#Libye butin de guerre d'Ansar Sharia "obus de char et char détruit" proche de la base aérienne de #Benina pic.twitter.com/KzvH1PARgQ

#EXCLUSIVE pics:from east #Libya battles spoils of war from #Mujahideen, heftar blown up.#Airport is taken.Takbir pic.twitter.com/Z79srXiFdW

Le gouvernement provisoire libyen dirigé par Abdallah al-Theni, qui n'a pas d'autorité réelle sur le pays livré aux milices armées, a présenté sa démission au Parlement élu, selon un communiqué publié jeudi 28 août.
Le texte indique l'espoir de l'équipe sortante de voir le Parlement libyen élu le 25 juin, qu'elle considère comme « la seule autorité légitime du pays », former un nouveau gouvernement « représentant toutes les catégories du peuple libyen (...) et capable de rétablir la sécurité et de bâtir un Etat de droit ».

#Libye nouveau compte twitter d'Ansar Sharia http://twitter.com/AnsarAlsharia/  NB: leur page FB est supprimée presque tous les jours

#Libye défense aérienne et surveillance du Majlis Shura Thuwar #Benghazi (Saraya al-Farouq) proche base ✈ de #Benina pic.twitter.com/G2srpPWfh6

« Rappelons-nous ce que nous avons collectivement entrepris et réussi au Mali : une opération militaire de grande ampleur pour libérer ce pays de la menace djihadiste, et un processus politique démocratique. La dégradation de la situation sécuritaire en Libye pourrait entamer cet acquis. J'alerte aujourd'hui sur la gravité de la situation en Libye », déclare M. Le Drian.
 
    « Le Sud libyen est une sorte de “hub” où les groupes terroristes viennent s'approvisionner, y compris en armes, et se réorganiser. Leurs principaux chefs, l'émir Droukdel ou Mokhtar Belmokhtar, y transitent régulièrement. Au nord, les centres politiques et économiques du pays sont désormais menacés d'être contrôlés par ces djihadistes. Or la Libye est à la fois la porte de l'Europe et du Sahara »

M. Le Drian juge que le dispositif militaire français en Afrique de l'Ouest, « Barkhane », pourrait être amené à « “monter” vers la frontière libyenne ». « Tout cela se fait en bonne intelligence avec les Algériens, qui sont des acteurs majeurs de cette région et dont c'est aussi l'intérêt. “Barkhane” doit rassembler l'ensemble des Etats de la région pour assurer une défense et une sécurité communes. Le premier forum de Dakar [les 15 et 16 décembre] devra notamment répondre à ces enjeux », a déclaré le ministre.

Le chef d'état-major de l'armée française, le général Pierre de Villiers, est attendu samedi prochain à Alger pour une visite de travail, a rapporté hier le journal électronique «Tout sur l'Algérie», citant des sources diplomatiques algériennes et françaises.
Cette visite intervient moins de quatre mois après celle effectuée le 20 mai dernier par le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian.
 
Elle intervient également dans un contexte régional très délicat, avec la détérioration de la situation en Libye qui inquiète Paris.
Dans un entretien au Figaro, paru hier, le ministre français a jugé que la France doit «agir en Libye».

Selon des sources médiatiques, le président tunisien, Moncef Marzouki, et son homologue tchadien, Idriss Déby, auraient appelé au soutien de la France pour la sécurisation de la Libye. Le sujet a aussi été abordé avec l'Algérie et l'Egypte, ajoutent les mêmes sources.
 
Etendre la lutte antiterroriste à l'ensemble des pays de la région : c'était l'un des objectifs du redéploiement militaire français dans le Sahel et de la création du dispositif «Barkhane», basé au Tchad et qui pourrait servir de base pour intervenir en Libye.
 
Le Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal, a évoqué, lundi, lors de son intervention à la conférence sur l'investissement en Tunisie, la situation en Libye, mais en plaidant pour le dialogue entre les différentes formations politiques. Abdelmalek Sellal a insisté sur la résolution pacifique du conflit libyen en évitant le recours aux armes. La situation dans le pays voisin est très difficile, notamment avec l'existence actuellement de deux gouvernements parallèles.  

A Greek car ferry has been hired as last-minute accommodation for Libya's embattled parliament, which has fled the country's civil war to the small eastern town of Tobruk.
 
The 17,000-ton Elyros liner has been deployed, complete with its Greek crew, as a floating hotel for a legislature clinging to power in the Libyan city that is last stop before the Egyptian border.

Islamists and their allies have captured the capital, Tripoli, and most of Benghazi, the country's second city. Derna, the next town up the coast, has been declared an Islamic caliphate and the front line begins at Tobruk airport, where pickup trucks mounting anti-aircraft guns face out into the shimmering empty desert.

"We had only three days to prepare everything in Tobruk, to find spaces for meetings, places to stay, internet, everything," said Dr Muftah Othman, head of the town's election commission. "If there is no ship, where will you stay?"
 
