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Auteur Sujet :

Le culte du super hero dans Kill Bill 2

n°18092882
moonboots
Posté le 09-04-2009 à 17:29:43  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
Je pense que la référence à l'œuvre de K. Dick est indispensable quand on parle de Matrix, mais tu te disperses un peu Cappa

mood
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Posté le 09-04-2009 à 17:29:43  profilanswer
 

n°18093018
cappa
Posté le 09-04-2009 à 17:40:41  profilanswer
 

moonboots a écrit :

Je pense que la référence à l'œuvre de K. Dick est indispensable quand on parle de Matrix, mais tu te disperses un peu Cappa


Exact, je viens de me renseigner sur KDick, il aurait inspiré Blade runner, et Minority reports entre autres. Je pense en effet que ça nous ferait sortir un peu du sujet d'épiloguer à son sujet. Enfin je ne savais pas qu'il était apparenté à Matrix, quoique dans le 1 ça me parait tout à fait logique. Pas dans le 3 par contre. Je ne sais toujours pas à quoi sert Matrix 3 par rapport au 1 :/


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n°18093298
moonboots
Posté le 09-04-2009 à 18:01:16  profilanswer
 

Il n'est pas à proprement parlé responsable de Matrix, mais c'est l'auteur qui est allé le plus loin avec le jeu sur la réalité dans les années 60 et 70, il a donc inspiré toute la SF moderne, donc indirectement Matrix

n°18109678
CastorTroy​01
Posté le 11-04-2009 à 07:56:49  profilanswer
 

Matrix n'est qu'un melting-pot d'idées déjà existante, sans jamais vraiment oser en exploiter le fond : il les cite tout en gardant seulement la superficialité ("l'apparence" ). Il brasse Baudrillard, Dick etc. sans jamais avoir "lu" les textes. Il complexifie par la rhétorique ce qu'il n'a qu'a peine comprit de ses ainés = sophisme (?) Il est vrai que Matrix a permis au public de prendre compte de "vieux" sujets tout en se les accaparant, mais n'a jamais osé aller plus loin (voir rétrograde, pour tirer la couverture).
Matrix n'est PAS une référence (et ne le sera jamais, limite rétrograde du fait que les faibles "trames" (par "faibles" j'entends "vaguement comprise" utilisées sont ostensiblement mis en avant) tout en se présentant comme dépositaire de Ces réflexions).
 
Dans ton dernier message donc, il est par contre pertinent de proposer "L'aventure Intérieure" suite à la "non" référence de Matrix : en effet le film de Joe Dante ne s'intéresse qu'à l'effet de causalité (action/conséquences des échelles physiques différentes) tout en faisant lien d'un quiproquo physique à une "réflexion" de ce qui nous "entoure".
 
Toutefois, si tes remarques ne semblent pas manquer de singularité, il est souvent possible d'en explorer certains intérêts.
(fatigué inside ^^)
 
Edit : Dick est un pilier de la S.F., au même titre qu'Asimov et ses œuvres les plus remarquable ne sont pas les seules citations que tu aies pu trouver.

Message cité 1 fois
Message édité par CastorTroy01 le 11-04-2009 à 08:00:43
n°18109687
moonboots
Posté le 11-04-2009 à 08:04:40  profilanswer
 

Tu es dur pour Matrix, mais c'est vrai que le 1 aurait pu être meilleur et la suite est très fade, c'est à dire que ça ressemble à du film américain de seconde zone : action et effets spéciaux (avec un peu de philosophie à 3 balles).
Le cinéma fantastique américain des années 70, qui a produit des films comme THX, Rollerball, Soleil Vert, Westworld, etc... n'aurait pas eu peur de développer un scénario plus proche de K. Dick. De la même façon Total Recall ne fait qu'effleurer le jeu sur la réalité, c'est dommage.
Existenz de Cronenberg, même s'il n'est pas une adaptation de K. Dick, est sans doute le film le plus proche de l'esprit K. Dick.


