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Auteur Sujet :

[Topic écriture alternatif n°9] Nouvelle du rude hiver Nouveau sujet !

n°17513498
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 11-02-2009 à 12:01:10  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
Tu peux encore :o


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n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
mood
Publicité
Posté le 11-02-2009 à 12:01:10  profilanswer
 

n°17513976
Noyeb
Posté le 11-02-2009 à 13:03:46  profilanswer
 

j'avais déja une etoile ici ! j'ai juste pas eu le temps pour l'instant mais c'est gentil de penser à moi [:draculax]


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Ca vous plait ? |  
n°17514677
stipey
you can't buy me on e-bay...
Posté le 11-02-2009 à 14:13:27  profilanswer
 

pas l'temps, pas l'temps...
c'est pas parce que t'as une étoile et des gens qui pensent à toi que tu peux te permettre le shoah dans la date.
 
[:pingouino]


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Le scrabble ça existerait pas, je m'en serais même pas rendu compte
n°17514769
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 11-02-2009 à 14:19:46  profilanswer
 

Mazette ! Tof !


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n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
n°17515368
Noyeb
Posté le 11-02-2009 à 15:07:34  profilanswer
 

[:pachyderme]  [:gebreugg]


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Ca vous plait ? |  
n°17524057
nixnbk
Strip the flesh salt the wound
Posté le 12-02-2009 à 12:20:08  profilanswer
 

on appelle ça un appeau :o


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I'll feed your skin snacks to my cockatiel!
n°17525294
Popoll
J'aime les gens bons !
Posté le 12-02-2009 à 14:18:51  profilanswer
 

Si Dieu me prête vie ou 500 balles jusqu'à samedi soir, j'enverrai ma participation.  
 
 :hello:  
 
Oui, je sais, tout le monde s'en fout...  :na:


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Saucisson, son son, les petites marionnettes.
n°17525688
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 12-02-2009 à 14:46:22  profilanswer
 

Mais pas du tout [:mullet]


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n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
n°17526626
Popoll
J'aime les gens bons !
Posté le 12-02-2009 à 16:01:26  profilanswer
 

J'ai lu la prose de nixnbk et stipey, les Starsky et Hutch d'HFR... et comme j'apprécie ce qu'ils écrivent (mais pas trop souvent, hein, il ne faut pas qu'ils prennent la grosse tête...  [:cambronne3] ), je garde un oeil sur ce topic.  :)


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Saucisson, son son, les petites marionnettes.
n°17533203
SunnyD
forceur vélocipédique
Posté le 13-02-2009 à 10:23:25  profilanswer
 

Zut, on approche dangereusement du 2 février.
Je suis à court de whisky d'imagination.  
Je vais faire les courses ce soir, je sens que la prose me viendra.

mood
Publicité
Posté le 13-02-2009 à 10:23:25  profilanswer
 

n°17533471
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 13-02-2009 à 10:52:50  profilanswer
 

Moi aussi \o/


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n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
n°17533589
nixnbk
Strip the flesh salt the wound
Posté le 13-02-2009 à 11:02:12  profilanswer
 

j'ai hâte de lire vos belles proses  [:sunset rider]


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I'll feed your skin snacks to my cockatiel!
n°17533927
SunnyD
forceur vélocipédique
Posté le 13-02-2009 à 11:27:39  profilanswer
 

Ne sois point pressé, il faut un zest de patience. Je vous tiendrai au jus, sauf pépin.
 
edit : le pépin n'a pas eu lieu, la pépite est en cours, mais manque de carburant également.


Message édité par SunnyD le 14-02-2009 à 03:50:46
n°17548593
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 14-02-2009 à 19:17:01  profilanswer
 

Merci beaucoup :)


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n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
n°17559679
nixnbk
Strip the flesh salt the wound
Posté le 16-02-2009 à 10:32:55  profilanswer
 


C'est plutôt bien écrit :)
Par contre je m'insurge :o  
Le reblochon ne pue pas :o
 


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I'll feed your skin snacks to my cockatiel!
n°17559768
stipey
you can't buy me on e-bay...
Posté le 16-02-2009 à 10:41:30  profilanswer
 

p'tain, cette femme est folle :D
 
mais j'aime beaucoup cette folie... maitrisée. :o


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Le scrabble ça existerait pas, je m'en serais même pas rendu compte
n°17563773
talbazar
morte la bête, mort le venin
Posté le 16-02-2009 à 16:49:24  profilanswer
 

se brider est une manière de serrer les fesses.
Il n'est pas encore dix sept heures, je peux.

n°17563804
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 16-02-2009 à 16:51:37  profilanswer
 

Tiens vous voilà. Chic alors.


