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Auteur Sujet :

Vos Poèmes...

n°8415045
Pazou
Pas de bras, pas de chocolat.
Posté le 15-05-2006 à 22:50:07  profilanswer
 

Reprise du message précédent :

yufkaguard a écrit :

vois-tu donc de l'intérêt à critiquer des choses (que tu crois avoir) 'dépassées', et à en faire étallage ?
 
si tu veut passer en revue tous les arts et toutes les nobles pratiques de l'âme qui sont réduites à l'état de blogues et de vulgarisation pure et dure, dans notre société actuelle qui nie absoluement tout;  
l'individu, l'histoire ...
ça te prendra du temps, et ça m'a l'air de participer de quelque intrigue dans ton comportement ...
 
les esprits créatifs de notre temps, qui seraient peut-être plus épanouis en des périodes passées de l'humanité, doivent 'surmonter' la médiocrité, et faire l'ordre, dans leurs pensées, de ce qui est beau;
tu as raison, il faut bien faire la critique de faits qui tantôt nous échappent, tantôt nous reprennent alors que nous les croyons en partie élucidés;
 
il me semble ainsi que tu serais mieux compris des gens dont tu critique la poésie en ne mettant aucune passion dans ta critique; et quand bien même tu voudrais ne rien dire, cela participera aussi de cette sorte de vertue, d'une attention à te concentrer avant tout sur ton développement personnel ...
arrivé sur des hauteurs, tu dois bien savoir comme l'âme est disposée à des ouvertures magnifiques,
et cela en toutes choses...
 
quand tu saura les choses de ton âme, tu sentira sans doute un plaisirs et une félicité immense,  
alors tu pourra descendre de ta montagne, et partager avec les hommes ce que tu aura compris sur le beau,
le vulgaire, le facile, etc...
 
il y aura toujours un shaolin pour t'attendre
http://planetquake3.net/images/new/Railg.jpg
 
 :hello:
 
http://www.edit.fr/img_site/logo.jpg conjugaison


 
De l'art d'extrapoler, d'interpréter, de déformer, etc...
En gros, tu me démontres que ton éloquence, ce n'est finalement rien qu'une forme d'éjaculation cérébrale que ta syntaxe et ta conjugaison, plus concrètes hélàs, ont tôt fait de ramener à la réalité ?

mood
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Posté le 15-05-2006 à 22:50:07  profilanswer
 

n°8423278
Pazou
Pas de bras, pas de chocolat.
Posté le 16-05-2006 à 21:36:13  profilanswer
 

Ce que je n'ai pas apprécié dans ton post précédent, outre les faits que je t'ai reprochés, c'est également le ton condescendant que tu as pris pour m'interpeler. Ceci dit, ce n'était peut-être qu'une maladresse de ta part...
En ce qui concerne ta toute dernière intervention, je persiste à penser que tu interprètes mal mes écrits. Tu dis que mes critiques ne sont que pures pertes de temps car elle demeureront incomprises selon toi. Je conteste. Je n'ai pas l'impression que gkilima n'ait pas compris mon point de vue. Si j'ai critiqué son poème, je crois qu'en contre-partie, il a su accepter et comprendre cette critique. D'ailleurs, il n'y avait aucune méchanceté dans mes interventions et il l'a bien ressenti. Ainsi, si le but initial du topic demeure de poster les poésies que l'on a écrites, quel intérêt y'aurait-il à celà si l'auteur n'attendait pas des critiques en retour ?
Et bien entendu, tu extrapoles toujours en faisant l'étalage de considérations philosophiques qui, outre le fait que je m'en batte les couilles, n'ont pour but que de faussement élever et/ou un complexifier un débat qui n'existe pas.
Il s'agissait d'une critique et d'un point de vue. Si tu veux parler de tes lectures actuelles et leur donner de l'envergure, j'aimerais autant qu'à l'avenir tu choisisses une autre cible que mes posts.
En plus, je ne me sens définitivement pas le courage et la maturité pour parler de philosophie.

n°8425182
gkilima
Posté le 17-05-2006 à 00:10:06  profilanswer
 

Bonjour tout le monde. Je vois que la conversation a pris la malheureuse tournure d'une battle de réthorique où yufkaguard  
semble seul combattre. D'autant yufkaguard que la seule accusation que tu portes en délayant à l'infini dans un verbiage agréable et prétentieux, erre à la recherche d'un conflit et n'a pour cible que l'accusation portée sur mon texte par Pazou qui, de surcroît n'en était pas une. Autrement dit ton édifiante offensive philosophique partait déjà d'une erreur d'interprétation. Bref, le sujet sur lequel il m'importerait moi de te lire, ce qui m'importerait moi de te voir écrire, concerne davantage la poésie elle-même, et si tu veux t'attaquer à Pazou, fasses le sur la critique qu'il a proposé de mon texte par exemple, critique de laquelle ton inconséquente véhémence a surgi. J'aimerais notamment que tu étayes cette insulte avec élégance et pertinence : "t'imagines-tu, à leurs niveau de poésie, te faire critiquer ?"  
Et pour rebondir sur les mots de Pazou, en effet j'ai compris ta critique pour ce qu'elle faisait écho à quelques unes de mes préoccupation, à savoir l'actualité, la permanence ou la désuétude de la poésie 'classique'. En revanche, ma position sur le sujet reste contraire à la tienne. Merci des textes que tu m'as envoyés, j'attends d'être au calme pour m'y pencher attentivement. Et pour de nouveaux orages au-dessus de mon Parnasse :  
 
