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Bonjour Jovalise,
Oui, si le mal n'existait pas, ce serait un monde de bisounours, au lieu d'un système d'aliens, aliénant et atteignant la dignité humaine.
La « souveraineté », parlons-en un peu. Le genre de mondialisation qui nous pend au nez, et l'instauration d'une démocratie à la « cause toujours », en sera probablement l'éradication planétaire.
Et on voit, tout au long de l'Histoire et aujourd'hui concrètement, les conséquences de quasi absence de souveraineté des peuples.
Ce ne sont jamais les peuples qui décident de faire les guerres et qui provoquent les crises économiques. Les peuples n'aspirent qu'à vivre en harmonie et en paix. Et puis alors, sujet plus que d'actualité, les élections (Coluche en disait quelque chose...). Quel bel exemple souveraineté du peuple, que la délégation de pouvoir et le forcing imposant le fameux « traité » et toutes les réformes dont ne voulait pas le peuple...
Bref, quel pourrait bien être le meilleur berger du troupeau pour mener sa transhumance d'élection en élection ; la balade des gens heureux à faire patienter les revendications à travers les siècles ?
Gaston Couté – Les Électeurs
Un peuple mature, responsable et auto-discipliné, ne devrait-il pas pouvoir se passer du paternalisme ? Le troupeau populaire humain est-il bestial ? Ou bien n'est-il pas dans l'assemblage de tous les cerveaux qui le constituent, tout aussi bien capable de faire l'affaire qu' « un », au lieu de s'en remettre à la délégation de pouvoir, à la servitude volontaire et à un seul spécimen prenant toutes les décisions à sa place ? « Souveraineté » de nos deux !
Tiens ! En passant, une belle alternative qu'elle est souveraine et en corrélation avec une démocratie digne de ce nom, proposée par un économiste des « Lumières » : Étienne Chouard — Conférence de Lyon 2012 — Partie II
Et pour ceux que ça intéresserait, les autres parties de la conférence se trouvant aussi sur le YouTubeChannel de Étienne Chouard, ainsi que le blog-forum : http://etienne.chouard.free.fr/Europe/forum/
La solution à la sempiternelle problématique sociétale organisationnelle bordélique plus ou moins institutionnalisée à l'aube de la civilisation humaine et sécularo-perpétuée, ce n'est pas l'élection d'un « monarque » ou d'une « vedette » parmi les beaux parleurs du PoliticoStarSystem, à la rhétorique amusant la galerie et se pissant à la raie sur les plateaux (du PAF !), puis se serrant la pogne en coulisse. Bref, la solution aux problèmes du peuple, ce n'est pas « la société du spectacle » mais, bien moins clownesque et plus concrètement pragmatique, la décentralisation du pouvoir et l'autogestion, la constituante populaire : « tous ensemble ! tous ensemble ! », oui mais dans la diversité et tous « acteurs », pas dans le « suivisme » d'icônes idolâtriques et « intemporelles » de la servitude volontaire. Bêhêhêhêh !
Le système électoral et de partis politiques, le vote, c'est dépassé, obsolète, arriéré. C'est un facteur de division du troupeau : le « pays d'en bas » et le « pays d'en haut ». Bêhêhêhêh ! C'est démocratiquement symptomatique de sous-évolution sociétale et de déclin civilisationnel. L'intelligence fait appel à autre chose que le séculaire politico-déjà-vu. « L'AUTOGESTION » est l'alternative par excellence au foutoir sociétal, contrairement à ce que voudraient bien nous faire croire l'enfumage médiatico-politique par les chienaînes publiques au service du privé. L'autogestion existe bien dans le monde animal pourtant moins évolué que celui des gogos de la « démocratie » et de l' « humanisme ». Et même chez les humains, d'ailleurs. Regardez la Belgique, elle a montré l'exemple d'un pays qui sans soucis s'est passé de gouvernement un certain temps. Et les Belges ne sont pourtant pas des animaux !
Le cas islandais, aussi, dans son genre, est un bel exemple de souveraineté du peuple.
Le mondialisme ne veut pas entendre parler de souveraineté, d'émancipation et d'autogestion des peuples. Et c'est pas l'infantilisation des individus, leur immaturité entretenue par l'éducation infantile, notamment par nos « chers » médias des « nouveaux chiens de garde » (de la force obscure), les médias du panurgisme et de « la servitude volontaire », à cet effet, qui font avancer le schmilblick ; faut pas oublier qu'ils en sont à l'origine (du schmilblick), et que l'intérêt du jeu réside en sa découverte par toi-même le moins souvent qu'à ton tour et le plus tardivement possible (le schmilblick bloque), pensant-ils ainsi, de divertissement en distraction, et de distraction en détournement d'attention, éternellement berner le peuple qu'ils mènent en bateau...
