Reprise du message précédent :
Moi qui adore la pêche, le Québec est un vrai Paradis
 
ah pour ca,le Québec c'est le panard  
 
j'ai eu l'occasion d'y allez faire un saut en vacance et c'est top le Québec  
 
les gens me paraissent plus sympa/paisible,la nature exceptionnel etc ...  je me casse la bas si ca continue de foiré ici  

perso j'y suis depuis presque un an, l'hiver oui il fait froid mais bon on fait avec, j'en ai eu plein le cul de l'été la tellement j'ai eu chaud par contre.

 
donne un peu tes impressions par rapport a la France    (please )

 
sauf que ici aussi ça foire!!!

 
a bon?  a quel niveau tu fais référence?

bah c'est un peu différent pour moi je pense, ma belle famille habite ici, plus facile sur certains points, niveau boulot je bosse encore pour ma boite en France et l'hiver dernier je n'ai pas trop eu a me plaindre, pas trop de neige. Sinon j'aime surtout la proximité avec tout (passant d'une ville de 30.000 habitants un peu paumée a une ville de 50.000 a 20mn de Montréal, ça change, en plus on est a 30mn des pistes de ski), la facilité de se faire des contacts dans mon domaine et le sentiment de sécurité quelque soit l'endroit ou je vais ou les personnes que je croise.
 
Ce que j'aime pas, le retard qu'ils ont au niveau des nouvelles technologies, que ce soit internet, télévision ou mobiles.

L'hiver dernier c'était rien comparé à ce qui arrive cette année.  

du retard technologique en amerique du nord tu peux développer ?

- Première job -

En France, si tu sors d'une des Grandes Écoles, de Polytech ou un truc comme ça, on te file tout de go un poste de "leader" et le salaire qui va avec.  Et si tes parents sont des gens importants, il se peut qu'on cherche à te caser à la tête d'une direction, alors que tu n'as même pas fini ta deuxième année de droit.

Au Québec, on s'en fiche un peu de ton École et de ton affiliation familliale, on te mesure d'après tes activités parascolaires et de tes jobs d'été.  On te confie rarement un poste de "leader" tant que tu n'as pas fait tes preuves, tant que t'as pas une vraie expérience de travail dans le domaine.  Ce qui fait que si tu changes de domaine de travail ou parfois juste le milieu de travail, tu dois tout recommencer.

- Éducation -

En France, si tu as des moyens, tu peux placer tes enfants dans des bonnes écoles, faire copain-copain avec le Directeur et t'arranger pour que tes enfants finissent dans des Grandes Écoles.

Au Québec, même si tu as des moyens, tes enfants sont obligés d'aller à l'école du quartier, celle qui est la plus proche.  Pire, si l'école de tes enfants est située dans un quartier huppé, tes enfants sont "pénalisés" quand ils voudriont entrer à l'université (l'admission à l'université est basée sur les notes obtenues au collège et aux secondaires.  Il y a un facteur de pondération qui favorisent des enfants provenant des écoles des quartiers "pauvres".  On suppose que ces enfants ont dû bosser plus fort donc ils ont plus de potentiels).

La "fracture sociale" est plus importante en France qu'au Québec.  Si tu proviens de l'upper-class, en France tu as des portes grandes ouvertes et le système est fait pour toi.  La droite décomplexée gagne l'élection en France tandis qu'au Québec, elle reste marginale. Le parti politique québecois qui a voulu jouer lar carte de la droite décomplexée s'est retrouvé avec un score moins bon que le Front National en France.