Bleu
 
Ô Bleu d'encre et Bleu d'azur;  
Bleu de larme en contorsion,  
Bleu du drame, ô bleu blessure
Toujours nu sans tors sillons !
 
C'était le temps sans teint des choses éternelles !
Où brillait au ciel ton seul brillant verni !
Etale en ton printemps, tes étangs bleus charnels
Exhalaient dans ma vie ta fièvre infinie !
 
J’ai voulu la serrer fort, ton évanescence,  
M'affamer, insatiable, au verger de l’essence :
 
Ivre mais ivre de ton bleu,  
Dans ton abîme j’ai glissé
Mon cœur y est tombé, sableux...
Je t’ai perdu, tu m’as laissé.
 
Depuis je passe des heures  
Si lamentables d'amour
À me languir de tes heurs
Et suppliant ton retour !
 
Depuis je reste là, coi, mordu par le vide,
Sans bouger respirant ton absence impavide.
 
Et je déchire ma poitrine
À ton image repensant :
"Eh ! Quelle éclatante vitrine !"
J'y voulais voir couler mon sang !  
 
Regarde-moi ! Bleu des lointains,  
Ne suis-je pour toi qu'un fretin ?  
Et notre amour ? Beau celui-là,  
Le coulas-tu dans tes lilas ?  
 
Aurais-tu laissé sur tes lèvres se tarir
Le goût que mon coeur aimait cueillir et souffrir ?  
Je le veux éprouver encore ce vertige,  
Ce feu de ton corps où l'immobile voltige.
 
Où donc es-tu tapi, doux fauve mystérieux ?
Quelque part dans la nuit, quelque part de tes yeux ?  
Où me quittes-tu, fluide, amant, génie !
Quel est donc ce pays secret d’où tu diriges  
Le fol agissement, cette cérémonie
De ton astral pigment ? Mais d’où tu me négliges !
 
Anhydre et raide et désertique,  
En ton miracle j'ai séché,  
Comme une fleur faible d'Afrique,  
Que maints bleus rayons ont fléchée.
 
Désormais que je ne vois plus,  
Que sur mon oeil elle a trop plu
La pluie des cendres du monde,  
 
Jusque dans le noir immonde,  
Pitoyable je supplie :  
N'être plus de toi rempli !
 
Au coeur de ma Nuit des Temps
Ebloui par ton Bleu trésor
Je cours, je crie mais je n'entends  
Pas un seul mot de réconfort.
 
Mais ton murmure sourd aux tréfonds de l'azur,
Ton souffle d'absolu tressaille dans les airs  
Jusque dans mes frissons vaporise un éther...
Je veux mon cercueil oint de ta seule lasure !
 
 
 

n°8427145
Pazou
Pas de bras, pas de chocolat.
Posté le 17-05-2006 à 11:05:51  profilanswer
 

yufkaguard a écrit :

:pfff:  ... dialogue de sourds
tu ne fais aucun effort pour que je te comprenne, et j'ai l'impression que c'est toi qui 'extrapole' mes phrases.


 
Je n'ai nul besoin de faire un effort pour te comprendre.
Ce que je constate, c'est que tu débarques ici comme un cheveux sur la soupe en divaguant, en balançant tout un lot d'élucubrations et d'inepties qui n'ont qu'un seul but, faire l'apanage de ta cuistrerie et de ta pédanterie. Je ne me voile pas la face. Ton élévation n'a rien de spirituelle, ni d'intellectuelle, elle est purement égotiste.
 
 

yufkaguard a écrit :

condescence, méchanceté, philosophie, éloquence  :hello:  
de quoi tu parles donc ?


 
De tes (inintéressantes) interventions...
 
 

yufkaguard a écrit :

je n'ai pas dis que tes critiques étaient pures pertes de temps, aussi je ne passerais plus 20min à t'écrire,
pour que tu réponde par 'ce que tu crois avoir compris' et qu'on perde tous deux notre temps
 :hello:

 
 
 
Pourtant, tu as écrit:
 
«je voulais te faire comprendre que la critique peut se faire dans le silence,  
que chaque minute que tu passe à critiquer des gens, en sachant qu'il ne comprendront rien à ce que tu leurs dis [...], c'est perte de temps ...»
 
