Coucou,
 
Noël approchant à grands pas, j'ai envie de me faire un petit cadeau: une nouvelle souris. J'utilise actuellement une Microsoft Intelli Mouse 3 dont je suis pluôt satisfait (mais les patins commence à s'user et niveau précision, c'est pas le top)
 
Mes utilisations: DAO (environ 7h/jour), jeux (1 à 2h/jour) et surf (1h/jour).
 
J'ai repéré ces souris:
- logitech MX510
- logitech MX518
- logitech MX1000
- logitech G5
- razer DiamondBack
 
J'ai lu beaucoup de topics, beaucoup parle du jeu mais pas du reste (notamment DAO et retouche photo pour mon cas). Alors laquelle choisir?
 
Par ailleurs je n'utilise pas de tapis, devrais-je investir ou c'est inutile (je crois que le tapis ne fait qu'améliorer la glisse mais pas la précision)?
 
D'avance merci.

Vraiment personne pour m'aider.
Et que pensez-vous de la Microsoft Laser Mouse 6000?
 
J'ai trouvé un test sur lesnumeriques.com mais j'aurai aimé avoir l'avis d'utilisateurs.

je crois que le top du top c'est la MX1000

Moi je dirais , combo logitech G5 / x-ray Thunder 8 (tapis) , apres, c'est un vision personnelle...
Et pour info, amelliorer la glisse, c'est amelliorer la précision, puisque qu'il n'y a plus "d'accoups" a cause du frottement.

MX 1000 ou G5 je crois que c'est la meme chose à part le look non ?

Merci pour ces réponses.
 
La G5 et la MX1000 sont appremment différentes:
- la MX1000 est sans fil et en 800cpi
- la G5 a un fil et en 2000cpi. Par ailleurs, elle possède le changement de résolution à la volée.
 
En fait, ce qui me "gêne" dans la MX1000, c'est qu'elle est sans fil: j'ai déjà eu une sans fil et elle tombait souvent par terre, alors qu'avec un fil, elle est retenue (ça paraît bête mais avec des enfants à proximité, ça compte ).
 
Je dirai que j'hésite vraiment entre la G5, la MX518 et la Razer DiamondBack.

achete un kensington ;-)

euh, la G5 est technologie laser, alors que je ne crois pas que ce soit le cas de la MX 1000.
 
 
[edit] je crois que je viens d'ecrire une connerie ...
Bon tant pis, je laisse ca me servira de lecon

 
On fera comme si on avait rien vu