Bonjour tout le monde, je me présente : je me donnes David. Bon Voila l'année dernière j'ai commencé par écrire un roman alors que j'avais 14ans ( si vous vous fiez à mon âge vous le regretterez), et aujourd'hui j'ai 15ans et j'aimerais vous présenter ce fabuleux roman rempli de fantasy de peur , d'intrigue... Bien évidemment j'ai put proteger mon oeuvre : je me suis envoyé en recommandé une envellope à moi-même contenant mon histoire sans l'ouvrir avec cachet de la post ect...
Avant de tenter de faire publier ce livre je voudrais l'avi des internautes alors je vais souvent vous présenter les chapitres. Pour commencer je préfère vous envoyer l'introduction et le premier chapire sinon vous ne pourriez pas encore bien juger mon oeuvre sur quelques lignes.
Bon sinon ya mon skyblog ou je diffuse aussi l'histoire : www.dadou075.skyblog.com
Merci de juger mon oeuvre : voici l'introduction
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Prologue
LES TENEBRES
Lair était frais et humide. Lobscurité envahissait presque entièrement le ciel dazur. Le vent, plus vigoureux que jamais, faisait sagiter les hautes herbes qui recouraient limmense plaine. Quelques minutes plus tard la nuit atteint son apogée et les étoiles scintillaient vivement, tapissant ainsi le ciel sibyllin.
Au centre de la grande étendue, luisaient des lumières de chandelles qui éclairaient vivement les centaines de campements établis dans la plaine depuis plus dune semaine.
A lextérieur de leurs tentes, des hommes étaient réunis autour dun gigantesque feu qui sélevait très haut dans le ciel. Tous festoyaient, buvaient ; sagitant gaiement dans tous les sens tandis que certains rassemblés dans un coin, bavardaient joyeusement en entonnant de tant à autre des airs reposants.
Les festivités se prolongèrent ainsi tout au long de la nuit. Chacun put manger à sa faim, boire à sa guise et trinquer à volonté, tous les curs étaient emplis dallégresse.
Personne ne fut assez limpide pour sapercevoir quau fur à mesure que le temps passait des étoiles déclinaient dans le ciel, laissant libre cour à la venue dune brume ténébreuse qui se répandait dans toute la plaine
et peu à peu, le mal commença par sétendre à linsu des regards.
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Bon voila. je vous balance juste à la suite le 1er chapitre
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UN CHOIX INATTENDU
Une fois que la fête se fut estompée, les hommes regagnèrent leurs tentes et huit gardes se postèrent tout autour du campement. Désormais, la douce odeur du vin avait disparue. Subitement lair sétait transformé en un chant glacial frigorifiant tout ce qui se trouvait sur son passage. Un vent violent sabattait sur toute la plaine, sengouffrant à lest dans les hautes montagnes qui bordaient lhorizon.
Et les étoiles ne cessaient de séteindre dans le noir
plusieurs heures passèrent alors que laube, toujours tardive, continuait de se cacher dans les ténèbres.
Au milieu du campement, une tente continuait de briller sous léclat des lueurs de quelques dernières bougies. A lintérieur sy tenaient deux hommes :
Lun assit tout au fond, était silencieusement installé dans un gigantesque fauteuil de marbre, perché au sommet dune impressionnante pile de coussins. Il pressait contre sa poitrine un petit coffret de bois garnis de magnifiques pierres turquoise, reflétant léclat des bougies. Lhomme était vêtu dune large tunique couleur beige. Une dizaine de bagues ornaient ses doigts. A son coup : pendait un nombre considérable de chaîne en or. Le vieil homme avait de petits yeux bleus avec de lourdes paupières repliées sur elle-même et possédait de longs cheveux gris. Il avait lair épuisé, extenué par les dur moments quils avait vécu : son visage était pâle et couvert de rides, et son regard était vide. Il concentrait un surcroît de forces pour maintenir au mieux que possible le coffret de bois entre ses bras.
