Sombres billevesées que tout cela. Ça dépend des individus... non ?
Vois-tu mon cher ! On peut au contraire devenir extraverti des sentiments, psychopathe de l'empathie - au point de se désastrer devant les informations, capituler devant un escargot écrabouillé, culpabiliser pour la dette africaine et pire - trouver le simple fait d'exister là, ici et maintenant, insurmontable.
Après tout, après avoir été traité comme une entité non quantifiable depuis l'aube de son temps, on finit par s'accrocher à l'idée !
 
Bon certes, après les films, c'est un autre problème. Ça paraît soudain très irréel...
C'est touchant les gens qui ont des sens et des sentiments naturels.
Laissez les respirer.

Il suffit de s'en foutre.