CR Ki Pétou J2 ALBINE SUPERIOR
La veille le départ voiture a été annoncé comme J1 : 8h30.
De mon côté la seconde nuit en mode Queshua Clodo sur la terrasse aura été beaucoup plus efficace que la première.
Est-ce dû à la fatigue du J1, à l'apéro qui a trainé en longueur, au combo Saussice / Taboulet / Fromage / Kouign-aman ? Surement un peu de tout ça.
Réveil 7h donc, mes collègues SDF sont déjà levés, de mon côté c'est en premier lieu mission rangement de ma maison ambulante, la fin de roulage J2 marquant pour moi la fin de la ki et le dur retour à la réalité.
Comme à mon habitude, je vais oublier pleins d'affaires dans le gîte qui de facto ont fini éparpillées aux 4 coins de la france.
Une fois les affaires chargées, je prends le petit dèj avec les retardataires : je termine mes victuailles dédiées aux ravitos, à savoir sandwitch Copa / Clacos qui pue pour le plus grand régal de Pétou.
Un double café plus tard (mix de fond de french press et de filtre trop dilué) je suis dans la voiture prêt à décoller.
Ce matin je l'ai joué tactique, je me retrouve en tête de cortège derrière la Berline Allemande de Pentier et le Foz de Cumstorm. Point d'écotech cancérisé ni de TDI WWgate pour encrasser mes Sinus de bon matin.
La météo est à l'avenant : grand bleu, les températures sont encore plus douces que J1 seul le vent s'est levé mais il ne viendra pas gâcher la fête.
Avant d'avancer plus dans ce CR, je me dois de faire une petite mise en contexte sur le spot du jour.
ALBINE (avec toutes les lettres en majuscule svp) c'est le spot de cœur du patron de la Ki (El famoso Petoulachi).
Ayant découvert le spot un peu par hasard au grès de Stalking de profil strava, il est tombé en profond amour pour ce spot.
Et si cette Ki a eu lieu, annoncée comme la meilleur Ki-ever, dans la tête du parton c'est dans l'idée de faire découvrir ce spot et peut-être même plus particulièrement une descente bien précise.
On se retrouve donc ce vendredi 10 mai à l'aboutissement de plusieurs mois de préparation intensive avec cet objectif bien précis de prendre un pied de l'espace à VTT.
Ça se voit dans les yeux du personnage, un mélange de pression et d'excitation qui laisse peu de doute au fait qu'on va passer une bonne journée.
Après 20 minutes de voitures, nous voilà réunis sur le parking du centre village d'ABLINE.
Ce matin pas de faux-départ, tout le monde est bouillant la mise en route se fait rapidement.
Après petoulachi est tellement à bloc qu’il accélèrera le mouvement, en forçant tout le monde à se magner encore plus. Ça se sent, il est chaud bouillant.
L'excitation du Patron est telle qu'il se sentira obliger de nous faire visiter le "Chemin de l'Estrade" ainsi que le "Chemin des Carbonniers" hauts lieux touristiques du village (comprendre, il a réussi à se planter de chemin dès le départ, on va mettre ça sur l’euphorie, mais heureusement que j’étais là pour rattraper le coup et faire comme si on faisait une visite…).
Ce petit détour pour le moins bucolique fait, nous attaquons la longue montée vers le Roc de Peyremaux.
Le tarif est annoncé dès le départ : DFCI / 10km / 650D+.
Très rapidement le groupe s'étire, les premiers plus rapides disparaissent vite du champ de vision.
De mon côté je me retrouve dans un groupe intermédiaire, je suis mon plan à savoir monter au train pour profiter des descentes. Train qui n'est pas si mauvais cela dit, on monte à environ 500m d+/heure.
La montée sera bouclée en environ 1h30, elle se fera sans trop de difficulté me concernant si ce n'est le mal de cul qui semble être le problème de pas mal de confrères également.
