ADJUGEZ      COUPABLE !  
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Je demeurais à Paris,en companie de Maël et Etienne.Etienne était petit,cheveux bruns.Il avait une faculté pour analyser les choses c'est pour cela qu'il  était devenus inspecteur de police.Maël, était plus petit qu'Etienne .Il avait des taches de rousseur.Il avait des lunnettes carrées noires et était devenue médecin légiste.Moi comme chaque soir, je leur faisais du thé pendant que Maël fumait un cigare et qu'Etienne lisait un journal.Notre chien,dormait au milieux des deux sur le tapis en face de la cheminée.Au dessus de la cheminée se trouvait un de ses vieux coucoux qui à certaines heures précise sorte de l'horloge et crie "COUCOU COUCOU".Le parquet était un de ses vieux parquet  qui grince à chaque fois que l'on y pose un pied.Moi dans la cuisine je préparai avec attention le thé de mes maîtres.Il faut dire que malgrès leur richesse,aucun d'eux n'a voulut changer de personnalité.Quand l'heure du thé sonna,je m'avança vers mes maîtres lorsque:
-Incroyable,s'exclama Etienne.
-Quoi donc ? Demanda Maël.
-Ecoutez ça,commença Etienne:
"Ce matin,Jhon Leufèvre s'est fait tué.Personne n'était chez lui le jour où le meurtre à été commis.Il a été commis à huit heure du matin.Dans son domicile,dans sa chambre plus précisement.Nous ne savons aucun détail sur le meurtre,nous attendons plus d'informations.
"Faycal a déclaré être de passage à Paris le jour du meurtre.Il avouait avoir traverser la rue du domicile  et avoir entendu un coup de feu mais comme il y avait du tonnerre ses oreilles l'ont trompé.
"Jean-Eudes aurait annonçé voir un homme louche s'enfuir de la maison après un gros coup de  tonnerre."
-Stupéfiant,s'écria Maël.
-Juste dans notre rue en plus,ajouta Etienne.
-Et si on allait y faire un petit tour.S'empressa de dire Maël.
-Où ç'a ? demandais je bêtement.
-Dans la maison de la victime.Me répondirent ils tout deux.
    Malgrès l'heure,mes maîtres voulaient y aller.Dehors,il faisait un froid qui nous glacez le sang.La lune était en forme croissant,des étoiles brillaient dans le ciel.Nous montâmes une rue,et nous tournâmes à gauches pour se trouver devant la maison.Une petite maisonnettes en bois de chataigner.Un garde gardait la maison:
-Stop,s'écria t-il.Où allez vous ?
-Nous voulons enquêter sur le meurtre de Jhon Leufêvre ! Répondit Etienne.
-Vos papier ? Demanda Le Garde.
-Clément ! Me demanda t il.
-Mon maître me demande, lui répondis je.
-Pouvez vous me donnez mes papiers ? Me demenda Etienne.
"Des papiers, il ne m'avait jamais donner de papier,le seul papier que j'avais était un papier qui endormez les gens qui en sentait l'odeur.Mais attendais mais oui,il veut que je lui donne le papier.Si je lui donne,on retiendra notre respiration pendant que le garde respirera l'odeur.Ensuite,il s'endormira et nous pourrons tranquillement nous faufilait à l'intérieure de la maison.1...2...3 c'est parti je retiens mon souffle:"
-Tenez Monsieur l'agent voici les papiers de monsieur.Lui dis je.
Il ne tarda pas avant que le garde s'endort,manquant de souffle,nous rentrâmes dans la maison et nous refarmâmes la porte directement.Nous étions dans la maison de Jhon Leufêvre, dans son salon plus précisement.Il y avait une cheminée où il n'y avait pas de feu.Il y avait aussi des siège en cuir rouges,une table de en bois de houx.Etiennne examinait la cheminée:
-C'est bizarre,s'exclama t-il  
-Quoi donc ? Demanda Maël.
-Tu ne trouve pas ça bizarre d'avoir une cheminée et de ne jamais l'allumée surtout que l'on vient de terminez les mois les plus froids ?  Lui répondis Etienne.
-Etrange,Etrange,dit aussitôt Maël,mais je pense que l'on doit avant tout allez à la morgue pour plus d'indice.
-Ok, pendant que tu vas à la morgue, je m'en vais demander au chef de police de la rue de la Paix si l'on peut être sur l'enquête.Répondit Etienne.
-O k,Clément ! venez avec moi.Me dit précipitament Maël.
Pendant qu'Etienne se dirigeait vers le commisaria,Maël et moi,nous nous dirigions vers la rue Saint Roch.Quand nous arrivâmes à la Morgue,nous rentrâme et nous parlâmes à la secrétaire:
-Pourrions nous voir le corp de John Leufèvre est interrogé le médecin légiste ? Demanda Maël.
-Allez y,il est justement en train de faire l'autopsie.Répondit la sécrétaire.Il est en salle 23 au première étage,voici les clé car il ferme toujours la port à clé quand il fait une autopsie.
-Merci beaucoup,dit Maël.
Nous allions partir lorsque le secrétaire nous appela:
-Au fait,il s'appelle Dr. Karrha.
Nous montâmes les marches,et tocâmes à la porte.Personne ne répondait.Nous entendions aucun bruit de l'intérieurede la porte 23.Nous ouvrâmes la porte et nous rentrâmes.C'est avec un grand étonnement,que nous vîmes le corps du Dr.Khara allongé par terre.Par terre,une arme et des balles se trouvait par terre.En y regardant de plus près,l'arme était une matraque.
-Tiens ! Tiens.Dit Maël.
-Quoi donc,lui demandais je ?
-Une matraque gainée de cuir de web et des balles de carabine.Murmura Maël.Clément,allez voir la secrétaire et dis lui d'appelez ces deux numéros.Si elle te demande pourquoi,dis lui que le Dr. Karha vient d'être assasiné.
Je courais le plus vite que je pouvais,car si le Dr. Karha avait été assasiné ici même,cela voudrai dire que l'asassin est ici même à moins bien sur que l'asassin soit:La secrétaire.Impossible,pourquoi la secrétaire ou quelqu'un aurait il voulu tuer le Dr. Kahra à moins bien sur que.. Oui,j'aurai du y pensais avant,comme Dr. Khara analysait le corp de John Leufèvre,le tueur l'aurait tué pour que personne ne sache comment avait été mort Jhon Leufèvre.
Arrivé en bas, je pris mon courage à eux mains et cria:
-Dr. Karha a été assassiné,en parlant je continuait de courir vers la secrétaire.Tenez Madame appelez sur ces deux numéros.
La secrétaire appela,et dix minutes après on entendit des sirènes retentirent et Etienne,Le commisaire et une dizaine de policier rentrèrent dans la morgue.
-Allez les gars,cria le commissaire,vous cinq allez à gauche.Vous autres venez avec moi à droite.
Etienne m'avait vu et se dirigea vers moi:
-Alors que se passe t-il ?
-Viens je vais te montrez.Lui répondis je.
En courant, je lui parlais:
-Alors,ils acceptent que tu te charge de l'enquète ?
-Oui ils acceptent Clément.Me répondit Etienne.
Arrivais devant la porte 23, nous trouvâmes Maël:
- Je peux vous dire que Jhon Leufèvre et mort de la même manière que Dr. Karha,annonça Maël. Je sais commnt le tueur est rentré dans la salle,la fenêtre,la vitre s'est cassé.Je suis allez voir dans les deux autres salles et j'ai retrouvé des traces de pas.
-Dans les deux salles ? Demanda Etienne.
-Dans les deux salles,répondit Maël.Et je peux même vous dire qu'il y a une salle dont il est entré,une autre salle dont il en est sorti.Hors,d'après ceux qui travaillent ici,Personne ne devait se trouvait dans cette salle aujourd'hui.
-On a donc à faire à un criminel organisé ? Demandai-je.
-Oui c'est un criminel très organisé.Mais malgrès tout ces plans,il ne se doutait pas que nous allions venir.Me répondit Maël.
-Personne ne le savait,lui Etienne.
-Certes personne ne le savait mais lui aurait put le savoir.Répondit Maël.
-Comment ça ? Lui demandais je.
-Je ne sais où il est mais j'ai l'impression qu'il nous épie depuis le début,il attaque Jhon Leufèvre puis tue le Dr. Khara.Pourquoi le Dr. Karha vous me demandai ?Répondit Maël.
-Non,je sais pourquoi il a tué le Dr. Karha.Dis-je en parlant à Maël.Le criminel s'en ai prit à Jhon Leufèvre pourquoi je n'en sais rien mais le tueur à tué le Dr. Karha pas parce qu'elle a un liens avec la victime,mais c'est le Dr. Karha qui devait analyser le corp de Jhon Leufèvre.il l'a tué Dr. Karha.Un seul problème,comme il ne s'attendais pas à notre visite,c'est pour cela qu'il ne nous as pas attendus.
-Très bien dit,dit aussitôt Maël.A present rentrons il se fait tard.Il est déjà 11 h00 du soir.
        En arrivant chez nous, je rensais à toutes ces histoires.Ce n'est que tard dans la nuit que je trouva sommeil.Je me réveilla par un bruit qui venait de l'extérieure.Un cri sans aucun doute.C'est là que je compris que l'heure était grave,peut être qu'une autre personne se faisait assasiner.Sans même prendre le temps de m'habiller, je sortis dehors.C'est avec peur que je vis ce qui se passait,une des maison de notre rue brulait.Je vis près de la maison une multitude de gens et je pus apercevoir Maël et Etienne.