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n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
n°17580217
Krapaud
Posté le 18-02-2009 à 11:39:33  profilanswer
 

Spoiler :

Dans le square les arbres sont couchés, le poids de la neige les assomme, les écrase. Le bois résiste, craque, un bruit qui fige les imprudents et les contraint au détour.
Dans son salon, la famille se presse autour de l'âtre, doux ami d'un hiver qui s'étire. Ils attendent le patriarche, homme bourru, devenu bûcheron quand il a découvert les images de la conquête spatiale. D'abord Youri Gagarine, enserré dans sa combinaison d'étoiles, puis Neil Armstrong, gambadant sur un rocher nu. Depuis ce jour il rêve d'une terre à l'image de son satellite, et il taille à tour de bras.
L'hiver lui rend service, il sectionne, élague, condamne tout ce qui craquèle un tant soit peu.
Marie, sa femme, s'inquiète de son retard. Le reblochon n'est plus qu'une flaque informe. Elle lui envoi un SMS, il serait temps d'en cesser avec son obession et de s'occuper de son foyer. Quelques braises subsistent dans la cheminée, mais elle se refuse à affronter le vent glacial pour remplir son panier de bûches. Il rentrera ses trophées de guerre. Tant qu'il n'arrive pas entre la poire et le fromage...
 
Mais Joseph, ce rude gaillard, n'a que faire de sa progéniture, de sa femme. Il est pantois devant le maire qui refuse de le laisser tronçonner les arbres du square.
- "les fondements sont sains, ils vont se rétablir au dégel".
Les magnifiques pommiers ploient, le vent ne faisant même plus onduler les petites branches. La nature est figée, les arbres sont pétrifiés, et pourtant Joseph, pantelant de rage, se refuse à tolérer l'affront du maire.
 
Le maire entame un plaidoyer vindicatif, congédie Joseph et poste deux gendarmes autour du square. Sait-on jamais.
Joseph est amer lorsqu'il rentre chez lui. Marie, entourée de ses deux fils, ne lui prête aucune attention. Il a oublié de remplir le panier de bûches. Il le sent, elle est furieuse. Sa manie devient un fardeau qu'elle tolère difficilement, et l'hiver s'éternise.
Yvan, le petit dernier, chevauche le banc de la grande table du séjour. Il n'a que faire des simagrées de ses parents et attend furieusement que le feu soit ranimé, ses mains bien repliées dans ses manches.
Joseph rebrousse chemin, claque la porte.
Il fulmine quelques minutes en chargeant le panier d'osier.
- "Les dés sont pipés! Foutus écolos qui ne comprennent rien à rien! Ces arbres sont une vraie plaie, sans eux, la terre serait un havre de paix, silencieuse et douce, comme la lune!"  
Il lève les yeux au ciel quelques instants, puis il se calme.
 
Lorsque Joseph rentre dans le séjour, Marie toujours furibonde, ne lève pas la tête. Elle est affairée à son crochet et ne veut pas aller à la confrontation. Elle connait son mari et sait qu'il est inutile de le raisonner. Pourtant, il est étrangement calme. Ce n'est pas son genre de se faire étaler à plate coutures. L'aurait-elle battu cette fois?
Elle se lève, lui prend la main tandis qu'il alimente le feu éteint. Mais elle se ravise lorsqu'elle devine son sourire et les complications qu'il implique. Il va faire un mauvais coup, elle le sent.
 
La neige tombe lorsque Joseph ouvre la porte du cagibis. Son fils ainé le suit dans ses pas. Ils glissent sans un bruit, s'équipent. Joseph a attendu que Marie s'endorme vraiment. Elle a pourtant veillé, ce qui l'a copieusement agacé, mais heureusement l'a empêché de s'assoupir. Le froid leur pique les joues tandis qu'ils marchent vers le square. Edgar, le fils de Joseph, porte une énorme scie qui ploie sous son propre poids. Il peine, mais n'ose dire un mot à son père. Joseph qui force le pas, se rend compte du fardeau sur les épaules du gamin et lui explique :
- "on n'emmène pas des saucisses quand on va à Francfort... ces arbres sont d'un autre bois, et la tronçonneuse réveillerai les voisins!"
 
Les arbres en vues, Joseph est excité comme un gamin devant la grande roue et les auto-tamponneuses, son regard brille tandis qu'il défait sa lourde chemise et retrousse ses manches.
Face à face, ceignant le large tronc, ils rament dans un océan de sciure. La grande scie gondole sous les assauts des deux gaillards. Le vent fait siffler la scie.
 
Joseph, trop affairé, n'entend pas Marie qui s'est glissé derrière lui. Edgar, ivre d'effort, les yeux exorbités, les mains rougies et le souffle court n'a pas le temps de prévenir son père. Marie lui assène un coup de dictionnaire sur le crâne.
La première attaque est inopérante, Joseph, fou dans son effort continue de tirer la scie, crachant une écume maladive. Puis il s'écroule, terrassé par une seconde salve.
Le calme revient dans le square où quelques fenêtres s'étaient éclairées.
Edgar aide Marie a tracter Joseph, inconscient jusqu'à la brouette qu'elle avait amenée.
 