Deux choix s'offrent à moi:
- soit tu te contredis
- soit tu parlais d'une généralité - dans ce cas, je n'étais alors pas concerné - et je ne comprends donc définitivement pas l'intérêt de cette intervention
 
 
Néanmoins, il y a une chose sur laquelle nos esprits s'accordent: l'idée de ne plus passer 20 minutes à m'écrire.

n°8450348
Densel
Posté le 19-05-2006 à 18:18:23  profilanswer
 

:ouch:  Tu risques de devenir un poète incompris...

n°8450747
Profil sup​primé
Posté le 19-05-2006 à 19:10:04  answer
 

Pourquoi la photo d'un gauntlet a la fin ?

n°8496116
kayro
Tibet Libre!
Posté le 24-05-2006 à 23:13:03  profilanswer
 

edit : j'efface c'est trop mauvais


Message édité par kayro le 21-10-2006 à 21:33:50
n°8499750
kayro
Tibet Libre!
Posté le 25-05-2006 à 12:42:10  profilanswer
 

mealin et yufkaguard, merci d'avoir pris le temps de me lire et de m'avoir donné vos avis  :jap:  
 
Comme toi mealin :"je déteste reprendre un poème après coups car pour moi le sentiment fugitif qui t'as poussé à l'écrire à forcément un peu changer", donc je pense pas que je le modifierai, même si j''ai bien conscience pourtant qu'il y a quelques trucs un peu too much, mais bon je laisse, c'est l'impulsion du moment.
 
J'ai pas tout lu vos productions, mais le peu que j'ai lu m'a semblé sympa.
 
Qu'importe les critiques potentielles, les erreurs de ceci celà, l'essentiel est d'écrire, de s'exprimer, tout et n'importe quoi allez-y, allons-y, et je fini avec ses vers de Ferré :
 
"On ne lave pas la poésie,
ça se défenestre et ça crie
au gens perdus des mots feriés"
 
Paix à tous!

n°8540133
Pazou
Pas de bras, pas de chocolat.
Posté le 29-05-2006 à 23:09:05  profilanswer
 

yufkaguard a écrit :

:) les réactions que je craindrais plutot à ta place c'est :
'salut  ben écoute jsui trop un génie twa, ici le niveau c'est d'un siècle en arrière alors bon des poêmes j'en ai plein mais je te les envois en MP, comme ça tu peut juste dire ici comment qu'ils sont bons'
et bla bla bla  :lol:


 
Mesquin et bas... Il va de soi que je ne vais pas prendre la peine d'y repondre.

n°8554526
oFeaR
Posté le 31-05-2006 à 14:33:59  profilanswer
 

Toi, seulement Toi.
 
Au fond de ce long couloir je t’aperçois,  
Tu es si loin de moi je m’approche de toi,  
Je désire te toucher, te prendre dans mes bras,  
Le temps devient long tu es si belle je suis las.  
 
Ta silhouette se dessine, dessinée par les anges  
Une Œuvre, de doigts de fées, sculptée par Michel-Ange.  
Mon Cœur, mon cœur s’enivre de ta douce odeur  
Et tes yeux me transpercent de leurs éclairs brunâtres.  
J’ai peur de ne plus te plaire, d’une peur blanchâtre  
 
Et mon cœur incessant ne cesse de t’attendre,  
Sa flamme s’embrase de notre amour brûlant.  
Tu arrives avant qu’il ne se consume en cendres,  
M’embrasse, Je t’aime, ton Amour, je n’existe sans…
 
Un deuxième pour le plaisir  :ange:  
 
Vivre heureux.
 
L’abnégation n’était pas ma plus grande vertu  
Devant cette jungle ardue elle est vite devenue  
Mon seul artifice quand, pris au dépourvu,  
Des ronces, des fougères, des feuilles me sont apparues.  
 
Afin d’éviter le pire j’ai tenté de m’enfuir  
A présent mon seul désir était de m’en sortir,  
La Nature m’en voulait, son souhait : me faire payer  
D’avoir ainsi violé sa sainte propriété.  
 
Courant, bravant la terre je me suis extirpé  
De l’horrible enfer qui se dessinait sous mes pieds.  
Il avait usé mes mains, brûlé, cassé ma peau  
Mais j’en étais sortit, si ce n’est plus, aussi beau.  
 
A présent mon seul souhait était de goûter  
Aux plaisirs d’exister, en douceur j’ai crié  
Aujourd'hui j’ai compris ce qui était la Vie,  
Pris de chaleur je goûtais enfin au bonheur,  
 
Une bataille incessante digne d’être livrée  
Afin de connaître ses secrets bien gardées  
Qu’elle détenait et que seuls pouvaient déchiffrer  
Ceux qui profitaient d’être un jour né.

mood
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Posté le 31-05-2006 à 14:33:59  profilanswer
 

n°8556097
oFeaR
Posté le 31-05-2006 à 16:48:30  profilanswer
 

Que veux tu dire par là ?

