Serpico7 Net______________________worK | Le vrai problème, vu de France, c'est l'utilisation de Cuba contre les idées collectivistes par certains médias, et l'efficience de cette propagande... Je matais zizek à la téloche tout à l'heure entre Finkelkraut et levy et un parterre de libéraux dont Minc, et une invitée arborant brushing lui pose la question de savoir "pourquoi il était si intelligent mais communiste" et "pourquoi regarder vers le passé pour construire l'avenir', d'autres présentaient le libéralisme comme une jeune fille et le communisme comme une vieille dame.... questions totalement stupides. Alors qu'il ne défend pas les régimes communistes mais certaines idées collectiviste et humanistes...Cuba est un moyen de pointe de bâillonner la gauche prolétarienne, le problème se pose là. comme Kadhafi va devenir celui de bailloner le tiers mondisme...ça en arrange beaucoup, enfin un ennemi traditionnel, pas un mec qui nous servait la soupe et qui se fait dégager par l'intelligence et la solidarité populaire...cela dit...qu'il crève ! Ou s'en aille...avec tous les autres....qu'il soit démontré que la révolution et la résistance ne sont pas destinés à devenir mégalomanes...n'est ce pas monsieur De Gaulle ? Les Pompidous sont légions cela dit...Rothschild l'éternel sera toujours là pour leur trouver un bon poste. (non pas "post" ) et Quatremer fera un papier bien senti dans Libé...repris dans le Grand Journal (et pas le grand jeu) et tourné en sympathique satire dans Charlie Hebdo...bah ..."entre potes...ça se fait..." (les valseuses) En réalité toute cette préciosité bourgeoise et belliqueuse date...mais on nous vend ça comme un progressisme ... Tin c'est dingue...plus ça change, plus c'est pareil : http://www.youtube.com/watch?v=WUUC7Z3aaqo Citation :
Paroles d'Eugène Pottier (1886) sur l'air de T'en fais pas Nicolas de Parizot . Allusion à la Commune de Paris, cette chanson a été écrite par l'auteur de "l'Internationale" peu après l'enterrement de Jules Vallès. Cet écrivain communard avait été condamné à mort par contumace et était resté exilé à Londres pendant 10 ans. Revenu en France après l'amnistie décrétée en 1880, il devait mourir 5 ans plus tard. Plus de soixante mille personnes assistèrent à ces funérailles. Interprétation : Germaine Montero, disque 33t "histoire de france par les chansons " de Vernillat/Barbier 1974 On la tuée à coups de chassepot, À coups de mitrailleuse Et roulée avec son drapeau Dans la terre argileuse. Et la tourbe des bourreaux gras Se croyait la plus forte. Refrain Tout ça nempêche pas Nicolas Qu la Commune nest pas morte. Tout ça nempêche pas Nicolas Qu la Commune nest pas morte ! Comme faucheurs rasant un pré, Comme on abat des pommes, Les Versaillais ont massacré Pour le moins cent mille hommes. Et les cent mille assassinats, Voyez ce que ça rapporte. On a bien fusillé Varlin, Flourens, Duval, Millière, Ferré, Rigault, Tony Moilin, Gavé le cimetière. On croyait lui couper les bras Et lui vider laorte. Ils ont fait acte de bandits, Comptant sur le silence. Achevez les blessés dans leur lit, Dans leur lit dambulance Et le sang inondant les draps Ruisselait sous la porte. Les journalistes policiers, Marchands de calomnies, Ont répandu sur nos charniers Leurs flots dignominie. Les Maxim Ducamp, les Dumas Ont vomi leur eau-forte. Cest la hache de Damoclès Qui plane sur leurs têtes. À lenterrement de Vallès, Ils en étaient tout bêtes Fait est quon était un fier tas À lui servir descorte C qui prouve en tous cas Nicolas, Qula Commune nest pas morte. C qui prouve en tous cas Nicolas, Qula Commune nest pas morte ! Bref tout ça prouve au combattant Qu Marianne a la peau brune, Du chien dans l ventre et quil est temps Dcrier vive la Commune ! Et ça prouve à tous les Judas Qusi ça marche de la sorte Ils sentiront dans peu nom de Dieu, Qula Commune nest pas morte. Ils sentiront dans peu nom de Dieu, Qula Commune nest pas morte !
