Bon ce n est pas un poeme, plutot un essai.
Et desole pour l orthographe ;
Holocauste hivernal (Aout 2001)
-------------------------------
Compte a rebours enclenche, l espoir humain s incline face a la folie de l homme, le ciel se fait dechirer par de multiples tubes post prehistorique, pret a rependre la desolation la plus totale, sur cette surface grouillante de monde ...
Les bruits stridents, eclaterent nos tympans, dans une vision de reveries reels, nous apercevions ces champignons veneneux, s elevant dans le ciel, des souffles de tempetes de forces phenomenales, balayerent l apogée de l humanite, tous s ecroulent, se brisent, face a cette tornade de gloires ephemere qui nous chasses d un revers ...
Nous brulions vifs, l enfer s abatis sur terre, ces atomes, pires que la peste, sont nos bourreaux, la folie de l homme, a force de recherches, a trouve l arme absolue, destructeur de nature, il se crois juge et bourreau, l absolution finale est la, je me vois breler, telle une torche, je cris d une voix etouffe, la chaleur noirci les corps, les emes arrivent par millier chez ce faux dieu que les hommes inventerent en des temps recules, pour assouvir leurs actes de tueries ...
L hiver post apocalyptique, recouvrait cette terre, la noirceur du ciel, obscurcie les esprits, livres a eux memes, face a leurs instincts animales, les hommes établirent la lois du plus forts, s entretuant pour de l eau empoisonnee, ils ne sont plus bon a rien ...
Je pense a cela, en revant un jour que cela ce passe, l homme arrive a son echeance, il repousse toujours plus loin la limite invisible, jusqu aux jours ou il la franchira, mais que trouvera t il derrière celle ci, le chaos absolu, le neant de l esprit, la folie, la boucle sera boucle, et moi dans ma tombe, je me retournerais sans mots dire, en maudissant la nature, qui nous a pourvue de la parole, et de l esprit, nous sommes le fruit rate de mere nature, et nous serons plus rien face aux machines que nous avons cree, car l eleve depasse toujours le Maitre, et ainsi nous mourrons ...
Dieux, nous dit, je suis la ou la lumière rechauffe le coeur et l esprit, seul les tenebres se trouvent a mes pieds. Mais nous, nous nous trouvons ou par rapport à lui, en dessous, donc la terre serait ce l enfer ? Je ne peux y repondre, mais je pense que oui, nous sommes l instrument de nos actes, scalpel du chirurgien, nous allons nous dissequer ...
Si j aurais le pouvoir, ma force j en jure, qu elle sera assez forte pour presser ce bouton, venu de l enfer, invente par l homme, destruction en approche final Monsieur le President ...