Au réveil, l'hématome de Joseph lui rappelle sa difficile fin de nuit. Il est comateux, hagard. Soulagé de voir Marie se tenir devant lui, un mouchoir humide entre les mains.
Elle rit bruyamment quand il s'étonne de sa hargne.
- "Ne t'avises pas de recommencer, la prochaine fois je sors la seringue".
La vétérinaire a le choix des armes, Joseph le sait. Il s'en tire à bon compte.


Message édité par Krapaud le 18-02-2009 à 16:35:18
n°17580354
darage
Lurke je suis ta paire
Posté le 18-02-2009 à 11:49:44  profilanswer
 

Bon pas mal de recyclage d'un truc dejà écrit, mais remis a la sauce de ce topak essentiel !  
 

Spoiler :

Dans le square les arbres sont couchés, C’était un de ces soirs de fin d'hiver, ou la tombée de la nuit coïncide avec la fin de la journée de travail.
Justement ma journée de travail avait été rude, ma tête était pleine et j’éprouvait le désir de la vider dans quelques verres plus ou moins alcoolisés. Je décidai donc de faire un crochet et passer prendre Jenny afin d’aller boire un verre quelque part. Jenny et moi sommes amis depuis que nous sommes enfants. Elle m’avait envoyé un sms ce matin dans lequel je l'ai sentie un peu déboussolée. Ce serait l’occasion de discuter, rien de tel pour oublier ses petits soucis quotidiens que d’aider ceux que l’on aime à résoudre les leur.
Quand je suis arrivé chez elle, Rue Gargarine Jenny semblait assez nerveuse. Je me suis dit qu’un verre lui ferait également du bien.
- On va boire un coup ? je lui ai demandé en mettant mon pouce vers le haut comme pour mimer une bouteille..
Hésitante elle me répondit :
 
- Euh, j’ai pas trop le temps ce soir il faut que je fasse du ménage…
Mon regard fit une rotation de 180 ° et je constatais que son appartement était nickel. Je lui ai dit :
 
- Oh toi tu me caches quelque chose…. Qu’est ce qui ne va pas ?
- Non tout va bien…au contraire !
Terminant sa phrase son teint est devenu rouge écarlate, et affublé d’un sourire à moitié coupable.
Face à mon regard qui mêlait interrogation et curiosité, elle continua :
 
- Et bien voilà, j’ai rencontré quelqu’un… et je suis tombé amoureuse…
 
Bien que la considérant comme ma petite sœur je n’ai jamais voulu interférer dans la vie sentimentale de Jenny. Mon visage s’éclairant d’un grand sourire je lui ai répondu, agrémenté d’un clin d’œil complice :
- ah je comprends mieux : tu as probablement rendez vous avec lui, plus tard, j’espère juste qu’il te mérite
Et en me dirigeant vers la porte j’ajoutai :  
- Je te laisse je ne voudrais pas créer de malentendu.
- Mais non je ne l’ai pas encore rencontré !
J’ai lâché la clanche que j’avais déjà en main et mon regard se fit encore plus interrogateur qu’auparavant.
- je l’ai connu sur Internet, il est si doux si charmant… il s’appelle David, il est intelligent, je l’aime tant…
J’avais l’impression que j’aurais pu la laisser comme ca pendant des heures réciter des louanges pour son nouvel amoureux, je la sentais comme hypnotisée, vulnérable.
Je les connais bien les dragueurs virtuels des forums de discussion,on emmène pas de saucisses quand on va a Francfort, il est si facile de tricher, en se cachant derrière des pseudonymes. Je sais Jenny si sensible, si fragile… il fallait que je la mette en garde.
 
- Mais comment peux tu tomber Amoureuse d’un type que tu ne connais pas, m’écriai – je ? quelle imprudence !
- Si je le connais, les fondements sont sains, il est si courageux, si entier…
Je la coupai à nouveau : Connais tu au moins son nom, son boulot ?
- Il s’appelle David, David Brown, il conduit des locomotives, il est si fort… et à la fois si romantique, si fin…
J’ai préféré ne pas insister et suis parti en colère, laissant Jenny, à ces litanies.
Sur le chemin du bistrot je pestait en imaginant la tête du « Roméo » De Jenny, je l’imaginais, petit, maigrichon, boutonneux, équipé de lunettes en cul de bouteille, enfin le stéréotype de l’informaticien, à peine post pubère, ayant passé la moitié de sa vie à aimer les machines car il n’aimait ni les gens ni les chiens, et que la solitude maintenant devenue trop pesante pousse à chercher l’âme sœur dans les salons de rencontre dont regorge Internet.
Bien que n’approuvant pas de particulière jalousie, ce n’était pas à proprement parler l’ami idéal que j’aurais pu souhaiter à Jenny.
 