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alors Maxime Du camp : Citation :
La fortune de son père, médecin réputé, permit à Du Camp, ses études terminées, de satisfaire le goût très vif qu’il avait pour les voyages. Il visita l'Europe et l'Orient entre 1844 et 1845, puis de nouveau entre 1849 et 1851, cette fois en compagnie de Gustave Flaubert avec qui il entretint ensuite une abondante correspondance. Pour son voyage oriental de 1849-1851, il avait sollicité une mission archéologique auprès du ministère de l'Instruction publique. Il la documenta par de nombreuses photographies, pour lesquelles il utilisa la technique du calotype. Les tirages sur papier salé réalisés dans les ateliers et selon le procédé de Blanquart-Evrard sont restés d'une très grande qualité[2]. Il publia le récit de ses voyages. En 1851, il fut un des fondateurs de la Revue de Paris (supprimée en 1858) et fut un contributeur fréquent de la Revue des Deux Mondes. En 1853, il fut promu au grade d’officier de la Légion d'honneur. Ayant servi comme volontaire sous Garibaldi en 1860, il raconta ses expériences dans Expédition des Deux-Siciles (1861). En 1870 il entra au Sénat, mais sa nomination fut réduite à néant par la chute de l’Empire. On l’élit membre de l’Académie française en 1880, surtout, dit-on, à cause de son histoire de la Commune, publiée sous le titre de les Convulsions de Paris (1878-1880). Voici ce que dit de lui La Petite Revue du 24 février 1894 : "En 1848, il était à Paris, revenant de son premier voyage en Orient, quand éclata la Révolution. Il se battit contre l'insurrection, aux journées de juin, dans les rangs de la garde nationale, fut blessé et mérita d'être décoré de la main de Cavaignac. C'est de là sans doute que lui vint l'idée d'écrire les Convulsions de Paris, une de ses dernières œuvres et celle qui restera la plus connue avec Paris, ses organes et ses fonctions. Ses premiers ouvrages sont relatifs à ses voyages en Orient : Smyrne, Ephèse, Constantinople, l'Egypte, la Nubie, la Palestine. Il a parcouru et décrit ces pays, fut l'un des premiers à utiliser la photographie dans ses explorations. On a de lui aussi les Mémoires d'un suicidé, des ouvrages de critique, d'art, des poésies et des romans. Son œuvre est des plus fécondes. Il a été le collaborateur assidu de la seconde Revue de Paris, et il meurt au moment où nait la troisième. La Revue des Deux-Mondes l'a compté également au nombre de ses plus brillants collaborateurs. Maxime du Camp avait fait partie de la célèbre expédition des Mille, en Sicile, et il en a écrit l'histoire." (La Petite Revue, 7ème année, 1er semestre, 24 février 1894)
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Petit florilège de son ami Flaubert dit "le libéral enragé" : Citation :
à George Sand. Paris, avant le 18 octobre 1871. Je trouve qu'on aurait dû condamner aux galères toute la commune et forcer ces sanglants imbéciles à déblayer les ruines de Paris, la chaîne au cou, en simples forçats. Mais cela aurait blessé l'humanité . On est tendre pour les chiens enragés et point pour ceux qu'ils ont mordus. Cela ne changera pas, tant que le suffrage universel sera ce qu'il est. Tout homme (selon moi), si infime qu'il soit, a droit à une voix, la sienne, mais n'est pas l'égal de son voisin, lequel peut le valoir cent fois. Dans une entreprise industrielle (société anonyme), chaque actionnaire vote en raison de son apport. Il en devrait être ainsi dans le gouvernement d'une nation. Je vaux bien vingt électeurs de Croisset. L'argent, l'esprit et la race même doivent être comptés, bref toutes les forces.