Non loin de lui, un homme à forte carrure aux longs cheveux bruns scrutait lentrée en se déplaçant de long en large. Il portait un manteau et une épaisse paire de bottes ; à sa ceinture était nouée une longue épée. A plusieurs reprises il se retourna pour examiner létat de son supérieur qui semblait le préoccuper. Les plis sur son visage trahissaient des signes dangoisse mêlés à de lépuisement et par ailleurs un sentiment de faiblesse, compte tenu de la situation
il souhaitait pouvoir venir en aide au vieil homme souffrant au fond de la pièce.
Brusquement après un mur instant de réflexion, lindividu aux cheveux bruns se décida dun pas vifs et se dirigea au fond de la tente. Il appliqua délicatement sa grosse main velue sur le front du vieil homme à bout de forces et poussa un énorme soupir dahurissement. Après quoi ; il ramassa un récipient posé près de son maître quil examina avec déception : le bol débordait dun substance visqueuse affreusement blafarde, qui à première vue semblait être un mélange de boue et de plantes hachée.
Il sapprocha lentement de loreille de son maître, contre laquelle il murmura des paroles incompréhensibles pour essayer de provoquer son attention. Aussitôt le regard vide du vieil homme saffola ; sa tête sagitait dans tous les sens ; ses narines se gonflèrent et il marmotta un long soupir de jurons
Il lui fallut un court instant dentendement pour enfin sexprimer à voix haute :
- Par tous les dieux, quest-ce dont cela ?! Sexclama til.
Plus rassuré, lhomme aux cheveux brun répondit :
- Maître, cela fait maintenant deux jours et deux nuits que je contemple votre posture de revenant. Vous ne dormez pas, vous ne buvez pas et de plus vous manquez de sommeil !
Lhomme serra plus fermement le bol quil tenait dans les mains, et le brandit en direction de son maître.
- Regardez, vous navez même pas daigné effleurer votre remède !
Le vieil homme descendit de son fauteuil avec précaution, agrippant toujours dune main le coffret en bois. Il ramassa doucement une fine canne qui traînassait sur le sol et commença à faire les cent pas à lintérieur de la tente. Le regard surpris de lhomme brun épiait sa course. Son pas était lourd et difficile. Il sarrêta près du meuble ou étaient posés les bougies, celles-ci étant presque entièrement consumées, se racla la gorge et dit :
- Tu ne croyais tout de même pas que jallais avaler ce breuvage infect, qui seul par son aspect répugnant et son odeur nauséabonde me dégoûte. Ecoutes-moi attentivement Meriden : je suis vieux, malade, à bout de force et je ne sais toujours pas si je serais en mesure dassurer la lourde tâche quil ma été confié
Le jeune homme avait violement jeté le nectar qui clapotait entre ses mains et sécria :
- Mais tout le monde compte sur vous maître, vos hommes vous vénèrent à tel point quil vous suivraient jusquau bout du monde ! Nous avons remporté des batailles pour obtenir le coffret que vous tenez si ardemment entre vos bras. Mais la guerre nest pas finie, les hommes de lest sont près à vous suivre ! Sans vous nous sommes perdus, votre présence nous est éperdument indispensable.
- Je suis persuadé, reprit le vieil homme, que dautres personnes fortes et courageuses pourraient très bien combattre à ma place le Mal contre lequel je mène une lutte acharnée depuis bien fort longtemps. Vois-tu, quand un homme est satisfait de sa récolte, il a droit au repos. Jestimes que jais accompli ma tâche et quil est temps pour moi de me retirer de la course.
Lhomme aux cheveux brun, encore plus en exaspéré sécria dans un dernier espoir :
- Maître, pensez à tout ce que vous avez accompli dans le passé ! Qui dautre aurait pu à par vous, et qui pourra après vous. Des vies se sont envolées comme le vent emporte les feuilles pour obtenir ce coffret, pour obtenir ce quil contient
- Jai déjà pris ma décision et je suis ferme sur ce point. Tu prendras le commandement de mes armées au sud et à louest et mon fils mènera celles de lest. Tu es la seule personne en qui jai réellement confiance, cest donc sur toi que je déverse ce lourd fardeau entre tes mains surs et saines.
