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  Houellebecq : le Forrest Gump de la littérature

 


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Auteur Sujet :

Houellebecq : le Forrest Gump de la littérature

n°24706806
sergeulesk​i
Posté le 25-11-2010 à 17:23:57  profilanswer
 


 
 
Un auteur c’est un plat qui se mange froid. Or, Houellebecq est un auteur froid. Aussi...
 
 
_________________________
 
 
Si "au commencement était le Verbe"...
 
 
Dans ses deux premiers titres - Extension du domaine de la lutte et Les particules élémentaires -, qu'est-ce que nous disait Michel Houellebecq (si d'aventure cet auteur tentait de nous dire quelque chose) ?
 
 
Ce chérubin semblait vouloir nous dire, avant de s'en désoler, qu'il vaut mieux être riche et beau (et puis, jeune aussi) quand on veut tirer (1) de belles nanas, que pauvre et laid.
 
 
Cette affirmation qui ne souffrira aucune contestation ferait donc de Houellebecq un grand écrivain doublé d'un grand moraliste.
 
 
Car, si Houellebecq avait été riche et beau à une époque où il ne l'était pas, il aurait bien évidemment et très certainement cherché à séduire des filles pauvres et laides...
 
 
C'est donc ça ?
 
 
Alors maintenant, à quand un auteur mais... de génie celui-là, qui nous expliquera, contre toute attente, combien il est préférable d'être issu d'une catégorie sociale dite "privilégiée" plutôt que d'appartenir à une catégorie sociale dite "défavorisée" ? (défavorisée ????? Qualificatif outrageusement euphémisant quand on constate l'ampleur des dégâts sur cette classe) quand on veut, non seulement séduire de belles nanas, mais aussi et surtout, se faire une place au soleil...
 
 
A quand cet auteur de génie ? Parce que... bon... on s'impatiente là !
 
 
 
1-Tirer des nanas : oui parce que... Houellebecq, les nanas, il voulait les tirer, c'est tout. Et elles ne s'y sont pas trompées bien sûr ! Elles qui ne supportent pas, lorsqu'elles en ont besoin, qu'on leur dise qu'elles en ont envie et vice versa. Mais ça................... Houellebecq l'ignorait.
 
 
 
***
 
 
Plus tard, avec un titre comme Plateforme, et dernièrement avec "La Possibilité d'une île" et "La carte et le territoire", il semblerait que Houellebecq ait souhaité élargir quelque peu son champ de vision et qu'il se soit décidé à nous donner des nouvelles du monde.
 
 
Si Houellebecq connaît réellement notre monde contemporain (2), et si on oublie un moment une inspiration souvent absente ou poussive, force est de constater que les informations de l'auteur à ce sujet semblent avoir pour sources principales, sinon unique, le journal de 20H (TF1 ou France 2, c'est au choix), les émissions de Delarue, Envoyé Spécial pour s'être attardé devant son écran (somnolant ?), et maintenant qu'il est en Espagne : TV5 ; ce qui, tout le monde en conviendra, n'arrangera rien, bien évidemment.
 
 
2 - Houellebecq est un auteur très approximatif, un auteur très vague ! Aussi, gare au mal de mer ! Et manifestement, cela ne gêne personne puisque dans le milieu littéraire tout le monde triche et bâcle : auteurs, éditeurs et critiques. Qui s'en plaindra ? Sûrement pas les lecteurs, nous affirme-t-on.
 
Tout comme il a une vague idée de la science fiction et des sectes dans "La possibilité d'une île", dans son dernier titre Houellebecq a juste une vague, très vague idée du fait que l'art contemporain n'est, le plus souvent, qu'une vaste fumisterie sans talent ; mais il ignore le plus important : c'est une fumisterie très sérieuse à la racine de laquelle on trouvera des individus (artistes, mon cul !) sans humour qui se préoccupent de tout et qui ne plaisantent sur rien ; ce qui aggrave sensiblement leur cas à tous - rien à voir donc avec la démarche d'un Marcel Duchamp.
 
Et les interviews de l'auteur n'arrangent rien. De là à penser qu'il ne faut ni lire ni écouter Houellebecq si l'on ne veut pas douter de lui et de ceux qui n'ont de cesse de nous signifier qu'il est irremplaçable...
 
 
 
***
 
 
Mais alors...
 
 
A prendre ou à laisser Houellebecq  ? Un Houellebecq qui est à l'écrit ce que Mylène Farmer est à la musique et à la danse (on me dit que tous les deux partagent le même fans-club !)...
 
 
Au diable la culpabilité !
 
