Reprise du message précédent :
#IAMAMAKER  
   
 

Rangeoir à baguettes de      
Matière d’œuvre  
   Lambris pin premier prix
 
Outillage utilisé ET PROTECTIONS INDISPENSABLES ASSOCIÉES  
   Scie à onglet, martal, cloux colle
 
Étapes et choix  
J'ai voulu faire le tri de mes différents lots de baguettes...
http://reho.st/preview/self/37844a [...] a40c47.jpg

Il est temps de ranger ça proprement plutôt qu'en semi vrac dans plusieurs sacs
On continue dans la série des petits makes à base de lambris pin premier prix :
http://reho.st/preview/self/eca570 [...] d3a01c.jpg

Ajout de "limiteurs" pour le couvercle :
http://reho.st/preview/self/76aacf [...] 8c2fd7.jpg

Puis de poignées parce que remplie, elle est putain de lourde cette boite  
http://reho.st/preview/self/274b17 [...] 58aada.jpg

Fini, avec les baguettes rangées/assemblées :
http://reho.st/preview/self/321f73 [...] 45edd1.jpg

Temps  
   Un certain temps, pas compté car fait en plusieurs fois
 
Coût  
   2 lames de lambris
 
Difficultés rencontrées  
   Le lambris tuilé
 
Bilan  
Premier essai de montage collé, on verra dans le temps

Bon je suis en pleine fabrication d'un cercueil (et oui   )  
 
Du coup mes premiers vrais essai de défonceuse.  Je vous poste quelques photos a venir  
 
Là j'ai fini le couvercle

#IAMAMAKER  
   
 

Abri météo type Stevenson  
Matière d’œuvre  
   CTP, chutes de lambris PVC, cornière
 
Outillage utilisé ET PROTECTIONS INDISPENSABLES ASSOCIÉES  
   Scie à onglet
 
Étapes et choix  
En préparation de la domotique à la maison, il va me falloir tôt ou tard une mesure de la température extérieure. Or, depuis 3 ans j'ai plusieurs thermomètres à l'extérieur et je vois bien que l'emplacement influe pas mal sur la température relevée, entre la présence ou pas de soleil (thermomètre dans une zone à l'ombre passé midi), l'inertie du lieu (j'ai une sonde au milieu des pierres sous le barbecue, grosse inertie de plusieurs heures), la proximité à la maison (thermomètre numérique dont la sonde est à 50cm de la porte d'entrée, mesures souvent fausses en hiver). Pas le choix, si je veux une bone gestion, ça va passer par une mesure fiable en un seul point, je vais pas jongler avec plusieurs sondes Comme ça ne presse pas, je fais un premier essai pour tester pendant un moment, en déplaçant l'abri, ça me permettra à la fois de valider la conception et le lieu de mesure.

Première étape : fouiner le web pour chercher à concevoir l'abri. Mes maigres études dans la mesure me rappellent que la mesure de température c'est quand même pas facile, parce qu'un capteur de température ne mesure que sa propre température, qui peut être influencée par pas mal de paramètres dont, pour ce qui nous intéresse, le rayonnement (direct du soleil ou indirect), la proximité des bâtiments, l'environnement (je ne veux pas mesurer la pluie ni avoir un abri de mesure qui chauffe en plein soleil ou conserve la chaleur la nuit). Comme souvent, je fouine un peu partout pour voir les différentes approches de conception et avoir différents points de vue et je moyenne tout ça à ma sauce en retenant les paramètres influents et comment les maitriser

Résumé des points essentiels retenus :
- Ne pas accumuler la chaleur : l'abri devra être léger et fait avec des matériaux à faible capacité thermique, d'où le CTP et le plastique
- Limiter le rayonnement : double persienne et planchers à claire voie. J'ai une grosse cornière en rab, on va l'utiliser pour faire la double persienne à moindre frais et moindre travail, pour les planchers, on verra la solution mi honteuse mi géniale  
- Faciliter la circulation d'air pour que l'air de l'abri correspondent à l'air extérieur : de la ventilation dans tous les sens. Certains abris sont carrément à ventilation forcée, mais ça implique une alimentation électrique et des problèmes de chauffe (électronique et ventilateur). J'avais pensé à une ventilation artificielle en créant un tirage avec une "cheminée" mais finalement, j'ai fait sans
- Abri en hauteur : on table souvent sur 1m50