En haut, on a la satisfaction d’un paysage pas dégueu avec en fond, les pyrénées enneigées :
Première pause en haut, on attend que tout le groupe se reforme. Thomas, le local de Citou, avait demandé à etre informé de notre départ d’ALBINE, pour éventuellement nous rejoindre, ce qu’on avait fait. En haut, alors qu’on attendait que le groupe se reforme, le tel de pétou sonne. C’est Thomas, qui veut savoir ou on est. « Au départ de gripgrip » (une descente bonus de la journée qu’on peut faire au retour) lui dit-il, et là au téléphone il l’entend, déjà un peu essoufflé, répondre un « OK C4EST PARFAIT BOUGEZ PAS J4ARRIIIIIVE ». Moins de 10 minutes plus tard, le voilà qui pop devant nous, on apprendra qu’il s’est tapé 220d+ sur une DFCI à 9% de moyenne (en musculaire) pendant ces petites minutes, NORMAL.
A partir de là, le plan c'est de faire tous en ensemble une première descente sur le secteur Audois puis de remonter au même point. Une seconde boucle optionnelle coté Audois et enfin deux descentes coté Tarn.
Nous quittons notre point de pause pour récupérer la première descente et là c'est le drame, des coupes de bois sont en cours pile là où démarre le single. C’est tout neuf, genre 2 jours, Thomas n’était pas non plus au courant, bref, à ce moment-là, on est un peu blasé, mais petou nous rassure en nous disant que c’était « même pas 100d- sur de la racine pas très fun ». Soit. On croisera d'ailleurs l'ouvrier forestier en train de faire sa pause de midi dans la débardeuse.
Du coup on se retrouve à skipper cette première descente, on emprunte la piste qui nous servira à remonter afin d'éviter le secteur.
On longe ensuite une pâture, dans laquelle un patou (et pas un petou ) fera son sport journalier à faire des aller-retour pour s'assurer qu'on ne fasse rien à ses chers moutons.
Une seconde pause s'impose car un petit groupe mené par Kali a oublié de bifurquer au niveau du patou.
On patiente afin que le petit groupe égaré nous rejoigne, à ce qu'il parait lorsque le patou à aperçu Kali, il a envoyé les moutons pour le protéger.
Nous voilà au départ de la première descente de la journée. La susnommée "Whoops", single étroit en sous-bois de résineux, technique et joueur avec une supertourbe qui grippe à fond et de nombreuses ruptures de pentes d'où son nom.
Le but du jeu et de pomper avec tout le corps pour profiter des aspérités du trail et générer de la vitesse, c'est grisant mais pas reposant pour les quadriceps.
A mi-pente le trail traverse un DFCI, une variante est proposée. Une version tranquille légèrement en dévers ou une variante avec départ dré dans le pentu et un virage à 90° droite.
J'opterai pour cette option avec une entrée un peu approximative dans la pente mais qui se passera finalement sans encombre.
Ensuite, une nouvelle variante ouverte par les locaux, en plein TOURBISTAN, ça ressemble un peu début de la descente, des whoops naturels de partout, plus de pente, une terre d’exception ; nous sommes bien dans les terres promises.
Une fois en bas, les premiers sourires sont là. Un tel raconte comment il a failli ne pas tourner en bas du raide, un autre comment il a enroulé les ruptures de pentes.
Mais il est déjà temps de remonter à notre premier point de pause, le tarif : DFCI / 5km / 300D+ et merci à Thomas le local qui optimisera la trace qui à la base nous aurait fait faire quelques bornes gratos (le petou n’a rien préparé j’ai pas d’autre mot).
Une fois le groupe remonté, c'est pause repas pour tout le monde. La météo est top, pas trop de vent, vue magnifique sur la plaine Audoise on est bieng :
Thomas le local nous régaleras avec un (GROS) tas d'anecdotes sur la qualité des organisations sportives dans la bousie Audoise puis nous abandonnera, il faut dire que ce monsieur a un planning de vie bien chargé.