 
Vraiment ! Sans regret et sans remords, on doit pouvoir laisser Houellebecq ainsi que les fossoyeurs de la littérature qui l'ont promu au rang d'auteur (3) qu'il faut avoir lu sous peine d'être frappé d'inconséquence ou de nullité, là où ils ne seront jamais, à savoir : dans un lieu qui ressemble fort à un avenir car, il y a des auteurs qui savent voir loin et acheminer l'attention de leurs lecteurs plus loin encore, et surtout, là où personne ne peut décemment souhaiter être  mené : à tous les drames et à toutes les tragédies, nous tous glacés d'effroi, face au pire.
 
 
En revanche - et on l'aura compris -, Houellebecq ne nous mènera guère plus loin que dans sa salle de bains qu'il ne fréquente que rarement, pour une douche qu'il ne se résoudra jamais à prendre en gosse mal léché, difficile et laborieux quant à l'acquisition des apprentissages de la petite enfance... et sur son pot aussi, lieu de toutes les rétentions, en pré-ado attardé...
 
 
Et ce, alors que le monde d'aujourd'hui et de demain a et aura besoin de titans !
 
 
3 - Auteur d’un intérêt plus sociologique que littéraire (absence de style ; aucun travail sur la langue)… nous affirme-t-on, comme pour s'excuser ; même si, en toute bonne foi, il semblerait qu’il n’y ait pas que des imbéciles pour affirmer que « Houellebecq, c’est important !»
 
 
En effet, Houellebecq n’aura-t-il pas été le premier à donner une voix aux laissé-pour-compte… non pas économiques mais sexuels ? Préoccupation éminemment de droite (famille de pensée de Houellebecq : choix effectué pour emmerder une mère, la sienne, qui était beatnik) car, pour ce qui est de la gauche, moche ou pas, elle n’a jamais eu de problème de ce côté-là : les ouvriers et les militants ont toujours beaucoup baisé, gratis qui plus est, et pas qu’avec des moches. Dans ce milieu, la gauche donc, les femmes sont fraternelles et compatissantes, alors qu’à droite, les femmes sont mesquines, rétentrices et arrivistes (on couche et on se marie « utile ») ; c’est la raison pour laquelle la bourgeoisie a toujours tissé et entretenu avec la prostitution des liens très très étroits (pour bien faire : les maquereaux sont notoirement de droite et les prostitués aussi ; ou bien apolitiques, ce qui revient au même), considérant comme un fatalité le fait de devoir débourser, quand on est moche et sans un sou, quelque argent pour avoir droit à deux minutes d’affection, sinon d’hygiène…
 
 
Jusqu’au jour où un Houellebecq décide de se révolter contre cette fatalité tarifée, prenant par la même occasion le féminisme comme bouc émissaire : « Si les nanas ne veulent pas de moi, c’est pas parce que je suis moche, pauvre et de droite mais… parce qu’elles ne baissent plus, ou alors, qu'entre elles ; et quand elles baissent avec le sexe opposé ; c'est avec des minés !»
 
 
Doit-on pour autant conclure que le fan-club de cet auteur serait majoritairement composé d'hommes "imbaisables" (ou pour le dire autrement : "d'hommes non compétitifs sur le marché d'une offre sexuelle apriori non tarifé), un peu à l'image de leur star qu'est Houellebecq ? Fan-club tel un écho involontaire des propos tenus contre le mouvement féministe en son temps : "Toutes des mal-baisées, ou pas baisées du tout parce que... imbaisables !"
 
 
 
Autre face de la même pièce, même caricature que cette agitation admirative autour de Houellebecq ?
 
 
A vérifier donc. Si ses fans pouvaient se montrer un peu !
 
 
 
***
 
 
 
Il faut le savoir : un auteur digne de ce nom, un auteur qui se respecte, se doit d'être sale à l'intérieur mais... impeccablement mis à l'extérieur, un auteur au linge irréprochable ; et à ça, Houellebecq ne s'y résoudra jamais !
 
 
Oui ! Propre à l'extérieur et sale à l'intérieur car, porteur de toutes les ignominies dont notre espèce est capable cet auteur ! Jusqu'à ce que... une fois la morale évacuée ou expurgée, il ne reste plus que des hommes, femmes, enfants, vieillards, pères, mères, soeurs, frères, filles, fils, bourreaux et victimes, eux tous terrés au fond d'un gouffre, les yeux tournés vers le ciel, et la nuit, les étoiles, à la recherche d'une lumière rédemptrice pour les plus coupables d'entre eux, et consolatrice, pour les plus humbles, face à un lecteur non seulement témoin mais... acteur, incarnant pour l'occasion...
 
 
Le dernier des hommes.
 
