 1 à mi course en semi ca me suffit (et encore il est loin d'être prouvé son efficacité)
 
testé et approuvé le gatosport à la place du ptit déj même 1h30 avant le départ d'une course
testé et approuvé les barres maison qui se digèrent même en plein effort
testé et approuvé une boisson d'effort même sur plusieurs litres
 
donc pour l'instant je garde ce package

 
Pour le coup moi c’est une des leçons de ce WE, j’ai trop mangé de gels – la prochaine fois j’en prends peut-être un au début du vélo, un au début de la cap, et basta. J'avais pas besoin du mal d'estomac sur la cap en plus de la chaleur.  

T'avais pas de solide, que du gel?
 
Pour noisy vu que c'est un S, je vais tenter le que dalle. (Sauf à boire pendant le vélo , évidemment).

Pour le S nous on prévoit juste eau et sucre, et pour Paris on avait en plus des figues ( ) et des raisins secs à T2.
 
Jamais utilisé de gels (et ça me tente pas du tout )

Moi je fais
- petit déj normal (müsli maison)
- 1 ou 2 petits gâteaux secs avant le briefing edit : habitude de la semaine où j'ai un gros écart entre le petit déj et le sport de midi (4 à 5h)
- quelques sucres dans la banane (oui je cours avec une banane )
À Paris j'ai mangé aux ravitos càp : ça sert à rien ; j'avais même la sensation d'avoir trop mangé.
À Chantilly j'ai mangé mes 4 demi-sucres. Je suis même pas sûre que ça serve à quelque chose : j'avais surtout les jambes lourdes et un point de côté ; c'était pas un problème d'énergie. À la limite y'a un petit effet psychologique.

La prochaine fois je pense que je prendrai même pas les gâteaux, je pense que ça sert à pas à grand chose. Par contre les sucres je garde, ça "rassure"

@charleston : moi non plus, ça a l'air dégueu !

coucou Chrise, ce week end je suis absent, j'avais prévu d'aller reconnaitre le parcours dimanche suivant (13 septembre), ça te dirait?

le 13 il y a le tri de Castellar à Menton...

tu le fais?  
ils bloquent le col d'èze?  
 
sinon si tu as des dispos on peut y aller cette semaine ou semaine prochaine (je suis en congés ). Il n'y a que ce week end où je suis pris

 
Oui je fais Castellar, j'aime bien..... un xs sans drafting ! Non non ils ne bloquent pas le col d'Eze.
J'ai repris le boulot cette semaine, j'ai des rdv demain et vendredi. J'aurai juste le temps de sortir entre 12h et 14h, pas de reco en semaine. Peut être le we du 20.  
La semaine prochaine peut-être le mercredi. Mais c'est pas gagné, je te tiendrais au courant.
 

à la fois à chacun de pratiquer et se faire sa propre xp...
je prends rien d'autre que 2 ou 3 verres (à la volée... donc au mieux 2 gorgées ) d'eau/boisson iso sur un semi, en sortant de 1500m de nage je claque une barre de 40g...
Sur mon dernier M, il faisait pas une chaleur à crever, je finis mon second bidon de boisson iso...
 
Après bien sûr j'aurais pu avoir eau+sirop et barre de céréales supermarché normal, il n'y aurait sans doute pas eu de différence.
 
Mais rien, j'aurais pas été bien. Et c'est pas psychologique ou quoi, je me force pas, sur des trails je peux revenir le sac chargé de ma bouffe non utilisée etc...
 
Après bien sûr, comme tous les autres, matos ou autre, rien ne sert de tout miser là dessus, l'entraînement reste le plus important.  
 
L'alimentation markétée sportive vs l'alimentation "normale", c'est un (autre) vaste débat, mais tout n'est pas à sacraliser, ni forcément bon à jeter à la poubelle.

ok ça marche
bonne reprise alors

Saint briac l'an dernier m'a bien vacciné contre une alimentation débile en course.
 