En somme, c'est ton milieu social en France qui dictera ta perception (agréable ou désagréable) du Québec.

intéressant ce récit  

Par contre j'aurais une question, que n'a encore été abordé ici.. la question communautaire: Est-ce qu'au Québec, on fait comme en Angleterre par exemple, un modèle d'intégration "communautariste", à savoir un territoire fractionné en poches ethniquo-religieuses? Est-ce qu'on a, comme en France, des "banlieues" avec leur lots problèmes (guettoisation, zone de non droit.. etc)

je prolonge la ma question: est-ce qu'il y a là bas ce flèau qu'on trouve en France: "la racaille", "le wech-wech"? Vous savez, cette culture du jeune rebelle en casquette/jogging bicolore de marque, sans dénominateur éthique commun biensur, qui en veut à la France toute entière de l'avoir mis au ban de la société ?

mes quelques connaissances "internationale" (erasmus, etc) n'ont dit qu'il n'y avait qu'en France qu'on trouvait ça

Il y a des quartiers; chinois au centre-ville, petite Italie, portugais, etc.

Mais ce sont des quartiers "commerciaux", c'est à dire qu'ils regroupent les commerces ou les restos spécialisés de ces communautés.  Les gens de ces communautés n'habitent pas nécessairement dans ces quartiers (ex: les asiatiques habitent dans les quartiers chics de Brossard, mais vont au quartier chinois pour leur shopping), ce qui fait qu'il n'y a pas vraiment de ghetto.

Il y a bien sûr des quartiers à fort % d'immigrés ou de minorités visibles, mais ce n'est pas encore devenu comme le Bronx ou le banlieu parisien.  

Ça ne veut pas dire que ça va rester comme ça.  Ça pourrait aller en s'empirant, tout dépend du facteur économique du pays.
...

S'il n'y a pas encore de vrai ghetto au Québec, le phénomène de gang existe bien au Québec.  Ces gangs suivent le pattern nord-américain (gang haïtien), avec leur mode vestimentaire et leur code, mais ils sont quand même marginaux.

Un phénomène intéressant qu'on peut observer à l'Ouest (Vancouver): avant 2000 soit avant que Hong-Kong devient chinois, beaucoup de riches hong-kongais se sont immigrés à Vancouver.  Il suffisait "d'investir" env. 100000$ au Canada et le gouvernement du British Colombia leur offrait un permis de séjour.  Parmis ces riches chinois de Hong-Kong, beaucoup font partie du triade.  Ils mettaient leurs enfants à l'abri à Vancouver.  Ces enfants finissent par former leur gang - une gang qui se promènent en Porsche et Ferrari.  En terme d'image, c'est différent des gangs des haïtiens de Montréal, mais en terme de nuisibilité, c'est pareil au même.

Sans vouloir ouvrir un tout autre débat, c'est une des grandes différences entre le Canada et le Québec. Le Canada favorise le regroupement communautaire ("venez ici, vous pourrez parler votre langue et manger comme chez-vous !" ), alors que le Québec a une approche ethnique ("vous venez de communautés différentes, nous les respecterons, mais vous devrez partager nos valeurs et parler français" ).
C'est ce qui explique en parti que le Canada considère le Québec comme une communauté et non comme un peuple. (fin de la parenthèse)

Sinon les quartiers pauvres étant peu nombreux et surtout peu dense, il n'y a pas encore de guettos à problèmes. Ca viendra peut être d'ici 20 aine d'années si le Canada/Québec fait les mêmes erreurs que la France...

À Montréal, selon les statistiques de météomédia, la température moyenne pour le mois le plus froid de l'année, c'est -10.2°C. On est bien loin des -30°C.

Edit : On s'entend que -10 c'est froid quand même et que l'hiver dure 6 mois dont 4 méchamment froids et que putain c'est long.

Le -10, c'est sans tenir compte du facteur vent.
 
Tout comme pour les pays des tropiques qu'on annonce +30, mais omettant de mentioner le 90% d'humidité.

je paye 120 dollars par mois pour avoir internet 10mbs, limité en plus a 30Go upload/download, le téléphone, gratuit uniquement en 'local' et ne comprenant bien sur pas l'étranger, la télévision, car oui ici il faut payer pour recevoir la télé, sans oublier qu'il faut louer le modem + un autre boitier pour la télé.
 