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Citation :
à Madame Roger des Genettes, le 1er mars 1878 (...) depuis la guerre d' Orient, je suis indigné contre l' Angleterre, indigné à en devenir prussien ! Car enfin, que veut-elle ? Qui l' attaque ? Cette prétention de défendre l' islamisme (qui est en soi une monstruosité) m' exaspère. Je demande, au nom de l' humanité, à ce qu'on broie la pierre-noire (la mer oui je sais...), pour en jeter les cendres au vent, à ce qu' on détruise la Mecque, et que l' on souille la tombe de Mahomet. Ce serait le moyen de démoraliser le fanatisme.
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ça date le discours du FN hein ? on capte les liens entre le libaralisme économique et le racisme... le droit naturel ils appellent ça ? Citation :
George Sand. Croisset, 29 avril 1871. (...) Quant à la commune, qui est en train de râler, c'est la dernière manifestation du moyen âge. La dernière ? Espérons-le ! Je hais la démocratie (telle du moins qu'on l'entend en France), c'est-à-dire l'exaltation de la grâce au détriment de la justice, la négation du droit, en un mot l'anti-sociabilité.(...) La seule chose raisonnable (j'en reviens toujours là), c'est un gouvernement de mandarins, pourvu que les mandarins sachent quelque chose et même qu'ils sachent beaucoup de choses. Le peuple est un éternel mineur, et il sera toujours (dans la hiérarchie des éléments sociaux) au dernier rang, puisqu'il est le nombre, la masse, l'illimité. Peu importe que beaucoup de paysans sachent lire et n'écoutent plus leur curé ; mais il importe infiniment que beaucoup d'hommes, comme Renan ou Littré, puissent vivre et soient écoutés. Notre salut est maintenant dans une aristocratie légitime, j'entends par là une majorité qui se composera d'autre chose que de chiffres. Si l'on eût été plus éclairé, s'il y avait eu à Paris plus de gens connaissant l'histoire, nous n'aurions subi ni Gambetta, ni la Prusse, ni la commune. (...)
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Et les petits libér'HFRiens, et autres oui-ouistes et dodus dindons dingues d'histoire eurocentrée qui nous balancent ces sornettes d'adolescent en se pensant modernes... Un petit mot de réponse de George Sand : Citation :
Eh quoi, tu veux que je cesse d'aimer ? Tu veux que je dise que je me suis trompée toute ma vie, que l'humanité est méprisable, haïssable, qu'elle a toujours été, qu'elle sera toujours ainsi ? Et tu me reproches ma douleur comme une faiblesse, comme le puéril regret d'une illusion perdue ? Tu affirmes que le peuple a toujours été féroce, le prêtre toujours hypocrite, le bourgeois toujours lâche, le soldat toujours brigand, le paysan toujours stupide ? Tu dis que tu savais tout cela dès ta jeunesse et tu te réjouis de n'en avoir jamais douté, parce que l'âge mur ne t'a apporté aucune déception : tu n'as donc pas été jeune. Ah ! nous différons bien car je n'ai pas cessé de l'être, si c'est être jeune que d'aimer toujours !