Citation :

m'ont fait tiquer

 Merci pour le compliment

n°9386166
Profil sup​primé
Posté le 01-09-2006 à 23:40:57  answer
 

La terre est éphémère,
C'est une gigantesque égérie légère.

n°9392028
cloclo181
Posté le 02-09-2006 à 19:32:29  profilanswer
 

Une matinée d'amertume
Comme le gout salé de l'écume
Une douleur profonde
Qui ouvre une plaie
Qui ne cicatrisera jamais
Dans un coeur devenu si sombre


---------------
[:syd de mysar]I'm the wishper in the wind & I'll be there untill the end [:atari]
n°9392052
cloclo181
Posté le 02-09-2006 à 19:35:43  profilanswer
 

Orgueil de ton coeur et noirceur de ton ame.
Tu ne reflette que l'extasie de ces femmes,
Qui ont sues t'aimer et se faire aimer de toi,
pour un court instant ou tu les rejetteras.
 
Tu changes d'apparence comme un caméléon.
Dans le but d'attirer et de séduir ta proie,
Mais tel Narcisse tes arrogances te perdrons.
Dans la limpidité de l'eau tu tomberas.


---------------
[:syd de mysar]I'm the wishper in the wind & I'll be there untill the end [:atari]
n°9392072
cloclo181
Posté le 02-09-2006 à 19:37:55  profilanswer
 

Tu es ma muse, mon esprit.
Nous ne formons qu'un à l'infini.
Ta main dans la mienne, ton regard dans le mien,
C'est l'union parfaite entre deux êtres humains.
L'amour vit, l'amour meurt.
Mais ou il grandit, je serait là en attendant ton coeur.


---------------
[:syd de mysar]I'm the wishper in the wind & I'll be there untill the end [:atari]
n°9393660
romualdzzz
Silencio
Posté le 03-09-2006 à 00:14:41  profilanswer
 

Elle tourne et tourne la ronde des enfants,
Ils viennent se fondre parmi les grands,
Se tiennent, se maintiennent à nous de leur bras,
Nous serrent, lacèrent nos mains de leurs doigts.

n°9906366
paprika en​ herbe
Posté le 09-11-2006 à 17:34:18  profilanswer
 

C'était ton premier amour
C'était ton premier émoi
Elle avait juré pour toujours  
De rester prés de toi
Mais le temps a passé
Et son amour a fané
Tu pensais pour la vie
Toi l'amoureux transi
Tu la voyait s'éloigner
Mais ne pouvais t'y résigner
Elle, courait vers d'autres bras
Ceux d'un autre que toi
Puis en ce jour maudit
Devant chez elle tu les a surpris
La vérité s'est imposé à toi
Elle s'était éprise d'un autre gars
Des souvenirs te sont revenus
Ceux d'un amour vécu
Tu n'avais plus de raison d'être
Une nouvelle histoire venait de naître
Alors tu décida d'en finir avec la vie
Et en ce jour maudit tu es parti
Emportant avec toi la clé de votre paradis.
 
 
 
Comment te dire tout ce que je ressens pour toi
Alors que c'est a peine si tu ose poser les yeux sur moi
Je t'avais juré de t'aimer
De rester à tes côtés
Mais les sentiments grandissaient en moi
Et lors d'un instant de recul je fus prise d'effroi
Ce jour là je me suis tourné vers un autre
Et bien que mes regrets soient immenses
Tu n'arrives pas a pardonner ma faute
Mais le plus dur est d'avoir perdu ta confiance
Je sais qu'aujourd'hui je dois faire preuve de patience
Même si pour moi, nous deux c'est une évidence.
 
Paprika.
 
 [:augie]

n°9914485
Wes78
Posté le 10-11-2006 à 17:58:54  profilanswer
 

Mes deux derniers poèmes, pas follement gais mais ça reflète un état d'esprit; désolé je n'ai pas pris la peine de leur trouver des titres:
 
Parfois la vie m’emplie
D’une sombre terreur
Une lame, quelques cris
Derniers actes destructeurs
 
Que me sers de rester ici
Je brûle, et je suis las
Partout le vice, l’hypocrisie
Et la peine que j’amasse
 
Y a-t-il une voie, une issue
Aux pleurs, à la douleur
Puisque mon âme est déchue
C’est vers le vide que je me rue.
 
        *****************
 
Dussé-je patienter
Durant mille éternités
Que je n’eu point capté
L’ombre d’un seul regard volé
 
Fasciné, puis révolté
Tour à tour, des sentiments mêlés
En moi viennent se heurter
 
Ces yeux cachent l’ignorance
De mon tourment, de ma souffrance
D’un songe chargé d’espérance
De la foi en une possible alliance
 
Mais cette passion, inaltérable et cruelle
Sans cesse susurre, comme une ritournelle
Qu’elle n’est pas mienne, et que je ne suis pas à elle.