Première difficulté majeure : comment faire une double persienne sans y passer 3 mois   Finalement, un jour l'idée est venue avec une double persienne et du travail de précision à la scie à onglet, ici avec un micro bout de cornière et la cornière complète pour voir l'assemblage :

Du coup, on fait chauffer la scie et massacre un martyr :

Assemblage :

Ensuite, il faut gérer le toit. J'ai des chutes de lambris PVC, ça irait bien, je teste quelques trucs et je fais un assemblage à la bi composants. L'avantage, c'est que ça m'évite de gérer une porte avec ses charnières et tout. De toutes façons à terme, j'ouvrirais jamais l'abri, les capteurs seront en liaison avec la maison, pas besoin d'y toucher, on ouvrait les abris du temps des enregistreurs sur papier On a aussi l'arrivée du plancher :

Pour fixer le toit, je fabrique une pseudo charpente dans laquelle je viendrais visser des inserts filetés (fixation via un papillon fixé sur un bout de tige filetée pour ouvrir l'abri à la main sans outil). On voit aussi une cornière en ajout dans les angles, suite à un jour important entre chacun des 4 pans (problème de taille des cornières utilisées pour les "murs" ) :

Pour la ventilation, je profite de la structure du lambris PVC, ça marque un peu le toit mais c'est pas bien grave. La partie plane du toit recevra les capteurs de pluie et luminosité :

Gestion du plancher : un judicieux assemblage de lambris travaillés à la scie à onglet en mode défonçeuse  

Un vague coup de lasure d'un vieux pot appliquée sans soins par Porchou et Porcasse SARL :

Mise en peinture avec le vieil adage "peinture sur merde = propreté". Pour le support : ex-bidon de chlore pour piscine, rempli avec un mortier pourri (il avait pris l'humidité, inexploitable pour monter des parpaings), une ancienne barre de rideau repeinte :

Hop, fini, 3 mois après le début

Temps  
   Beaucoup d'heures
 
Coût  
   Quasiment rien grâce à une utilisation massive de chutes, le seul truc acheté c'est la cornière de rattrapage des angles
 
Difficultés rencontrées  
   Essentiellement sur la double persienne, ni super bien pensée (besoin de correction) ni bien ajustée. LE reste s'est pas trop mal passé
 
Bilan  
 Le bouzin est en place depuis 2 semaines, j'ai eu un peu de tout en météo (plein soleil chaude journée à l'orage et aux nuits fraîches), je valide vu mon expérience des autres thermomètres extérieurs : en régime stabilisé l'abri dit pareil que les autres, et la différence entre l'abri et les autres thermomètre s'explique parfaitement par le régime transitoire en cours (arrivée du soleil, arrivée de la nuit...). Pour l'instant c'est une sonde de ma station Oregon qui est dedans mais tôt ou tard j'y mettrais ma "station" Arduino. Quand je passerais à l'abri V2, je pourrais conserver pas mal d'éléments de conception, voire carrément conserver l'abri s'il est encore en bon état, juste revoir le pied (surement du métallique creux pour descendre les fils de communication). Question stabilité c'est pas mal, on a eu du bon vent, l'abri n'avait pas l'air de trop bouger avec ses 30kg de mortier dans le bidon

Outils que j'ai regretté ne pas avoir/Acquisitions prévues suite à ce make :

j'ai fabriqué une plaquette en buis pour habiller un couteau (Kwaiken mini de Böker)

(enfin c'est en cours et c'est pas encore fini)
 
En photo ça rend pour l'instant pas terrible (j'suis pas un as en photo non plus).
Je m'attendais à un bois plus jaune, enfin j'aurais bien aimé.  
Et j'aurais du choisir une plaquette avec plus de noeuds, même si c'est un peu plus chiant à poncer.
C'est plus ou moins un galop d'essai, ayant d'autre plaquettes en ébène rose et en amarante.
Surtout pour tester ma méthode de façonnage.
coupé et poncé à la main. J'ai utilisé une scie Olfa type japonaise (épaisseur 0,5mm)

Une très bonne petite scie, et qui donne un état de surface après coupe très très propre, surtout sur du bois dur comme le buis. Si j'avais à faire des queues d'aronde j'utiliserais cette scie. Il faut juste prendre son temps et tirer bien droit pour scier.
 
