Reprise du message précédent :
« Lettre à . »  
 
Voila vous avez certainement rejoint Morphée au pays des rêves. Je donnerais n'importe quoi pour veiller sur votre sommeil. Attendre paisiblement à vos côtés le lever du jour, en ayant toute une nuit pour vous admirer, pour succomber à la douceur de votre visage, une nuit pour vous dire merci de vos sourires, une nuit pour envier l'homme de vos rêves, une nuit pour vous souhaiter de le rencontrer un jour... Si dans le futur j'ai l'immense chance de vivre un jour cette nuit féerique, je vous l'avoue, Seigneur, après j'aurais presque envie de croire en vous.  
Mon but n'est pas que tu tombes amoureuse de moi. Au fond de moi, je n'éprouve pas de plaisir plus grand que d'initier chez toi les prémices d'un rire, une envie profonde et irrésistible de vouloir te protéger, d'être votre éternel abonné, savoir se faire petit, voire invisible, quand sa princesse trouvera son prince.  
Quel plaisir de sentir son coeur battre comme un adolescent, de se rendre compte qu'à 20 ans on a encore le coeur d'un enfant, je pensais avoir perdu cette sensation, d'avoir la triste impression d'être devenu un adulte et d'aimer comme tel, avec de la passion mais surtout avec beaucoup de raison.  
Merci d'avoir donné une définition à tous ces mots : douceur, raffinement, élégance, charme, gentillesse...  
Vous avez un don, celui de provoquer le bonheur, merci de l'avoir utilisé à mes dépends. Je profite aveuglement de cet instant présent, égoïstement peut être..  
Si vous saviez comme je pense à vous, je ne vous veux que du bonheur mais je ne pense pas avoir votre don. Au plus profond de mon être, je n'éprouve que l'envie, celle de vous rendre heureuse.  
Ce texte peut vous paraître d'un romantisme assez désuet et je ne peux qu'acquiescer d'un signe de la tête mais pour ma défense, sachez qu'il est fruit d'une admiration débordante et sans limite pour la plus belle des princesses.  
A travers ces mots, c'est mon coeur qui parle, qui exprime ses sentiments, ni voyez aucune demande, comprenez par là qu'il vous remercie de ne plus être un volcan éteint.  
 
 
Merci  
Laurent  
 
« Quoique je fasses,  
Où que je sois  
Rien ne t'efface,  
Je pense a toi. »  
JJ-Goldman : Pas toi  
 
« Moi, je t'offrirais des perles de pluies venues de pays où il ne pleut pas.  
Je ferais un domaine où l'amour sera roi, où l'amour sera loi, où tu seras reine. »  
Brel : Ne me quitte pas  
 
« Je n'ai pas fait grand-chose dans ma vie  
A vrai dire une petite vie comme tout le monde  
Mais un jour j'ai rencontré ....ie  
Et par la même occasion la 8ème merveille du monde. »  
Laurent : Lettre à .  
 
 
Ps1 : C'était la touche poésie du site, c'est de moi et ceux qui critique, je vous merde.lol  
Ps2 : Ce texte peut vous servir à condition que votre copine aie un prénom qui termine en « ie »  
Ps3 : A posteriori ce poème marche, comprenne qui pourra. :-)  
Ps4 : Quelques mois plus tard, je lui en ai écrit un autre lorsqu'elle m'a quitté :  
 
« T'en va pas Ginette  
Où je t'éclate la tête  
Je sais que la vie est dure  
Raclure  
Mais qu'est ce que tu veux que j'y fasse  
Poufiasse  
Allez on fait la paix, reviens  
Boudin »  
   

Bleh, j'ai toujours été nul en pouasie, mais on va essayer.
Inspiré de la St Valentin pourrie que j'ai vécu...
 
 
La porte est refermée, je suis seul, il fait noir
Deux ans de vie commune emportés par le vent
Tant d'efforts engloutis dans cette sombre histoire
Et me voilà tout seul - grosjean comme devant.
 