Pour les mobiles même chose c'est cher.

120 $ pour un pseudo triple play au rabais

 
 
Agrée CTI ? Il y a pourtant une convention pour passer directement ingé junior non ?

Un peu plus de 40$ pour du 7 mbs et 60Go en bande passante allouée ici. (Montréal)

C'est clair que les offres que l'on trouve en France en ferait baver plus d'un ici... (triple play & quadruple play)

De toutes façons, 90% des commentaires feed-back sur l'immigration ratée au Québec se rangent toujours dans les mêmes catégories :
 
- J'ai un super diplôme français, et j'exige un poste en conséquence sans jamais avoir rien prouvé de mes capacités à mes futurs employeurs. (On voit des vice présidents ds boites qui ont commencé au centre d'appel). Et je me plante la gueule.
 
- Je pars pour faire plein de ca$h, rouler sur l'or, ne plus payer d'impôts ... Et je me plante parce que le niveau de vie est relativement équivalent à l'Europe.
 
- Je pars sur un coup de tête, sans analyse, sans coussin financier, et puis de de toutes manières, tout est mieux là bas, y'a pas besoin de s'en faire ... Et je me plante car une immigration ça se prépare un minimum, surtout quand les attentes sont très élevées.
 
Voilè, tu prends chaque récit d'immigrer-contact. Tu le mets dans une des cases, et tu verras qu'on tourne rapidement en rond.

 
+1000

 
Il n'y a pas qu'au Québec qu'on bave sur le 3-play français, en Belgique on y est jaloux aussi.  
 
Ce n'est pas pour rien que l'Union européen voudrait taxe le triple-play français. Elle trouve que État français accorde trop d'avantage fiscale à leur opérateurs nationaux.

+1
 
Je comprends que quelqu'un qui a fait Polytechnique ne veuille pas travailler au centre d'appel de l'entreprise pour le salaire minimum
 
 

 
C'est ridicule;
1) Entre les bourses, les APL, les prestigieuses ecoles publiques francaises aux frais tres limites (quand les etudiants ne sont pas eux meme payes), le facteur Argent est tres limite dans l'education francaise;
2) Je n'ai JAMAIS vu PERSONNE obtenir un quelconque traitement de faveur en parlant a un directeur, ou est ce que tu vas chercher ca !
Quelle peut etre l'influence d'un directeur quelconque sur le processus de recrutement d'une ecole qui traite de maniere mecanique des dossiers/des resultats a un examen d'entree???
Tu l'as mauvaise parceque tu as ete refuse quelquepart?
 
L'education en France n'est pas parfaite, notamment a cause du climat pourri regnant dans les banlieues, mais ca n'a absolument rien a voir avec ce que tu ecris.

Je pense aussi.  
 
J'ajouterais que les amis qui ont eu la possibilité de passer deux semestres au Québec lors de notre cursus, parlent d'enseignants très accessibles et d'études agréables, mais d'un niveau général notablement bas. Tous ont brillé sans se fouler.
 
J'ai même vu des bourses au mérite de Master (les quelques % meilleurs d'une L3) décernées à des types très moyens qui revenaient avec des notes mirifiques de leur année là-bas.
 
Bourse décernée automatiquement pour les deux années de Master en plus, pour des types qui ont eu franchement du mal à passer en M2 ici.

Le gros problème de la France aujourd'hui pour les personnes qualifiées c'est l'immobilier.
Quand on voit les bac+5 parmi les mieux payés de la classe moyenne lutter pour se loger dans des cages à poules de 35 m², y a quand meme un gros problème quelque part nan, avec toutes les conséquences que cela implique comme fonder une famille, prendre son indépendance etc ...
A ce niveau là c'est sur que le Quebec c'est l'eldorado.

 
Quel domaine sans indiscrétion ? sciences humaines? sciences sociales ? scientifique ?  
 

"Administration des affaires" comme ils disent là-bas, avec une "concentration" en gestion internationale.