-Que se passe t-il ? demandais je.
-Un incendie a été déclarer,aide nous,nous n'avons pas amené notre portable.,va appeler par notre téléphone fixe.Me Répondit précipitament Etienne.
Je courus vers chez nous.C'est avec angoisse que je vis un homme à l'enrée de la maison.Il est trop tard pour allez chercher les autres car je n'avais plus de souffle.Plus je m'avançais et plus je distinguait son visage.L'homme avait mis une cagoule noire.Il était habillé en noir et on voyait ses yeux bruns qui rejetait des flammes tel un tueur fou voulant se venger.
Par terre, je me munis d'une branche et d'un cailloux.Je pris la branche et frapppa d'un grand coup sur la tête de l'homme à la cagoule.Celui ci se trouva propulser à terre.Je pris sa main,la mit derrière son dos,sortit le cailloux de ma poche et le frappa avec jusqu'à ce qu'il tombe dans les pommes.Je le plaça à l'intérieur de la maison,le fit asseoir sur une chaise et le roulant dans du scotch.Je pris le téléphone et appela les pompiers.Ensuite,je suis allé voir Maël et Etienne en leur disant de me suivre.Arrivé à l'entrée, j'entendis la sirène des pompiers, ceux qui me montrait qu'ils était arrivé.Quand j'amena mes maîtres vers le salon où j'avais emprisoné le suspect,je vis qu'il était mort.En effet,il avait été tuer.
-Désoler Clément,mais tu vas te retrouver sous les verrous.Me dit Etienne.
-Je n'ai rien fait,criai-je.
-Tu en es sur ? Me demanda Maël.
Je ne répondis pas.C'est vrai que je lui avait donné un coup avec une pierre sur la tête,mais je ne l'avais pas tué,il respirait encore quand je suis parti.Etienne trouva la pierre par terre.
-Maël,va m'analysé cette pierre.Demanda Etienne.
Maël monta en haut des escaliers.Moi,je tremblai.C'était impossible,Je n'avais put le tuer c'était surement un cauchemar dont il me suffisait de me pincer pour m'en réveiller.J'avais beau me pincer, c'était belle et bien la vie,la vrai vie.Pas un rêve ni un cachemar.Alors que faire ? Eienne analysait le corp de l'homme à la cagoule.Quand Maël descendit,mon coeur comença à battre de plus en plus vite.
Maël montra aussitôt l'analyse à Etienne.
-Bien,nous allons voir tes empreintes digitales à toi Clément.
Sans dire un mot, je fis analyser mon empreinte digitale.C'est là que Maël cria de tout son souffle:
-Je ne t'en croyais pas capable mais les analyses le disent.Tu as tué cette hommes.
-Non ce n'est pas possible ? Criai-je de toutes mes force.
-Ce ne sera pas long Clément,juste le temps de te sortir de là .Me dit Etienne.
Maël appela la police,très vite,je me retrouva sous les verrous.En prison,il y avait une radio que la garde écoutait sans cesse.C'est ainsi que j'écouta avec attention mon arrestation:
-Maintenant,pour les news,retrouvons Emilie.
-Merci beaucoup Lucie.Dit Emilie .-la dame qui disait les news à la radio-Il me semblerait qu'un homme allié à l'inspecteur de police Etienne et au médecin légiste Maël soit sous les verrous ce soir.Il aurait tuer un homme.D'après nos informtions,cet Homme s'appelé Bertrand Guanate.Il serait un inspecteur adversaire de l'équipe de Maël et Etienne.Ce serait par haine que l'homme allié de Maël et Etienne " Clément" aurait tué  Bertrand Guanate.Ce dernier aurait eu des preuves pour savoir qui était le coupable.je vous en dirait plus demain en attendant, je vous met en compagnie de Marc qui vas vous faire bouger de votre siège.
Je n'arrivais pas à le croire j'était en prison pour rien.Enfin je crois...Normalement avec le coup sur la tête qu'il a eu,il n'aurait pas du mourir.A moins que quelqu'un soit venus après pour terminer mon travail.Je n'arrivais pas à le croire j'était en prison par la faute du vrai tueur.La prison était inépuisable,touts les matins vers 8h30,on se levait pour bosser...Creuser,creuser et creuser.Je ne faisais que de creuser.Il est vrai que la nourriture n'était pas trop mauvaise,purée de pomme de terre.Ma vie devenait Enfer,quand soudain,un soir non comme les autres,Dupin m'envoya une lettre entre les barreau.
 