Les bougies sont éteintes et les fleurs fanées
La vaisselle est restée cachée dans le placard
Les amoureux sourient à la nouvelle année
Alors que je me fais couler un vieux ricard.
 
Je finis la vodka et j'ouvre le Soho
Cinq mesures de rhum et une mesure d'eau
Assez d'alcool pour me permettre de dormir.
 
Lorsqu'elle revient enfin, pour se réconcilier
Je ne la rejoins pas, ému, sur le palier
Trop occupé que je suis à tout revomir.

> Le temps peu à peu passe,
> De cette vie je suis lasse,
> Car ce tic-tac dans mes pensées claque,
> Le temps m'avale et les remords m'attaquent,
> Ce bruit infernal signe du temps gaspillé,
> Et tant de moments de vie gâchés,
> Ceux que je n'ai pas vécu,
> Ceux auxquels j'ai cru ...
> Sombrant dans les bras de Morphée, je m'étonne
> A croire à toutes ces choses indescriptibles,
> Dont la symbiose avec moi sont incompatibles.
> L'éspérance n'est plus, pourtant j'entend sa voix qui résonne;
> Mais cette triste réalité m'a rattrapé,
> Et au beau milieu de ce rêve m'a happé ...
> Naïf je suis envers les sentiments,
> Je change, n'ai plus confiance et à moi-même me ment ...
> Mon humeur devient austère, l'amour m'attere
> L'amer m'entoure, et la mort m'attire
> Ma tare à mon tour est-elle d'être martyre ?
> Chercher la femme de ma vie est l'affaire à laquelle je m'affère ...
> Longue est la quête, et mince le résultat,
> Je ne pense ni ne veut ça,
> Mais par la force des choses le constat de lui-même s'impose :
> L'autre ne veut pas de moi, mes thérapies sont poésie et prose.
> Autrui me laisse croupir dans mon gouffre intérieur,
> A force de soupir le souffle d'espoir en moi se meurt.
> Je demeure inférieur et sous-fifre du bonheur,
> Je ne puis que souffrir car chez moi le rire est un leurre.
> Le vague à l'âme, teinté de cette sensation d'abandon,
> Les femmes, la vue du bonheur sont pour moi une sanction.
> De ce plaisir trop souvent privé,
> Je n'éprouve plus le désir et ne pense pas un jour pouvoir être aimé.
> Pourtant ELLE, c'est ma raison d'y croire,
> J'espère qu'elle m'aime, c'est mon symptôme d'espoir ...
> Je l'aime
 

un soir que je me faisais chier et que j'ai fini completement déprimé
 

J'ai déjà dit ailleurs que mes poèmes frisaient souvent l'inanité à force de vouloir faire 12 peids tout juste mais j'aimerais néanmoins exposer celui ci à la critique:
 
 Les Fleurs de Morina  
 
Là bas, très loin, dans la nuit où perle la lune,
En plein coeur des forêts à la fourrurre brune,
Se tient l'envoûtant domaine d'une immortelle.
C'est un chateau nimbé de magie qui ruisselle
De givre, de vigne vierge et de blanche brume
Tout alentour règnent de doux parfums d'agrumes
Dans les grands escaliers, mille fleurs odorantes
Grimpent et glissent et retombent. Lilas, amarantes,
Roses et pivoines embaument toutes les pièces,
Mais malheur à qui voit sourire la déesse !
 
 
PS: Morina est la déesse salve païenne de la mort et de l'hiver....
 

Grenouille Bleue a écrit: Bleh, j'ai toujours été nul en pouasie, mais on va essayer
Inspiré de la St Valentin pourrie que j'ai vécu...
 
 
Trop ivre pour caresser Erato
Pour picoler il n'est jamais trop tôt
Mais gare à la noyade au fond des bouteilles,
A la fin, t'aurais plus mal que sommeil ...
 
