Bonjour, je vient de m'inscrire sur se forum, je suis tout nouveau donc je ne c'est pas trop comment marche un forum car c'est la première fois.
 
Voila, j'aurai besoin de conseil pour écrire un roman fanstastique, mais idées sont en place    et j'aimerait savoir comment m'y prendre. Bien sur je me suis déjà testé a l'écriture il me faudrait quelque critique pour m'amélioré et me perfectionné.
 
J'éspère que j'écrit au bonne endroit.
 
Merci.

Avec Word (ou Open office si tu es geek (ou juste un stylo si tu es pauvre)).

J'écrit avec les deux mais plus sur papier pour après le mettre au propre sur word. Comment faite pour bien structuré le récit.

 
Il te faut un Bled.

Pardonne moi joulpouille  mais quesque que un bled. Se nom me di quelque chose mais je n'arrive pas à me souvenir!

Faire un multi un dimanche soir, c'est moche.

arrêtez !!
pour écrire un livre, le mieux c'est de :
- faire un plan concis avec les embrayeurs généraux
- faire un plan détaillé de l'histoire
- faire un arbre mettant en relation les personnages
- choisir le nom des personnages, car c'est important ("onomastique" )
- assurer une cohésion au niveau des temporalités (et donc des conjugaisons) ; choisir si l'histoire poursuit le schéma A B C D E, ou bien s'il y a des analepses (flashbacks) ou prolepse
- assurer une cohésion au niveau de la tonalité
- gérer des effets de surprise ou diversifier les bonnes de narration (passages épistolaires, dialogue, ...)
bonne chance

La première étape pour toi ça serait déjà d'apprendre à écrire.

Putain les mecs qui savent même pas conjuguer au présent et qui veulent écrire un livre

Merci Cindytroford pour les précieux conseil que tu ma donner.
 
Quand à toi Timoonn j'aimarait bien te voir écrire si tu à était d' hésortographique, quand à ton vocabulaire "il à l'air vraiment très riche" mais je ne t'en veut pas car  t'es critique  m'améliore et cela m'oblige à me perfectionné.
 
Merci.

Ouais enfin, je connais rien au monde de l'édition mais à mon avis personne n'ira plus loin que la 2ème ligne si tu envoies un texte écrit comme ça.

Bien sur que je n'enverait aucun livre comme sa a un éditeur, un peu de logique lol.
 
Enfin merci quand même

 
Je conçois très bien qu'on ait envie d'écrire mais qu'on ne maîtrise pas l'orthographe - sans même être disorthographique voire dyslexique - . L'imagination pourvoit à l'histoire. On peut corriger une orthographe en appliquant des règles mais "corriger" une histoire est beaucoup plus délicat!
De plus , pourquoi ces paroles décourageantes? Si l'orthographe n'est pas acquise c'est que la scolarité a fait défaut. Pour une raison ou une autre.. Mais corriger son orthographe "sur le tard" est difficile.
 
Bref je trouve injuste de fustiger un écrivain, fut-il en herbe, pour son orthographe "bancale".
 
Ps : je ne suis pas à l'abri de fautes d'orthographe mais pour te répondre j'ai  fait une ou deux verifs  quand même .

Vrael ,
 
Voici déjà un lien sur ce qu'il ne faut pas faire en écrivant une histoire de SF : http://www.revue-solaris.com/special/cnpedh.htm

 
Plus besoin, la France a changé

 
Tu comptes parler de vélo dans ton roman?

 
Si ce n'est pas un troll, la réponse sérieuse est: parce que les éditeurs croulent sous les auteurs.
Donc qu'ils n'ont pas le temps de se demander si les fautes multiples dissimulent la fraîcheur d'une plume nouvelle.
Ils prennent un roman, lisent deux lignes au hasard au milieu, regardent si c'est compréhensible. Non ? Poubelle. Oui ? Ils lisent deux lignes de plus.
 
Et encore, je parle des maisons d'éditions, mais aucun forumeur ne prendra non plus la peine de lire un texte incompréhensible.
 
Bref, si Vrael veut écrire pour lui, c'est son droit, et on peut lui donner quelques conseils de structure.
Par contre, il ne sera jamais lu.

 
autrement dit, coller de la fesse ?

 
J'alois te le disclamer ! j'imagine Talbazar s'assurer de la cohésion au niveau des temporalités !!!  
 
Tu veux écrire ? Ecris ! Il y a des mecs qui font 100 fois mieux que moi et qui ne seront ni publiés ni seulement lus.  
 
1- La fuite de Robb (écrit en 1/4 d'heure sans relecture hormis les fautes d'orthographe)  
T'en foutrais des "analepses" !    
 