                          Salut Clément.
Désolée de t'avoir envoyé dans ce trou,mais nous n'avions pas le choix car les indices nous prouvaient que c'était toi cepandant,grâce à ton avocats:Terry.Tu a pu t'en sortir.On se retrouve demain,à l'heure de ta libération à l'auberge "lokalyte"
 
En effet, j'était libre.Le vent frottait contre mon visage.Je me dirigeait vers l'auberge,lorsqu'une impression bizarre me dit de retourner sur mes pas.En effet,le tueur s'était bmunis du même cailloux de l'autre victime pour tuer une autres personne.Malheureusement cette dernière se débattait.Il sortit son couteau et lui mit le couteau calmement sous la gorge:
-Voilà n'ayez craindre,Quetlynne,dit aussitôt le tueur.Cela ne durera que quelques instants avant de vous retrouvez dans un profond sommeil.
L'homme portait une cagoule noir tout comme le soir où je l'avais vu.
Je m'élança:
-Arrêtez ! m'écrais je.
-Tiens,tiens ! ils t'on laissé sortir,très bien après mettre occuper d'elle,je m'occuperai de toi.
Il trancha la tête de la jeune femme puis se tourna vers moi.
-Tu ne peux m'échapper personne n'échappe de ma colère.S'écria t-il.
Mais les policiers commençait à arrivez.Un hélicoptère alla à la rencontre du tueur puis une échelle arriva.Ce dernier monta à l'échelle et disparut à l'intérieure.
Les policiers arrivèrent et me demandèrent:
-Que c'est t il passé ?
Vous n'avez rien ?
Moi je ne répondais pas,pourquoi le tueur n'avait t il pas voulut venir me tuer.Ce n'est pas l'envie qui lui manquer
 
 
 

Tain les fautes

né en 1991 aussi

Et euh...tu balances le texte comme ça sans explication sans rien, tout ça pour ton premier post ici ?
 
Minute papillon, commence donc par lire notre charte (et profites-en pour te relire parce qu'il y a quelques progrès orthographiques à faire)