Celui qui n'aime pas les chats passe à côté du plaisir qu'ils peuvent procurer. De la façon qu'ils ont de pencher la tête quand on leur gratouille l'oreille ou le cou, de ce ronron qui nous dit qu'ils nous aiment plus que tout, de leur douce chaleur quand ils sont couchés sur nous... Aaarrfff...
En ce moment même j'en ai un couché sur mon bras qui ronronne, et c'est vraiment, mais alors vraiment agréable !
De toutes façons Baudelaire ne s'y était pas trompé