En dessous du half, uniquement 2 bidons avec une pastille chacun et à la limite un gel sur le bike en arrivant à T2.
 
Millsap : lol ce raidard infame  

En fait ça dépends aussi de l'horaire de la course je pense. Le M dont je parlais avait un départ à midi, et j'étais levé depuis 6h et avais déjà couru le matin. J'aurais sans doute eu moins faim avec un départ 8h. Moins soif, un peu, sans doute. Mais je bois beaucoup quand je peux. Donc sur le vélo, ça y va. S'il avait fait chaud comme d'autres jours pas si lointains, avec le départ à midi j'aurais fini mon second bidon largement avant T2...

C'est vrai que les gels, c'est bien bizarre en texture
Le pire restant la madeleine, ne bouffez jamais de madeleine à un ravito, JAMAIS  

Si t'es sur le vélo, ça peut passer... en plein milieu d'un Galibier (après 5h de course) j'ai avalé fromage jambon et chips en 30" à un ravito, le sucré ne passait plus. Et ça m'a donné un bon coup de fouet jusqu'au sommet.
Après chacun sa tolérance, mais sur des chantiers de 6-7h à fort D+ c'est relativement courant de se prendre un truc salé basique qui tranche avec le sucré habituel des gels/barres. Enfin j'imagine que la problématique est encore toute autre sur un marathon à la fin d'un IM.

 
Celui de Noisy Le grand ?

Perso j'ai été étonné du peu de solide que j'ai pris à Gravelines. Quelques nougats sur le vélo (1 par heure), l'équivalent d'une banane, 6 gels sur le marathon et un peu aux ravitos
 
Il faut croire que les "réserves" faites les 2 semaines précédentes ont été bonnes

Oui Tu connais le coin et le club?
 
Doit y avoir captain redface aussi.

Oui j'y habite
Le parcours vélo ne sera pas simple, pas mal de relances et coup de cul, c'est sur les bords de marne et ils vont vous faire monter le coteaux, ça grimpe fort (> 10%)
 
Franchement vous allez pas vous ennuyer et le cardio va monter haut.
C'est top pour un S, au moins pas le temps de souffler

Nan mais je crois qu'on est tous d'accord : 5h+ de course, faut bien avaler quelque chose. Pareil si la course est à midi et que tu petit déj à 6h, je vois pas comment tu tiens (enfin moi je mange toutes les 3/4h, même si pas beaucoup, donc c'est sûr que je tiens pas.)
 
quant aux ravitos, rien que de voir la bouffe proposée ça me coupe l'appétit perso Mention spéciale au camembert dégoulinant à l'arrivée de Chantilly

Bravo à tous ceux qui ont couru Chantilly ! C’est assez énorme de voir la population du topic augmenter si rapidement. Pour ma part, c’est l’heure de mon :
 
CR du Half de Vichy – 29 Aout 215
  Alerte
 
Le Half de Vichy ou plutôt l’Ironman 70.3 de Vichy si l’on veut respecter le Larousse du Pimpin. L’objectif majeur de ma saison (et de ma vie de sportif jusqu’à aujourd’hui d’ailleurs). Niveau entraînement, je sors d’un mois d’Aout au-delà de mes espérances : ma femme est en effet rentrée 3 semaines dans sa famille à l’étranger et l’activité à la COGIP n’étant pas débordante, j’ai pu pleinement me consacrer à l’entraînement en sortant entre autres des semaines à 10h ce qui ne m’était jamais arrivé auparavant . Pas de bobo mis à part des genoux qui grincent un peu sur le vélo, la faute à une augmentation du volume d’entraînement trop rapide dans cette discipline. Je ralentis le rythme dix jours avant l’échéance en continuant à faire des sorties courtes toujours un peu intenses mais espacées d’un jour de repos. J’effectue ma dernière séance le jeudi, un footing d’une quarantaine de minutes pendant lequel je me sens un peu mou et sans tonus, un peu bizarre vu tout le repos que je me suis accordé mais bon… le sort en est jeté!
 
