White House officials had considered launching a more systematic campaign to destroy al-Nusra from top to bottom, much like the Pentagon’s approach to the Islamic State. But that option was rejected as too resource-intensive. Many of al-Nusra’s fighters are Syrians who joined the group because of its ample supply of weapons and cash, and its commitment to defeating Assad, not to plot against the West.
 
Officials said the strikes on leadership targets were meant to send a message to more-moderate rebel units, including those backed by the CIA, to distance themselves from the al-Qaeda affiliate. At critical moments during the five-year-old civil war, moderate rebel units have fought alongside al-Nusra in ground operations against Assad’s forces. In fact, U.S. officials credit those rebel campaigns in the spring of 2015 with putting so much pressure on the Syrian government that Russia and Iran decided to double down militarily in support of Assad.
 
U.S. officials who opposed the decision to go after al-Nusra’s wider leadership warned that the United States would effectively be doing the Assad government's bidding by weakening a group on the front line of the counter-
Assad fight. The strikes, these officials warned, could backfire on the United States by bolstering the group’s standing, helping it attract more recruits and resources.
 
Officials who supported the shift said the Obama administration could no longer tolerate what one of them described as “a deal with the devil,” whereby the United States largely held its fire against al-Nusra because the group was popular with Syrians in rebel-controlled areas and furthered the U.S. goal of putting military pressure on Assad. Russia had accused the United States of sheltering al-Nusra, a charge repeated Thursday in Moscow by Russian Foreign Minister Sergei Lavrov.
 
“The president doesn’t want this group to be what inherits the country if Assad ever does fall,” a senior U.S. official said. “This cannot be the viable Syrian opposition. It’s al-Qaeda.”
 
Officials said the administration’s hope is that more-moderate rebel factions will be able to gain ground as both the Islamic State and al-Nusra come under increased military pressure.
 
A growing number of White House and State Department officials, however, have privately voiced doubts about the wisdom of applying U.S. military power, even covertly, to pressure Assad to step aside, particularly since Russia’s military intervention in Syria last year.
 
U.S. intelligence officials say they aren’t sure what Trump’s approach to U.S.-backed rebel units will be once he gets briefed on the extent of the covert CIA program. Trump has voiced strong skepticism about arming Syrian rebels in the past, suggesting that U.S. intelligence agencies don’t have enough knowledge about rebel intentions to pick reliable allies.
 
[Intelligence community is already feeling a sense of dread about Trump]
 
Defense Secretary Ashton B. Carter and other Pentagon leaders initially resisted the idea of devoting more Pentagon surveillance aircraft and armed drones against al-Nusra. In White House Situation Room meetings, Carter and other top Pentagon officials argued that the military’s resources were needed to combat the Islamic State and that it would be difficult to operate in the airspace given Russia’s military presence, officials said.
 
While Obama, White House national security adviser Susan E. Rice, Secretary of State John F. Kerry and special presidential envoy Brett McGurk agreed with Carter on the need to keep the focus on the Islamic State, they favored shifting resources to try to prevent al-Nusra from becoming a bigger threat down the road.
 
A senior defense official said additional drone assets were assigned to the JSOC mission. Carter also made clear that the Pentagon’s goal would be to hit al-Nusra leadership targets, not take strikes to try to separate the moderate rebels from al-Nusra, officials said.
 
“If we wake up in five years from now, and Islamic State is dead but al-Qaeda in Syria has the equivalent of [the tribal areas of Pakistan] in northwest Syria, then we’ve got a problem,” a second senior U.S. official said.

Donald Trump souhaite mettre fin au soutien américain aux rebelles syriens
 
«  J’ai un point de vue très différent des gens par rapport à la Syrie. (…) La Syrie se bat contre Daesh et il faut se débarrasser de Daesh.  » Bien qu’il «  n’aime pas du tout [M. Assad]  », renforcer son régime est donc selon lui la meilleure façon d’endiguer l’extrémisme qui a fleuri dans le chaos de la guerre civile.
 
Le président élu a également insisté sur la nécessité de renforcer les liens avec la Russie. «  Nous soutenons les rebelles contre la Syrie et nous n’avons aucune idée de qui sont ces gens. (…)  » Si les États-Unis attaquent Assad, «  nous finirons par combattre la Russie  »

Les forces gouvernementales syriennes ont repris tous les secteurs pris récemment par les rebelles à Alep-ouest, annulant tous les progrès des insurgés pour briser le siège du régime, a indiqué samedi l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
 
Les groupes rebelles, qui contrôlent les quartiers est d'Alep assiégés par le régime, avaient lancé le 28 octobre une offensive afin de desserrer l'étau, et avaient réussi à prendre le contrôle de plusieurs secteurs.
 
Selon l'OSDH, l'armée a reconquis des secteurs stratégiques dont le quartier ouest de Dahiyet al-Assad et le village de Minyane, à la périphérie de la ville.
 
