Je vous prierais monsieur, de cesser séance tenante vos flatulences cérébrales auquelles vous nous avez habitué en d'autres lieux. En effet, cette admiration béate et sans discernement de toutes vos homologues féminins relèvent de la psychiatrie.
Je vous rappelle à toutes fins utiles que la présence d'un vagin ne garantit aucunement un fonctionnement optimal de son propriétaire.
Veuillez agréer, monsieur, l'expression de ma pitié bienveillante .