Message édité par moonboots le 11-04-2009 à 08:10:58
n°18109690
moonboots
Posté le 11-04-2009 à 08:10:30  profilanswer
 

Je pense aussi à la série anglaise du Prisonnier qui est proche de l'esprit K. Dick

n°18128201
cappa
Posté le 13-04-2009 à 14:16:21  profilanswer
 

CastorTroy01 a écrit :

Matrix n'est qu'un melting-pot d'idées déjà existante, sans jamais vraiment oser en exploiter le fond : il les cite tout en gardant seulement la superficialité ("l'apparence" ). Il brasse Baudrillard, Dick etc. sans jamais avoir "lu" les textes. Il complexifie par la rhétorique ce qu'il n'a qu'a peine comprit de ses ainés = sophisme (?) Il est vrai que Matrix a permis au public de prendre compte de "vieux" sujets tout en se les accaparant, mais n'a jamais osé aller plus loin (voir rétrograde, pour tirer la couverture).
Matrix n'est PAS une référence (et ne le sera jamais, limite rétrograde du fait que les faibles "trames" (par "faibles" j'entends "vaguement comprise" utilisées sont ostensiblement mis en avant) tout en se présentant comme dépositaire de Ces réflexions).
 
Dans ton dernier message donc, il est par contre pertinent de proposer "L'aventure Intérieure" suite à la "non" référence de Matrix : en effet le film de Joe Dante ne s'intéresse qu'à l'effet de causalité (action/conséquences des échelles physiques différentes) tout en faisant lien d'un quiproquo physique à une "réflexion" de ce qui nous "entoure".


Je suis assez d'accord sur la superficialité de Matrix, ce qui se révèle d'ailleurs rapidement dans ses suites, d'ailleurs rapidement pondues ce qui laissaient craindre le pire. Mais dans Matrix j'ai surtout noté le trait de génie du passage à travers le mirroir, plus du génie de DJ d'ailleurs, avec un mixage heureux par les auteurs de Matrix de choses reprises à droite et à gauche. Mais c'est ce procédé de superposition de réalités qui fait l'attrait de ce film, de même dans que celui de l'indémodable Aventure Intérieure.  
Évidemment dans le cas de l'Aventure Intérieure, inspirée d'un livre écrit par un physicien (Penrose? ou Gamov je sais plus) la profondeur est tout autre. Mais ce genre de manière de faire les films (je pense à l'armée des 12 singes tiens) par superposition de réalité, c'est intéressant.
 

CastorTroy01 a écrit :


Toutefois, si tes remarques ne semblent pas manquer de singularité, il est souvent possible d'en explorer certains intérêts.
(fatigué inside ^^)
 
Edit : Dick est un pilier de la S.F., au même titre qu'Asimov et ses œuvres les plus remarquable ne sont pas les seules citations que tu aies pu trouver.


J'ai pas tout compris mais ce sera noté sur le registre à la rubrique plussoyage :)
 
Je reviens un instant sur le schème de Matrix (page précédente). Ce qu'il dit c'est précisément ceci : Les frères truchmuchovitch (désolé, oubli du nom) n'ont pas fait le projet d'une œuvre qui les dépasse, mêlant une culture S.F énorme. Ils se sont contentés de chercher à faire un film avec un super-héros. Dominés par ce thème supérieur, ils ont moulé ingénieusement les sous-thèmes de matrix, tout en se maintenant à un déplacement près, à portée d'un film américain banal sur fond de culture comix.  Je pense que personne ne niera que Neo est un super-héros, c'est quand même plus évident que Beatrix dans Kill Bill. Enfin la preuve de cette absence de maîtrise des genres S.F. dans The Matrix, c'est que ceux-ci ont été complètement abandonnés en passant à Matrix2 puis, le pire de tous, Matrix3. Mais les auteurs avaient-ils en eux les capacités de faire autrement? J'en doute. Ils possèdaient toutefois la culture U.S. de base, comics (Néo super-hero) et pro-militariste manichéenne (Matrix3).
 
Sinon, je ne connais pas Dick, bien que ces émules semblent considérables, mais je pense qu'avec Huxley, les 2 ont frayé un chemin immense qui est sous- ou mal-exploité dans le cinéma d'aujourd'hui. Normal d'ailleurs vu ce que ça devient... (il suffit de regarder les affiches de ces derniers mois)
 

moonboots a écrit :

Je pense aussi à la série anglaise du Prisonnier qui est proche de l'esprit K. Dick


 [:cbrs]  
Dick ou même Huxley :

Citation :


http://nounouss.club.fr/Grammaire/ [...] alyse.html
Ainsi, Le Prisonnier, informé de l'existence de nouvelles technologies (alors émergentes dans les années 60) prophétisa un monde où les individus seraient en apparence choyés et "protégés" ; en fait, on leur aurait lavé le cerveau jusqu'à ce qu'il capitulent en douceur sous l'effet de drogues et d'une subtile propagande...