"Au diable le flacon pourvu qu'on ait
L'ivresse! "- un beau soir tu me sermonnais...
Je te renvoie la pareille, reptile.
Après la gerbe, on se tappe la bile  

J?te vois rigoler alors j?écris
Si tu t?en fou tant pis
Tu sais j?aime pas cette vie
Regarde j?sais rire moi aussi
Tu sais j?déconnais pas
J?ressentais vraiment de l?Amour pour toi
T?as pas cru en moi
Tu sais j?t?en veux pas
La vie c?est comme ça
J?pensais qu?j?allais plus rester là
Mais maintenant je sais pas
La Mort c?est quoi ?
Y en a qui disent qu?y a une seconde vie
Franchement j?en ai pas envie
J?te revois qui ris
Mais moi tu m?oublis ?
Regarde le passé
Tu me vois pas en train de pleurer ?
C?était pour toi tu sais
Que toutes ses larmes j?ai versé
Culpabilise pas
Tu vois le problème c?est ça
Tu t?inquiètes un peu pour moi
Tu sais c?que j?en dis moi ?
Putain laisse moi souffrir
Et continue de rire
J?pense pas qu?ça puisse être pire
Et oué je soupire
Parce que j?en peux plus
Putain tu m?a pas vu !
Putain tu m?a pas vu !
J?avais mis mon c?ur à nu
Mais j?veux pas de ta pitié
Putain tu le sais !
De la vie je suis lassé
Et toi tu m?as brisé
Pulvérisé dans l?infini
Maintenant j?te fuis
Maintenant c?est fini
Ma souffrance est infinie

 
 
Fracassez l'alexandrin, brisez du quatrin,
Brulez l'envers des mots, le diabolo des fins,
Refusez les prisons dorées, la place préparée,
Amis révoltons nous contre l'établi, ce parapet !
 
 

Madeleine de l'oiseau du matin,
Interro du prince renard verdurin,
St Ex se perdit un beau malin,
Proust se retrouva dans quatrin.
 
Dans le désordre,
 

trofub a écrit :
Fracassez l'alexandrin, brisez du quatrin,  
Brulez l'envers des mots, le diabolo des fins,  
Refusez les prisons dorées, la place préparée,  
Amis révoltons nous contre l'établi, ce parapet !  
 
 
 
 
Voila un dogme que je ne demandes qu'à suivre
Mais hors de ces frontières mes mots ne peuvent vivre.
Charmée depuis l'enfance par les vers balancés
De Rimbaud, Mallarmé et Théophile Gautier
Je ne sais pas faire vibrer et respirer la prose
Ni comme Prévert en faire une grande chose.
Je me cantonne vois tu à chercher de beaux mots
Et à composer des sonnets, ballades et rondeaux!
 
   
 
 

Les mots sont des vilains,
Ignobles hideux dédaigneux,
Refrain sans main sans liens,
Seule musique est à lisieux.
 
Maude, geneviève et liliane,
Laure, marie, hélène marianne,  
Les prénoms sont des belles,
A vrai dire je n'aime qu'elles.
 
 

Encore un poème pouri de moi...dslé
 
Toi qui lis ce poème dis moi c?que t?en pense
Tu peux bien me juger, tu sais j?m?en balance
C?est pas toi qui m?f?ra changer
Tu sais, chacun fais c?qu?il lui plait
Tu me trouves peut être dégueulasse
Putain ouvre les yeux
Regarde ce monde ça crève les yeux
Y a plus que d?l?argent et d?la haine ; c?est l?impasse
J?préfère encore crever que d?rentrer dans leur jeu
La démagogie c?est pas pour moi
Je sais c?est leur droit, c?est eux qui ont fixé les lois
Mais des lois d?injustice pour moi très peu
Putain t?énerve pas
Lis encore plus bas
L?Amour c?est quoi ?
L?Amour c?est souffrir pour toi
Allé, moi j?descends là
Continue sans moi
De toute façon ça changera pas
J?ai plus qu?à crever dans tes bras

 
Ce n'est pas de la poésie.
 