Ces reconquêtes annulent tous les progrès réalisés par les combattants de l'opposition, dont le Front Fateh al-Cham, ex-front al-Nosra qui avait renoncé à son rattachement à Al-Qaïda, pour briser le siège du régime.
 
En outre, les forces du régime ont avancé aussi dans le sud en s'emparant de deux localités tenues par les rebelles.

Selon l'OSDH, plus de 450 combattants et civils ont été tués dans la dernière tentative des rebelles pour rompre le siège.
 
Parmi les morts figurent 215 combattants - syriens et étrangers - de l'opposition, dont certains ont commis des attentats suicide, ainsi que 143 membres des forces du régime.
 
Une centaine de civils ont également péri dans les bombardements, la plupart d'entre eux dans les quartiers sous contrôle du régime, dont 30 enfants.
 
Samedi, toujours selon l'OSDH, cinq civils dont un enfant ont été tués par des obus tirés par les rebelles sur la partie gouvernementale de la ville.

En outre, un journaliste de la télévision officielle iranienne, Mohsen Khazaie, a été tué samedi par une attaque au mortier dans la localité de Minyane, récemment reprise par le régime, a indiqué la chaine pour laquelle il travaillait.

Moscou a par ailleurs annoncé samedi que son porte-avions Amiral Kouznetsov, ayant pour objectif de renforcer le dispositif militaire russe en Syrie, se trouvait actuellement au large des côtes syriennes.

Lafarge a maintenu en activité sa cimenterie de Jalabiya, en Syrie, jusqu'en septembre 2014. À quel prix ? Un ancien collaborateur du cimentier révèle les petits arrangements de l'entreprise avec les groupes armés, dont l'EI.

Comment et à quel prix l'usine, à moins de 90 kilomètres de Raqqa devenue fief de l'organisation État islamique, a-t-elle pu continuer à fonctionner ? Les révélations exclusives de Jacob Waerness, gestionnaire de risques à Lafarge Syrie entre 2011 et 2013, viennent compléter une enquête du Monde parue en juin dernier sur les troubles arrangements de Lafarge en Syrie avec les groupes armés, dont l'EI.

EN IMAGES - Craignant de servir de «bouclier humain» par les djihadistes, les habitants des environs de la «capitale» de Daech ont tout quitté alors que les forces de la coalition s'approchent.
 
L'opération «Colère de l'Euphrate», lancée par la coalition kurdo-arabe et destinée à isoler la ville septentrionale de Raqqa a débuté samedi dernier. Les «Forces démocratiques syriennes» (FDS), appuyées par l'aviation américaine, se sont avancées près de la ville, mais cette semaine une tempête de sable a bloqué l'offensive. Le chiffre est imprécis mais on parle de plusieurs dizaines à quelques milliers de personnes qui ont fui la ville et ses alentours pour échapper aux bombardements. Comme Saada al-Aboud, femme de 45 ans originaire d'al-Hicha, à 40 km au nord de Raqqa, qui est partie avec sa famille et raconte à l'AFP: «Les combattants de Daech ont positionné leurs armes lourdes dans notre village et se sont installés au milieu de nous. S'il y avait une frappe, nous étions la cible».

ANKARA (Reuters) - L'armée turque a annoncé samedi avoir tué 18 djihadistes de l'Etat islamique (EI) dans le nord de la Syrie au cours des dernières 24 heures, dans le cadre d'une intensification de ses raids aériens contre cette organisation.
 
Quatre bâtiments et un véhicule utilisés par les djihadistes de l'EI ont été détruits lors de ces attaques, ajoute l'armée turque dans un communiqué.
 
Cinq insurgés soutenus par Ankara et cinq djihadistes de l'EI ont en outre été tués lors d'affrontements sur le terrain.
 
L'armée turque soutient des rebelles arabes et turkmènes syriens dans le nord de la Syrie, dans le cadre de son opération "Bouclier de l'Euphrate" lancé fin août.

"Rebels in East Aleppo Neighborhoods, show for at least once a sign of goodwill for the injured and sick you have, Let them out so the Syrian government could heal them because they are its kids and you too(Are kids of gov), we guarantee your and their safety."

"Rebel is East Aleppo Neighborhoods, the opposition which lives in hotels and mansions doesn't care about the life of the poor Syrian citizens who lives in East Aleppo neighbourhoods. they (it) uses you for its own goals, we give you /24/ hours to let the injured and sick to get out, and you if you want to."

"The Syrian command has established a gathering of forces on 9 axis, it includes the best-trained units and missions have already been given and they are (the units) waiting for the 24 hours timeline, the force and time and place will be a surprise.

"Rebels in East Aleppo Neighborhoods, your resistance to they Army of the nation won't help, the areas of coexist and your inventories have been downloaded on the maps and will be hit when the /24/ hours timeline ends, everyone who wants to go back to normal life needs to drop weapons, think about your families before it's too late."

al-Hamra
‏@_alhamra
Jordan shut down the Southern Front and now it's degenerating into criminal gangs.