Reprise du message précédent :
Merci à vous. Je ne me fais pas d'illusions, on a dépassé le stade 2, elle ne verra pas sa petite fille grandir ...
Je me fais violence pour ne pas passer du temps sur le net à me faire encore plus peur.
Et je n'arrive pas à en parler vraiment.
Elle est à 900 bornes de chez moi, j'ai l'impression que chaque jour qui passe sans la voir est un jour que je gâche ...

la vie continue en particulier pour la petite. Envoyez-lui une photo par jour, un sourire, entre deux coups de fil. Les 900 bornes c'est loin, j'en sais quelque chose, mais racontez-lui toutes les petites anecdotes de votre quotidien et celui de la petite, ça ne remplacera pas mais ce sera très important.
On ne peut pas mettre des mots tant qu'on est encore dans la sidération, voire le déni, il y a des étapes à franchir.  
Pour elle ,l'important sera de savoir toutes les petites choses si importantes pour la petite, qu'elle ait l'impression de la connaître parfaitement malgré la distance, et quand vous la verrez, vivez pleinement ces moments, sans arrière-pensée.

Le net effectivement je pense que ça fait mal et surtout ce ne sera pas le cas précis de ta maman
Tant de facteurs rentrent en jeu... dont le moral

Pour la distance c'est sûr que ça doit rendre la situation encore plus difficile

Et oui difficile d'en parler, de réaliser. On fonctionne par étape, au fur et à mesure des résultats des examens, des traitements, des semaines, des mois.
On est plusieurs ici à être passés par là, on a tous eu notre propre cheminement c'est normal. Malheureusement on est pas préparés pour cela..

 
Je vivais à 500 bornes de mon papa quand on a appris son cancer, et j'ai eu le même sentiment que toi.
Pour combler l'absence, j'ai fait un peu comme ticaribou suggère : je lui écrivais tout le temps pour lui raconter ma vie, je demandais son avis sur plein de trucs, etc.
 
Effectivement, inutile de faire des recherches sur internet, il y a tant de cancers différents, même au sein des cancers du poumon, et tellement de facteurs à prendre en compte que tu n'apprendras rien d'utile.
 
Courage.

Stade 2 ce sont des métastases légères. Ton pessimisme se base sur un diagnostic des médecins ou sur ton impression ? Car on arrive à guérir un certain nombre de cancers du poumon quand celui ci ne s'est pas diffusé trop loin (radiothérapie + chimio pour supprimer les metas)

Courage a vous. C'est tout sauf évident...

Oui, cela semble avoir été découvert relativement tôt dans la maladie.
Mon père était déjà au stade 4 quand il a eu les premiers vrais symptomes (perte de la voix) qui l'ont amené chez le médecin.
Et ils ont quand même tenté chimio et immuno.

Ça a commencé comme ça avec ma mère ça va faire 28 mois ça s'arrange pas elle a vu l'équipe de soins palliatif.
 
Courage et prépare toi à aider le traitement handicape lourdement.
A titre perso je crains beaucoup plus l'après que maintenant.
Faut passer le cap de la tristesse, des angoisses, pour êtres fort, parce que le proche malade c'est ce dont il a besoin.
Ma mère n'en peut plus d'êtres très handicapé dépendante.

Vivre en campagne, ça aide pas. 15 jours pour le rdv pour un pet scan et 15 jours pour le résultat. Au final, pas de traitement avant 35 jours pour le moment. La tumeur lui bouffe 1/3 du poumon...

 
En ville ce sont les mêmes délais. Ils n'accelerent que pour les cas d'urgence (comme je l'ai vécu pour mon cancer). Pas d'inquiétude à avoir pour 1 mois près. Ce n'est pas ça qui changera le diagnostic. C'est par contre très très dur d'attendre sans savoir.

Merci pour ton retour, c'est toujours bon d'avoir ce type d'infos

Diagnostic posé, cancer du poumon à petites cellules, stade IV.
J'essaie de la rapatrier vers chez moi pour à la fois un meilleur suivi médical, un meilleur accompagnement et aussi pour être là pour elle jusqu'à la fin ...

Exactement comme mon papa, l'année dernière.
 
Beaucoup de courage à vous.