Dis ce que tu as à dire si tu veux mais ne le fais pas lire à des gens qui veulent de la poésie !

Tu le classe ds quoi?(dslé j'me suis perdu ds ce forum)

 
Ben.. Pas grand chose, hein, soyons honnêtes. Ce sont des pensées brutes et non mises en forme, ça n'a rien à faire dans le domaine de l'écrit.. Peut-être que tu devrais devenir rappeur - pour ma part, j'exècre le rap.
A bon entendeur..

La poèsie pour moi C ça faire partaG mes pensées..Ms ici C d'la poèsie classique tt le monde me rabbache la même chose

Enfin dslé ms je débute même si pas mal de monde se fou de ma gueule je continuerais un peu si G le temps

Je donne ma vie à la Mort ce monde est le plus fort
Je donne ma vie à la Mort je ne peux plus faire d?effort
Je donne ma vie à la Mort parce que je t?aime
Je donne ma vie à la Mort parce que toi ce n?est pas de même
Je donne ma vie à la Mort plus rien n?a d?importance
Je donne ma vie à la Mort puisqu?ici tout n?est que souffrance  
Je donne ma vie à la Mort pourvu qu?elle accepte
Je donne ma vie à la Mort pourtant j?ai toute ma tête
Je donne ma vie à la Mort parce que mon c?ur est blessé
Je donne ma vie à la Mort il ne se refermera jamais
Je donne ma vie à la Mort qu?elle en fasse ce qu?elle en veut
Je donne ma vie à la Mort ne plus te revoir et mon dernier v?u

Là C comment?Encore naz...Ben merde j'suis vmt qu'une brèle alors.Tant pis.

 
Ben.. Pour moi la poésie ce n'est pas que faire partager ses pensées.. Voire pas du tout. C'est juste la recherche de la beauté pure, l'art pour l'art en quelque sorte.

 
Tu vois c'est ça le truc...Chacun écrit pour ses propres raisons dans le risques d'être incompris.
 
De faire quelques vers je suis capable
Mais d'écrire la beauté pure bien incapable
Seul l'Amour m'inspire un peu
Mais ce qu'il inflige me jette sur le feu

voila ca c mon seul et unique poeme
ecri pendan une ptite deprime! lol
 
Le vent de la solitude  
Et le boureau sans lassitude  
Des feuilles de mon Esprit,  
Il s'active sans qu'on le prie  
D'un coup de lame  
Il tranche le calme  
Et couche mon Âme  
Je suis a terre, cherchant mon Arbre  
Mais les feuilles ont quitté le marbre  
Froid,  
j'avance car je ne suis plus le roi;  
Qui n'a jamais connu ce Vent?  
Vent des Âmes,  
Vent des larmes,  
 
 
..............

Un petit poeme extrait de mon site (clique sur petite maison...)  
 
 
LES PENSEES A TRAVERS LA PAROLE
 
OU LA PAROLE A TRAVERS LES PENSEES
 
ENFIN JE NE SAIS QUOI A TRAVERS QUOI...
 
 
 
J'en ai marre de ceux qui disent trop,
 
Qui ne pensent rien, eh oui,
 
J'en ai marre de ceux qui ne disent rien,
 
De ceux qui pensent trop,
 
Ils sont universels,
 
Mais j'en ai aussi marre de ceux qui ne disent rien,
 
Qui ne pensent rien,
 
Parce qu'ils ne sont rien.
 
Eh oui, j'en ai marre de ceux qui pensent trop,
 
De ceux qui disent trop
 
Parce qu'ils ne veulent pas être de trop.
 
 
 
Mais je pense trop,
 
Je dis trop,
 
Je me hais,
 
Alors, à quoi bon hair,
 
A quoi bon hair si on en a marre.
 
Eh oui, qu'en dites vous?
 
Qu'en pensez vous?
 
 
 
Eh oui, que c'est triste de penser...
 
Parce que l'on écrit trop...
 