 
Le traître sable rouge d' Ozzurn se dérobait sous les pas de Robb Herr Mart'Hin.
En matière de traîtrise, Robb n'avait aucune leçon à recevoir et malgré les difficultés du terrain, il entrevoyait le sommet de la dune.  
Il se forçait à ne regarder son but qu'une fois énoncées à mi-voix les deux cent quarante lettres des noms de ceux en qui il avait eu la faiblesse de croire.  
A raison d'une quinzaine de lettres par patronyme, il considéra l'étendue de sa crédulité.
-Foutrediable !  Ne put-il s’empêcher de cracher lorsqu' il commença à engrener le nom honni de la plus perfide de ses ennemies... Pohrt de Frigo !  
Un instant il pensa comptabiliser les douze lettres du juron anodin afin de raccourcir le temps qui le séparait de son prochain coup d'oeil mais Robb était superstitieux en diable. En Diable et surtout en angelots. L'adorable visage de la traîtresse vint s'imposer à lui. Lors, afin de distraire son esprit  il transgressa une fois encore la règle qu'il s'était imposée, se tournant péniblement, les griffes ancrées dans le sol meuble et incliné de la dune brûlante.
Dans cet océan désertique,  la vue n'était arrêtée que par ses propres limites, le sable ocre se mêlait alors au jaune du ciel soufré en des colonnes brumeuses.
Même l'oeil le plus perçant était bien inutile à celui qui contemplait ces étendues.  
Inutile et désespérant, comme les ailes brisées et maintenues en place par un drap sale sur le dos de Robb.  
Ne perdant aucun temps à sonder les limites de ce monde, il contempla au loin les ruines fumantes de son aire qui hier encore se dressait, apparemment invincible, comme un poing de cristal défiant l'éternité.
« Brûle le diamant  mais de cendres néant.  
 Brûle le néant, nait la cendre Diamant »  
Une musique trop longtemps laissée en boîte récita sa comptine et Robb sentit le poids de la fatigue peser sur sa vigilance.  
 
Un jet de sable d'une rare violence l'atteignit à la tempe et il coula plus qu'il ne tomba,
Un rapide coup d'oeil circulaire lui fit comprendre la gravité de la situation. Il était dans un gigantesque entonnoir au centre duquel s'agitaient frénétiquement les cisailles mandibulaires d'un antlion.  
Les jets de sable précis et implacables le frappaient régulièrement aux articulations, précipitant sa chute.
Robb connaissait parfaitement le mode opératoire de ces prédateurs silencieux. Leurs mandibules  canaliculées leur permettaient à la fois d'injecter des sucs digestifs et bien sûr de réabsorber le tout après liquéfaction des tissus de la victime. Une fois cette dernière littéralement vidée de toute substance, la dépouille était rejetée à l'extérieur de l'entonnoir.  
« Ne nous effraie que l'inconnu »  
A ce moment, il aurait volontiers échangé sa place de « savant » contre celle de l'idiot qui avait décrété cette absurdité.  
L'antlion qui avait visiblement identifié sa proie, visait les yeux et il visait juste !  
Robb parvient à sortir sa dague en pierre-dragon et puisque l'affrontement était inévitable, il vendrait chèrement sa peau et ses quelques plumes...  
Déjouant les prévisions de l'animal, il anticipa sa course vers la tête relativement petite, plate, et allongée d'où les énormes pinces prenaient naissance.  
Fort de son élan Robb plongea son arme dans l'un des yeux de bête tout en tentant d'éviter les furieux coups de sécateur des pinces qui se refermaient avec un claquement sec dans l'air autour de ses serres.
Il perfora méticuleusement toute tache sombre de cette horrible surface susceptible d'être un quelconque capteur.  
Longtemps après que l'animal ne se fut immobilisé, Robb frappa encore et encore faisant jaillir un liquide jaunâtre et acide dont il se débarrassa en l'essuyant sur ses oripeaux.  
Las, exténué, Robb se laissa choir à côté de sa victime qui, dans le feu de l'action était aux trois-quarts sortie de sa tanière.  
Il usa de sa « vue en l'esprit » et se contempla, à une encablure de hauteur, quasi-dépouille gisant, ailes brisées au fond d'un entonnoir avec comme seule compagnie un cadavre d'antlion.  
Il jugea que la situation pourrait être pire.  
Il avait raison.  