The mood on board is sombre. An escalator, switched on only for important guests, heads up above the car deck to restaurants and bars with bright lights and almost no people. Children of the parliamentarians who have fled with them play in the corridors while clusters of officials and women in shawls cluster around the tables, where they are served Pepsi and orange juice by the bemused crew in immaculate white uniforms.

But in another way, time is running out, with Libya's conflict already shaping up as a regional war. Qatar and the United Arab Emirates, the big Gulf players, have each taken a side, Qatar for the Islamists, the Emiratis for the nationalists. Pentagon sources say the UAE and Egypt have launched air strikes against Libya Dawn, while Sudan is flying in weapons for the Islamists, making parliament's job of finding middle ground all the harder.
 
In Tobruk, cohesion is parliament's problem. The Islamists are not the biggest faction in Libya – they captured Tripoli after suffering catastrophic defeats in June's elections – but they are the most cohesive. The tribes ranged against them are fractured along ancient fault lines, some dating back centuries.

Meanwhile, across Libya those stakeholders continue pummelling each other. Tripoli, occupied by Islamist-led Libya Dawn, is suffering power and water cuts. Human Rights Watch reported this week on house-burnings and attacks on ethnic minorities and journalists across the capital.
 
Without the means to counterattack, or much sign of international support, Libya's parliament clings on in Tobruk, its eyes on the Elyros, wondering if it will end up being less a floating hotel than a lifeboat.

"Les milices n'épargnent personne, du coup les gens sont partis vers des villes plus sûres en laissant tout derrière eux." La vie semble avoir abandonné la région, les maisons sont désertes, les mosquées, vides et les centres commerciaux ont depuis longtemps baissé leurs rideaux. Les bombardements sont quotidiens. Un récit de Marc Paupe pour France 24.

"Trois ans après la libération de la Libye, les milices de Zintan veulent le pouvoir, et celles de Misrata aussi. C'est une lutte pour le pouvoir, affirme Muhammad Meftah Essid Feres, 33 ans, blessé aux jambes alors qu'il rentrait chez lui en voiture, non loin de l'aéroport. Maintenant, il n'y a plus d'aéroport. Les gens doivent conduire pendant des heures jusqu'à la frontière." Certains avaient placé leur espoir dans le nouveau Parlement, élu le 25 juin. D'autres attendaient une intervention internationale, comme en 2011.  

#Libye nouvelle vidéo d'Ansar Sharia via al-Raya:"depuis le champ de bataille"

#Libye un membre d'al-Raya, média d'Ansar Sharia, "sur le champ de bataille" 16/09 pic.twitter.com/OchXCRdTV5

#Libye court extrait de la prochaine vidéo d'Ansar Sharia: "Entrez chez eux par la porte"

#Libye vidéo présentée comme un convoi de partisans de l'état islamique à #Derna, scandant "dawla al islam baqiya !"

Eastern Libya, military parade today of the Darna's Islamic Youth Shura Council (suspected to be pro-ISIS).

#Libye vidéo de combat impliquant Ansar Sharia #Benghazi proche de la base de #Benina via Abou Sofian al-Libi

#Libye distribution de bétail aux nécessiteux par Ansar Sharia section de #Ajdabiya 1/10/2014

#Libye tirs d'artillerie d'Ansar Sharia proche de la base de #Benina 2/10/2014

Reuters: 15 militants led by an Egyptian and a Saudi traveled to Derna from Syria to establish an IS branch in Libya

There are now two governments in Libya. One is in the eastern city of Tobruk, backed by the rump of the elected parliament, the House of Representatives (HOR). The other, based in the capital, Tripoli, has taken de facto control over ministries, relying on a handful of former members of the HOR’s predecessor, the General National Congress (GNC), to provide a veneer of legitimacy. Each is associated with a coalition of militia forces: those supporting the rump parliament have dubbed themselves Operation Dignity; those opposing it go by Operation Dawn. And each is flush with cash, heavy weaponry, and support from outside powers -- Egypt and the United Arab Emirates (UAE) have backed Dignity, while Qatar, Sudan, and Turkey are purported to be backing Dawn. Contrary to some commentary, both sides have used force against civilians and elected institutions, and both show little sign of compromise.

Neuf personnes ont été tuées dimanche dans de nouvelles violences à Benghazi, portant à 75 le bilan des morts depuis le début mercredi d'une offensive contre les groupes islamistes qui contrôlent cette ville de l'est de la Libye, selon des sources médicales. L'offensive, lancée par l'ex-général controversé Khalifa Haftar, est soutenue par les autorités reconnues par la communauté internationale qui tentent de reprendre la deuxième ville de Libye, tombée en juillet aux mains de milices islamistes.

Affrontements dans plusieurs quartiers
 
Dimanche, de nouveaux affrontements ont eu lieu dans plusieurs quartiers de Benghazi, tandis que les forces aériennes loyales au général Haftar, ont mené des raids sur des positions islamistes. Et une résidence désertée de Khalifa Haftar a été visée par une attaque aux explosifs, selon une source militaire.
 