 
 
 
Avis bienvenus, sur forum ou sur le site...  
 

J'aime,
 

TROUVE SUR INTERNET:
 
 
Telles les premières lueurs du soleil
Ta douceur me sort de mon sommeil
La exquise vision de ton visage
M’entraîne dans un tendre voyage
 
La première étreinte langoureuse
Au contact de ta peau soyeuse
Tel la promenade du bienheureux
Transporte tout mon corps dans les cieux
 
L’envoûtante vision de ton regard
Dissipe dans mes yeux le brouillard
L’esquisse de ton sourire enchanté
Apparaît tel un voile rose nacré
 
Le doux son de ton rire exalté
Excite l’envie de t’embrasser
Le plissement de tes yeux souriants
Evoque l’immense tendresse d’un instant
 
Chaque retrouvaille déchaîne mon émoi
Chaque enlacement m'attire vers toi
Chaque bisou stimule mon amour
Chaque regard fait fondre mon coeur
 
(ca c est beau)

 
     
 
un autre:
 
L'ETOILE
 
 
 
Ma belle étoile bleutée,
 
Voila que je me mets à courir
 
Vers la voie lactée,
 
Pour mieux t'entendre rire...
 
Je cours sur le pavé mouillé
 
Qui me renvoie ton image,
 
Noirs paysages
 
Égayés de tes reflets...
 
 
 
Et tout à coup, le choc,
 
Brutal, violent, la douleur.
 
Une fleche a transpercé mon coeur,
 
Le labourant tel un soc,
 
J'aurais mieux fait de me taire,
 
Tu n'étais qu'un lampadaire..
 
   
 

allez hop encore un extrait de mon site (lien ds la petite maison au dessus... )
 
 
L ' ARMURE
 
 
Tout n'est que ruines et chaos,
 
De la si belle pyramide
 
Il ne reste que des morceaux.
 
La vie à cédé la place au vide.
 
Tout est mort , dans ce monde qui fut si bien.
 
 
 
Mais regarde bien, ne vois tu rien?
 
Là, au milieu de cette mare rouge,
 
Il y a une armure qui bouge .
 
La voila qui se dresse, qui marche.
 
A son passage, tout le monde se cache,
 
Car elle n'épargne personne.
 
Pourquoi tant de cruauté?
 
Personne ne s'en étonne,
 
Tous cherchent à ne pas être tué.
 
 
 
N'entends tu pas, couvert par le vacarme du combat,
 
Ce bruit, ce bruit d'un coeur qui bat?
 
Un coeur? Mais alors sous l'armure, il y aurait un homme?
 
Et toi. qui croyais qu'il n'y avait personne!
 
Le voila qui vient vers toi,
 
Tu as soudain très froid.
 
Regardes, mais regardes donc ses yeux!
 
Regardes, si tu veux qu'il soit heureux!
 
 
 
Ils sont faits de pure lumière,
 
Ils scintillent comme des diamants,
 
Mais ce ne sont que de ternes miroirs,
 
Renvoyant ton image...
 
 
Merci de vos commentaires ou avis...  
 

 
Elle a dû penser que ça venait d'Oussama Ben Laden .

En voici un que j'ai fait pour Noël dernier, à l'attention d'une classe d'école.
 
 
 
 
 
 
    Voilà le joyeux bonhomme à la barbe blanche
    Qui déambule prestement sur la cime des toits,
    Chacun l’attend comme l’on attend dimanche,
    Dans son lointain royaume, les enfants sont rois.
 
    Son long traîneau de bois glisse sur le doux tapis du ciel,
    Les bougies d’argent s’illuminent, peu à peu, sur les tables,
    Dans chaque église, chaque foyer, ce soir on chantera Noël,
    Pour célébrer l’arrivée d’un petit être, né dans une étable.
 
    Au creux de la vieille cheminée et de l’âtre endormi,
    Les souliers vernis sont bien alignés l’espace d’un soir,
    Chaque bambin, blotti bien au chaud au fond de son lit,
    Rêve encore à sa secrète et belle lettre porteuse d’espoir.
 