L’Avant-Course
 
Départ pour Vichy le vendredi avec Madame ! Seulement deux heures de route depuis Lyon donc pas de réveil matinal, je profite de ma dernière vraie nuit avant le D-day. Le trajet se déroule sans encombre et nous arrivons à Vichy en début d’après-midi. Je retrouve mon meilleur pote qui habite en IDF et que j’ai incité à débuter le triathlon pour l’occasion : « Je fais le HIM de Vichy, viens, ça va être cool ! Tu es sportif, tu vas le faire sans problème ». Je n’aurais jamais pensé qu’il accepterait mais il l’a fait. Mon objectif du week-end est donc de le battre, lui qui m’a toujours battu lorsque l’on a fait des semis ensemble et qui est le bogoss sportif de mon groupe de potes . Nous allons récupérer des dossards et c’est là que l’on prend réellement conscience de l’ampleur de l’événement. L’expo est très grande, il y a foule, c’est très international, ils ont même monté un ministade pour l’arrivée… Après avoir collé les stickers, assemblé les vélos, vérifié quinze fois mes sacs, je passe déposer tout ça en zone de transition. C’est l’occasion de passer devant les vélos qui coutent plus cher que ma voiture. Les vagues de départ et les numéros de dossard ont été alloués en fonction des temps estimatifs donnés par les inscrits lors de l’enregistrement en ligne : à l’époque, j’avais prédit 6h40, je me retrouve donc dans la rangée des vélos des gens qui ont prédit un temps similaire et autant vous dire que là, les vélos n’ont pas la même allure.
 
Puisque l’on parle d’objectifs, le mien est devenu plus ambitieux depuis le début de la prépa : je vise 6h15 « officiellement » (45’ nat, 5’ T1, 3h15 vélo, 3’ T2, 2h CAP et 5’ de « pause technique ») et je me dis qu’approcher les 6h est peut-être possible si tout se goupille bien et que je suis dans un bon jour.
 
Bref, après un dîner à la pasta party pour profiter un peu de l’ambiance, retour au camping ou nous avons installé les tentes et au dodo. Réveil à 4h45, petit-déj rapide avec un plat de pâtes et une cliff bar et en route pour le Palais Omnisports. Départ à 7h pour la première vague, pour ma part ça sera 7h30 avec la vague des nuls quatrième vague. Préparation sans encombre pendant que le DJ balance du gros son , l’eau est à 22,2°C donc combi autorisée pour nous. Ça commence à discuter de l’IM du lendemain car la météo annonce 36°C pour aujourd’hui et certains pensent que l’eau montera au-dessus de 24 jusqu’auxquels la combi est autorisée.
 
Après cette courte introduction, l’heure est donc venue de parler de la course en elle-même !
 
Natation
 
Mise à l’eau à 7h20 sans problème, barbotage habituel… 7h30, la corne de brume retentit, c’est parti pour une belle et grande journée de sport. Le couloir de nat’ n’est pas super large et ça bastonne pas mal , plus que dans n’importe lequel des autres triathlons que j’ai courus jusqu’à ce jour. C’est seulement au panneau des 500m qu’il y a un peu plus d’espace. Le passage des bouées s’avère même plutôt calme, j’essaie de ne pas avoir une trajectoire trop dégueulasse, de mettre les bras au max et pas trop les jambes, bref, de mettre en application tous les bons conseils lus sur HFR. Arrivé au ponton de sortie, je n’ai pas un super feeling quant à la performance chronométrique, un coup d’œil sur la montre…. 38’58’’, bien en avance sur mes prédictions  ! Avec un record en piscine de 41’, je ne m’y attendais pas, merci la combi ! Ça me donne la patate et je fonce récupérer mon sac de T1. Rien de notable sous la tente et 5 minutes plus tard, je suis sur le vélo.
 