L'attaque a tué une femme et blessé sa fille alors qu'elles circulaient à proximité, selon le Centre médical de Benghazi. Ce centre médical a d'autre part dit avoir reçu six corps qui lui ont été remis par le Croissant-Rouge libyen. En outre, deux soldats ont succombé à l'hôpital Al-Baida, selon une source de l'établissement.

Khalifa Haftar a récemment refait surface en prenant en Libye la tête d'une offensive toujours en cours contre les milices islamistes de Misrata et Benghazi. Dans ce quatrième et avant-dernier billet de blog, Laurent Touchard* continue de retracer la vie de cet homme dont la carrière semble embrasser les routes sinueuses d'un opportunisme débridé.

http://www.lefigaro.fr/internation [...] -qaida.php
 
Dans une interview exclusive accordée au Journal du Dimanche, le colonel dénonce à nouveau un complot d'al-Qaida et redit «combattre le terrorisme». «L'Occident a le choix entre moi ou le chaos terroriste».
 
(...)
 
Comme lors de ses précédentes allocutions, le Guide met en cause une machination d'Oussama Ben Laden qui aurait drogué les jeunes. «Quand il y a eu la confusion en Tunisie et en Egypte, [b]al-Qaida a donné instruction à ses cellules dormantes en Libye de faire surface. Elles ont attaqué des casernes pour prendre des armes. Les membres d'al-Qaida ont donné aux jeunes des pilules hallucinogènes et de l'argent, leur demandant d'incendier les commissariats»[/b]. Pour se donner de la crédibilité le mouvement islamiste manipulerait «les juristes et les intellectuels de Benghazi», une des premières villes de l'est à passer sous le contrôle des rebelles.

Armed militias are 'running amok' in post-Gaddafi Libya, Amnesty International warns, as it accuses West of 'turning blind eye' to ongoing war crimes
 
    Former anti-Gaddafi rebels are now deeply divided along religious lines
    One group is hardline Islamist while other backs largely secular regime
    Both using armed gangs to torture and murder rivals, Amnesty says
    Accuses Western leaders of choosing to ignore 'chaos engulfing Libya'  
 
http://www.dailymail.co.uk/news/ar [...] rimes.html

Immigration: Xavier Bertrand (UMP) veut un «blocus» de la Libye
 
Xavier Bertrand, candidat à la primaire UMP pour la prochaine présidentielle, a préconisé dimanche un «blocus» au large de la Libye pour endiguer l’immigration clandestine en provenance d’Afrique.
 
http://www.liberation.fr/politique [...] ye_1134790

BHL, allez-vous-en, et ne revenez plus jamais

Bernard-Henri Lévy a consacré son déjeuner du samedi 1er novembre à une réunion organisée en Tunisie avec des hommes politiques libyens. Au grand étonnement – et mécontentement – des Tunisiens.

Sur le même ton, Business News souligne : "Les Tunisiens connaissent très bien les ingérences de BHL en Libye et sa participation dans le drame actuel que vivent nos voisins et que sieur BHL appelle 'révolution, démocratie et liberté'. De Tunis, on voit plutôt l'anarchie, l'insécurité et la dictature religieuse en marche accélérée pour ne pas dire le début de guerre civile. BHL poursuit son œuvre et continue ses conspirations avec les Libyens sur la terre tunisienne en pleines élections législatives et présidentielle. Tout cela s'appelle de la conspiration et invite à la suspicion."

La Libye s'enfonce peu à peu dans le chaos
 
Le Parlement libyen a été invalidé par la Cour suprême, surprenant les observateurs et prouvant que le pays est au plus mal.
 
http://www.lessentiel.lu/fr/news/m [...] s-30917122

Les militants des droits de l'homme seraient la cible prioritaire des groupes armés qui veulent perturber le processus démocratique. Sur l'année écoulée, 35 meurtres de ce type ont été perpétrés. Des assassinats qui n'ont jamais été revendiqués.

Selon les organisations des droits de l'homme, au moins 35 personnalités issues de la société civile ont été tuées en Libye cette année. A la suite de l'effondrement du système judiciaire lors de la révolution libyenne de 2011, les milices rebelles imposent leur propre conception de la justice. Les enlèvements sont monnaie courante, et les gangs armés ont également recours aux assassinats dans le cadre d'une campagne de terreur de plus grande ampleur.

Salwa Bugaighis, autre militante des droits de l'homme très populaire, a été tuée à Benghazi le jour du dernier scrutin législatif. Des militants cagoulés ont fait irruption chez elle et lui ont tiré dessus à plusieurs reprises.
 
Selon Claudia Gazzini, spécialiste de la Libye pour l'International Crisis Group, si les islamistes ciblent tous les secteurs de la société, les groupes armés qui essayent délibérément de perturber le processus démocratique s'attaquent en priorité à des gens comme Salwa Bugaighis. "Salwa a été assassinée pour avoir encouragé les gens à voter", explique Claudia Gazzini.