 
Pour le premier je ne suis pas super fier des deux derniers vers, mais bon je ne l'ai pas retravaillé depuis que je l'ai écrit. Tels que vous les voyez, ce sont des premières ébauches.
 

n°9915406
paprika en​ herbe
Posté le 10-11-2006 à 20:04:44  profilanswer
 

J'aime bien le deuxiéme  :love:

n°10620378
doudou44
Posté le 10-02-2007 à 21:28:14  profilanswer
 

Un jour peut être le soleil brillera
Sans ces nuages éparses qui filtrent ses rayons
Ce jour, les doutes tenaces s'envolleront
Laissant place doucement à une immense joie
 
Malheureusement, cette lueur d'espoir n'est point là
Permettant à la tristesse de garder le pouvoir
Un jour sans doute le blues disparaîtra
Laissant place tranquillement à l'ivresse sans boire
 
Un jour espéront que les rêves se réalisent
Que sans feu le desespoir, des pensées soient émises
Ce jour si il arrive sera signe de délivrance
Et dénigrera enfin ce mot abstrait: Chance
 
Malgré les erreurs et les défauts avoués
Malgré les complicités ou actions effectuées
La seule façon concrête de réussir un jour
C'est de trouver enfin le premier amour
 
Mais pour parvenir à celui-ci, faut être combattant
Riposter aux assauts et maintenir son dévouement
Un jour, normalement, le soleil brillera
Laissant place finalement à la vie...simplement
 

n°10639890
Profil sup​primé
Posté le 12-02-2007 à 22:57:28  answer
 

Combien ai-je connu d'heures douloureuses,
De nuits si froides que mon sang se glaçait,
D'éternités si seul rêvant du passé,
De moments où tu étais triste ou heureuse?
 
A la place de mon coeur un énorme abîme se creuse,
Où se vident encore lentement mes souvenirs éffacés,
Oubliant même la manière dont tu pouvais m'enlaçer
Ou encore ces paroles qui faisaient de toi une rêveuse.
 
Même si tu te reposes dans les bras des anges,
Je sens encore ta main douce caresser mon coeur,
Sensation si chaude accompagnée de douleurs.
 
Mais tu ne pourras jamais quitter ces rêves etranges
Ne mêlant qu'obsessions et réalité,
Je sais qu'au fond de mon coeur, ton amour est resté

n°10764321
Profil sup​primé
Posté le 26-02-2007 à 18:11:07  answer
 

Le petit endroit.
 
Vous qui venais dans une humble posture,
De vos flancs alourdis décharger le fardeau.
Veuillez quand vous aurait soulagé la nature,
déposer dans l’urne un modeste cadeau.
 
Epancher dans l’amphore un courant d’onde pure,
et sur l’Auteuil fumant placé pour chapiteau,
le couvercle arrondi dont l’auguste jointure,
aux parfums indiscrets doit servir de tombeau.
 
A. de Musset
 
C’était affiché dans les wc chez mes grands parents.
A force d'y aller faire caca, je commence à le connaitre par coeur...  :whistle:  

n°10768779
Profil sup​primé
Posté le 26-02-2007 à 23:48:22  answer
 

c'est marrant ^^
 
(par contre c'est HS c'est pas un poeme "propre" à toi :p)
 
allez apres le succes du premier j'en mets un deuxieme
 
 
Le cœur vidé de sang, vidé de sens
Je me suis perdu, dans les dédales de mes veines
Où ne coulent plus, que les sanglots de mes peines,
Torrent de larmes qui se nourrissent de ton absence.
 
Chaque jour est la quête d’une perpétuelle souffrance,
Croyant que je retrouverai, en me jetant dans la gehènne,
Celle pour qui mon souffle tremble et mon cœur saigne,
Parcelle de moi-même qui en était l’incandescence.
 
Pour apaiser ma douleur, j’ai déposé sur le Léthé du Tartare,
Ce fleuve sans commencement ni fin qui nous sépare
Ces quelques mots que je fais voguer sur ce radeau de feuille.
 
Je t’ai ouvert mon âme pour que tu lises à travers.
Puisse ton corps ne pas sentir ces milliers de vers
Qui sous ce marbre se nourrissent de mon deuil.

n°10771442
laster92
Non aux pseudos à numéro !
Posté le 27-02-2007 à 11:55:30  profilanswer
 

Allez, deux petits poèmes d'amour...
 