Ne pas laisser au « pékin de la rue » le temps de réfléchir et de prendre conscience de ce qui se passe, des tours de passe-passe.
Bref, grâce aux amuseurs publiques, c'est pas demain la veille du réveil populaire. On en est arrivé à un stade d'endormissement populaire tel, que seul un saut qualitatif (ou le contact avec une civilisation plus avancée venant d'ailleurs) permettrait une prise de conscience de l'arriération PoliticoMédiaToc et du tout-en-un gouvernementh' à l'eau bisounoursien. Mais je crains bien que « Le Créateur » ne fusse opérationnel que dans l'instant des livres d'image seulement.
Mais pourquoi donc Trucmuche et Tartempion ne pourraient-ils pas gouverner ensemble ? Pourquoi faut-il toujours qu'il y ait un gagnant et un perdant ; une moitié du peuple contre l'autre ? C'est en terme de « victoire » du candidat rentrant, ou bien restant, un malsain triomphalisme d'une partie du peuple sur l'autre, se traduisant à terme par une cohabitation manquant de sérénité.
Pourquoi deux-en-un pays, ou même plus, ne pourraient-ils pas gouverner ensemble ? « Gouverner » n'est pas le bon mot, d'ailleurs (le peuple n'ayant pas son mot à dire). Perso, je préfèrerais le « management » à la « gouvernance », à l'instar d' « émulation » au lieu de « compétition », c'est plus créatif et constructif que la compétition débile de tous contre tous. L'associatif, le coopératif et l'autogestion, en voilà une bonne solution, pour la réconciliation des Trucmuche et Tartempion du peuple partitionné.
Alors que, une fois le pouvoir accaparé par l'élu (de la moitié de son cœur populaire), le pékin du gratin populaire relooké et coatché par le star-system (ni plus malin ni plus divin que celui du tapin turbin ; juste appris les bonnes manières et les ficelles du biz), le peuple n'a plus son mot à dire, ce sont d'autres intérêts que les siens qui sont en jeu et la raison d'État qui aspire. Et par conséquent voter Trucmuche ou bien Tartempion, c'est en gros du pareil au même, poil au bidon !
Bref, et soit dit en paissant, bêhêhêhêh ! un individu unique (et Dieu des chanoines, le supérieur hiérarchique suprême (moins craint que le diable ), sait si la fonction présidentielle requière un cerveau unique en même temps que multiple et modelé en 6 ou 7D ), quand bien même serait-il sincère et fondé des meilleures intentions de l'Univers, ne peut de toute manière gouverner (une arche noémique remplie de moutons ) en solitaire, ni pour le bien de tous des miracles faire, alors que même l'État se doit d'abandonner sa « souveraineté » aux lois d'un marché pillard du panier de la ménagère.
Le Monde est gouverné par la force obscure, et le crucifix n'a aucun effet sur celle-ci. Puis la baguette magique, n'en parlons pas, elle stagne au niveau conceptuel de la réalisation sur plans des alchimistes depuis l'ère mythologique où sévissait encore Merlin l'Enchanteur. « Encore..? » ; mais peut-être est-il encore parmi nous ? « Toc toc toc ! Merlin es-tu là ? » Nan mais, sans rigoler, évoquer et invoquer Merlin l'Enchanteur encore aujourd'hui même, à c't' heure d' « la balade des gens heureux », n'est pas si con.
Plus le bateau est gros, plus en embarque la balade des gogos. Mais attention Titan nique pas les icebergs (économiques). C'est en général plutôt l'inverse qui se passe. Et dans ces cas là ne comptent plus les classes. C'est pour tout l'monde le même tarif. C'est un équilibre à trouver, un compromis à faire entre la ligne de flottaison et le choix du capitaine, ne mettant pas tout l'monde d'accord. D
Mais bon, bref, trève d'élucubrations, et revenons-en à nos souverains moutons, le mondialisme des apparences (tout se joue sur les apparences de beaux parleurs se pliant aux règles du RelookCoachingStarSystem) ne veut pas entendre parler de souverainisme et d'autogestion, et encore moins de constituante populaire (l'expérience a montré que voter contre un traité européen n'a servit à rien). Et ce n'est pas avec les médias infantilisant des « nouveaux chiens de garde », apparemment des maîtres en l'art du divertissement et du détournement d'attention, qu'un jour viendra ou un peuple de moutons de panurge pourra se prendre en main.