Pendant un court instant lhomme aux cheveux bruns demeura la tête recroquevillée. Son maître vint lui passer un bras autour des épaules comme un père apporte de la chaleur à son fils. Ils perduraient ainsi un long moment avant que le vieil homme ne reprenne dune voix apaisante :
- Jai du méditer de la sorte consciencieusement avant den arriver à un tel choix, chose que je te demandes daccepter. Je sens ma fin proche Meriden, lombre de la mort me traque sans relâche depuis que jescorte ce coffret
et je ne regrette pas davoir accepter cette tâche accablante.
- Etes-vous sur davoir prit la bonne décision maître, en êtes-vous persuadé ?
- Jen suis convaincu.
- Alors que votre volonté soit exaucée et sachez je vous servirais jusquà la mort, enchaîna solennellement Meriden.
Le vieil homme retourna sasseoir, toujours dune démarche posée avec cette fois plus de difficulté. Une fois installé il invita Meriden dun signe de la main et celui-ci sempressa obéir. Le vieil homme tendit le petit coffre quil tenait auparavant dans ses bras et dit :
- Ceci est à toi maintenant et surtout prend en soin. Tu sais ce quil renferme, prévint le vieil homme, et tu sais également quil ne devrait en aucun cas être détenu entre de mauvaises mains : sinon le monde courrait à sa perte
Je nais plus rien à faire car ma mission est désormais tiennes, ce coffre doit revenir à lAlliance et elle seule sera en mesure de juger quoi en faire.
Meriden reçut le coffret entre ses bras : il ne simaginait pas à quel point cette chose était lourde. Lénergie qui en émanait lenvoûtai et troublai ses pensée : son esprit percevait vaguement une odeur pourtant inodore, une image invisible et un son inaudible. Soudain des clichés défilèrent dans sa tête lui évoquant vaguement datroces souvenirs obscurs qui nétait pas les siens, ou du moins quil ne se souvenait pas davoir jamais vécu ; se mains frémissaient. Troublé, dans un sursaut inattendu il faillit faire tomber le coffret mais se rattrapa de justesse. Le vieil homme ne semblait pas du tout surpris par la réaction de Meriden :
- Ne ten fais pas tu viens seulement de ressentir une part de « son » énergie, dit-il, tu devrais ty habituer au fil du temps, les réactions varient en fonction des personnes.
- A présent que dois-je faire ? Questionna Meriden, quelle tâche dois-je accomplir ?
- Isole toi un moment dans la forêt ou dans un endroit calme. Cela te laissera le temps de méditer un petit moment avant de tengager dans une traversée de tous les périls, car il faut que tu sois près aussi bien physiquement que mentalement.
Soudain le vieil homme se leva de son fauteuil avec force, comme si son corps avait recouvré toute vitalité.
- La route qui tattend est longue et périlleuse, et je ne serais peut-être plus de ce monde pour te porter secours. Tu affronteras les pires dangers et tu connaîtras le mal sous son état pur, en taventurant aux confins ce monde obscur. Seul, tu ne vaincras : entoures toi de tes plus proches amis et nest confiance quen toi. Mais prends garde, le mal peut être si proche que ton cur désemparé na de refuge quun reflet trompeur. Ne renonces jamais même quand tu sens que le mort est proche, car un homme na de valeur que lorsquil est convaincu quil a lutté aussi longtemps quil a pu. Et pour finir, je te le dis haut et fort ainsi les dieux en sont témoin :
Que ton cur vaillant ne tombe jamais sous lemprise du Mal, car même dans un rais de lumière, lespoir qui sy cache sera toujours vainqueur. A présent va et combat !
bon cé tou pour l'instant alors qu'en pensez vous?!!!!