 
Les boulots de merde au début, c'est normal ... tout le monde y passe.
Par la suite tu as eu une expérience mauvaise avec une compagnie ... tu as essayé de changer d'emploi ou tu es rentré en France directement ?

Petite histoire: ma tante est venue en France comme étudiante étrangère mais elle n'est jamais retournée à son pays d'origine.  Pas folle la tatane; la France est vachement plus chouette à vivre que notre pays d'origine - pays en guerre à l'époque où elle l'a quitté.  

Elle n'a pas fait de grandes études, juste de quoi pour ouvrir une pharmacie et fonder une famille dans un quartier populaire de Lille.  Mon cousin est donc né français presque pure laine.

Moi je suis né dans mon pays d'origine que la famille a dû quitté à cause de la guerre.  On est arrivé au Canada comme réfugiés, sans un sou.  Je suis devenu canadien que bien plus tard.

Mon cousin, bien plus doué et plus intelligent que moi, est voué à connaître de grandes études.  Moi, fils d'ouvrier, suis plutôt destiné à devenir... ouvrier.  Mais voilà qu'arriva la crise adolescente, crise qui effectait, veux ou veux-pas, les études.  Mon cousin a vu ses notes au lycée chutées et le directeur a suggéré à ma tante d'orienter le pauvre au lycée pro.  Quel choc!  Une chance que ma tante connaissait un peu le système d'éducation, elle se mettait à chercher une bonne lycée, celle avec un bon encadrement pour son fils, beaucoup discuter avec les directeurs dont certains l'informaient correctement, d'autres pas du tout.  Elle jurait que certains directeurs la jugeaient d'après sa tête.  Finalement, mon cousin a atteri dans une "grande lycée", avec classe préparatoire et tout.  Crise d'ado passée, il a bien mené ses études jusqu'à une École supérieure en économie.

De mon côté, j'allais dans une école secondaire au Québec.  Mes parents n'avaient même pas à choisir - la loi obligeait les enfants d'aller à l'école la plus près de leur lieu de résidence.  Puis toutes les écoles secondaires se ressemblaient, toutes ont été construites dans les années '70, période à laquelle Québec a décidé de faire table rase des collèges catholiques et du coup virer tous les frères jésuites des corps enseignants.  Le Ministère de l'Éducation a instauré un système d'éducation uniformisé (même type d'école, même programme, même examens, même exigences pour les enseignants qui doivent suivre le même cursus universitaire), certains ont appelé cela du nivellement vers le bas.  

Quand j'ai fait ma crise d'ado et délaissé mes études, on n'a pas cherché à me pousser vers des études professionnelles.  Certains disaient que si j'ai échappé aux études pro c'était pour une question de coût - il coûterait plus cher de former un jeune en pro qu'en générale.  

J'ai fait ma crise, mes notes ont chuté mais pas assez pour connaître des échecs, le niveau était tellement bas qu'il fallait faire exprès pour connaître un échec, après elles ont remontés et j'ai fini avec un B.sc.eng.  Tout ça, sans connaître de grande lycée avec classe préparatoire, sans examen d'entrée, et mes parents ont mis leurs pieds dans aucune de mes écoles ni voir aucun de mes directeurs.  Je pense qu'ils s'en fichaient comme de l'an quarante et seraient quand même fiers de moi si je devenais ouvrier.
...

Je serais bien content que l'histoire se termine là, mais voilà que j'ai un fils qui va l'école primaire et nous habitons à Bruxelles.  En Belgique, il faut choisir les bonnes écoles pour ses enfants, même si elles sont à l'autre bout de la ville.  Les bonnes écoles sont souvent celles avec des noms de saints bien catholiques.  

Pour inscrire son enfant dans ces écoles primaires, il fallait voir le directeur.

- Quel est votre profession Monsieur?
- Je suis ingénieur, diplômé de l'école Polytechnique de Montréal.  Je travaille dans un institution scientifique fédérale.  Mais je ne suis pas catholique.
- Il n'est plus nécessaire d'être catholique pour fréquenter notre école...

