Il y a une forte progression de tueurs fous d'une 20 aine d'année en moyenne qui un jour pètent les plong et tuent tout le monde ses 10 dernière année dans le monde. C'étais une partie de la soirée théma de se soir sur Arte avec débat. Je trouve qu'ils ont mis en cause un peux trop les jeux vidéo genre Counter Strike, Quanke 3... Heureusement qu'il n'ont pas parlé de AVP2 ou DOOM3...lol
Un des tueurs, interviewvé en prison expliquais son délire lors d'un massacre genre j'étais en trance...comme dans un doom like et je tuais tout le monde...Il reconsituais la scène filmé comme un doom like...
Hé bé, ils devraient plutot remettre en cause le l'état de notre société en général avant de juger comme ça... les jeux sont un échapatoire a notre triste réalité et non pas notre triste réalité est du aux jeux vidéo...Je préfaire exprimer ma violance en tuant une bonne centaine de montre que de l'exprimer sur quelqu'un de vivant. Nous ne sommes que des hommes confiné dans un monde ou l'on nous laisse que peux de place pour s'extèrioriser a la fois phisiquement que psychologiquement.Le jeux reste un moyen d'eprimer cette violence qui en chacun de nous...Longue vie au Doom Like bien sanglant...
http://www.arte-tv.com/home/home.jsp
"Le jeu préféré du forcené d'Erfurt Robert Steinhäuser était "Counter Strike", jeu en réseau dans lequel s'affrontent 5 terroristes et 5 policiers. L'Allemagne - troisième marché au monde pour les jeux violents - compte à elle seule 500 000 accrocs à ce jeu.
S'agit-il d'un marché porteur pour l'armée ? Il semblerait que oui : à la fin des années 1980 déjà, le Secrétaire d'Etat Alexander Haig se félicitait de cette "génération parfaitement formée à réagir", et l'armée américaine finance depuis 1999 l'Institut des Technologies Créatives (Institute for Creative Technologies ou ICT), qui développe des programmes d'entraînement militaires en coopération avec les grands de l'industrie du jeu et de l'industrie des loisirs. Ces programmes sont vendus également comme jeux informatiques.
Alors que les joueurs, qui considèrent que la violence de ces jeux est un détail sans importance, se préparent à des compétitions, les militaires parlent de "simulateurs de mise à mort". Tandis que les psychologues mettent en garde contre l'abrutissement et la montée de l'agressivité provoqués par les jeux, les joueurs et l'industrie des jeux se plaignent qu'une génération soit dénigrée.
Une mise à l'index de certains jeux peut-elle être une solution, ou risque-t-elle plutôt de susciter "l'attrait de l'interdit" comme le prétendent certains ?
Notre film aborde ces questions en donnant la parole aux acteurs, et explore les conséquences de ces jeux violents sur le psychisme de nos enfants."