A la lumière des jours heureux
Je vois ton visage
Si clair
Et je tombe
De désespoire
En pensant que
Jamais peut-être
Peut-être l’oubli
Me sortira  
De toi
Tu ne m’aimeras
Alors l’espoir
Perdure
Court dans tes cheveux
Noirs et frais
Sème sur ta bouche
De portrait
Le sens d’une vie.
 
 
Douceur, friandises
Ton odeur m’élèctrise
Et mes poils se dressent
Quand tu souffles dans mon cou
Avec tendresse
Les mouvements gracieux
Les fines expressions
De ton cœur
Sont des délices
A nul autre rival
Il suffit que ta grace
Se dévoile
Pour qu’enfin  
J’hisse les voiles
Et parte avec
Toi
Vers des royaumes lointains.
 

n°10841408
gui haume
un mec qu'a la tête dur
Posté le 06-03-2007 à 23:27:13  profilanswer
 

AAArg un topic niéseux romantiques !!!!
 
 Je tiens a présciser que les rimes ne suffisent pas pour faire un bon poéme : il faut aussi des jeux de mots, allégories ou autres.
 Faire un poéme pour raconter sa vie de maniére ordinaire en se contentant de faire des rimes ou vers ne suffit pas a en faire un poéme. il faut utiliser des outils linguistiques qui permettent de faire ressortir le message, le sublimer.
 
De grands poétes disaient de la poésie qu'elle était comme un dépoussiérage qui perméttait de nous faire reprendre consciense de la beauté des choses quotidiennes de la vie.

Message cité 1 fois
Message édité par gui haume le 11-03-2007 à 17:58:16

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(\__/) Ceci est un petit lapin. Copiez/collez-le dans (='.'=) votre signature pour l'aider à dominer le monde (" )_(" )
n°10841613
gui haume
un mec qu'a la tête dur
Posté le 06-03-2007 à 23:42:52  profilanswer
 

Non mais le "un mec qu'a la tête dur" c'est un jeu de mot car un "haume" c'est un casque (j'emmerde ceux qui critiquent mon humour).
 
Il est vrai que l'on peut trouver de la beauté partout , même dans ces poémes, mais ils manquent d'originalités, et des rimes ne justifient pas ,a elles seul, une lecture


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(\__/) Ceci est un petit lapin. Copiez/collez-le dans (='.'=) votre signature pour l'aider à dominer le monde (" )_(" )
n°10841629
Profil sup​primé
Posté le 06-03-2007 à 23:44:09  answer
 

allé hop petit poeme encore
 

Embrassant tous les secrets de son corps,
Ses moindres parcelles, que Dieu m'en blâme,
Et caressant l'essence meme de son âme
Pour embraser tous les plaisirs et plus encore,
 
Son leger souffle, effleurant mes levres rieuses,
Fît fuir les interrogations de ma maladresse
Qui, au simple détour d'une subtile justesse,
La fit frémir d'une chaleur pour moi mysterieuse.
 
Pour celle dans les yeux de qui je ne trouvais que supplice,
J'abandonnais mon égoïsme pour que ses larmes glissent
Et que ses mains ne puissent plus que me retenir.
 
Par celle en qui je ne voyais plus que délices,
J'ai soudain compris qu'elle avait fait de moi, objet de vice,
Celui qui assouvissait délicatement l'once de ses désirs.


Message édité par Profil supprimé le 07-03-2007 à 02:37:13
n°10841639
Profil sup​primé
Posté le 06-03-2007 à 23:45:12  answer
 

gui haume a écrit :

Non mais le "un mec qu'a la tête dur" c'est un jeu de mot car un "haume" c'est un casque (j'emmerde ceux qui critiquent mon humour).



 
[:rofl]
 
 

Spoiler :

Et un peu de texte pour éviter le post monosmileysque mais j'ai pas pu m'empècher :D

n°10841818
Profil sup​primé
Posté le 06-03-2007 à 23:57:15  answer
 

j'ai mis la ponctuation ca doit aider un peu :p mais moi perso je prefere le deuxieme poeme que j'ai mis ^^

n°10842743
Profil sup​primé
Posté le 07-03-2007 à 02:35:55  answer
 

ah oui c'est mieux je trouve aussi ^^ merci

n°10848084
vieux slip
petites bourses
Posté le 07-03-2007 à 17:57:11  profilanswer
 

Bon je me lance avec un poème qui me tient à coeur. C'est pas très bien structuré, ça suit pas les règles de la poésie, mais c'est quelque chose qu'il fallait que j'expulse de façon brute. J'emm*rde par avance ceux qui trouveront ça mièvre (désolé fallait que ça sorte).
Dédicacé à toutes les personnes en couple.
 
Les histoires d'A finissent mal,  
En général,
Celle ci ne fera exception à la règle,
Quoi de plus normal;
Car dans les flots tu t'es noyée,  
Et par un naufrage, notre romance s'est achevée.
 