    Une aube luminescente fait enfin naître en leurs yeux
    Des myriades d’étoiles colorées d’où la joie étincelle,
    Tout enfant du monde, en ce jour, a le droit d’être heureux,
    Pour que s’accomplisse, sur cette terre, la magie de Noël.

jme lance, alors :
 
Poèmes pour ma copine :
 
Tu es le soleil qui illumine ma vie,
La fleur qui me donne des couleurs.
 
Je commence à manquer d'air,
Il faut que je me libère.
 
Je n'ai qu'un mot à te dire,
Une chose à saisir.
 
L'amour que je porte pour toi,
Cette chose qui m'emporte vers toi.
 
Comme du sable fin,
Sur du papier peint.

 
Encore un pour ma cop :
 
Tu es l'élue de mon coeur,
Maintenant,je te connais presque par coeur,
Depuis le temps, je la ressens enfin,
Cette chose qui ne fait aucune pause,
Ce sentiment qui m'attire comme un aimant,
Cette émotion, remplie de pulsions,
Un amour aussi brûlant qu'un four,
qui me fait fondre de plaisir...
 
Poème sans destination :
 
Le monde d'aujourd'hui :
 
Là où je regarde, personne ne regarde...
Là où je vais, personne ne va...
Là où j'ouvre les yeux, personne ne les ouvrent...
Hyprocrites, menteurs, tel sont et resteront vos points forts !
Ne voyez-vous donc pas que vous vous mangez tous entres-vous ?
Pourquoi tant de haine et de violence ?
Pourquoi tant de mal et de souffrance ?
Des fois, on se demande si la vie existe vraimant...
Peut-être est-ce simplement une étape pour se préparer à la mort ?
Le seul risque que je prend moi, c'est celui de vivre !
 
 
Voilouuuu, j'en ai encore écris des autres mais ils sont trop " personnel " :s
 
eRz

Ami poète Bonjour    
 
qqun arriverait à me trouver une très jolie rime romantique(1 phrase), avec comme pour sujet:
 
"chaque matin, j'ai envie de voir ton si jolie visage"
 
svp, merci
 
 

 
Tous les matins, mes draps sont mouillés,
Tous les matins c'est un raz de marée,
Et sur le rivaaage, se dresse le phaaare,
Par tooon visage éclairé, Pom Pom.
 
( Chanté façon G. Brassens, pour un meilleur effet )  

Bon, soyez indulgents, c'est écrit entre deux cours au fond d'une classe :
 
Demain j'irais pleurer
Sur ta tombe seule  
Ces larmes qui veulent
Comme la pluie couler
 
Demain j'irais pleurer
J'ai perdu moi aussi
Une partie de vie
Qu'on ne peut remplacer
 
Demain j'irais pleurer
Sur ta beauté passée
Sur ma laideur restée
Qu'on ne peut oublier
 
Demain j'irais pleurer
Tu ne m'a jamais vu
Je ne t'ai peu connu
Mais assez pour t'aimer
 
Demain j'irais pleurer
La vie t'avais gatée
La mienne fut gachée
Car l'amour m'a brisé
 
Demain j'irais pleurer
Tu ne pouvais m'aimer
moi j'étais passionnée
Mais la vie m'a tué.

 
Mais euh comment dire ça va sinon ?

J'ai composé une dizaine de poèmes mais ils entrent souvent dans le cadre d'un texte, sont faits par un personnage dont il faut connaître l'histoire... Mh, voyons... En voici une qui ne nécessite pas d'avoir le contexte:
 
Guerre
 
Tourment, haine, rage et peur
Lourd châtiment pour cette erreur…
Sang glacé qui durci et fige,
Terreur qui ici me paralyse…
 
Mes sens me blessent et me tuent
En moi, tout c’est à jamais tu.
Douleur d’avoir déjà compris :
L’homme est son propre ennemi…
 
Valfang

Je tombe sur ce sujet par hasard, et hier en faisant le ménage dans mon classeur je retrouve de vieux poèmes écrit au début des années 70', à 14 ou 15 ans. Quel poète vieux jeu j'étais...  
 
