Reprise du message précédent :
P'tain mais ce forum est un ramassis de drogués dégénérés en tout genres, sniffeurs de ronéos, bouffeurs de colle et autres detourneurs d'objets quotidiens a fin hallucinatoires !
(Coucou Lorelei, j'ai vu que tu avais un super fan hier ici même, j'ai ri )

Ah ben c'est clair que la nostalgie est un sentiment très très olfactif, cf Proust et ses madeleines, c'est pas le goût qui l'avait marqué, plus l'odeur
(Oué, un pro life du genre 12 ans d'âge et de QI, c'était sympa )

Pour trouver du papier stencil, c'est probablement très difficile. Il faudrait demander les artisans relieurs ou les personnes âgés ayant travaillé dans les établissements scolaires, ils connaissent peut être les adresses.
D'après ce que j'ai compris,  le papier stencil laisse passer l'encre à l'endroit du texte (tapé à la machine à écrire) et reste imperméable pour le reste de la feuille. On enduit de l'encre sur le rouleau puis on fixe le papier stencil autour .Quand le rouleau écrase une feuille blanche en tournant, l'encre pénètre à travers les lettres du stencil et se fixe sur la page. Le principe d'impression ressemble en gros au pochoir.
Concernant les renifleurs de feuilles ronéo dont je fais partie, on n'est pas des toxicos. On renifle l'odeur du neuf parce que ça disparaîtra après quelques jours. (tout comme comme l'odeur du cuir neuf, du tissu neuf). En plus l'odeur des pages ronéos me rappellent instantanément de très très anciens souvenirs    
Finalement ce n'est pas plus simple de faire du traitement de texte puis imprimer?  C'est vrai que faire des tirages ronéo procure un plaisir, comme si on récupérait un rolleiflex abandonné et qu'on pouvait faire des photos sépia après.