Vélo
 
Le vélo se compose d’une boucle de 90km autour de Vichy avec très peu de dénivelé, 600m au total. Après une sortie du parc un peu difficile et prudente car le chemin est dégueulasse avec des racines et autres, la route s’ouvre et là c’est le bonheur total . Il ne fait pas encore trop chaud mais le temps est magnifique, la route est à nous, pas besoin de (trop) s’inquiéter des bagnoles… le pied quoi !!!! Les sensations sont bonnes, j’enchaîne les faux plats sans problème, dès la première demi-heure, je réactualise mon objectif : je vise désormais le sub 6h  !!!! J’effectue la première heure de course à un peu plus de 30km/h de moyenne, je mange beaucoup (banane, cliff bar), je bois un max… C’est super motivant de toujours avoir des personnes devant et derrière soi, j’ai le moral au top. Je ne vois quasiment pas de drafting autour de moi. La deuxième heure de course est un peu plus lente à cause des faux plats montants un peu plus nombreux et du revêtement un peu moins bon mais c’est toujours très roulant. Après 70km, la seule petite difficulté du parcours se présente : une côte avec un D+ d’environ 100m. Je mets tout à gauche, je mouline, ça passe bien  !  Je m’alimente toujours bien et j’essaie de trouver le compromis entre « donner tout ce qu’il me reste » et « ne pas me cramer avant la CAP ». Mon GPS indique un peu plus de 92km lorsque je pose le vélo en… 2h58! Inespéré !!! Avec un record sur semi à BB en 1h42 et mes dernières courses en 1h7 et 1h48, je me dis que sauf catastrophe, je suis vraiment bien parti pour le sub 6h !!!
 
Je prends encore le temps de bien m’alimenter pendant la transition et c’est parti pour le semi !
 
Course à pied
 
La CAP consiste en deux boucles de 10,5km avec un passage par l’arène d’arrivée Ironman à mi-parcours. Je pars un peu rapidement  (enfin, rapidement pour moi hein) en 5’ au km. Je remonte quelques personnes, notamment une nana qui est guidée par un vélo. Je jette un coup d’œil : la 3ème féminine !!!  
 Putain, je suis en train de dépasser la 3ème féminine ?????????  
 Là je deviens complètement euphorique, je me dis que je fais vraiment la course de ma vie ! Et puis je réalise qu’elle a un tour d’avance sur moi .  
Bon, même si elle a un tour d’avance, ça fait plaisir d’aller au même rythme qu’elle. Les ravitos sont nombreux et bien fournis. Je m’arrête pendant quelques secondes à chacun d’entre eux afin de pouvoir boire en marchant car la chaleur est maintenant accablante. Je préfère perdre quelques secondes en marchant plutôt que de subir une grosse défaillance à cause de la chaleur. Je maintiens le rythme pendant le premier tout et c’est désormais sûr, je vais passer sous la barre des 6h, je peux même viser bien en-dessous, même si dès le début du deuxième tour je commence à ralentir énormément. J’ai encore de l’énergie mais ce sont les jambes et la chaleur qui dont très mal. Beaucoup de monde souffre , notamment les gros gabarits : je suis content d’être une crevette ! Je continue sur ma stratégie de marche au niveau des ravitos, même si je marche de plus en plus longtemps : c’était 5 secondes au début, c’est maintenant 10 ou 15 secondes car je bois plus, je me fais arroser… je sens que je vais exploser mon objectif et la seule chose qui me fait peur, c’est une défaillance subite. J’ai des débuts de crampe dans les mollets , je me dis que si ça commence à cramper ça va être mal barré… la fin approche, je suis presque au stade. Je comprends que le semi a dû commencer avant le moment où j’ai déclenché ma montre ou qu’il est un peu court car j’en suis à un peu moins de 20km et la fin est clairement imminente. La foule est maintenant très présente, j’entre dans l’arène, je passe la ligne d’arrivée : 5h34’50’’   !!!!! Même si le semi me semble court, j’ai explosé mon objectif ! Mon pote finit 50 minutes derrière mois, objectif doublement rempli donc !
 
