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webzeb a écrit a écrit :
Petites précisions sur le mode 2 passes:
Lors d'un encodage en deux passes, la première ne consiste qu'en fait à analyser le film, en simulant une compression. Ul a en fait eux avantages principaux:
Il permet de repérer les passage "difficiles" du film, et permet une réaprttion "idéale" du bitrate entre les différentes scénes. Par exemple, si vous voulez un birate de 1000kbps, et que le film contien une moitié qui bouge bcp, et une partie statique, il allouera 500kbps à la partie lente, et 1500 à ce qui est en mouvement. (c'est un exmple très grossier, mais ça permet de comprendre le principe)
L'autre avantage, c'est que normalement, lorsque l'on encode avec un bitrate variable (cad que le débit de données n'est pas constant, mais s'adapte aux besoins), il est extrêmement difficile de prévoir la taille finale du fichier. En répartissant le bitrate efficacement, le mode 2 passes supprime en grande partie cet inconvénient, et permet une prédiction efficace de la taille du fichier...
Néanmoins, encoder en 2 passes revient à compresser 2 fois le film, et donc, cela prend...deux fois plus de temps!
voilà
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Tu oublies de préciser que cette répartition du bitrate 'intelligente' propre au mode 2 passes ne peut fonctionner que dans les limites imposées au codec. Essaie d'encoder un film en 1200 kbps avec une première moitié de noir (encodé à 20 kbps) et l'autre moitié avec un clip hyper rapide. Cette deuxième partie ne sera pas à 2380 kbps... du fait des limites internes : réduction des détails, quantification matricielle (qui bloque à un moment, sinon plantage du codec), etc.
Donc ce fonctionnement "VBR" est tempéré par le réservoir de bits qui tient compte non seulement de la taille/bitrate final voulus, mais aussi de la compressibilité du film :) Ce qui explique qu'on puisse arriver à des résultats un peu undersizés même en 2 passes. |