Bon, du coup, ça m'amuse cette histoire de Robert Martin... Comme quoi, pas besoin de se fendre d'un bouquin à la noix, on est largement assez cons pour l'écrire nous-mêmes. Je "corrige" un pluriel ou j'ajoute un article et "roule ma poule !" (Merdre ! j'aurais dû l'appeler George, Martin ! Trop tard !   )

 
 
Le traître sable rouge d'Ozzurn se dérobait sous les pas de Robb Herr Mart'Hin.
En matière de traîtrise, Robb n'avait plus aucune leçon à recevoir et malgré les difficultés du terrain, il entrevoyait le sommet de la dune.  
Il se forçait à ne regarder son but qu'une fois énoncées à mi-voix les deux cent quarante lettres des noms de ceux en qui il avait eu la faiblesse de croire.  
A raison d'une quinzaine de lettres par patronyme, il considéra l'étendue de sa crédulité.
-Foutrediable !  Ne put-il s’empêcher de cracher lorsqu' il commença à engrener le nom honni de la plus perfide de ses ennemies... Pohrt de Frigo !  
Un instant il pensa comptabiliser les douze lettres du juron anodin afin de raccourcir le temps qui le séparait de son prochain coup d'oeil mais Robb était superstitieux en diable. En Diable et surtout en angelots. L'adorable visage de la traîtresse vint s'imposer à lui. Lors, afin de distraire son esprit  il transgressa une fois encore la règle qu'il s'était imposée, se tournant péniblement, les griffes ancrées dans le sol meuble et incliné de la dune brûlante.
Dans cet océan désertique,  la vue n'était arrêtée que par ses propres limites, le sable ocre se mêlait alors au jaune soufré du ciel en des colonnes brumeuses.
Même l'oeil le plus perçant était bien inutile à celui qui contemplait ces étendues.  
Inutile et désespérant, comme ces ailes brisées et maintenues en place par un drap sale sur le dos de Robb.  
Ne perdant aucun temps à sonder les limites de ce monde, il contempla au bas les ruines fumantes de son aire qui hier encore se dressait, apparemment invincible, comme un poing de cristal défiant l'éternité.
« Brûle le diamant  mais de cendres néant.  
   Brûle le néant, nait la cendre Diamant »  
Une musique trop longtemps laissée en boîte récita sa comptine et Robb sentit le poids de la fatigue peser sur sa vigilance.  
 
Un jet de sable d'une rare violence l'atteignit à la tempe et il coula plus qu'il ne tomba,
Un rapide coup d'oeil circulaire lui fit comprendre la gravité de la situation. Il était dans un gigantesque entonnoir au centre duquel s'agitaient frénétiquement les cisailles mandibulaires d'un hantlyon.  
Les jets de sable précis et implacables le frappaient régulièrement aux articulations, précipitant sa chute.
Robb connaissait parfaitement le mode opératoire de ces prédateurs silencieux. Leurs mandibules  canaliculées leur permettaient à la fois d'injecter des sucs digestifs et bien sûr de réabsorber le tout après liquéfaction des tissus de la victime. Une fois cette dernière littéralement vidée de toute substance, la dépouille était rejetée à l'extérieur de l'entonnoir.  
« Ne nous effraie que l'inconnu »  
A ce moment, il aurait volontiers échangé sa place de  savant contre celle de l'idiot qui avait décrété cette absurdité.  
L'hantlyon qui avait visiblement identifié sa proie, visait les yeux et il visait juste !  
Robb parvient à sortir sa dague en pierre-dragon; puisque l'affrontement était inévitable, il vendrait chèrement sa peau et ses quelques plumes...  
Déjouant les prévisions de l'animal, il anticipa sa course vers la tête relativement petite, plate, et allongée d'où les énormes pinces prenaient naissance.  
Fort de son élan Robb plongea son arme dans l'un des yeux de la bête tout en tentant d'éviter les furieux coups de sécateur des pinces qui se refermaient avec un claquement sec autour de ses serres.
Il perfora méticuleusement toute tache sombre de cette horrible face susceptible d'être un quelconque capteur.  
Longtemps après que l'animal se fut immobilisé, Robb frappa encore et encore faisant jaillir un liquide jaunâtre et acide dont il se débarrassa en l'essuyant sur ses oripeaux.  
Las, exténué, Robb se laissa choir à côté de sa victime dont le corps ovoïde et trapu était aux trois-quarts sorti de sa tanière dans le feu de l'action.  
Il usa de sa « vue en l'esprit » et se contempla, à une encablure de hauteur, quasi-dépouille gisant, ailes brisées au fond d'un entonnoir avec pour seule compagnie un cadavre d'hantlyon.  
Il se dit que la situation pourrait être pire.  
Il avait raison.  
 