L’entrée dans le bar dissipa assez rapidement ma colère, c’était un de ces endroits assez bas de plafond, enfumé ou les gens parlent haut et fort, ou les effluves d’alcool se mêlent à celle de la sueur, un endroit ou l’on sent la vie qui coule doucement. D’une table au fond émanait des résonances de fête, probablement des étudiants en médecine ou apprentis vétérinaires fêtant un quelconque examen, des chansons paillardes étaient à l’honneur, je terminai alors mon troisième verre et en me levant j’ai pu apercevoir d’où provenait la fête, il s’agissait d’un groupe d’étudiants en médecine, et je reconnu parmi eux, Martin, un de mes amis que je saluai d’un coup de tête avant de quitter le bar
 
Chemin faisant, et l’alcool aidant je me mis à chantonner une des gouailleries entendues dans ce bar…le refrain faisait : « elle est grôôôôôssse, elle est énôôôrme, c’est la Biroute à David Brôôôôôôwn », c’est seulement à la troisième reprise de ce refrain que mon esprit à percuté…David Brown … encore lui ! ce nom à nouveau dans ma tête me fit dessaouler immédiatement et je fis demi tour en direction du bar bien déterminé cette fois d’en savoir plus sur ce fameux David Brown à biroute grosse comme un dictionnaire !
 
Je suis de nouveau arrivé au bar alors que les étudiants en sortaient, mon ami semblait particulièrement éméché, sa démarche ondulait dangereusement,  quand il m’a vu, il m’a pris dans ses bras et ce faisant s’est presque fracassé sur le trottoir, « alors, tu fais quoi dans le secteur, on va boire un coup ? » a t’il bafouillé entre deux hoquets, «Martin, il faut que je te parles…sérieusement… », « qu’est-ce qui se passe, t’est malade ? » il me répondit péniblement avant de partir dans un fou rire d’alcoolique.
« Je veux que tu me parles de David Brown … »
Son rire s’est tus immédiatement et il me répondit d’une voix calme à peine chancelante,
- David Brown, tu dis… hum désolé mais je ne connais personne de ce nom là  
- Me prends pas pour un imbécile je t’ai entendu chanter tout à l’heure avec tes confrères entre la poire et le fromage…
- Ah…bon… je me rappelles plus, je devais être bourré… c’est ça !
En tout cas à ce moment là il semblait tout à fait dessaoulé…
Etrange ce David Brown, dont la seule évocation du nom est plus efficace que toutes les aspirines du monde !
 
- Ne me mens pas Martin je sais que tu le connais.
- Non personne ne le connais, t’entends.. personne et tu sais pourquoi ? Parce que David Brown n’existe pas… ne me poses plus de questions …j’en ai déjà trop dit, de toute façons il faut que je rentres…. Tu connais ma femme.
Puis il déguerpi à plates coutures me laissant sur le pavé sans avoir pu en placer une. Pas la peine d’essayer de le rattraper, je n’en tirerais rien de mieux je penses.
 
Je rentrai alors chez moi pantelant, il commençait à être tard.
 
Cette nuit là je n’arrivait pas à dormir, comme hanté, obsédé par ces deux mots qui bourdonnaient à mes oreilles, David, Brown, …David Brown…C’est alors que je me suis rappelé qu’il y à quelques jours Jenny m’avait amené son ordinateur à réparer, et que par sécurité j’avais transféré le contenu de son disque dur sur mon ordinateur…, tant pis si je dois violer l’intimité de Jenny, il fallait que j’en sache plus sur David Brown, j’ai alors allumé l’ordinateur et consulté les archives de Jenny. Je suis assez rapidement tombé sur sa correspondance avec David et celle-ci avait un caractère érotique plus que prononcé. Il s’agissait d’une correspondance assez soutenue car elle recevait 4 mails par jour tous aussi torrides les uns que les autres et je commençais à me sentir mal à l’aise de mon voyeurisme, quand un détail vint m’intriguer. Chaque email comportait sous la signature une minuscule image, intégrée à l’email. J’ai alors repris la totalité des mails afin de récupérer toutes ces images.
Après plusieurs heures d’assemblage à la tablette graphique, j’ai pu ré assembler cet étrange puzzle, il s’agissait d’une lettre, l’écriture bien que manuscrite semble avoir été générée artificiellement, comme quand on essaies d’écrire à l’aide d’une souris, mais néanmoins appliquée. Voici son contenu :
 