Le groupe se scindera en deux après le repas. En effet, la premiere descente bonus, « GRIPGRIPGRIP », semble pentue, et dans une terre de qualité. Petoulachi est fan et conseille de la faire, certains préfèrent toutefois partir sur le secteur suivant, Peyremaux, que pentier a déjà pratiqué et qu’il connait. L’idée étant que certains fassent 2 fois peyremaux, le temps que ceux qui font gripgrigrip arrivent.
La spéciale "GRIP, GRIP, GRIP" démarre dans une coupe de bois, c'est peu pentu mais très rapide. Je m'y engage en prenant la roue de Petoulachi qui ouvre la voie.
Après un ou deux sauts rapides on entre dans un bois de résineux, le single se resserre et ensuite vient quelques pif paf engage dans la pente. Par rapports aux "Whoops" ou aux spéciales de J1 on a quand même plus de place pour trajecter en mode shumacher.
Cela donne confiance pour prendre de la vitesse et c'est un régal de profiter des appuis bien grippy dans la pente.
Gros plaisir me concernant dans cette descente, petou a les quadri qui ont lâché aux deux tiers, il a été obligé de ralentir comme un faible, j’en ai profité pour le dépasser tel un prince et j'arrive en bas avec l'envie de la refaire immédiatement. La remontée est par contre moins sympa (c’était annoncé), DFCI assez raide par moment, heureusement on aura "que" 150m à remonter.
Kali nous doublera en mode TURBO BOOST nous gratifiant d'un "je la refais", à ce moment-là N_ark me lâche "il va la violer" résultat: 3eme du segment sur Strava, pour la seconde fois qu’il la fait, pas mal mais il nous avait habitué à mieux. On va mettre cette faiblesse sur le compte des blessures qu’il se traine.
Une fois remontés à Peyremaux, 3eme pause le temps que le groupe se reforme complètement.
Au départ de la spéciale, Pentier et Guigui qui l'ont déjà fait sont aux anges. Petoulachi annonce la couleur, c'est Alice au Pays des merveilles, pas de difficulté, pas de pente, que du bonheur en barre.
C'est une spéciale que je connais bien pour l'avoir fait plusieurs fois. Elle serpente dans une pente moyenne dans un sous-bois de hêtres tortueux et marqués par la météo difficile à cet endroit.
L'ambiance est assez folle, le single en terre noir serpente dans un tapis de feuille ocres. Il faut rester concentré à cause des gros blocs de granits qui n'attendent qu'une chose: manger une roue ou un dérailleur.
Je laisse partir devant puis m'applique à mettre pas mal de rythme. J'entends que ça suit derrière avec quelques lâchés de cris qui en dise long sur le plaisir pris par chacun.
Arrivé en bas de la spéciale, tout le monde a pris son pied et ça se voit: ça parle fort et les sourires sont bien affichés.
Et pourtant, le meilleur reste à venir.
A ce moment du CR, une deuxieme remise en contexte se doit d'être faite. Depuis le point où nous nous trouvons il existe deux descentes pour revenir au village d'ALBINE.
Deux descentes légendaires dans le groupe organisateur et qui divisent les foules.
Dans la trace prévue au départ, nous devions redescendre par CORBIERE. C'est celle qui faisait le plus sens car la plus proche géographiquement par rapport à la fin de Peyremaux.
Par ailleurs, pour la majorité du groupe c'est celle qui a la préférence. MAIS, ce n'est PAS la préférée du patron à savoir LE POUL. Le plan initial étant de faire LE POUL en J4.
Cela dit devant l'incertitude du groupe a refaire une grosse sortie en J4 et surtout du fait que Thomas le local a annoncé en J1 qu'elle était en état clinique, un changement a été opéré.