Y'a pu d'France, ma brave dame ! Ou bien n'existe-t-elle pas encore, mon frère.
Perso je votions en marquant l'nom d'Merlin l'Enchanteur d'ssus mon bulletin d'vote blanc, car Lui au moins l'a une baguette magique, et qu'c'est pas une marionnette qu'elle fait moins rêver qu'celles des guignols d'l'info à c't'heure...
Á bon entendeur salut !
Spoiler :
PS : [Attention! Continuant sur sa lancée et le thème de la souveraineté, le discours qui suit et faisant référence à un domaine bien connu des informaticiens, sent la « provoc » et ne va pas être du goût de tous... ]
Mieux vaut un bénévolat profitant à toute la communauté, que du travail pour des clopinettes en subvenant au besoin du profit d'une minorité de privilégiés (une communauté à part et absente d'une dure réalité quotidienne leur profitant, vivant dans un autre monde).
Attention, je ne dis pas qu'il faut être contre le commerce et les services payants lorsque ceux-ci n'ont raisonnablement pas pour but l'appauvrissement des uns à des fins d'enrichissement des autres.
Quoi qu'il en soit, le travail est à faire consciencieusement. Sinon, à quoi bon accepter le contrat de mission.
On peut voir par exemple dans le monde de « l'open source » un bel exemple de souveraineté, une organisation se passant de gouvernement et de star-system (pas de stars et de cul à lécher chez les extraterrestres ayant dépassé ce stade archaïque de l'évolution. Mais ce ne sont pas moins des artistes et créatifs que ceux du biz ; pourrait-on dire simplement des gourous un peu plus spirituels).
Dans une telle organisation les entrepreneurs n'éprouvent pas le besoin de s'afficher, donc, et chacun sait à son niveau ce qu'il doit faire et le fait bénévolement au service de la communauté, et le fait d'autant mieux que le savoir-faire passionnel prime sur le faire-valoir et l'appât du gain. C'est la vraie vocation et le règne de la logique dans l'organisationnel par excellence (pas de cyberstar, donc, ni de multiples SP aux trente-six-mille rustines et tout ce qui s'en suit... ). Le « zéro » & le « un » ne font qu'un et montrent le chemin, l'exemple à suivre ; le « 0 » est « nul », est un « vaurien » (mais bon, ça dépend aussi du contexte ), mais il a pourtant son utilité et autant d'importance que le « 1 ». Tout les deux, bien que tout à fait opposés, font bon ménage, sont inséparables, ont le même poids dans la balance du calcul logique. Idem pour les composants hardware. Un éléments obsolète ou absent, un simple fusible qui n'est pas à sa place au moment de faire son boulot, ou une erreur logicielle, et hop ! À un bit près, qu'il soit égal à « 0 » ou à « 1 », le système devient inopérant. Et le processeur ne peut se prévaloir de plus grande importance qu'une ligne de code, qu'une simple résistance ou un fusible.
Il faut concrètement appliquer la logique rationnelle du calcul scientifique à certains domaines dont elle est absente (alors que par ailleurs trop envahissante). L'utiliser par exemple pour redéfinir la « valeur travail » et la « méritocratie » sur des bases saines, selon des critères précis et dignes de civilisation évoluée, alors qu'on sait si bien le faire parfois pour la surévaluation de choses futiles et bassement matérielles, pour le profit et compter l'argent (« valeur suprême »), promouvoir la cupidité au détriment des valeurs humaines et de la vie elle-même tout court.
Sinon, à quoi sert le progrès scientifique et technologique, si ce n'est que pour le faire-valoir possessif, se goberger d'humanisme tout en pavoisant de surenchères matérialistes en idem, puis sans retombées civilisationnelle pouvant bénéficier à l'humanité ?
« L'open source » est corrélative de la source originelle. C'est la voie universelle. L'Univers est open source. Rien ne peut s'opposer à La Source Originelle, résister à l'engloutissement par La Matrice. La force obscure a beau vouloir tout accaparer, tout s'approprier et tout merchandiser, mettre l'Univers en packaging, face à Lui, elle n'a que l'envergure de l'espèce « humaine ». Autant dire, celle d'un grain de poussière dans l'Univers.
Arf, au fait ça m'fait penser que faudrait que j'achète un lopin d' Lune ou de Mars, moi, avant qu'il soit trop tard, s'il en reste encore disponible, pour de la spéculation foncière. Mais au fait, à qui appartient vraiment la lune ? Est-ce bien aux américains qu'il faut s'adresser pour négocier du terrain sur la lune ? |
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