 
Le plus difficile a été d'obtenir la courbe tout le long du manche. J'ai poncé à la main en partant d'une plaquette parfaitement en forme de parallélépipède, au papier fin.
J'utilise du 3M wetordry, le meilleur papier à poncer à la main pour moi. (grain 270 à 1200) Je le recommande pour les ponçagse précis et fins à la main, collés au double face sur des cales bien planes. Il dure longtemps, et est lessivable, pour les plastiques et l'alu on peut l'utiliser avec de l'eau pour un rendu encore plus propre, et fonctionne sur n'importe quelle matière (alu, bois, abs, altuglass, etc. )  

On voit à droite la plaquette originale en titane, et c'est très fin, je sais pas si mon buis résistera si je l'affine à ce point, car je voudrais que ce soit réversible et je n'ai pas envie de coller la plaquette en bois sur le manche de manière définitive.
 
Question :
Le buis en question n'est pas traité ni stabilisé ; comment puis-je faire pour le traiter un minimum pour le protéger ?  
huile de lin+huile de térébenthine ? huile de camélia ? tamponnage ou trempage ? Ballistol ?  (je ne dispose pas d'une pompe à vide )

Je voulais répondre précédemment, mais j'ai eu la flemme.........  
 
La pompe à vide, easy to make.... surtout pour des petites pièces de ce genre....  
 
Comment?
 
Il faut disposer d'un moteur de frigo.  
 
SI, SI......
 
Le moteur de frigo est un compresseur. Et un compresseur, d'un côté ça aspire l'air, de l'autre ça le refoule. Donc il suffit de faire un caisson étanche et de connecter le moteur de frigo via un raccord rapide.
Le moteur frigo me servait de compresseur pour un petit air-brush et de pompe a vide pour diverses applications.
 
D'ailleurs, je devrais m'en refaire un, ça me permettrait (peut être) de récupérer la gelée royale plus aisément. A voir......

Huile de lin + térébentine en plusieurs applications avec poncage léger à la laine d'acier 000 entre chaque, en huile de lin + siccatif pour la dernière couche. Recherche "poncé huilé" pour les détails, c'est ce qu'on fait pour les crosses d'armes

Sinon..........
 

C'est quoi?????
 
Un trump?????

Je ne compte pas me fabriquer une pompe à vide pour ça.
Pas la place, et pas assez l'envie.

Ca marche bien mais c'est de la belle bidouille et ça craint l'humidité

Pour moi c'est pas du buis.

On dirait un résineux, par exemple du cade (ya pas une odeur en l'usinant ou en brulant les copeaux ? ) je pense pas avoir déjà vu du buis avec d'aussi visibles cernes...
Et puis c'est jaune alors que le buis est vraiment blafard.

Mais pour revenir au traitement : puisque tu ne colles pas la plaquette tu peux la tremper dans l'huile (siccative comme celle de lin) avec 50% de térébenthine 1-2 jours puis laisser sécher qques jours ensuite huile de lin pure (toujours siccative, pas de la crue) . (si tu avais voulu coller il aurait mieux valu pas huiler la face à coller)

huile de lin crue + siccatif c'est pas durable..... Il faut cuire l'huile de lin..........

Je viens de faire un test de marquage du bois à chaud avec le rebut qui me restait de doosen. Ça marche super bien, même avec une petite plaque de cuisson électrique d'appoint  

P.S : top le couteau barnabe !

Relis bien, j'ai bien dit de prendre de l'huile siccative (quand c'est mentionné c'est qu'elle est au moins cuite voire additivée de siccatif supplémentaire chimique) et pas de la crue
 

Fake! C'est à l'endroit.
Ou alors tu as inversé la photo
 
IWH au fait !

Pas mal...
 
Au fait, puisque tout le monde à l'air de faire semblant de pas le voir : J'y fus 500  

iwh500

IWH

J'aime pô les IWH  

Sorry.....
 
 je pensais que tu disais huile plus siccatif...... le siccatif provenant d'extraits.....métalliques....Mais c'est vrai que l'huile de lin cuite est siccative naturellement ..... mais lentement.......
Je traite toutes mes ruches à l'huile de lin cuite pure, aussi........