Ma mère refuse de s'alimenter ni même de se mettre assise sur le lit, et dort quasiment tout le temps.    
On a commandé un lit médicalisé ainsi qu'une équipe pour des soins de personne handicapé lourd.
Mais je crois qu'elle veut en finir.  

J'ai vu samedi l'état de la mienne après la 1ere chimio, pas manger pendant 2 jours, j'ai cru que tout était fini. Elle reprend de l'énergie en ce moment mais elle n'est pas d'une nature à beaucoup manger... J'ai l'impression de voir la mèche d'un bâton de dynamite qui se consume à vitesse grand V....

Courage à toi.

Bon courage à tous les 2.
 
Pour avoir vécu cette situation avec ma maman il y a 1 an et demi, je suis de tout cœur avec vous.

Un an que ma mère est partie et je ne sais toujours pas si je suis passée par toutes les étapes du deuil.
Je demeure plus ou moins dans le flou, par moments c'est comme si je réalisais vraiment qu'elle n'était plus là
Et là au moment où je rédige je sais qu'elle ne l'est plus
Je traine une envie de rien au quotidien, je cherche à m'occuper pour ne pas penser.
 
Ce qui est certain, c'est que la rapidité de l'évolution de son cancer, les symptômes qui se sont enchainés, m'ont traumatisée
ça a été vertigineux, à en donner le tournis. Et on est impuissant.
J'ai pris rdv avec une psychologue pour évoquer tout ça même si je ne vois pas trop comment cela pourrait m'aider concrètement...

Salut les gens,
 
J'ai souvent du sang dans les selles, du sang frais, sans odeur et en quantité raisonnable.Ça dure depuis quelques semaines, avec des périodes où ça a l'air d'aller. Je ne ressens aucune douleur cependant.  Faudrait que j’arrête de me dire que "ya rien" et que j'aille voir le toubib un de ces 4.
J'ai rdv chez mon médecin traitant lundi prochain.
 
Ce matin c'était particulièrement flippant, dite moi juste que c'est rien.

mettre des mots sur les maux permet d'avancer au contraire , si si, ça va aider.

Je dis ça comme ça, mais j'ai été opéré il y a des années des hémoroïdes, m'arrive de saigner pas mal en allant à la selle. Les veines qui pètent un peu, et...  
Donc peut-être les veines fragiles de ton côté?

 
Pouvoir en parler avec mon psy m'a fait beaucoup de bien, j'espère que cela t'aidera aussi.
Ça m'a aidé à avancer, à comprendre que certaines pensées étaient normales, à comprendre ma façon de vivre le deuil... qui est très différente de celle de ma sœur. Même si je savais déjà que chacun vit son deuil différemment, je n'arrivais pas bien à l'intégrer. Ma sœur reste bloquée sur la maladie elle-même, sur ses derniers jours. Moi c'est plutôt son absence au quotidien qui me blesse toujours autant.
 
Je comprends ce que tu veux dire, je crois. Une partie de moi n'accepte toujours pas qu'il n'est plus là et qu'il ne reviendra jamais. Toute cette situation me paraît absurde.
 
Mes pensées t'accompagnent toujours, en tout cas.

 
Ça peut n'être rien du tout, mais tu fais bien d'aller voir le médecin pour en avoir le cœur net. Courage !

Je ne peux pas t'aider et j'en suis désolée, je peux te témoigner un soutien, ici, comme les autres personnes du topic.

Il y a des anniversaires qu'on souhaiterait ne pas se souvenir  

Je ne sais pas non plus ce que ce mot "deuil" veut dire... pour moi c'est un mot valise. Pour certains, certainement pas !

Faire son deuil, mais faire son deuil c'est quoi après tout ? c'est ne plus souffrir ? oublier ? c'est quoi ?

