Reprise du message précédent :
 
 
J'aime bien ça

Je sais pas...  
Une version sans sharpen  
 
http://perso.orange.fr/photos.guizmo/forums/7.jpg

 
j'aine bien aussi, le contraste la compo toussa quoi
 
c'est quoi la pelloch?

celle du type avec son parapluie est la compo est très agréable

 
ah ouai bcq mieux comme ca.
tu vois vraiment des belles choses

 
Trop difficile cette question   Mais je me trouve souvent à Lille, Région parisienne, ou Toulouse. Divers et vagues endroits sur cette ligne    
Si tu as une idée...
 
 
 
Oui, moi je prends. Mais effectivement il y a quelque chose de perdu, une dynamique bizarre. Je ne trouve pas quoi. Peut-être que le carré lui va mieux c'est vrai.

Amiens !

fake, c'est une ville fantome

certes mais avec au moins un bon photographe  

y'a un autre photographe la bas
 
 
 
 

Non, l'aut' fois j'ai vu passer une oie

Merci Seb

 
Bah oui... Le vendeur de photo
Et pleins de touristes à la Cathérdrale

j'x poste encore, mais comme c'est ma galerie, m'en fous
 

j'aime
 
t'es beau mec quand même quand tu souris ...

sebcaillou a écrit :
 
certes mais avec au moins un bon photographe
 
 
et un play boy  
 
belle auto portrait    

Merci les jeunes, et les autres aussi

qu'est ce qu'elle est bonne celle là  
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

ça roupille ici

Je sais

Oui, et ALORS????

 
 
Ste Rita, patronne des causes déséspérées

ma préférée

 
(photo accolé au texte de cette chanson : http://teruosen.free.fr/musique/mp [...] aradis.mp3 de tEru)
 
 
Je suis loin du paradis
Isolé dans mes palabres maudites
Tandis qu’à coté de moi
Est blottie contre ses rêves
La jeune fille de la trêve
 
La douce pluie qui calme la guerre
Entre hier et aujourd’hui
Tout deux parents de mon avenir
Garants du meilleur et du pire mais surtout
Du vivre dans le bonheur
 
Je suis loin du paradis
A quelques encablures a peine de la peur
 
Ou du dernier soupir
Du cauchemar, du destin
Fatal et mesquin
Avec un stylo et une feuille pour cercueil et puis cette encre
Qui coule sans fin
 
Affamée de mots sans virgule ni point
Sans prologue ni fin
Sans aurore ni crépuscule
Sans excès sans rature
 
Comme des extraits d’existence donnés en pâture
des consciences sans attraits
 
Je suis loin du paradis
Et autant de l’enfer
Mais je suis avec elle
 
Entre ses larmes et ses soupirs
Ses rires et ses sourires
Qui se dressent contre mon tas de souvenirs
Glaces et un avenir raye
Dont je creuse la tombe en remplissant des lignes immaculées
 
Comme si le temps s’arrêtait
Quand elle pose un regard sur ma vie
Juste pour une seconde, féconde
Mère d’instants fragiles
Que je défendrais au péril
Dune vie futile
 
La plume comme seule lame aiguisée et affûtée
Par des larmes de crocodiles
 
Je suis loin du paradis
Dans un monde de paradigmes et de paradoxes
Qui s’expriment dans la modeste prose de ce texte
 
Simple tas de lettres griffonnées pendant un rêve
Ou mes pires chimères dérivent
Et ou son doux parfum m’enivre
 
Je suis loin du paradis
Et je la contemple
Dans sa douce torpeur
Dans un silence de temple
Et je m’évade dans ses yeux clos
Chercher le socle de ma nuit
Alors que mes démons sont partis
Et que mes rêves restent ici
 
Je suis loin du paradis
Mais juste avec elle
 
Elle est la flamme de la bougie
Quand je tremble dans la froideur de la nuit
Quand je hais mes souvenirs
Elle est le cocon de la chenille
La pluie qui calme l’orage de l’été
Et qui fais que je revis
Je suis loin du paradis
 
Je suis loin du paradis
Si loin du paradis
 
Et je renais
Dans un réel
Qui jadis m’avait abandonné
 
A une petite apocalypse
Mais aujourd’hui je suis sorti
Et j’écris
Avec son visage dans mon esprit
 
Sa présence comme condition de mon équilibre
Elle est mon honneur retrouve
Mon bonheur venir
Dans un lieu béni
Et qui fleurit aujourd’hui
 
Comme ces quelques vers sur un papier
Comme ma voix sur une mesure
 
Comme ces paroles que tu écoutes au fur et a mesure
Pleines de sens pour moi,
Mais peut-être absurdes
 
Je me moque du temps qu’il peut me rester vivre
Persuade de survivre
Dans une mémoire du bonheur
Ou je signerais mon nom
Juste cote du sien
Dans un ultime brouillon de texte
Avec un honneur et un sourire
Que je commence recouvrer
Comme si enfin je renaissais
Enfin
Je suis loin du paradis
Mais juste avec elle
 
Elle est la flamme de la bougie
Quand je tremble dans la froideur de la nuit
Quand je hais mes souvenirs
Elle est le cocon de la chenille
La pluie qui calme l’orage de l’été
Et qui fais que je revis
Je suis loin du paradis

sympa la dernière, t'as arrété d'explorer le monde du flou ? ou c'est simplement une série ?

Dommage qu'elle soit un peu floue

il est encore en comvalescence de flou      

Moi je l'aime telle quelle, le flou ne me pose pas de problème

ça s'appelle être décomplexé
 
 

Possible !
En tout cas, ça rend bien au tirage ! (warmtone FB+Eukbrom )

ça me gène pas non plus    
 
 
le warmtone  

Dans de l'eukbrom, j'ai rarement vu des noirs aussi profonds !

pareil !

j'aimes bien ton autoportrait, surtout le rendu plus que ta tronche, c'est tres tres doux en tout cas, j'aurai d'autre chose a dire, mais on ne critique pas le modele

t'as pas essayé en virant un peu a gauche et en bas

   
 
Si t'as des trucs à re-dire sur ma tête, ma mère va t'fracasse la tronche

Pas con

Ca manque d'ame ces dernieres tophs

Oui... T'as raison..  
J'ai besoin de faire des photos, je les poste, mais je sais que ça manque d'un truc..

Je vais peut-être sortir une connerie, je trouve que certains portraits récents trouveraient leur expressivité avec simplement un peu plus de piqué. Je me sens loin de ces personnes, bizarre.

Sur lesquels ?  
 
Après, j'arrête de poster....
 

Sur ces derniers par exemple. Mais c'est peut-être tes contrastes en fait qui me laisse dubitatif. Même si tu débouches, ce sont souvent des visages difficiles à lire par contre jour, ou simplement quand un vêtement est tellement clair qu'il attire l'oeil plus que la trogne.
 
 
 
 
 
Meuh non n'arrêtes pas ! Toutes tes séries sont intéressantes