Reprise du message précédent :

y a plus qu'à coller un 28-300 IS dessus pour parachever le tout

Ainsi qu'un flash intégré  

 
Et le PictBridge  

3 pages, pour un Topic qui commence par une belle Fôte d'orthograph'
 
   
 
Ze class  

en même temps, le topic des questions sur la technique, ça fait 150 pages qu'il la traîne la fhôtte d'auretograffe de son titre donc bon

J'ai une question de la plus haute importance    
 
Il sert à quoi ce topic ?  

A RIEN, niet, que dalle, nada

moi , j'en cherche un qui fait la charlotte aux pommes  

Et moi je veux un boîtier chauffant, parce qu'en hiver je shoote sans gants  

Ah mais oui, on n'a rien compris en fait !
Il voulait savoir s'il y avait des réflexes qui faisaient des vidéos.  
Mais malheureusement, comme notre colonne vertebrale, qui commande les réflexes, n'est pas équipée d'objectif, ce n'est pas possible

 
Rhoo, bien vu    
 
 

 
Et qui fait du chocolat chaud et des expressos !

 
Je connais quelqu'un qui s'appelle Charlotte.

Tu retourne en case 7 et tu bois le chat. Parceque vandamme répare l'assemblée.

Exosquellette ou spagetti ?

 
je dirais le vaisseau spatiale en boites de conserve

 
Obiwan kenobi !
 
Je prends 5 je relance de 5 j'avance en case 17.  
 
Bernadette allume jordi au queen et google lance une marque de pret a porter.

Je désherbe Jack l'Eventreur, et mange un pain au petits pois armé.

J'arrache l'autoroute et ponce Mme doubtfire.

Je contre.

 
Moi aussi  

C'est bien ici le topic kamoulox ?  

Ouais !

  soleil couchant  
 
   la montagne murmure  
 
    je bois du saké brulant

timbale
 
et je relance de 10 sur le cheval siamois à 3 pattes de canards masqué

J'ai faim    
 

Saviez-vous que... 3 % des Français changent leur voiture 9 fois par semaine , mais 3 5 % d'entre eux gagnent plus de 6 3 patates par semaine . Pendant les 5 8 dernières années, 6 9 7 7 milliards de tonnes de crème Chantilly ont été consommées par 1 huitième de la population péruvienne

Sinon,j'ai un nouveau grille-pain et j'ai lavé mes rideaux  

Bonjour ! Dans notre contrée, tout se passe à merveille ! Il fait merveilleusement beau et je me suis fait plein d'amis avec lesquels on a fait plusieurs visites. On a aussi fêté l'anniversaire de Jacques en famille et on s'est trop éclatés ! J'espère que tu t'amuses bien chez mamie et je t'embrasse ! ton fils qui t'aime.

Mon grille pain c'est un SEB  

La passion substantialiste et la passion originelle  
 
 Pour une passion originelle.
 
 Comment envisager la passion ? On ne saurait assimiler, comme le fait Kierkegaard, le holisme à un holisme, il faut cependant contraster ce raisonnement dans le sens où il systématise la conception irrationnelle de la passion.
 Premièrement il conteste la réalité morale de la passion, deuxièmement il s'en approprie l'analyse transcendentale en tant que concept universel de la connaissance. De cela, il découle qu'il restructure le holisme existentiel en tant que concept sémiotique de la connaissance.
 Dans cette même perspective, il conteste l'origine de la passion et si on peut, de ce fait, reprocher à Kierkegaard son holisme post-initiatique, il particularise pourtant la réalité phénoménologique de la passion et il s'en approprie donc l'origine irrationnelle en tant qu'objet existentiel de la connaissance.
 Finalement, la passion ne se comprend donc qu'à la lueur du holisme moral. Il est alors évident qu'il se dresse contre la conception rationnelle de la passion. Soulignons qu'il en restructure l'origine subsémiotique comme concept subsémiotique de la connaissance, et nous savons que Kant réfute l'expression circonstancielle de la passion. Or il en décortique la démystification spéculative comme objet substantialiste de la connaissance alors même qu'il désire le resituer dans le cadre intellectuel et social qui le caractérise, c'est pourquoi il conteste la relation entre extratemporanéité et objectivisme afin de le resituer dans sa dimension intellectuelle et sociale.
 Pour cela, on ne peut que s'étonner de voir Bergson critiquer le planisme originel, et on ne saurait reprocher à Chomsky son immutabilité synthétique, contrastons cependant ce raisonnement : s'il donne une signification particulière à la réalité sémiotique de la passion, c'est également parce qu'il en identifie l'analyse métaphysique comme concept minimaliste de la connaissance.
 C'est le fait même qu'il réfute l'expression rationnelle de la passion qui infirme l'hypothèse qu'il en systématise la destructuration rationnelle dans sa conceptualisation.
 Ainsi, on ne saurait reprocher à Hegel son immutabilité sémiotique et si on pourrait mettre en doute Montague dans son approche originelle du planisme, il restructure pourtant la réalité circonstancielle de la passion et il en restructure donc l'aspect transcendental dans une perspective chomskyenne contrastée.
 On ne saurait, pour conclure, écarter de notre réflexion l'influence de Sartre sur l'immutabilité transcendentale.
 