Alors si c'est ne plus souffrir et oublier, je ne ferais jamais mon deuil c'est certain...
Je souffre toujours du manque de mon père, je ne l'oublierais jamais... tant que je vis, mon père vit, tant je vieillis, mon père vieillit encore...
Je ne suis pas débile hein, je sais bien qu'il est mort, je l'ai embrassé, froid, à la morgue et je sais bien qu'il est enterré... mais il vit à travers moi !
Je t'avais d'ailleurs écrit ici, lorsque tu nous as annoncé que ta maman était décédée, que je fête toujours l'anniversaire de mon père, je lui fais son gâteau préféré !
Je mets même parfois des musiques qu'il aime, bon d'accord c'est vieillot   , mais c'est sympa parfois, même si c'est pas mon style, ça me fait marrer et puis j'aime aussi regarder des films qu'on regardait ensemble, car en les revisionnant, je me revois avec lui... et j'aime me souvenir de ces instants.
Je parle toujours de lui, alors le deuil c'est certainement une question d'intensité de douleur ? peut-être !

Le "deuil" c'est peut-être ne plus être dans l'irréel de la perte ! comme @Elegy_Wilde, je trouvais ça absurde, c'est complètement absurde-irréel qu'il n'y ait plus ses yeux qui s'ouvrent, qu'il ne respire plus ! c'est complètement absurde de me dire que je ne le verrais plus, ne l'entendrais plus... ouais c'est absurde !

C'était tellement absurde pour moi, que le mois où on l'a mis en terre, il a beaucoup neigé, et je pleurais, je pleurais, je disais à mes sœurs que papa allait avoir froid ! c'était terrible de me dire qu'il a froid et de ne pas pouvoir le réchauffer ! j'en étais malade de ne pas pouvoir lui apporter de couverture.
Aujourd'hui, c'est cette pensée qu'il ait pu avoir froid que je trouve absurde... alors ouais, j'ai accepté qu'il n'aurait plus jamais froid mon père.

Mais, lorsque j'entre dans les mois d'octobre et jusqu'à son dernier souffle le 24 décembre, mon corps n'est pas en "deuil", non ! mon corps a mal et souffre et revit cette période...  Quand je dis que je souffre, ce ne sont pas que des pleurs, c'est littéralement tout mon corps qui est malade, réellement malade, mon cœur surtout.
Je souffre terriblement durant la période où il mourrait. Je ne sais pas si cela s'atténuera... je l'espère car ça fait mal. Cela fait 6 ans que je n'ai pas embrassé mon père.

Alors ouais, l'option psy ça peut aider... faut juste trouver le bon thérapeute avec lequel tu te sentiras bien et libre de tout raconter, sans retenues
Si celui que tu vois ne te conviens pas, change, et n'hésite pas !

Je connais des mauvais, et j'ai la chance de connaitre UN bon surtout, qui m'a aidé y a bien longtemps, pour autre chose et m'aide encore, quelque fois, lorsque j'ai besoin de parler, alors que j'habite pourtant loin de lui dorénavant.

En tout cas, j'ai des pensées tous les jours pour mon père. Et je rigole car j'imagine sa tête dans certaines situations, et je sais qu'on rigolerait ensemble... car j'ai bu l'irréel de sa perte, et que je n'ai pas la rage... mais je souffre toujours de son absence !
Je ne vais jamais au cimetière car, pour moi cela ne veut rien dire. Il n'est pas là mon père, mais il est dans ma chair, dans mes pensées, dans la musique que j'écoute, dans la cuisine que je confectionne en me disant qu'il aimerait, dans les endroits que je vois, il les voit... et avec mes sœurs et ma mère, on se remémorent et on rigolent de ces blagues et de son humour... car il en débordait !

Alors deuil ou pas deuil ? ce mot est moche, c'est une certitude...

sstarshoot, je te souhaite de trouver un endroit, quelque chose, quelqu'un qui soulagera ton chagrin, je te souhaite de trouver de la vie dans cette immense nuit, et je te souhaite d'aller mieux... Je ne doute pas que tu trouveras !

joli message la chouquetterie
idem ici avec ma mère décédée juste avant la fête des mères, 21h avant la naissance de ma fille, je n'ai même pas pu aller à l'enterrement. 32 ans plus tard ça saigne encore, mais les bons souvenirs prédominent et je me retrouve dans ce message.
Pas vu de psy, quoi lui dire ? qu'elle manque ? qu'elle aurait adoré prendre ma fille dans ses bras, elle qui aimait tant les bébés ? Je sais qu'elle aurait adoré prendre le petit fils , ce ptit lulu, dans ses bras de la même manière. Et je l'ai fait pour nous deux.

