Le phénomène qui les touche est parfaitement invisible et sans fondement. D'ailleurs c'est "du vent" au propre, comme au figuré.    

car à aucun moment l'argument écologique n'est évoqué. Il n'est pas non plus question des effets néfastes de l'action de l'homme sur la nature, et l'idée d'une quelconque vengeance de la part de la nature n'est même pas envisagée.

Au contraire même, j'ai l'impression qu'il veut passer outre l'argument écologique. Par exemple, il fait dire au personnage de Mark Wahlberg à propos de la disparition des abeilles qu'il n'y a quelquefois aucune explication.
Il va même jusqu'à rejeter le réchauffement planétaire en arguant du fait que l'augmentation de quelques degrés ne pouvait perturber à ce point les abeilles.

Pour aller plus loin, on remarquera que la vieille folle dans sa baraque paumée est tuée elle aussi, alors que c'est le seul personnage du film qui vit en adéquation avec la nature.

je vois ce que tu veux dire, mais si tu remarques l'interview avec le scientifique à la fin, où il dit clairement que ce que la nature a fait c'est un avertissement aux humains qu'il faudrait prendre au sérieux, après je suis d'accord avec toi que ce n'est pas claire : ou est la faute des humains dans tout ca, mais je vois pas autre faute que celle de la pollution et de la destruction de la nature...

"On a failli crever suite à une reaction naturelle... OUF... Allez on passe pas a l'electrique, on continue d'utiliser des 4x4 bien polluant !    
 
Sinon. J'ai été quand même halluciné par la réaction du matheux...
"Ma femme est surement morte... Je vais voir, je vais surement y rester. Allez je laisse ma fille sans même lui dire que je l'aime..."
 
Par contre, le passage avec les pendus m'a filé le frisson, ça y a bien fait  

Sinon, ben, je trouve que c'était un peu lourd les dits et les re-dits sur l'environnement. J'ai d'ailleurs du mal à comprendre comment on peut considérer que ce film n'est pas environnementaliste... C'est très clairement dit, même très lourdement. le scientifique qui dit "c'est un avertissement de la nature", le journaliste "on vous croirait tous, mais y a eu qu'un cas" et hop, un cri dans les tuileries... aucun sous entendu, tout est visible, finesse adieu ^^
 
Je remarque d'ailleurs que les américains aiment bien faire finir les films sur les grandes "épidémies" à paris
 
L'explication sur l'anihilation de l'instinct de survie m'a bien fait rire aussi, et les personnages sont un peu niais. Ce qui m'a bien fait rire c'est quand ils ont compris que ça touchait des populations de plus en plus restreintes mais qu'ils insistent sur le fait qu'il faut rester en groupe...
 
en point positif : quand même, on note la recherche dans l'originalité des suicides. Y'en a quand même pas mal qui sont atroces ^^
 

Non mais non quoi. Pourtant j'adore les films de ce mec, même "la jeune fille de l'eau" j'avais apprécié. Mais là, c'est clairement de la bouse de compétition. C'est chiant, il se passe rien, il aurait appeler ça "les 1001 façons de se suicider", ca serait ptete mieux passé. dans ses autres films, y avait au moins toujours des relatiosn intéressantes entre les persos, mais là, quedal, il met en place des trucs au début qu'il ne developpe pas. Et pis j'ai trouvé les dialogues vraiment niais la plupart du temps.