Notre relation doucement s'est nouée,
Après un repas solitaire mais richement dôté,
Cambrone était le nom de ce restaurant,
Ce souvenir hante encore mes pires tourments.
 
Personne ne comprit cette symbiose entre nous,
Probablement étaient-ils tous jaloux,  
Combien de remarques désobligeantes avons nous essuyés,  
des "Quoi? tu l'as pas encore larguée?",  
Aux mesquines "C'est du vent!",
Que tempestaient les plus médisants.
Ces quolibets bien loin de m'affecter,
En mon for, une boule me faisait pousser.
 
Crap et Diem, telle fut notre parfaite fusion,
Intensément, sans questions,
Fureur de vivre, conduites à tombeau ouvert,
Traces de pneus témoins, au rouge, à l'orange, au vert.
 
Ta robe havane et tes effluves alambiquées,
Dans mes narines à jamais imprimées,
Par des brises légères venaient me rappeler,
Deux êtres si différents peuvent-ils s'aimer?
 
Notre relation chaque jour grandissait,
Et de la fin inéxorablement nous rapprochait.
 
Pour tout ce que tu m'as apporté,
Bien au delà de ton départ précipité,  
Sur le trône ma reine je t'ai couronné,
Dans le syphon mortel tu es tombé,
Mon colombin, jamais je ne t'oublierai.
 
R.I.P.  [:vieux slip]

n°11218128
avril bois​emont
Posté le 17-04-2007 à 18:56:47  profilanswer
 

excellent

n°11266968
Pazou
Pas de bras, pas de chocolat.
Posté le 22-04-2007 à 12:20:46  profilanswer
 

gui haume a écrit :

AAArg un topic niéseux romantiques !!!!
 
 Je tiens a présciser que les rimes ne suffisent pas pour faire un bon poéme : il faut aussi des jeux de mots, allégories ou autres.
 Faire un poéme pour raconter sa vie de maniére ordinaire en se contentant de faire des rimes ou vers ne suffit pas a en faire un poéme. il faut utiliser des outils linguistiques qui permettent de faire ressortir le message, le sublimer.
 
De grands poétes disaient de la poésie qu'elle était comme un dépoussiérage qui perméttait de nous faire reprendre consciense de la beauté des choses quotidiennes de la vie.


 
Je ne suis pas d'accord.
On peut écrire de très belles choses avec une écriture très épurée, très simple, en s'émancipant de toute recherche stylistique, et ce, dans tous les genres littéraires.
J'ai souvent pensé à ça, mais plus un texte est simple, plus il est universel, car tu peux facilement le traduire sans en perdre une miette d'authenticité.
Et puis, pour t'en convaincre, lis quelques poèmes de Bukowski. Peut-être n'aimeras-tu pas du tout, mais je trouve que c'est un bon exemple qui illustre ma façon de voir les choses.
Ceci dit, ce n'est pas pour autant que je n'adore pas Rimbaud ou Prévert...


Message édité par Pazou le 22-04-2007 à 12:23:25
n°11303027
Baldug
Posté le 24-04-2007 à 20:38:15  profilanswer
 

Soyez indulgent, le troisième poème que j'écris, je viens de m'y mettre, et étant littéraire dans l'âme, j'aime beaucoup écrire de la poésie :)  Voilà mon poème intitulé : solitude.
 
 
Puits funeste dans lequel tant d’âmes tombent,  
Quand les ténèbres étendent leurs ombres,  
L’isolement creuse vaillamment une tombe,  
Enfermant l’être face à ses pensées sombres.
 
Nuit noire du cœur, vil berceau du mal-être,  
Des ses abîmes sans fonds point d’échappées,  
Méditant sur les actes dont il est maître,  
L’homme y maudit piteusement sa destinée.
 
Cherchant dans les méandres de sa conscience,  
Quelques pensées où se mêlent joie et gloire,
Vainement, l’humain y applique sa science,
Ne trouvant seul que les nuées du désespoir.
 
O être à l’agonie, perdu dans le néant,  
De ton âme isolée, je me sens l’ami,  
Faîtes qu’un jour s’arrête ce cruel tourment,  
Pour qu’ensemble, nous puissions être unis.

n°11314462
Pazou
Pas de bras, pas de chocolat.
Posté le 25-04-2007 à 17:48:09  profilanswer
 

Baldug a écrit :

Soyez indulgent, le troisième poème que j'écris, je viens de m'y mettre, et étant littéraire dans l'âme, j'aime beaucoup écrire de la poésie :)  Voilà mon poème intitulé : solitude.
 
 
Puits funeste dans lequel tant d’âmes tombent,  
Quand les ténèbres étendent leurs ombres,  
L’isolement creuse vaillamment une tombe,  
Enfermant l’être face à ses pensées sombres.
 
Nuit noire du cœur, vil berceau du mal-être,  
Des ses abîmes sans fonds point d’échappées,  
Méditant sur les actes dont il est maître,  
L’homme y maudit piteusement sa destinée.
 