« Je m’appelle David, David Brown, en fait non, réellement je n’ai pas de nom, on m’a attribué celui de la locomotive qui m’à percuté. Enfin , c’est ce qu’ ils m’ont raconté…
ils… se sont les gens qui s’occupent de moi, qui me remplissent les tuyaux, de solide, de liquides, de gaz, afin de me tenir en vie, enfin plus pour longtemps car par cette lettre je viens de signer mon arrêt de mort, La seule vérité que je connaisse ils me l’ont programmé. Je ne en fait suis qu’une expérience médicale,…
A la suite de mon accident, ils m’ont greffé un microprocesseur à la place de mon cervau gondolé, le reste de mon corps étant complètement mort, à l’exception de mon sexe et de l’extrémité de deux doigts de ma main droite. Voulant mener l’expérience plus loin, ils ont décidé de me connecter à Internet, et m’ont conçu un gant spécial afin que je puisse communiquer. La seule gymnastique que mon corps autorisait était de bander, de débander…et de recommencer…
Je passais donc 24 heures sur 24 sur les forums à l’affût de la moindre trace de libido, afin de pouvoir faire fonctionner la seule chose qui n’est pas artificielle chez moi. J’ai de la sorte rapidement développé, d’après l’admiration de mes« créateurs » un sexe de taille vraiment impressionnante. Tout aurait pu continuer longtemps ainsi, si je ne t’avais rencontré, Jenny, comme toutes auparavant, je me suis joué de toi afin que tu me communiques tes envies, tes désirs, ton excitation, de les enregistrer, les coder, et seulement alors les rediriger numériquement vers mes testicules et mon sexe. Je ne suis qu’une machine et ne suis pas capable de générer des sentiments. Et puis un jour, je me suis aperçu que je t’aimais, les phrases que je te disaient n’était plus recopiées de discours existants mais générées par mon processeur.
Ceci n’est hélas pas possible, car je te le répète je ne suis qu’une machine, il s’agit donc d’une erreur, les dés sont pipés, celle-ci sera détectée sous peu par mes concepteurs qui n’auront d’autres choix que de me débrancher, et me rendre aussi inopérant qu'un hématome sur une jambe de bois. Leur fabuleux projet tombant ainsi à l’eau.
Si j’ai écrit cette lettre c’est parce que même une machine peut souffrir, et peut être qu’il n’y ait plus jamais d’autres David Bro… »
 
Le reste du message était coupé et devait se trouver dans l’ordinateur de Jenny, mais il devait juste comporter la signature.
 
J’ai lu et relu la lettre et enfin j’ai compris l’histoire.
Mon ami Martin est fanatique de contes fantastiques et de jeux de rôles, il s’est donc associé à Jenny, afin de me faire un énorme canular dans lequel je suis rentré à pieds joints. Tout devenait logique : La panne de l’ordinateur…Ma visite surprise télécommandée par son sms du matin, Jenny savait que j’allais aller dans ce bar, elle y à envoyé Martin sans que je le sache tout collait…
Sacré Martin !
 
J’allai donc me coucher rassuré et amusé.
 
Le lendemain j’ai décidé de prendre une journée de congé afin de passer faire un crochet par l’hôpital ou Martin exerçait en interne afin de lui faire part de mon admiration pour avoir élaboré un piège aussi machiavélique.
A l’accueil j’ai demandé Mr Martin Jones, du service Neurologie, la standardiste me répondit amicalement que je devais me tromper d’hôpital, car aucun Martin n’était enregistré parmi l’effectif de cet hôpital.. Ah ah ah sacré Martin ! Encore une de ces ruses ! je me repris :
-  Allez mademoiselle, assez ri ! ne me prenez pas pour un Reblochon je sais tout ! Maintenant appelez moi Martin !
- Mais je vous assures Monsieur, il n’y a pas de Mr Martin Jones ici, d’ailleurs cet hôpital n’a pas de service neurologie. Martin poursuivait réellement une spécialisation dans la neurologie, il était tout à fait possible que je me soit effectivement trompé d’hôpital..
 
Qu’ à cela ne tienne je le débusquerai probablement chez Jenny, en train de doucement onduler de rire à mes dépends.
 
Alors que je traversais le porche menant à l’appartement de Jenny je me fis héler par une voix inconnue :
- Eh Msieu !peut j’vous d’mander ou vous allez là ?
Une jeune personne se trouvait derrière l’ hygiaphone de la concierge.
- Je vais voir Jenny, ! Est-ce que madame Maurice est malade ?
- Mme Maurice est parti en retraite ce matin et j’la remplace, et y’a pas d’Jenny ici, si vous êtes représentant cassez vous j’en veux pas dans mon immeuble.
- Mais si je vous assures, deuxième étage, gauche.
- Bon voyons Deuxième étage j’ai… Mr Petit le colonel, et en face Mr Bonnard, il est routier …un qui m’embêtera pas souvent au moins ! …non pas de Jenny, allez ouste ou j’appelle la police.
Je me précipitai alors sur la première cabine téléphonique et au numéro de Jenny répondait une douceâtre vois robotisée m’indiquant que le numéro composé n’était pas attribué.
 