Ben la crue aussi, c'est juste plus long, d'où l'interet de la couper à la téré, non ?

La théré c'est plus pour la péné........  

Ok
Je pensais qu'elle avait un ptit rôle siccatif en dehors du fait où, si tu coupe l'huile avec un solvant, forcément ça sèche plus vite vu qu'il y'en a moins et que le solvant s'évapore.

500 pages de labeur, de sueur, de palettes et de qualité      

Ça sèche (le mélange huile+téré) plus vite mais ça ne polymérise pas plus vite l'huile en elle-même

Deux petites lectures :

https://patinedautrefois.fr/blog/produit/huile-de-lin/

http://techniquedepeinture.com/dif [...] es-huiles/

Térébenthine + huile de lin + sel de cobalt, c'est utilisé en pour imprégner les terres cuites depuis des centaines d'années, et particulièrement en Provence pour les tomettes ........

J'ai vécu le IWH500 je suis tout ému
 
Direction 1k maintenant !

Bonjour j'ai un problème et je suis pas du tout bricoleur. J'ai une partie du joint de la baignoire qui était décollé. On m'a dit c'est très simple tu retires l'ancien et mets un nouveau. Résultat j'ai ça que j'arrive pas à retirer je crois que j'ai fait de la merde, j'ai un trou énorme. Que dois je faire ?

Help  

Refabriquer une baignoire en laiton avec incrustations de bois, et poster le CR ici, ou aller sur le topic bricolage

Go topic bricolage...

Sinon, tu continues avec ton cutter à dégager le maximum de vieux joints, tu dégraisses ensuite à l'acétone pour tu rebourres le tout avec du silicone que tu lisseras avec un bout de patate ou ton doigt mouillé.

Mais pas de panique, tu n'as pas (encore) fait de la merde

Ah je croyais que c'était le topic bricolage, dans la panique j'ai juste vu que ça parlait de bricolage. J'y fonce de ce pas merci

Astuce récup pour les outils sans rangement...

J'aurai pu poster ça dans Outillage, puisque ça concerne les outils... j'aurai bien pu le poster dans HB puisque... mais c'est aussi un peu fait avec mes mains et ça concerne l'atelier, donc ça sera ici (puis chaque post vers la page 1000 compte )

Certains ici savent mon manque de place pour bricoler, j'en manque également bien sûr pour stocker l'outillage lui-même.
La plupart de mes électroportatifs et mallettes d'accessoires sont sur une étagère métallique de 30cm de profondeur.

Pour ceux venant en mallette (le perfo et l'oscillant Parkside par exemple) : pas de souci
Ceux venant en carton ça passe encore bien que les cartons fatiguent vite...
Et puis y a ceux qui sont tous nus car le carton n'est plus... et là c'est pénible ! Notamment la perceuse accompagnée de sa boîte à forets, son étui de mèches plates, ses forstners en vrac etc.
Le tout se chevauchant et s'empilant honteusement, ce qui fait que pour prendre un outil dans la pile il me faut en enlever 1 ou 2 autres et retenir le reste pour éviter l'effondrement. Trèèèès pénible !

Fallait que ça change !

L'autre soir aux niglos j'avais donc trouvé une mallette de perfo Ryobi vide... me fallait l'adapter pour la perceuse.

J'ai donc entrepris de "remouler" l'intérieur de la malette pour l'adapter à la forme de ma perceuse (poignée supplémentaire en place) ainsi que ses accessoires principaux.

Pour ce faire rien d'autre qu'un pistolet à air chaud et un bout de rail emprunté à Hassan Cehef...

La mallette est constituée d'une coque et d'un doublage à la forme de l'outil, entre les deux c'est de l'air donc on peut écraser (ou découper mais enlever de la matière me semble fragiliser l'ensemble)
On chauffe et on presse aux endroits voulus (on peut faire plus en finesse avec un pressoir plus fin, un bocal en verre etc, à adapter au besoin)

Et voilà ce que j'ai réussi à caser (après une bonne séance de tétris) : la perceuse, la boîte de forets (Dexter Pro : super boîte très très solide) et même la mallette de scies-cloches, et dans l'emplacement des papiers dans la partie haute, j'ai encore de quoi mettre pas mal de choses (ici les mèches plates)

Objectif respecté et même dépassé, ne me restent que les fortsner à y caser et tout mon matos perçage tient désormais à peine plus de place que la perceuse nue sur l'étagère  

Prochaine à bénéficier de la chose : la visseuse et ses boîtes d'embouts (voire qques vis) , dès que j'aurai débusqué une nouvelle mallette...