 
 
2- Hot Snow
 
 
 
- Bande d'immondes porcs décérébrés ! Hurla Hot Snow à l'adresse des chefs de phalange.
Suis-je censé croire que j'ai devant moi l'élite guerrière d' Al-Kataëb ?  
La colère faisait pendre plus qu'à l'accoutumée sa lippe puis la ferait vibrer et à ce moment des gouttes de salive et des têtes tomberaient.  
C'est pourquoi, dans un silence absolu, les Oplits qui lui faisaient face étaient suspendus aux lèvres de Snow...
Le Riziv le plus redouté de Krânos allait et venait derrière la lourde table incrustée de milliers de dents arrachées à ses ennemis mais également à ses imprudents et naïfs amis qui s'étaient laissé aller à quelque confession intime, enivrés par le traître vin de palme et l'allure débonnaire du poussah.  
-A vous croire, Robb Hin s'est, disons... envolé ! cria-t-il d'une voix aiguë, levant avec effort ses courts bras dodus.
Un couinement morbide monta, se transformant en grincement et une série de soubresauts l'agita. L'obèse était atteint d'un rire- nerveux. Syphos Shortswore compta sept spasmes sonores avec stupeur, attendant un dernier qui viendrait rompre la malédiction. Hélas, son attente fut vaine.
C'est d'ailleurs vers lui, au soulagement de ses pairs, que Snow s'avança... Il posa une main aussi amicale qu'un corbeau mort sur son épaule :
-Syphos, mon ami, tu ne saurais me décevoir, n'est-ce-pas ?
L'attitude mielleuse  et la voix doucereuse du Riziv  sonnèrent l'alarme aux oreilles de Shortswore. S'il ne put réprimer un haut-le-corps il eut néanmoins  la présence d'esprit de le faire passer pour de l'étonnement.  
-Votre Grâce ! Depuis mon éveil jusqu'au coucher, je n'ai autre idée en tête que de satisfaire au mieux Son Excellence ! » s'empressa-t-il de débiter.
-C'est sans doute ce qui lui permet de se tenir encore en équilibre sur tes épaules... souffla l'obèse dans une haleine où la rose tentait désespérément de l'emporter sur l'ulcère.  
Syphos fut soulagé, il savait d'expérience que Hot Snow ne parlait jamais à ses victimes avant de les occire et de scrupuleusement récupérer leur vingtaine de kilos d'os. Étrange, cette détestable habitude... Vraiment étrange, songea-t-il, car jamais on ne les revoyait. Le poussah se livrait-il à quelque saponification diabolique ? Peu désireux d'en connaître davantage sur le sujet, l'Oplit s'empressa d'ajouter :
-Une demi-douzaine de Bulles-Irisées ont été lâchées, le vent Thouze les draine en cet instant vers Ozzurn, Votre Majest..
-Il suffit ! Le frappant durement à la bouche d'un revers de sa main ornée de chevalières Hot Snow le coupa :  
Les « Votre Grâce ,  Excellence ,  Majesté » et autres salamalecs ne comblent pas le tracas que me cause l'incertitude du sort de Robb Hin. Ses yeux sans blanc, à la pupille hircine traversèrent Shortswore.  
-Sortez, tous ! Immédiatement ! s'écria le Riziv, crispant ses mains grassouillettes, les agitant à hauteur d'oreilles. Je dois m'entretenir avec Niiska !
Les sept Oplites s'empressèrent d'obtempérer non sans échanger quelques propos acerbes, manière de montrer à leurs égaux qu'ils défiaient l'autorité du Riziv.
-Il a la voix fluette des obèses, chuchota Kmidès.
-Ou des eunuques, qui jamais ne baisent. Renchérit Hoplon.
 
Demeuré seul dans la Salle du Conseil, Hot Snow ressentit ce curieux mélange de malaise et d'excitation qui ne manquait jamais de l'envahir lorsqu'il devait communiquer avec Niiska.
Lentement il remonta sa tunique en peinant à faire passer sa panse et se dévêtit entièrement.  
 
 
 
 

je parle pas aux gens qui n'ont pas des jantes alu.

Si je monte des gens talus sur ma super 5 "five" de 91, les voisins vont prévenir mon curateur.  

il n'y a pas de mal à ce qu'un curé songe à se curer.

Bonjour, je suis nouveau sur ce forum. C'est même ma première inscription à un forum.
Alors, pour répondre à Vrael, j'ai moi-même des difficultés à écrire sans faire de fautes. Il existe des logiciels pour nous aider. Comme "antidote" par exemple. Ou en ligne directement avec "reverso.net".
Quant à savoir comment procéder pour écrire un roman, une simple recherche dans un moteur de recherche peut te permettre de trouver les conseilles et méthodes dont tu as besoin. C'est ce que je viens de faire, et j'ai trouvé pas mal de chose...
J'espère t'avoir aidé, a+

d'abord tu t'attelles à écrire correctement, sans faute, une nouvelle de trois pages.

puis une autre.

Puis éventuellement dix autres.

puis éventuellement la biographie de ta petite soeur.

Puis éventuellement ta ballade au Mont St Michel.

Si tout le monde a lu tout ça sans bailler, et seulement dans ce cas, c'est que tu peux mieux.

Avant le long métrage, le court-métrage, voir la scène de rue sur ton portable.

Anéfé, une scène de rut sur ton porc tables !

surtout ce moment quand la bouche rie.

Seuls les chars "cute" rient

Quelques notes de HP Lovecraft sur l'écriture fantastique.