Cherchant dans les méandres de sa conscience,  
Quelques pensées où se mêlent joie et gloire,
Vainement, l’humain y applique sa science,
Ne trouvant seul que les nuées du désespoir.
 
O être à l’agonie, perdu dans le néant,  
De ton âme isolée, je me sens l’ami,  
Faîtes qu’un jour s’arrête ce cruel tourment,  
Pour qu’ensemble, nous puissions être unis.


 
Je ne remets en rien ta capacité à écrire bien (ou bien écrire ?), et tu as demandé qu'on soit indulgent, mais je trouve ton style bien trop convenu.
Le registre et le champ lexical associé, la forme, tout ça manque d'originalité à mon goût. Pour résumer mon point de vue: pas mal, mais banal.

n°11537678
Zolix
Posté le 15-05-2007 à 19:40:02  profilanswer
 

J'ai vu mourrir ma mère
De cette maladie :
on l'a appellé cancer,
elle m'a enlevée la vie.

 

Le petit soleil,
ne te remplacera pas.
Non maman je t'aime
surtout ne m'oublie pas.

 

Désolé, je suis malheureux aujourd'hui.


Message édité par Zolix le 15-05-2007 à 19:48:09

---------------
http://assofedd.temidilt.free.fr | http://world-photos.skyblog.com  
n°11549220
kiwi31100
Posté le 16-05-2007 à 20:31:28  profilanswer
 

un moi un toi un tout un nous  
Un amour impossible  
Mon tout mon toi  
Ton regard ton sourire tu me fais rire …
Je pensais avoir trouvé mon idéale jusqu'à ce que notre tout se concrétise mais
Une histoire sans aboutissement car la vie ne veut pas de « nous »  alors ainsi soit-il
Une passion sans failles  
Car je ne veux que toi .. ainsi soit-il
Regardes moi…
tu me rends folle ….
Regardes moi…
tout ce qui nous entoure n’est que chimères  
Toi tu es bien réel et je t’aime.
Mon amour ,Mon bel amant mon prince charmant  
J’oublie le temps  
Parles je t’en pris  
Regardes moi je t’en supplie
Je ferme les yeux et dans mes rêve je pars …  
Penses à moi car tu sais que je t’aime ..
Jai soif de toi l’envie me ronge  
Te toucher  
Mais ainsi soit-il  
Partons chacun de notre coté  

n°11613911
PenWriter
United States of America
Posté le 23-05-2007 à 22:12:31  profilanswer
 

C'est peut-être pas mal mais ce n'est pas du tout mon style :)

n°11622969
Arwen Etoi​le du Soir
Posté le 24-05-2007 à 19:31:44  profilanswer
 

C'est la première fois que je viens sur ce topic, je n'ai lu que quelques poèmes mais je trouve ça bien.
Pour le français on devait écrire un poème dans le style romantisme et comme je trouve ça bien (enfin je suis contente de moi c'est la première que je réussi à faire un truc en alexandrin où il n'y a pas que des eh ah alors et qui fassent plus de 7 vers)
 
 
Si au fond de mon âme on pouvait deviner,
Les terribles épreuves que j’ai du endurer,
Mais aujourd’hui encore, je ne suis pas tranquille,
Il m’arrive de vouloir m’envoler sur cette île.
 
J’aperçois les montagnes par-delà l’océan,
Elles, si belles, si sauvages sous le soleil couchant.
C’est l’île isolée que je vois parfois en rêve.
Je lui confis une colère qui se lève.
 
Mes rages, mes sanglots se brisent sur ses falaises,
Le vent balaye ma colère qui s’apaise.
Mais la nature ne me montre pas la voie,
Alors je erre sans fin, je me cherche, moi.
 
Une simple réponse ne suffirait-elle pas,
A expliquer la vie, comprendre le pourquoi ?
Je cherche mon chemin au milieu des étoiles,
Attendant la vérité cachée sous le voile.
 
Un puits d’incertitude, un univers sans fin,
M’envahit chaque jour pour me hanter toujours.
J’ai fini d’espérer qu’on me tende la main,
Dans un monde où la haine remplace l’amour.

n°11631254
cristal da​mbre
Posté le 25-05-2007 à 14:23:43  profilanswer
 

Osama a écrit :

Verre de vin, mon bel ami
Avec ta jolie robe et ton doux parfum
Tu es plus belle qu'une femme
Et tu es fidèle dans la nuit


 
 
Je suis certaine que mon père serait de ton avi  :D  :)

n°11631263
cristal da​mbre
Posté le 25-05-2007 à 14:24:26  profilanswer
 

rogr a écrit :

Je nique ta mère
Je nique ton père
T pas content ?
Va braire !
 
 :sol:


 
Plutôt nul à chier  :pfff:

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