Pour la question de faire le deuil , je suis de pres (depuis 2/3 ans , dans un cadre + "paranormal" que deuil en lui meme ) le dr charbonier , pour l'instant sa démarche me semble honnete .

https://www.youtube.com/watch?v=K0HGhkAO2mA

https://www.facebook.com/JJ.Charbonier/ (page que je suis quasi tout les jours )

Ma mère vient de décéder comme ticaribou à la fête des mères.
C'est un weekend chargé en émotion j'ai fait ce que j'ai pu pour qu'elle souffre le moins possible.
Hier l’infirmière nous avait prévenu que la cyanose apparue est un signe de fin de vie imminente.
 
Depuis mon dernier message, elle a agonisé, je n'étais pas prêt il n'est pas facile de vivre, travailler, se relaxer sachant qu'un proche agonise, sous morphine.
J’espère ne pas avoir un deuil douloureux ce n'est pas ce qu'elle souhaitait.
 
Entre l'annonce du cancer et son décès  il s'est écoulé 2 ans et demi ce qui pour un cancer poumon et cerveau assez long et m'a permis de rester auprès d'elle et de me préparer à la séparation.
 
Par rapport aux autres expériences cité sur le topic c'est une chance.

tes futures fêtes des mères auront un goût particulier disons. Difficile les premières années.
C'est bien d'avoir pu l'accompagner jusqu'au bout, ça aide ceux qui restent.

 
Mes pensées t'accompagnent viniw...  

Très joli message, la chouquetterie. Et ça me fait du bien de "rencontrer" quelqu'un qui comprend cette idée d'absurdité.
 
 

 
Toutes mes pensées t'accompagnent également, viniw. Mon papa aussi ne voulait pas que je sois triste, je l'entends encore me dire avec son accent du Nord "Ah non, hein ! Tu vas pas te mettre à pleurer !" ^^
C'est forcément douloureux, mais c'est bien que vous ayez eu du temps pour vous y préparer. Je te souhaite beaucoup de courage.

viniw , plein de courage à toi. Je n'imagine pas ta peine actuellement mais la vivrais bientôt...
Je t'envoie tout le réconfort possible. Soit fort pour elle.
 
 

   
 
 
je me permet 2/3 conseils, il y a quelques trucs qu'on a pas anticipé:
- s’assurer d'avoir une infirmière dispo, et un medecin en capacité de visiter le malade, et une aide soignante, c'est pour l'aide soignante que ca été compliqué.
- commencer a faire la liste et essayer de retrouver tout ses amis
- demander a la personne malade de noter tout ses mots de passes, identifiant a mettre dans une enveloppe cachetonné au besoin.
- donner dés aujourd'hui des pouvoirs.
 
pour les 2 derniers cas je sais que c'est quasi impossible de demander, mais le malade a un moment ou un autre va évoquer son décès et la suite c'est a ce moment la ou il faut avoir le courage de le faire.
 
 
Moralement j'ai peu de conseils a donner le décès d'un proche et son agonie est un traumatisme, essayer d'être gentil et doux avec vos proches qui eux aussi dégustent.
quand les pompes funèbres viennent récupérer le corps c'est un moment particulièrement intense, c'est a ce moment la ou on ressent la séparation définitive que le lien est cassé.
j'en parle parce que je ne m'attendais pas que cela fasse autant d'effet.

+1
et l'après : pendant les préparatifs, les premiers jours, on n'est pas seuls, les choses à faire occupent corps et esprit. Après c'est le silence. Juste le manque. Qui du coup se ressent encore plus fort. Continuez à vous occuper de ceux qui restent . Gardez les contacts, les liens.

Bonsoir à tous,
 
Peut être allez vous pouvoir m'aider.
 
Ma maman est partie il y a un an et demie, je me retrouve totalement dans le poste de la chouquetterie.
 
Mais j'ai un sujet qui me préoccupe, ma fille de 8 ans, entretenait une relation fusionnelle avec sa grand mère, et elle a beaucoup de mal à surmonter cette absence, ce vide (ayant moi même du mal, j'imagine ce qu'elle traverse).
 
Nous parlons beaucoup, mais je ne sais plus quoi lui dire, et c'est pire en ce moment car la date d'anniversaire de ma maman approche grandement, ce qui fait que ma fille y pense encore plus, et cela la rend encore plus triste?
 