Décision fut prise par l'autorité suprême que la descente finale en J2 serait la meilleur spéciale jamais tracée: LE POUL. La décision est loin d’être acceptée par nous autres locaux, mais il ne lâche rien. « non mais allez faire Corbieres hein, moi j’y vais TOUT SEUL, BALLEK ». Qd Guigui lui annonce, qu’après discussion avec pentier, il partait sur Corbières (que pentier connait, mais il ne connait pas LE POUL), on sent bien le désespoir de petou. « Comme vous voulez… ». Guigui lui demande alors son avis. « Bin c’est simple, Corbieres c’est bien, LE POUL c’est MA DESCENTE PREFEREE JAMAIS, TOUT SECTEUR CONFONDU. Si ya un jour ou faut pas la rater, c’est aujourd’hui, elle est nettoyée et la tourbe est exceptionnelle : ça va être fou ». A ces mots, tout le monde se tait et se plient à la volonté suprême…
Tant pis pour CROBIERE ca justifiera la mise en place d'une autre KI plus tard.
Reprenons où nous en étions, en bas de Peyremaux nous attaquons la remontée vers le champ d'Eolienne croisé lors de la montée initiale.
La montée commence par de la DFCI puis s'ensuit un petit single en montée tout mignon en sous-bois.
Le groupe va à nouveau se scinder à ce moment. Certains souhaitent remonter ce single en entier, alors que la majorité prend une seconde DFCI qui permet de raccourcir la trace (car en haut du single ça redescend par « un champs de patatate » dixit petou. Il a l’art de bien donner envie aux gens de faire un truc qu’il veut pas faire, faut admettre).
Souvenir ému à ce moment-là de Guigui Junior qui part en sprintant dans la DFCI comme s'il avait un ours aux fesses et sans raison apparente, la jeunesse probablement....
Le groupe se reformera au niveau du champs d'éolienne à l'entrée de la spéciale CORBIERE.
En effet même si nous ne la ferons pas ce jour, nous allons quand même en emprunter une petite partie avant de bifurquer vers le départ du POUL.
Cette petite partie se déroule dans une pente plutot douce, le single et plutot flowy, on enchaine les grands virages dans un sous-bois épineux recouvert de mousse.
Le plaisir est de courte durée, puis qu'a peine sortie du bois on bifurque du single pour une liaison de 5km en DFCI / faux plat montant afin d'atteindre le départ du POUL.
Une fois la liaison effectuée on se retrouve au départ de la spéciale dans une second champ d'éoliennes.
On profitera du doux ronronnement des pales pour faire une dernière pause / ravito afin d'être au mieux pour le dessert de la journée.
A la fin de cette pause je croise le regard de Petoulachi qui en dit long sur son état d'esprit. Les 3 mois de préparation c'était pour ce moment bien précis.
Sa Ki, son Spot, sa Descente. On y est et tout est parfait pour que ça se passe au mieux: météo idéale, spot shappé aux petits oignons, tourbe humidifié des jours de pluies précédent, pas de blessure, pas de casse méca c'est parfait.
Un briefing de la descente sera effectué et c'est parti, c'est bien évidement le patron qui ouvre la voie.
Le POUL démarre dans un bois de résineux, un peu comme pour CORBIERE cela démarre gentiment. Un petit single plutot flowy, pente modérée, des virages en appuis et quelque souches / roches pour sauter.
Une fois sorti de ce petit bois, les gens ont déjà la banane sévère. « Ce n’est que l’apéritif ça » dit petou d’un air satisfait. On voit bien qu’à priori, le meilleur à ses yeux restent à venir. On traverse un carrefour de DFCI puis il y a un petit coup de cul d'un dizaine de mètre de D+ à remonter sur un single « challenging », comme les appelle calimero.
On se retrouve alors au second départ où les choses sérieuses commencent. « Maintenant on va dans la PENTE, et la TOURBE. CA VA JIZZ SEVERE » nous dit petou. Il semble en trance.
Je me retrouve derrière cumstorm et son Santa, je lui laisse volontairement une 15m d'avance histoire d'avoir un peu de marge pour bien visualiser le trail.