 


---------------
Mon blog littérature et écriture http://sergeuleski.blogs.nouvelobs.com
mood
Publicité
Posté le 25-11-2010 à 17:23:57  profilanswer
 

n°24706827
Rasthor
Posté le 25-11-2010 à 17:26:25  profilanswer
 

J'ai bien aime son essai sur Lovecraft. [:dawa]
http://www.renaud-bray.com/ImagesEditeurs/PG/1104/1104835-gf.jpg

n°24753537
sandman95
Posté le 30-11-2010 à 08:27:03  profilanswer
 

sergeuleski a écrit :


 
 
Un auteur c’est un plat qui se mange froid. Or, Houellebecq est un auteur froid. Aussi...
 
 
_________________________
 
 
Si "au commencement était le Verbe"...
 
 
Dans ses deux premiers titres - Extension du domaine de la lutte et Les particules élémentaires -, qu'est-ce que nous disait Michel Houellebecq (si d'aventure cet auteur tentait de nous dire quelque chose) ?
 
 
Ce chérubin semblait vouloir nous dire, avant de s'en désoler, qu'il vaut mieux être riche et beau (et puis, jeune aussi) quand on veut tirer (1) de belles nanas, que pauvre et laid.
 
 
Cette affirmation qui ne souffrira aucune contestation ferait donc de Houellebecq un grand écrivain doublé d'un grand moraliste.
 
 
Car, si Houellebecq avait été riche et beau à une époque où il ne l'était pas, il aurait bien évidemment et très certainement cherché à séduire des filles pauvres et laides...
 
 
C'est donc ça ?
 
 
Alors maintenant, à quand un auteur mais... de génie celui-là, qui nous expliquera, contre toute attente, combien il est préférable d'être issu d'une catégorie sociale dite "privilégiée" plutôt que d'appartenir à une catégorie sociale dite "défavorisée" ? (défavorisée ????? Qualificatif outrageusement euphémisant quand on constate l'ampleur des dégâts sur cette classe) quand on veut, non seulement séduire de belles nanas, mais aussi et surtout, se faire une place au soleil...
 
 
A quand cet auteur de génie ? Parce que... bon... on s'impatiente là !
 
 
 
1-Tirer des nanas : oui parce que... Houellebecq, les nanas, il voulait les tirer, c'est tout. Et elles ne s'y sont pas trompées bien sûr ! Elles qui ne supportent pas, lorsqu'elles en ont besoin, qu'on leur dise qu'elles en ont envie et vice versa. Mais ça................... Houellebecq l'ignorait.
 
 
 
***
 
 
Plus tard, avec un titre comme Plateforme, et dernièrement avec "La Possibilité d'une île" et "La carte et le territoire", il semblerait que Houellebecq ait souhaité élargir quelque peu son champ de vision et qu'il se soit décidé à nous donner des nouvelles du monde.
 
 
Si Houellebecq connaît réellement notre monde contemporain (2), et si on oublie un moment une inspiration souvent absente ou poussive, force est de constater que les informations de l'auteur à ce sujet semblent avoir pour sources principales, sinon unique, le journal de 20H (TF1 ou France 2, c'est au choix), les émissions de Delarue, Envoyé Spécial pour s'être attardé devant son écran (somnolant ?), et maintenant qu'il est en Espagne : TV5 ; ce qui, tout le monde en conviendra, n'arrangera rien, bien évidemment.
 
 
2 - Houellebecq est un auteur très approximatif, un auteur très vague ! Aussi, gare au mal de mer ! Et manifestement, cela ne gêne personne puisque dans le milieu littéraire tout le monde triche et bâcle : auteurs, éditeurs et critiques. Qui s'en plaindra ? Sûrement pas les lecteurs, nous affirme-t-on.
 
Tout comme il a une vague idée de la science fiction et des sectes dans "La possibilité d'une île", dans son dernier titre Houellebecq a juste une vague, très vague idée du fait que l'art contemporain n'est, le plus souvent, qu'une vaste fumisterie sans talent ; mais il ignore le plus important : c'est une fumisterie très sérieuse à la racine de laquelle on trouvera des individus (artistes, mon cul !) sans humour qui se préoccupent de tout et qui ne plaisantent sur rien ; ce qui aggrave sensiblement leur cas à tous - rien à voir donc avec la démarche d'un Marcel Duchamp.
 
Et les interviews de l'auteur n'arrangent rien. De là à penser qu'il ne faut ni lire ni écouter Houellebecq si l'on ne veut pas douter de lui et de ceux qui n'ont de cesse de nous signifier qu'il est irremplaçable...
 
 
 
***
 
 
Mais alors...
 
 
A prendre ou à laisser Houellebecq  ? Un Houellebecq qui est à l'écrit ce que Mylène Farmer est à la musique et à la danse (on me dit que tous les deux partagent le même fans-club !)...
 
 
Au diable la culpabilité !
 