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Citation :
Non, non, on ne s'isole pas, on ne rompt pas les liens du sang, on ne maudit pas, on ne méprise pas son espèce. L'humanité n'est pas un vain mot. Notre vie est faite d'amour, et ne plus aimer, c'est ne plus vivre. Le peuple, dis-tu ! Le peuple, c'est toi et moi, nous nous en défendrions en vain. Il n'y a pas deux races, la distinction des classes n'établit plus que des inégalités relatives et la plupart du temps illusoires. Je ne sais si tu as des aïeux très-avant dans la bourgeoisie ; moi, j'ai mes racines maternelles directes dans le peuple et je les sens toujours vivantes au fond de mon être. Nous les y avons tous, que l'origine soit plus ou moins effacée ; les premiers hommes ont été chasseurs et pasteurs, puis laboureurs et soldats. Le brigandage couronné de succès a donné naissance aux premières distinctions sociales. Il n'y a peut-être pas un titre qui n'ait été ramassé dans le sang des hommes. Il nous faut bien subir nos ancêtres quand nous en avons ; mais ces premiers trophées de haine et de violence sont-ils une gloire dont un esprit tant soit peu philosophique trouve manière à se prévaloir ? Le peuple toujours féroce, dis-tu ; moi je dis : La noblesse toujours sauvage ! Et il est certain qu'avec le paysan, elle est la classe la plus rétive au progrès, la moins civilisée par conséquent. Les penseurs devraient s'applaudir de ne point en être ; mais si nous sommes bourgeois, si nous sommes issus du serf et du corvéable à merci, pouvons-nous nous courber avec amour et respect devant les fils des oppresseurs de nos pères ? non ! Quiconque renie le peuple s'avilit et donne au monde le honteux spectacle de l'apostasie. Bourgeoisie, si nous voulons nous relever et redevenir une classe, nous n'avons qu'une chose à faire, nous proclamer peuple et lutter jusqu'à la mort contre ceux qui se prétendent nos supérieurs de droit divin. Pour avoir manqué à la dignité de notre mandat révolutionnaire, pour avoir singé la noblesse, pour avoir usurpé ses insignes, pour nous être emparés de ses joujoux, pour avoir été honteusement ridicules et lâches, nous ne comptons plus, nous ne sommes plus rien : le peuple, qui ne devrait faire qu'un avec nous, nous renie, nous abandonne, et cherche à nous opprimer.
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Citation :
Le peuple féroce ? Non ! il n'est pas bête non plus, sa maladie actuelle est d'être ignorant et sot. Ce n'est pas le peuple de Paris qui a massacré les prisonniers, détruit les monuments et cherché à incendier la ville. Le peuple de Paris, c'est tout ce qui est resté dans Paris après le siège, puisque quiconque avait le moindre aisance s'est empressé d'aller respirer l'air de la province et embraser la famille absente après les souffrances physiques et morales du blocus. Ce qui est resté à Paris, c'est le marchand et l'ouvrier, ces deux agents du travail et de l'échange sans lesquels Paris n'existerait plus. Voilà ce qui constitue positivement le peuple de Paris ; c'est une seule et même famille dont les malentendus de la politique ne peuvent pas rompre la parenté et la solidarité. Il est reconnu maintenant que les oppresseurs de cette tourmente étaient en minorité. Donc le peuple de Paris n'était pas disposé à la fureur, puisque la majorité n'a donné que des signes de faiblesse et de crainte. Le mouvement a été organisé par des hommes déjà inscrits dans les rangs de la bourgeoisie et n'appartenant plus aux habitudes et aux nécessités du prolétariat. es hommes ont été mus par la haine, l'ambition déçue, le patriotisme mal entendu, le fanatisme sans idéal, la niaiserie du sentiment ou la méchanceté naturelle, - il y a eu de tout cela chez eux, et même certains points d'honneur et de doctrine qui n'ont pas voulu reculer devant le danger. Ils ne s'appuyaient certainement pas sur la classe moyenne qui tremblait, fuyait ou se cachait. Ils ont été forcés de mettre en mouvement le vrai prolétaire, celui qui n'a rien à perdre. Eh bien, ce prolétaire même leur a échappé en grande partie, divisé qu'il était en nuances très diverses, les uns voulant le désordre pour en profiter, les autres redoutant les conséquences de leur entraînement, la plupart ne raisonnant plus, parce que le mal était devenu extrême et que l'absence de travail les a forcés de marcher au combat pour trente sous par jour. Pourquoi voudrais-tu