On quitte rapidement les résineux dans une section rapide mais sans difficulté pour se retrouver dans un sous-bois de vieux hêtres.
Le trail a été nettoyé à l'aspirateur ce qui fait que la tourbe noire du sentier tranche avec le parterre de feuilles ocres.
La qualité du sol est juste incroyable, ça grippe de folie et permet de prendre confiance alors que la pente ne cesse de s'accentuer.
Petou avait prévenu mais la trace regorge d'appuie dans les virage et de rochers plus ou moins gros qu'il est possible de droper comme un porcasse.
J'en prendrai certains j'en louperai d'autres....
A mi descente environ le trail se sépare en deux: une variante nouvelle a droite, a priori plus pentu, avec des virages serrées dans de la tourbe fraiche, et la trace historique à gauche pentue et rocheuse.
Petou s'est arrêté à cet endroit pour guider le groupe, il y a déjà 5 / 6 personne arrêtées mais l'endroit est un peu squetchy et plus le nombre de personne augmente plus cela devient compliqué.
Je prends la décision (après avoir gueulé plusieurs fois « FAUT BOUGER ») d'enchainer sur la variante de gauche qui me tendait les bras. Et en effet c'est raide avec quelques belles caillasses ci et là.
Proov qui était dans ma roue depuis le début me suis, il se fera quelques sueurs dans ce passage.
Une fois les deux variantes réunies, on s'arrête avec Proov afin d'attendre le reste du groupe.
L'endroit est peu idéal encore, Bneben nous double comme une balle et on décide d'enchainer derrière lui.
Rapidement le trail se transforme en goulet, c'est surement un ancien chemin historique qui a été reconverti pour notre plus grand plaisir.
Cela s'apparente parfois plus à du bobsleigh que du VTT, les virages sont relevés et ça permet de rentrer dedans a plein balle. Tellement grisant !
BneBen met un bon rythme devant et je me régale à le suivre, on enchaine avec en vrac de la grosse rupture de pente, des drops à pleine balles, des freinages de trappeurs et j'en passe.
Cela ne semble jamais s'arrêter mais toutes les bonnes choses ont une fin. Une dernière grosse rupture de pente relativement longue et compliquée à gérer si on arrive trop vite annonce la fin imminente.
Un check avec BneBen pour célébrer marquera la fin de cette orgie VTTistique pour nous.
On regardera tout le reste groupe arriver avec un smile de l'espace pour chacun. Petou arrivera avec la bave aux lèvres, et viendra en me fixant dans les yeux, les pupilles dilatées. Il attend mon absolution, car moi-même je n’avais fait le POUL qu’une fois dans des conditions bien différentes (bcp trop de feuilles, arbres couchés, impraticcable), et connaissant Corbieres, j’étais très sceptique sur le choix. J’ai bien été obligé de lui reconnaitre la sagesse de la décision et le jizz dans le cuissard.
Guigui annoncera « Top 3 de mes descentes préférées EVER » a petou.
Difficile de décrire avec des mots, la poignée de main de remerciement de LogicSystem pour Pétou reste pour moi ce qui décrit le mieux le sentiment général après cette descente.
POUL uberales.
Avant d'attaquer le retour route vers le village d'ALBINE, on fait un petit aller-retour avec Hellzed pour lui monter un spot de baignade.
Il n’aura malheureusement pas le temps de se baigner.
Le petit retour sur route permettra pour moi d'arrondir la sortie à 40km pour 1500d+.
Malheureusement pour moi le retour parking marque la fin de la Ki pour moi.
Je salue les copains le cœur gros de pas pouvoir profiter plus et m'en retourne chez moi des souvenirs pleins la tête.
Les copains ont de la chance, il leur reste encore un sacré morceau à Brassac le lendemain cf CR J3.
Pour la partie CR post sortie du J2 il faudra attendre le CR de quelqu'un d'autre qui l'a vécu.
Message édité par kinou31 le 17-05-2024 à 15:02:41