 
Vraiment ! Sans regret et sans remords, on doit pouvoir laisser Houellebecq ainsi que les fossoyeurs de la littérature qui l'ont promu au rang d'auteur (3) qu'il faut avoir lu sous peine d'être frappé d'inconséquence ou de nullité, là où ils ne seront jamais, à savoir : dans un lieu qui ressemble fort à un avenir car, il y a des auteurs qui savent voir loin et acheminer l'attention de leurs lecteurs plus loin encore, et surtout, là où personne ne peut décemment souhaiter être  mené : à tous les drames et à toutes les tragédies, nous tous glacés d'effroi, face au pire.
 
 
En revanche - et on l'aura compris -, Houellebecq ne nous mènera guère plus loin que dans sa salle de bains qu'il ne fréquente que rarement, pour une douche qu'il ne se résoudra jamais à prendre en gosse mal léché, difficile et laborieux quant à l'acquisition des apprentissages de la petite enfance... et sur son pot aussi, lieu de toutes les rétentions, en pré-ado attardé...
 
 
Et ce, alors que le monde d'aujourd'hui et de demain a et aura besoin de titans !
 
 
3 - Auteur d’un intérêt plus sociologique que littéraire (absence de style ; aucun travail sur la langue)… nous affirme-t-on, comme pour s'excuser ; même si, en toute bonne foi, il semblerait qu’il n’y ait pas que des imbéciles pour affirmer que « Houellebecq, c’est important !»
 
 
En effet, Houellebecq n’aura-t-il pas été le premier à donner une voix aux laissé-pour-compte… non pas économiques mais sexuels ? Préoccupation éminemment de droite (famille de pensée de Houellebecq : choix effectué pour emmerder une mère, la sienne, qui était beatnik) car, pour ce qui est de la gauche, moche ou pas, elle n’a jamais eu de problème de ce côté-là : les ouvriers et les militants ont toujours beaucoup baisé, gratis qui plus est, et pas qu’avec des moches. Dans ce milieu, la gauche donc, les femmes sont fraternelles et compatissantes, alors qu’à droite, les femmes sont mesquines, rétentrices et arrivistes (on couche et on se marie « utile ») ; c’est la raison pour laquelle la bourgeoisie a toujours tissé et entretenu avec la prostitution des liens très très étroits (pour bien faire : les maquereaux sont notoirement de droite et les prostitués aussi ; ou bien apolitiques, ce qui revient au même), considérant comme un fatalité le fait de devoir débourser, quand on est moche et sans un sou, quelque argent pour avoir droit à deux minutes d’affection, sinon d’hygiène…
 
 
Jusqu’au jour où un Houellebecq décide de se révolter contre cette fatalité tarifée, prenant par la même occasion le féminisme comme bouc émissaire : « Si les nanas ne veulent pas de moi, c’est pas parce que je suis moche, pauvre et de droite mais… parce qu’elles ne baissent plus, ou alors, qu'entre elles ; et quand elles baissent avec le sexe opposé ; c'est avec des minés !»
 
 
Doit-on pour autant conclure que le fan-club de cet auteur serait majoritairement composé d'hommes "imbaisables" (ou pour le dire autrement : "d'hommes non compétitifs sur le marché d'une offre sexuelle apriori non tarifé), un peu à l'image de leur star qu'est Houellebecq ? Fan-club tel un écho involontaire des propos tenus contre le mouvement féministe en son temps : "Toutes des mal-baisées, ou pas baisées du tout parce que... imbaisables !"
 
 
 
Autre face de la même pièce, même caricature que cette agitation admirative autour de Houellebecq ?
 
 
A vérifier donc. Si ses fans pouvaient se montrer un peu !
 
 
 
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Il faut le savoir : un auteur digne de ce nom, un auteur qui se respecte, se doit d'être sale à l'intérieur mais... impeccablement mis à l'extérieur, un auteur au linge irréprochable ; et à ça, Houellebecq ne s'y résoudra jamais !
 
 
Oui ! Propre à l'extérieur et sale à l'intérieur car, porteur de toutes les ignominies dont notre espèce est capable cet auteur ! Jusqu'à ce que... une fois la morale évacuée ou expurgée, il ne reste plus que des hommes, femmes, enfants, vieillards, pères, mères, soeurs, frères, filles, fils, bourreaux et victimes, eux tous terrés au fond d'un gouffre, les yeux tournés vers le ciel, et la nuit, les étoiles, à la recherche d'une lumière rédemptrice pour les plus coupables d'entre eux, et consolatrice, pour les plus humbles, face à un lecteur non seulement témoin mais... acteur, incarnant pour l'occasion...
 
 
Le dernier des hommes.
 
 


 
Je n'ai lu qu'un seul Houellebecq, ça m'a gonflé, comme d'autres auteurs avant lui.
Quand on aime pas on passe à autre chose, il y a quand même assez d'auteurs sur terre pour ne pas perdre son temps à lire ceux qu'on aime pas, non ?


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