J’ai alors ressenti une légère angoisse doublée d’un sentiment de colère, la plaisanterie avait assez duré ! je décidai alors de rentrer chez moi un peu vexé. Il était encore tôt je pris le parti de rentrer à pied... Arrivé au dessus de la bute qui surplombe le lotissement ou j’habites j’ai alors vu un drôle de spectacle. Un camion de déménageurs, étaient devant chez moi un un va et viens de gars costaud vidaient et remplissaient de nouveaux meubles mon appartement.
Au milieu de ce capharnaüm quelques gars habillés de sombre surveillaient la scène impassibles..
C’est à ce moment que tout s’est assombri, d’un seul coup je ne ressentais plus qu’une chose, c’était la peur, et je n’avait plus qu’une envie, celle de courir. Et alors j’ai couru, pendant des heures et des heures sans m’arrêter, éperdu, sans savoir ou j’allais ni même pourquoi je fuyais, juste la peur au ventre qui me faisait foncer, quand à bout de force je me suis arrêté, il n’y avait plus que le silence autour, j’étais en pleine forêt, cet univers verdoyant tout à coup m’apaisait un peu, et je pris le temps de regarder autour, je reconnaissais l’endroit.
Souvent quand nous étions petits nous venions ici Jenny et moi, je reconnaissais même le groupe d’arbre qui avait servi de base à la construction d’une cabane, et juste là à quelques mètres il y avait cette bute ou l’on pouvais grimper, et, après avoir franchi quelques broussailles on se retrouvait sur la corniche d’un tunnel ; on y à passé des heures sur cette corniche, à attendre les trains juste pour les voir disparaître sous nos pieds, comme aspirés par magie par la montagne .
Je m’y suis rendu, rien n’avait changé, il semblait même que la pierre sur laquelle nous prenions place aient été usée, polie par nos culottes, d’enfants.
Je me suis assis à cette même place que vingt ans auparavant et semblait ressentir la même candeur d’enfant comme si tout recommençait.
Comme avant j’essayais de ne même plus écouter ma respiration, afin de percevoir le moindre bruit qui pouvait trahir l’arrivée du train, je me rappelais de ces vibrations transmises à la terre, puis à la pierre sur laquelle j’était perché lorsque celui-ci arrivait, je me rappelais de voir cette majestueuse locomotive arrivant en plein de face. Je me rappelais de sa chaudière magnifique, noire, luisante, je me rappelais de ces deux lettres D et B entrelacées en caractères dorés sur le fronton de celle-ci représentant la marque de fabrique de la locomotive…
D et B…. D et B… comme David Brown, c’est alors que j’ai sauté.

Message cité 1 fois
Message édité par darage le 18-02-2009 à 14:02:38

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Si j'étais dieu, j'croirais pas en moi...
n°17580382
nixnbk
Strip the flesh salt the wound
Posté le 18-02-2009 à 11:52:06  profilanswer
 

 

"Ils glissent sans un bruit, s'équipement."

 

Ya pas une faute à "s'équipement" ????


Message édité par nixnbk le 18-02-2009 à 11:52:52

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I'll feed your skin snacks to my cockatiel!
n°17580394
stipey
you can't buy me on e-bay...
Posté le 18-02-2009 à 11:52:58  profilanswer
 

tu connais pas le verbe "s'équipemer"??


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Le scrabble ça existerait pas, je m'en serais même pas rendu compte
n°17580476
nixnbk
Strip the flesh salt the wound
Posté le 18-02-2009 à 11:59:26  profilanswer
 

si ça s'adresse uniquement aux lecteurs d'un journal sportif, alors non :o


Message édité par nixnbk le 18-02-2009 à 11:59:39

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I'll feed your skin snacks to my cockatiel!
n°17580490
stipey
you can't buy me on e-bay...
Posté le 18-02-2009 à 12:00:44  profilanswer
 

krapaud, j'adore ton écriture et l'histoire est vraiment originale.
très bon texte :love:


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Le scrabble ça existerait pas, je m'en serais même pas rendu compte
n°17580496
stipey
you can't buy me on e-bay...
Posté le 18-02-2009 à 12:01:03  profilanswer
 

(je lis le second tout à l'heure :o)


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Le scrabble ça existerait pas, je m'en serais même pas rendu compte
n°17580632
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 18-02-2009 à 12:11:08  profilanswer
 

Oh mais c'est comme un coup de pied au cul, ça, c'est parfait :D


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n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
n°17581853
nixnbk
Strip the flesh salt the wound
Posté le 18-02-2009 à 14:21:42  profilanswer
 

ouais, on attend plus que la tienne, ma chère IZN :o


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I'll feed your skin snacks to my cockatiel!
n°17583419
Krapaud
Posté le 18-02-2009 à 16:26:51  profilanswer
 

désolé pour l'orthographe :D
 
merci Stipey [:cupra]

n°17583470
stipey
you can't buy me on e-bay...
Posté le 18-02-2009 à 16:31:16  profilanswer
 

Krapaud a écrit :

désolé pour l'orthographe :D


j'ai vu passer 2-3 fautes impardonnables qui te vaudront une quinzaine de places lors du classement final.
 