Comment puis-je aborder le sujet avec elle?
 
Merci pour vos précieux conseils

https://www.amazon.fr/mort-expliqu% [...] ks&ie=UTF8

ne pas hésiter a lire les commentaires meme negatif , il y'a des gouts et des couleurs .

edit :
https://www.youtube.com/watch?v=QGUGrZDpg8Y

 
Bonjour Sachiel,
 
Il est douloureux de porter sa peine, mais la peine de son enfant, j'image à quel point ta souffrance.  
 
As-tu déjà, envisager d'aller discuter chez un pédopsychiatre avec ta fille, du décès de ta maman ? j'imagine que oui    
 
Il y a des gens formidables en pédopsychiatrie, qui débloquent des situations douloureuses, mais qui n'enlèvent pas la peine.  
C'est important de le savoir, car cela évite d'être terriblement déçue... Supporter, apprivoiser sa peine cela s'apprend et de toute manière la peine s'estompera avec le temps... En revanche, la souffrance c'est déjà plus délicat,  mais elle se soigne    
 
Et puis il ne faut pas oublier que notre cerveau est un partenaire extraordinaire, un allié formidable car il y loge tous nos souvenirs heureux partagés avec nos disparus. Faut juste patienter que cette putain de douleur s'estompe et que l'équilibre reprenne sa place. Le temps Sachiel, le temps... mais aller voir un pédopsychiatre peut vous aider.
 
Tu es dans quel coin, si cela n'est pas indiscret ?
 
Quels genres de questions ta fille te posent ? Est-ce sur la mort en général, est-ce sur la mort de sa grand-mère tout particulièrement ? Est-ce sur l'absence ? Est-ce sur sa propre mort ? Est-ce sur après la mort ?  
 
Ta fille avait à peine 7 ans lorsque sa mamie est partie, c'est un âge ou on prend déjà conscience de sa propre mort, alors gérer en plus la mort de sa grand-mère adorée, je comprends la grande souffrance de ta fille.
 

Hello La chouquetterie.
 
J'envisage sérieusement d'aller voir quelqu'un pour m'aider, mais j'avoue que je ne sais pas ou aller, et j'ai très peur de tomber sur une personne qui fasse plus de mal que de bien
 
Ma fille ne pose pas trop de questions, je pense qu'elle a bien compris ce qu'est la mort, mais en ce moment elle se renferme sur elle-même et je parle beaucoup avec elle pour savoir ce qui se passe, et elle me dit qu'elle pense beaucoup à sa mamie, qu'elle lui manque terriblement.
Dernièrement elle lui a fait des dessins, avec des petits mots dessus.
 
J'habite dans le 78, je peux même aller sur Paris si il le fut, c'est pas loin .
 
Je me sens tellement impuissant pour essayer de soulager sa peine, et de la voir pleure comme ça me déchire

 
Se renfermer est effectivement plus difficile car du coup tu ne sais pas ce qu'elle peut penser... et j'imagine que cela t'inquiète et c'est justifié.
 
Je vais me renseigner, et te tiens au courant Sachiel  
 
Courage Sachiel    
 
 

Il peut etre fait un petit ceremonial à date d'anniversaire , j'avais vu sur tutube une medium (un peu space) , parlant de bougies et fleurs , je doit pouvoir retrouver ,apres ça dépends de sa spiritualité .

Merci beaucoup

La y'a quelques pistes :
https://www.la-croix.com/Religion/C [...] 1200888650

Pour le rituel des fleurs ,c'est plus un rituel pour faire monter l'ame (mais ça revient un peu au meme ) il faut une photo (je crois qu'elle préférait l'argentique , un marqueur + puissant apparemment qu'une photo imprimé ), une bougie blanche , et des fleurs coupées non empoté  ... l'explication donné , l'odeur de la fleur attire l'ame ,ensuite elle voit la bougie et se laisse porté par les parfum de la fleur ... l'idée est sympa ...  J'avais lu autre part que la photo pouvait servir de "balise" .

J'ai retrouvé les explications video pour les fleurs ,mais les videos sont un peu violente pour une (theme du suicide) , je les mp si souhaité .