Bonjour,
 
je posterai pour le cas d'une personne que je connais qui vit une situation purement kafakaïenne.
Elle est en première année de fac et le service de scolarité refuse de lui signer son stage car elle exige deux semaines de délai pour obtenir les signatures.
Qu'il faut quelques jours soit, mais deux semaines, c'est délirant. Du coup, elle ne peut pas avoir sa convention signée à cause d'eux.
Elle est allée voir la scola des deuxième année qui lui ont dit que si ça dépendait d'eux, ils pourraient la signer mais que pour passer par les profs de 1A, il fallait passer par la scola de 1A.
Rebelotte, elle retombe dans la situation de départ avec la scola des 1A qui tient absolument à son délai de deux semaines.
 
Quel moyen de pression ou type de recours est-il possible contre ces glandus qui ne font pas leur taf?

Les aléas de l'administration ...  
 
Sinon une conve de stage c'est signature de l'organisme d'accueil, du tuteur pédagogique (à la charge de l'étudiant normalement), et de l'université ...
 
C'est donc, si je comprends bien, cette dernière signature qui cloche.  
 
Pour les moyens de pressions >
 
- Solution cool > Forcing auprès de l'admin signataire pour avoir cette putain de signature.  
 
- Solution judiciaire > Demande formalisée auprès de l'administration qui aura alors 2 mois pour rendre sa décision (absence de réponse équivalent à une décision de rejet). Cette décision sera alors attaquable par le biais d'un recours en excès de pouvoir devant le tribunal administratif ... ce qui en l'espèce lui fera une belle jambe
 
- Solution intermédiaire > Faire son stage sans convention. Illégal, certes, mais bon ...  

 
A la fac en question, la signature des conventions de stage relève d'un processus hallucinant.
Il n'y a qu'un seul prof qui signe les conventions pour tous les 1A qui en font et c'est la scola qui doit les lui donner et le type en question ne passe que de temps en temps.
La solution judiciaire est trop longue comme d'habitude.
 
En faisant le forcing, ils ont raccourci le délai à 8 jours.

Effectivement, si il n'y a qu'un prof signataire, ça risque d'être compliqué ...  
 
Ton pote ne peut pas décaler son stage ? Cela me semble être la solution la plus évidente et la plus simple ... Comment se fait-il d'ailleurs qu'il s'y prend à l'arrache sachant les exigences de l'université ? Stage décroché à la dernière minute ?

Ils font ça pour se simplifier la vie, c'est clair.
 
amha rien n'empêche, s'ils le veulent bien, de déléguer à un autre prof le droit de signer.
 
Sinon, même si c'est un peu    et que ça fait peur aux chti 1A, passer par l'administration, comprendre aller gueuler auprès du directeur de l'UFR, next du président, en donnant l'exemple d'autres facs plus compétitives, car plus compréhensives. Au passage, s'excuser pour le dérangement, toussa, fort poliment, mais ne rien lâcher sur le fond.  

Au risque de me faire lyncher, j'affirme qu'il n'y a la rien d'étonnant!Dans TOUTES les universités et école, il y a un délai entre l'envoi de la convention et le moment où il est retourné signé il y a un délai qui peut varier de quelques jours à quelques semaines tout au plus. Le tout est, une fois trouvé son stage, de s'y prendre suffisamment à l'avance pour formaliser la paperasse habituelle, donc si ton pote est dans la mouise, c'est quand même un peu de sa faute,non? En résumé, et je rejoints ce qui est dit au dessus, la seule solution est de négocier un report de stage auprès de l'organisme d'accueil, le temps que ceci soit réglé.

Cela peut être sa faute, mais cela ne justifie pas que l'on ne fasse pas d'efforts pour lui arranger le coup. Si ce n'est pas de sa faute (stage trouvé in extremis), ils pourraient bien faire un effort (enfin, c'est la fac, quoi).
 
Ils sont aussi sans doute plus flexibles pour les M2 que pour un L1.
 
C'est quelle fac, qu'on les pourrisse?  

 
Toutes    
Perso j'ai eu le même soucis avec l'université jean monnet à saint étienne, la con.asse femme à l'accueil a appelé mon entreprise 2h avant ses vacances parce qu'elle avait toujours pas reçu de convention (alors que c'est elle qui a refusé) bref, tout s'est bien passé sinon après.