Et ouais, c'est comme ça [:prodigy]
 

Spoiler :

à moins que j'aie mal saisi le sens de la phrase, mais "âtre" est masculin  [:cerveau dr]


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Le scrabble ça existerait pas, je m'en serais même pas rendu compte
n°17583516
Krapaud
Posté le 18-02-2009 à 16:35:30  profilanswer
 

j'avais hésité :D

n°17591937
LeRiton
Posté le 19-02-2009 à 14:09:48  profilanswer
 

Je profite de ce 18ème anniversaire de (premier) mariage entre Pamela Anderson et Tommy Lee :
 

Spoiler :


Dans le square les arbres sont couchés. Même devant ce spectacle inhabituel, en ce lieu qui l’est tout autant, je me pose les mauvaises questions. « Plus fort que la tempête du millénaire ? », « Pourquoi ils n’ont toujours rien déblayé ? », rien de tout ça. « Qu’est ce qui a pu faire débander tout un troupeau de vieilles souches en même temps ?!? » sera ma seule pensée, assumée avec autant de gravité que ses consoeurs grand public.
 
Ça fait quelques temps maintenant que je prends cette jument par les seins. Que je sens ce tempérament malsain, oui, c’est plutôt ça. C’est venu d’une imprudence, d’un goût avéré pour le bon mot grivois, pour la grosse poilade. Rapidement, je suis devenu le dictionnaire ambulant de la vanne connotée, le thesaurus de l’anus, l’encyclopædia universalis du pénis. En oubliant souvent qu’ici, les plus courtes sont les meilleures.
 
Les complications se sont langoureusement dévoilées, pas tout de suite, pas trop vite, et c’est incapable de tenir une conversation autrement que par le dessous de la ceinture – par le dessous, rendez-vous compte – que je me vis contraint d’aller me faire suivre, à défaut d’autre chose. Une dernière démonstration où j’eu le temps d’évoquer dix-sept références anatomiques que m’inspirait le menu entre la poire et le fromage me valu une sortie pantelante du restaurant, suivie par un expéditif « c’est pas un psy, mais un véto que tu devrais voir » sur mon vibrant G-SM. Incertain que j’étais de retenir des propositions de chevauchées envers une spécialiste du monde animale, j’optais pour les confidences allongées.
 
Ils sont pas si mal étendus comme ça ces platanes. Celui du bout là-bas, un peu gondolé, a même une forme plutôt excitante…
 
« À quoi pensez-vous quand vous répondez à votre compagne sur ce mode ? »
 
Je décroche mon regard de la fenêtre. Plutôt excitante la praticienne, un air faussement hautain, une façon sensuelle de tenir son stylo. Elle ressemble un peu à Vanessa Demouy, surtout de dos. Ses dessous s’imprimant à plates coutures au travers de son tailleur me donnent envie de vérifier si son fondement est sain. Je lui réponds des banalités. Elle pense certainement que les gouttes qui ondulent sur mes tempes sont le fruit – qu’on me le défende par pitié – des révélations qu’occasionnent ses questions dans mon esprit malade. J’ai juste énormément de difficultés à réprimer mes pulsions verbales. Je me censure la luxure jusqu’à l’hématome lingual.
 
« Quand vous me dite « tout le temps », pouvez-vous préciser ?
- Mardi dernier, lors d’un rapide crochet sur un forum de l’Internet mondial où l’on discute plus des Bogdanov que d’un Kama Sutra débridé que Gagarine n’aurait renié…
- Excusez moi, je ne vous suis plus, Gagarine ?
- L’attraction des corps sous une gravité inopérante, ça ne vous a jamais intrigué ?
- J’aurais dû m’en douter. Poursuivez.
- Ce jour là donc, j’ai vécu une étrange prise de conscience. Parmi les divagations d’un résident belge sur le bien-fondé de  son manque de gouvernement, j’ai lu – j’ai cru lire ? – « Mangez du reblochon, ça fait pousser les nichons ! » Ça me l’a comme qui dirait coupée.
- Effectivement. Outre ce comportement un tantinet obsessionnel, et l’emphase qu’elle applique en prononçant « tantinet » est un rien vexante, je pense que vous transportez avec vous ce dictionnaire de substitution comme une barrière permanente entre vous et les sujets qui vous mettent mal à l’aise.
- La Belgique ?!?
- Non, là, je pense que vous étiez fatigué. Vous savez, pour aborder la sexualité, il n’est pas nécessaire d’employer le vocabulaire cru que vous semblez affectionner. Pour parler en vos termes, on n'emmène pas des saucisses quand on va à Francfort. »
 
Pour le coup, j’ai l’impression qu’elle a visé juste. C’en est un rien gênant.
 