Citation :

Le "meilleur des mondes" décrit aussi ce que serait la dictature parfaite: une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s'évader. Un système d'esclavage où, grâce la consommation et au divertissement, les esclaves "auraient l'amour de leur servitude"...
Sans source (sur Huxley)


Message édité par cappa le 13-04-2009 à 20:55:00

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n°21067101
CastorTroy​01
Posté le 02-01-2010 à 07:26:41  profilanswer
 

Citation :

Et bien oui, il a des super-pouvoirs, mais comme extensions du killing-instinct ( c'est criant chez Batman par exemple pour reprendre ce cas déjà cité ). Le costume, les armes, etc.. sont des accessoires qui gravitent autour d'un noyau dur instinctif. D'ailleurs ce qui est en mesure de désactiver Beatrix est un autre instinct, vital celui-ci, l'instinct maternel, mais on reste dans une sphère centrée sur les instincts des individus. Enfin, le super-hero comix a un ennemi juré, c'est le Joker dans Batman, c'est Bill dans Kill Bill.


Je suis assez d'accord avec cette définition : Un super-héros ne l'est que par "sa volonté de rendre Justice (et non sa justice)" ; en voulant servir une cause noble, il dépasse sa condition d'être humain.
Le reste : costume, gadgets, super-pouvoirs ne servent qu'a Imager son statut ; Batman, Punisher, Solo n'ont pas de pouvoir (les 2 derniers ont des flingues en guise de "gadgets" ), dans le jeu InFamous sur PS3, le héros n'a pas de costume (c'est un jeu ou le personnage à des pouvoirs et la narration est traité à la sauce comix, tous les tests le souligne). Bref, le reste n'est que détail.

Citation :

D'ailleurs ce qui est en mesure de désactiver Beatrix est un autre instinct, vital celui-ci, l'instinct maternel, mais on reste dans une sphère centrée sur les instincts des individus.


Elle embrasse une cause qu'elle ne peut quitter qu'en assumant une nouvelle : être mère qui est, d'une certaine manière, héroique. On reste dans "cette volonté". La vengeance est très souvent le moteur clairement identifier qui permet de transcender les personnages dans les films HK alors que les comics l'utilise pour aller "plus loin" (occidentalement, la vengeance est péjorative, sauf pour quelques pays de l'est bien entendue où la vengeance se transmet de génération en génération pour laver le nom de la famille, que reprend The Blade de Tsui Hark).
 
Je reste sur l'idée que Tarantino fait une fixation sur sa fascination pour les pulps (lectures/films populaire) de sa jeunesse dont le cinéma chinois d'exploitation. Il faudrait faire une analyse de ces films HK et voir le parallèle avec le comic book qu'ils entretiennent (le sabreur manchot, wong fei-hung etc...), surtout leurs divergences ; mais je n'y connais pas grand chose dans ces domaines, need fans pour s'y pencher.

Message cité 1 fois
Message édité par CastorTroy01 le 02-01-2010 à 07:43:15
n°21136653
cappa
Posté le 08-01-2010 à 13:37:38  profilanswer
 

CastorTroy01 a écrit :


Je reste sur l'idée que Tarantino fait une fixation sur sa fascination pour les pulps (lectures/films populaire) de sa jeunesse dont le cinéma chinois d'exploitation. Il faudrait faire une analyse de ces films HK et voir le parallèle avec le comic book qu'ils entretiennent (le sabreur manchot, wong fei-hung etc...), surtout leurs divergences ; mais je n'y connais pas grand chose dans ces domaines, need fans pour s'y pencher.


C'est certain, et il a trouvé le moyen de le résumer à un concept phare, son fameux 'killer instinct" dont il nous dépeint des aspects divers et variés dans ces films. Maintenant je crains que Tarantino ne soit un peu pris dans la machine hollywoodienne ce qui fait que ce ne sera peut-être jamais un le grand auteur qu'il pourrait être (enfin qui vivra verra). Son dernier film est une catastrophe ambulante mais bon il doit y avoir un topic inglorious qui traîne sur le forum.
 
 :o  A ce propos c'est quoi cette arnaque consistant à sortir du Kubrick d'outre tombe? (Nobody inside)... bon. HS
 

CastorTroy01 a écrit :

Je suis assez d'accord avec cette définition : Un super-héros ne l'est que par "sa volonté de rendre Justice (et non sa justice)" ; en voulant servir une cause noble, il dépasse sa condition d'être humain.
Le reste : costume, gadgets, super-pouvoirs ne servent qu'a Imager son statut ; Batman, Punisher, Solo n'ont pas de pouvoir (les 2 derniers ont des flingues en guise de "gadgets" ), dans le jeu InFamous sur PS3, le héros n'a pas de costume (c'est un jeu ou le personnage à des pouvoirs et la narration est traité à la sauce comix, tous les tests le souligne). Bref, le reste n'est que détail.