Non, il faut pas être catholique, mais il faut avoir une "bonne tête".  Comme si les bonnes têtes se transmettaient de père en fils...

 
En résumé, les Québécois sont des faux culs et 90 % de la population sont des ignares complets.  
 
Et ben  ça serait pas plutôt un problème "universel". C'est vrai qu'on a des taches en France, mais est-ce qu'il existe une pays culturellement et intellectuellement supérieur aux autres ?

Je pense aussi que c'est comme partout. Pas mieux, pas pire. Par contre, il y a un aspect très nord-américain qui peut tromper les européens. Les Québécois sont très serviables et ils te donnent du 'bonjour' et du 'comment vas-tu' à tout bout de champs avec le sourire. Au restaurant, le serveur est aux petits soins. Mais ça n'a rien à voir avec de l'amabilité ou de la gentillesse, c'est le business et pas déplaisant par rapport à tous ceux qui tirent la tronche en Europe.
Les touristes reviennent toujours avec une très bonne impression. Mais quand tu y vis, tu te rends compte que le serveur ou le collégue n'est pas ton ami, et il n'en a rien à faire de ta tronche. Ça peut paraître faux-cul mais c'est juste une différence culturelle.

Tu mélanges tout ftikai. Quant a ne pas faire de grandes etudes = pharmacie, lol.

 
J'ai observé le même phénomène quand j'étais à l'école.  Je faisais copains avec des étudiants venant d'Afrique et d'Europe, et tous étaient super-calés dans les théories de science.  Ils connaissaient plein de trucs par coeur (les trucs à apprendre par coeur, j'étais incapable) et bosser des examens, ils connaissaient ça.  Je les regardaient et je me disais qu'on devrait avoir honte de notre niveau.
 
Mais après chaque tests PISA, notre gouvernement nous disait qu'on était dans les 3-4 premiers (http://www.pisa.gc.ca/pisa/brochure_e.shtml).  Il y a quelque chose qui n'allait pas là.  Soit notre gouvernement racontait des bobards, soit que les tests PISA étaient n'importe quoi.
 
Puis un malin m'a dit que dans une entreprise, même bourrée de MBA et de Docteurs, s'il n'a pas un bon plombier, eh ben tout le monde est dans la merde.
 

 
Pardon, mais j'ai une petit question légérement HS: comment on dit en québéquois : se faire faire une fellation ?  
 
 
 

bonne question

Moi je suis en phase d'informations/préparation à une expat, qui aurait lieu dans 12 mois...Je suis d'ailleurs à Montreal
Pour le moment le quebec me propose:
-Le poste que je pourrais peut-être avoir en France dans 6-8 ans à conditions d'être pistonné
-beaucoup mieux payé qu'actuellement (3 à 4x)
-une ville dans laquelle je me sent bien (même si ne j'y ai passé que quelques semaines pour le moment)
-la possibilité de récupérer mon poste ici dans 2 ans si ça me plait pas
-la possibilité enfin de quitter Marseille, découvrir une autre culture, avec la proximité avec pas mal de chouettes endroits à visiter
-la nature!
 
Voilà c'est pas mal et assez stimulant pour moi pour le moment. Besoin de changer un peu de vie quand même.

 
Fonce !
Et tiens nous au courant

Oui, de toute façon je ne part que si j'ai le poste. Poste qui facilite les procédures d'immigrations puisqu'ils font tout à partir de l'hôpital (visa "professeur sélectionné" ). Ça reste un permis d'exercice restrictif, renouvelable annuellement, donc pas vraiment d'engagement de part et d'autres, pas plus mal.  
Là on vit dans le village Monkland, papapa quel bonheur  
 
Seule interrogation: l'hiver

 
Dictionnaire érotique de la francophonie, Georges Lebouc. Franche rigolade garantie