« Si vous abordez un dialogue de cette façon, votre interlocutrice se positionnera instinctivement sur cette même défensive. Dans ces conditions, les dés sont pipés dés le début de la conversation.
- Ils ont bien de la chance. »
 
Je sors du cabinet pas franchement rassuré, et me dirige vers la secrétaire pour convenir d’un autre rendez-vous. Elle lève les yeux – et le reste – vers moi avec un grand sourire, j’imagine déjà ses petits se…


n°17591989
In Ze Navy​ II
Obsédée textuelle
Posté le 19-02-2009 à 14:14:33  profilanswer
 

Merci :)
Je vais tâcher de mettre à jour le 1er post :jap:


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n° 11 * RED * Tiens, voilà ton thé, c'est du café.
n°17592575
stipey
you can't buy me on e-bay...
Posté le 19-02-2009 à 15:07:21  profilanswer
 

darage a écrit :

Bon pas mal de recyclage d'un truc dejà écrit, mais remis a la sauce de ce topak essentiel !  
[texte]


 :sweat:  
 
bien flippante ton l'histoire, c'est réussi :jap:


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Le scrabble ça existerait pas, je m'en serais même pas rendu compte
n°17592732
stipey
you can't buy me on e-bay...
Posté le 19-02-2009 à 15:22:23  profilanswer
 

LeRiton a écrit :

Je profite de ce 18ème anniversaire de (premier) mariage entre Pamela Anderson et Tommy Lee :


excellent, comme de bien entendu :/
Sur le fond et sur la forme.
 
connard, tiens.


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Le scrabble ça existerait pas, je m'en serais même pas rendu compte
n°17593847
Krapaud
Posté le 19-02-2009 à 17:00:21  profilanswer
 

leriton->:jap: ton gagarine est exceptionnel! :D

n°17598885
darage
Lurke je suis ta paire
Posté le 20-02-2009 à 07:49:14  profilanswer
 

In Ze Navy II a écrit :

Oh mais c'est comme un coup de pied au cul, ça, c'est parfait :D


 

stipey a écrit :


 :sweat:  
 
bien flippante ton l'histoire, c'est réussi :jap:


 
Merci a vous  :jap:  
Mais bon j'ai triché j'avais dejà écrit le gros de la nouvelle il y a longtemps et je n'ai rajouté que les 'contraintes' du premier post
j'essayerai de faire mieux la prochaine saison  :whistle:  


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Si j'étais dieu, j'croirais pas en moi...
n°17604430
LeRiton
Posté le 20-02-2009 à 17:25:48  profilanswer
 

stipey a écrit :

connard, tiens.


 
:D
 
Merci stipey et krapaud, ça me fais plaisir.
 
Maintenant que c'est réglé, je vais pouvoir lire vos oeuvres.
 

n°17604832
stipey
you can't buy me on e-bay...
Posté le 20-02-2009 à 18:01:31  profilanswer
 

j'me demandais si c'était possible de faire mieux que lors de ta 1ere participation.
Et ça l'est.
 
pfffff.


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Le scrabble ça existerait pas, je m'en serais même pas rendu compte
n°17621314
LeRiton
Posté le 23-02-2009 à 10:35:30  profilanswer
 

[:darjeeling]  
 
Les fleurs mises à part, je mérite toute l'estime de nixnbk \o/ Et c'est copieux. Je pense qu'après avoir lu ça, le plus long est fait, je me garde magicpanda et stipey pour plus tard (ou pas).
 
@nixnbk : merci, je me sens moins seul pour le rapprochement des fondements :o
 

n°17621366
nixnbk
Strip the flesh salt the wound
Posté le 23-02-2009 à 10:42:31  profilanswer
 

LeRiton a écrit :

[:darjeeling]

 

Les fleurs mises à part, je mérite toute l'estime de nixnbk \o/ Et c'est copieux. Je pense qu'après avoir lu ça, le plus long est fait, je me garde magicpanda et stipey pour plus tard (ou pas).

 

@nixnbk : merci, je me sens moins seul pour le rapprochement des fondements :o

 



:D :D
T'as aimé au moins ? :D

 


Sinon j'ai lu ton texte : En effet, connard :o ... par contre la fin j'ai moyennement aimé, on a envie d'en lire un peu plus :D


Message édité par nixnbk le 23-02-2009 à 11:02:42

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I'll feed your skin snacks to my cockatiel!
n°17621515
LeRiton
Posté le 23-02-2009 à 11:01:15  profilanswer
 

J'ai aimé ? Que nos fondements se rapprochent ?!? On n'a pas élevé les centaures ensemble hein :o
 
Et pour la fin, c'était un peu le but. La prochaine étape est de publier un bouquin, blindé de messages subliminaux, qui me permettra de prendre le contrôle du monde (ou d'une demi douzaine de personne).

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