 
Après-course
 
A peine la ligne d’arrivée passée, je commence à attraper des crampes aux mollets et aux cuisses mais ça passera rapidement . Petit moment de bonheur lors de la distribution du tee-shirt de finisher , et très gros moment de bonheur au buffet d’après-course . Je serai euphorique tout le week-end, même si je la joue profil bas devant mon pote (non pas que je sois modeste mais ma femme me menace de représailles si je le chambre trop ).
 
Le lendemain, après une matinée tranquille de récup au camping (quelques courbatures mais rien de comparable à ce que j’avais eu après mon premier triathlon, c’est là qu’on voit les bénéfices de l’entraînement je trouve), nous allons encourager les athlètes qui sont sur le marathon de l’Ironman… et on les encouragera de 16h à minuit  ! L’ambiance est super, ça fait aussi plaisir d’encourager les autres après avoir reçu des encouragements la veille, ça parait « sain » ! J’ai eu l’impression que beaucoup d’athlètes du full étaient en effet présents la veille en tant que supporters sur le half. A 23h30 , arrivée du dernier athlète, feu d’artifice…. Un bien beau week-end !  
 
En conclusion…
 
Une super expérience ! C’est sûr que ce n’est pas donné, mais l’organisation est vraiment topissime. Une seule critique de ma part : les quantités astronomiques de plastique marqué « Ironman » collées sur des barrières : pas top d’un point de vue environnemental. Pour le reste, rien à redire.  
 
Le parcours en lui-même est agréable, avec un vélo dans des paysages sympas et une CAP dans un joli cadre et où il y a toujours du monde pour vous encourager. Je n’ai pas trop d’expérience mais la course m’a semblé très rapide ce qui explique aussi mon bon chrono .
 
Quant à la suite… et bien je ne sais pas trop  ! Je me suis inscrit en club à la rentrée  mais je n’ai pas encore choisi mes prochains défis  ! Je pense essayer de battre mes PR sur 10k (45’) et semi (1h42) cet hiver car vu mes temps en tri, je pense pouvoir y arriver en faisant un peu de spécifique CAP. J’aimerais bien améliorer ma technique en nat’ aussi. Et puis continuer à faire du vélo. Bref, j’aime le tri !

Double félicitation Pliplop, pour la perf et le CR! Ce nombre de smileys limite abusé.
Sympa de voir cette euphorie post course.  
Vichy me tente bien aussi, mais fin août c'est hyper mal placé, déjà que pour le 15 août c'est passé difficilement à cause de l'impact sur les congés de madame.

Magnifique CR Pliplop ! Méga félicitations !
Comme quoi c'est possible qu'une course se passe à merveille de A à Z. J'attends ce jour avec impatience

Excellent CR    
 
Belle course en plus    cette maturité quand tout se goupille bien ! Bien joué. Maintenant IM sub 12h merci

 
si on peut même plus chambrer les potes, à quoi bon

Ah merde
J'avais vu sur la carte que la boucle à faire 4 fois tourne en permanence, si en plus il y a du % On va se marrer D'après le profil openrunner, il n'y a pas de passage qui grimpe à 10% par contre

Mais il était ou le ravito d'arrivée? J'ai vu des stands payants (qui avaient l'air pour les spectateurs surtout) et seulement des jus de coco offert?
J'aurais vu le camembert à l'arrivée, obligé je le bouffais le machin
 
Maintenant, attaque de la lecture du CR de pliplop

Et ben, sacré CR de pliplop.
Et une belle performance avec une belle course

Faut la tremper dans le coca

 
Wow la qualitance du CR et la super perf        
 
Bravo!
 

 
C'était la ou je t'attendais la, sur ma chaise    (a droite a l'arrivée)

Sinon, la rentrée, le retour des piscines blindées...

J'ai pas trop pensé à ca sur le coup. 1ere course à pied de ma vie, 1er ravito, putain ce flip, j'étais en train d'étouffer

Arf merde Désolé, je t'ai pas vu, trop raid mort à l'arrivée
Ce triathlon de l'enfer en y repensant