Reprise du message précédent :

 
C'est ainsi que réceptionnant un paquet qu'icelui apportait, la concierge commenta en ces termes forts choisis ce que lui inspiraient les moustaches sombres et fournies de l'ottoman à bicyclette:
Tout le charme de l'Orient;
Moitié loukoum, moitié cigüe;
L'indolence et la cruauté;
En somme le coran alternatif.
Car ledit homme, peu sérieux comme en témoigne son non respect du photographe portraitiste poselonguien, était un guignolo.
Ayant pris l'habitude de prétexter une douleur afin de s'éclipser laissant la surface sensible impressionner le vide intersidéral de son absence, métamorphosant par ce comportement tant primsautier que trivial la vélléité de représentation du réelle de l'artiste photographe en une allégorie de l'absurde brechtien beckettien par laquelle l'abence de Godot se fait remplaçante de celui qui l'attend, l'homme de lettre (car enfin on ne s'improvise pas facteur sur simple présentation d'une carte de la LCR), de son prénom mustapha, se vit surnommé mustapha qu'a mal. Quand on le rappelait, on l'apostrophait ainsi: Mustapha qu'a mal ! Attend turc !

n'oublions pas que akhmed nie  

 
Edité  
 
No, I'm not a terrorist

Faudrait avoir le droit de critiquer les modèles sur ce topic
Et les vôtres devraient changer de métier

dans le post historique de la_salace au début du topic, y'a un anachronisme.... 1937, puis 1849 et 1850.....

Coup de coeur pour ce cliché...

j'en reveux
magnolio  

ouiiiiii
magnolio  

Un autre aspect du portrait en pause longue qui n'a pas été abordé tiens ... le portrait à l'infrarouge !
 
Ou comment tenir plus de 30 secondes de pause en extérieur de journée et même par fort soleil    
 
Pour illustrer mes dires :