que ce prolétaire enfermé dans Paris, qui a compté au plus quatre-vingt mille soldats de la faim et du désespoir, représentât le Peuple de France ? Il ne représente même pas le peuple de Paris, à moins que tu ne veuilles maintenir la distinction que je repousse, entre le producteur et le trafiquant. Mais je veux te suivre et te demander sur quoi repose cette distinction. Est-ce le plus ou moins d'éducation ? La limite est insaisissable. Si tu vois au plus haut de la bourgeoisie des lettrés et des savants ; si tu vois au plus bas du prolétariat des sauvages et des brutes, tu n'en as pas moins la foule des intermédiaires qui te présentera, ici des prolétaires intelligents et sages, là des bourgeois qui ne sont ni sages ni intelligents. le grand nombre des citoyens civilisés date d'hier et beaucoup de ceux qui savent lire et écrire ont encore père et mère qui peuvent à peine signer leur nom. Ce serait donc uniquement le plus ou moins de ressources acquises qui classerait les hommes en deux camps distincts ? On se demande alors où commence le peuple et ou il finit, car chaque jour l'aisance se déplace, la ruine abaisse l'un, la fortune élève l'autre ; les rôles changent ; celui qui était bourgeois ce matin va redevenir prolétaire ce soir, et le prolétaire de tantôt pourra passer bourgeois dans la journée, s'il trouve une bourse ou s'il hérite d'un oncle. Tu vois bien que ces dénominations sont devenues oiseuses et que le travail de classement, quelque méthode qu'on voulût y porter, serait inextricable. Les hommes ne sont au-dessus ou au-dessous les uns des autres que par le plus ou moins de raison ou de moralité. L'instruction qui ne développe que l'égoïste sensualité ne vaut pas l'ignorance du prolétaire honnête par instinct et par habitude. Cette instruction obligatoire que nous voulons tous par respect pour le droit humain, n'est cependant pas une panacée dont il faille exagérer les miracles. Les mauvaises natures n'y trouveront que des moyens plus ingénieux et mieux dissimulés pour faire le mal. Elle sera, comme toutes les choses dont l'homme abuse, le venin et l'antidote. Trouver un remède infaillible à nos maux est illusoire. Il faut que nous cherchions tous au jour le jour tous les moyens immédiatement possibles. Il ne faut plus songer à autre chose dans la pratique de la vie qu'à l'amélioration des moeurs et à la réconciliation des intérêts. La France agonise, cela est certain, nous sommes tous malades, tous corrompus, tous ignorants, tous découragés : dire que cela était écrit, qu'il en doit être ainsi, que cela a toujours été et sera toujours, c'est recommencer la fable du pédagogue et de l'enfant qui se noie. Autant dire tout de suite : Cela m'est égal ; mais si tu ajoutes : Cela ne me regarde pas, tu te trompes. Le déluge vient et la mort nous gagne. Tu auras beau être prudent et reculer, ton asile sera envahi à son tour, et en périssant avec la civilisation humaine, tu ne seras pas plus philosophe pour n'avoir pas aimé, que ceux qui se sont jetés à la nage pour sauver quelques débris de l'humanité. Ils n'en valent pas la peine, ces débris ; soit ! Ils n'en périront pas moins, c'est possible ; nous périrons avec eux, cela est certain ; mais nous mourrons tout vivants et tout chauds. Je préfère cela à un hivernage dans les glaces, à une mort anticipée. - Et d'ailleurs, moi, je ne pourrais pas faire autrement. L'amour ne se raisonne pas. Si je te demandais pourquoi tu as la passion de l'étude, tu ne me l'expliquerais pas mieux que ceux qui ont la passion de l'oisiveté n'expliquent leur paresse.
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http://jb.guinot.pagesperso-orange [...] GFGS2.html bon maintenant Sand n'est pas vraiment un emblème du courage, loin de là, j'ai sélectionné ce qui se rattache à la vie...mais pour l'époque c'était tout de meme plus intéressant que Mme Badinter ou les NPNS qu'on nous vend aujourd'hui tout en coupant les vivres aux vrais féministes de terrain et que l'Opus Deï revient en force, sans que ça nous gratte, sous les bons auspices de Publicis et Séguéla, directeur de com' des dictateurs et entremetteur du Roy... J'ai jeté un oeil là dessus pour me souvenir des liens entre invasion, résistance et révolution qu'on a connu en France et dont on garde la mémoire... ...ou pas... Message édité par Serpico7 le 05-03-2011 à 03:51:39
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