Voilà, c'était vraiment pas grand chose mais c'est simple à faire, ça coûte rien mais qu'est-ce que ça change la vie !

ça m'a en tout cas été vendu comme tel (de chez Mercorne)
C'est pas un résineux, c'est assez dense et très fin, et le bois est relativement dur (je n'arrive pas à le marquer avec mon ongle).
Il me reste de toute petite chute, je vais faire un essai de trempage dans un mélange de 80% d'essence de térébenthine et 20% d'huile de lin, je pense qu'il faut un truc très fluide pour pénétrer un minimum le buis. Une fois poli il a presque un aspect verni, il est très lisse sur la face polie. Comme ma plaquette sera fine, je vais peut-être laisser à tremper une petite semaine, puis laisser sécher quelques jours, je verrais sur ma chute.
Je sais pas si ça va teinter un peu le bois aussi...(le froncer)

@tarpan : astucieux et efficace !
Édit : IWH 500

Sympa l'astuce!  
Me faut un décapeur thermique maintenant.

 
Sèche cheveux
 

#IAMAMAKER  
   
 

Marche pied métallique  
Matière d’œuvre  
   100% récup : tubes carrés 35x35x2 en provenance d'un cadre de lit, grille qui trainait dans le jardin
 
Outillage utilisé ET PROTECTIONS INDISPENSABLES ASSOCIÉES  
   Poste a souder MMA, baguettes de 2 (une quinzaine)
Protections complètes : chaussures de chantier en cuir, bleu de travail en coton, gants cuir, masque auto (Weldline Chameleon 3)
 
Étapes et choix  
Pour accéder à ma table de pique nique j'avias une marche de 50cm à passer, pas pratique avec la vaisselle ou ce qui sort du barbeuc. J'avias mis un moceau de parpaing cassé pour faire une marche, au bout d'un moment il est bon de faire mieux

Création d'équerres :

Après reprise des soudures, ponçage :

Soudage de la grille en cours, bien galère pour avoir un arc (position, écartement des pièces, mauvaise connexion, grille rouillée..), j'ai fait comme j'ai pu mais vu la quantité de point et les contraintes, ça devrait tenir

Un coup de frameto, surtout pour la grille, il sera suivi d'une peinture antirouille en bombe :

En train de préparer les trous de fixation (ça aurait été plus simple de les faire avant de souder, couillon, va   ), le fail qui survient au moment où je ne l'attends pas, bien sûr sur mon dernier forêt de 10 et un dimanche :

Bon beh un mix de forêt de 9.5 en travers et de la dremel, on arrive à agrandir les trous hein

Installation des goujons métalliques, correction des orientations à la massette/pied de biche dynamométriques :

6€ les 4, carrément surdimensionné (850kg dans le béton chacun....) mais vu l'équerre, j'aurais pas pu passer un tirefond suffisant dans la fixation du haut, la plus sollicitée, et le scellement chimique c'est encore plus cher J'ai un peu déformé les tubes en serrant mais osef

Fini :

Temps  
   Beaucoup, le coup de main vient mais ça reste long la soudure  
 
Coût  
   15 baguettes de soudure prises dans le stock, une bombe de peinture, les goujons, le frameto pris sur le stock, je dois en être pour moins de 15€
 
Difficultés rencontrées  
   La soudure de la grille, la fixation dans le muret
 
Bilan  
Une fois fini je me suis rendu compte que je m'étais raté, je voulais la mettre à mi hauteur (50cm de haut au total), la grille doit finalement être à 30cm (+20cm restant pour le haut du muret). On va dire que pour le coup général et l'aspect plus propre que le parpaing cassé, ça ira très bien comme ça

Beau projet, mais quand je vois ça je pense tout de suite aux tibias douloureux...