Les jeux consoles sont très profonds dans leur reprise des mythologies ou même la création (final fantasy par exemple). Mais je ne connaissais pas InFamous (aucun rapport avec inglorious on s'en doute). Mais en bref, on peut encore s'appuyer sur ce qui est dit de Unbreakable (Hero, Unbeakable et Kill-Bill étant en fait un topic sérialisé sur le thème des super-heros). Ce film, qui n'est pas terrible point de vue action ou effets spéciaux explore assez sérieusement le thème qu'il se donne au départ : les comics en général.
 
Et en résumé dans les comics:

  • les superhéros sont des archétypes, et ce, avant même de se voir plongés dans une situation concrète (le coeur visqueux de Gotham) - situation d'ailleurs souvent un peu simpliste, en gros le gentil fait usage abondant des armes ou de tous moyens du même ordre en plus puissant, pour faire le travail de la police (enfin le plus souvent). Mais, et c'est ce qui fait leur exportabilité, ils ne sont pas qu'un modèle ancré dans le modèle sociale des Etats-Unis. Par exemple Batman est un "chevalier noir" comme on dit , et c'est ça qui marche plus que la ressemblance de Gotham city avec Chicago. C'est l'archétype du BalckAdder tout simplement :)


CastorTroy01 a écrit :


Elle embrasse une cause qu'elle ne peut quitter qu'en assumant une nouvelle : être mère qui est, d'une certaine manière, héroique. On reste dans "cette volonté". La vengeance est très souvent le moteur clairement identifier qui permet de transcender les personnages dans les films HK alors que les comics l'utilise pour aller "plus loin" (occidentalement, la vengeance est péjorative, sauf pour quelques pays de l'est bien entendue où la vengeance se transmet de génération en génération pour laver le nom de la famille, que reprend The Blade de Tsui Hark).


Oui la vandetta corse est strictement illégale :)  
Par contre je pense vraiment que Tarantino a voulu montré qu'on ne pouvait remplacer un instinct que par un autre (échange en caisse). L'instinct maternel est  effectivement héroïque.

Spoiler :

Mais pas forcément pacifique puisque pour assurer un avenir normal à sa fillette, la première chose que Béa fait , c'est de trucider le père...  [:cerveau dead]


The blade est un de mes films préférés parce que tout en valant ce qu'il vaut cinématographiquement , l'univers qui y est décrit est très fidèle à la mythologie à laquelle il se réfère, le genre vampire techno (dont j'ignore d'ailleurs l'historique, les japonais??). Je ne connais pas Tsui Hark!
 [:eddyglasgow]


Message édité par cappa le 08-01-2010 à 13:47:23

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Tester le 1er multisondage HFR ---> MULTISONDAGE.
n°21311616
CastorTroy​01
Posté le 24-01-2010 à 04:29:29  profilanswer
 

Mon post était un plussoyer ; parcontre il y a une mésentente sur ta dernière remarque : tu confonds The Blade de Tsui Hark avec Blade avec Wesley Snipe par Stephen Norrington. Si ce dernier est en lui-même une adaptation de comic book, il surfe avant tout sur la black-asia exploitation de l'époque. Le The Blade que je te cite, la version HK de 1995 du sabreur manchot chinois (bonne histoire culturelle du genre Guillaume Tell ou Robin des Bois du milieu concerné) où il est question de la vengeance à tout prix, quitte à sacrifier sa vie (dans le film, son amour(ette)) pour laver l'affront de la famille) ; d'où la référence à la culture de la vengeance des pays de l'est (Moldavie, Albanie selon "Nid de Guêpe" ).
En relisant la fin de ton post, en fait Blade mixe le visuel du japon (sabre, rites) avec l'action HK (donc chinoise : chorégraphie, ce que confirme avec le second : le maitre de la choré Corey Yuen).
 
A propos du Kubrick sortit au tournant, c'est le jeu d'incultes à son oeuvre : car c'est bien, ça fait hype auprès de l'ambassadeur mais sa marque n'a rien à voir avec le façonnage du cinéma en son temps. Il est un génie certes, mais aura moins marqué le cinéma que d'autres.

mood
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Posté le 24-01-2010 à 04:29:29  profilanswer
 

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