Bref j'en récupère deux... sans prétention, les voici.
 
---
 
FEUILLES D'AUTOMNE
 
Feuilles d'automne
Belles et tristes
Comme un rite
Bien monotone,
 
J'aimerais tant
Pouvoir partir
Sans rien dire
Contre le temps,
 
Vous suivre vous
Dans vos sillons  
Des vents sans noms,
 
Oublier tout,
Pour connaître
La soif d'être.
 
 
 
---o---
 
 
 
PAUVRE NAVIRE
 
Regardez il chavire
Perdu dans l'ouragan!
Voyez-vous ce navire
Déchiré par les vents?
 
C'est celui de ma vie
Aux couleurs de l'espoir
Qui va sombrer ainsi
Dans d'injustes flots noirs.
 
Quelqu'un captera-t-il  
Son message de détresse
Près d'un port, près d'une île
Sur la mer maîtresse?
 
---o---
 
_____
 
N'ayez crainte, je vous fait grâce de mes autres poèmes encore plus approximatifs, c'est déjà suffisant de les conserver dans leur cerceuil de papier.
 
Ils attendent sagement le repos éternel.
...les poubelles!
 

un des rares texte sauvé d'un crash de disque dur
ca date d'il y a un bon moment quand meme ...
c'était un texte de chanson
 
 
Les souvenirs se rappellent à toi
Et reveillent ces bonheurs oubliés
De l'époque où nous étions roi
Et reine de notre monde imaginé.
 
Pour moi ces moments et images
Font désormais partie du passé
Mais toi tu te remets à lire les pages
De ce livre que tu avais pourtant fermé.
 
J'avais décidé d'oublier nos volumes
D'effacer à jamais ce qui fut notre histoire
Alors que je reprends pour une autre la plume
Tu fais tout pour ressurgir à ma mémoire.
 
Laisse moi donc gouter enfin au bonheur
Il est trop tard pour essayer de me reprendre
Une autre a vu quelle était ma valeur
C'était avant qu'il fallait me comprendre
 
S'il te plait il faut que tu m'oublie
Que tu referme à jamais ce passé
Laisse moi enfin écrire ma vie
Tant pis si la tienne est gachée.

bon aller hop un petit en live (ca vient au fur et à mesure que j'écris )
 
ne faite pas trop attention au rythme...ca change à un moment à cause de la musique (c'est texte de chanson)
 
Aux creux de tes mains
Le chagrin des hommes,
Les larmes de venins  
coulent le long de tes paumes.
 
Au creux de tes bras
L'enfer infini
basculent au trépas  
Les saveurs de la vie.
 
Aux creux de tes yeux
Les rêves se reflettent
Et se consument dans le feu
De ta froideur secrète.
 
Alchimiste des peines, tu transperce les coeurs
Mystique de la vie, tu déchires les âmes
Au milieu de ces pleurs
Juste ton rire de femme.
 
Et tant pis pour ce dieu
Qui t'a fait voir le jour
Je le maudit ce vicieux     (là je seche pour la rime)
De t'avoir conçu sans amour.
 
 
...........
 
voilà premier jet ca demande à etre rebossé

Ton dernier texte de chanson me semble très inspiré et je ne changerais rien à ton avant dernier vers, je le trouve bien dans le rythme et dans le sens.
 
Tu dois poursuivre... avec le poème juste avant on voit tout de suite que tu as une certaine facilité pour la poésie, alors vas-y mec!

Olympe et dieux du ciel,
Que rien ne change en elle,
Que rien n'alimente ses ailes,
Qu'elle soit belle Gabrielle.
 
Ange si profond et si démon,
Soit crapaud et mare d'eau,
Vautre toi dans fange d'Ô,
Imagine donc tous les tréfonds.