 De la même manière, on ne saurait ignorer l'influence de Kierkegaard sur le planisme déductif. La passion nous permet cependant d'appréhender un planisme génératif de la pensée sociale.
 Le planisme spéculatif ou l'immutabilité existentielle ne suffisent ainsi pas à expliquer l'immutabilité dans sa conceptualisation. Cependant, Montague restructure la destructuration primitive de la passion, et la passion s'appuie d'ailleurs sur une immutabilité métaphysique comme objet rationnel de la connaissance.
 
 Il faut cependant mitiger ce raisonnement : s'il caractérise le planisme sémiotique par son planisme synthétique, il faut également souligner qu'il en rejette l'analyse subsémiotique dans son acception universelle, et cette problématique pose la question de l'immutabilité dans son acception cartésienne.
 Par le même raisonnement, Descartes particularise l'analyse déductive de la passion. Pourtant, il est indubitable qu'il décortique l'expression existentielle de la passion. Soulignons qu'il en identifie la destructuration empirique dans son acception bergsonienne, et la passion s'appuie d'ailleurs sur un planisme universel en tant que concept synthétique de la connaissance.
 
 Il est alors évident qu'il s'approprie la relation entre synthétisme et immutabilité. Soulignons qu'il en systématise la réalité minimaliste en tant que concept universel de la connaissance, et le paradoxe du tantrisme métaphysique illustre l'idée selon laquelle le monoïdéisme rationnel n'est ni plus ni moins qu'un tantrisme transcendental irrationnel.
 C'est avec une argumentation identique qu'on ne peut contester la critique du monoïdéisme primitif par Nietzsche.
 On peut reprocher à Kierkegaard son monoïdéisme synthétique, et si on ne saurait ignorer l'influence de Kant sur le monoïdéisme, Kant identifie cependant l'expression post-initiatique de la passion et il réfute, par la même, l'analyse empirique en tant que concept originel de la connaissance alors qu'il prétend l'opposer, par la même, à son contexte politique.
 La passion ne se borne, de ce fait, pas à être un tantrisme dans son acception minimaliste.
 Il est alors évident qu'il réfute la relation entre réalisme et passion. Notons néansmoins qu'il en systématise l'origine métaphysique dans son acception sémiotique dans le but de l'opposer à son cadre social.  
 
 Prémisces de la passion synthétique.
 
 Sartre postule, dans le classique "une conception rationnelle de la passion", que la passion permet de s'interroger sur un monoïdéisme idéationnel de l'individu. La passion ne se comprend, de ce fait, qu'à la lueur du tantrisme sémiotique.
 Rousseau affirme donc : "il ne faut pas comprendre la passion bergsonienne comme un tantrisme". D'une part Bergson conteste la destructuration idéationnelle de la passion, d'autre part il en décortique la réalité post-initiatique sous un angle sémiotique alors qu'il prétend critiquer le tantrisme.
 Cependant, il particularise l'origine de la passion, et la dimension bergsonienne de la passion découle d'ailleurs d'une intuition primitive du confusionnisme primitif. Il est alors évident qu'il identifie la destructuration originelle de la passion. Soulignons qu'il en identifie l'expression circonstancielle en regard du confusionnisme, et on ne saurait écarter de la problématique l'influence de Kierkegaard sur l'universalisme. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il réfute l'universalisme minimaliste en regard du confusionnisme tout en essayant de l'opposer à son cadre intellectuel.
 Ainsi, il restructure la réalité morale de la passion, et on ne peut contester la critique spinozienne de l'universalisme idéationnel, pourtant, il serait inopportun d'ommettre que Henri Bergson particularise la démystification universelle de la passion.
 On peut reprocher à Kierkegaard son confusionnisme phénoménologique. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il décortique le confusionnisme subsémiotique dans sa conceptualisation.
 C'est dans une optique analogue qu'on ne peut contester l'influence de Sartre sur l'universalisme existentiel et on ne saurait, de ce fait, ignorer l'influence de Nietzsche sur le confusionnisme primitif. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il systématise l'origine de la passion.
 On ne peut, par déduction, que s'étonner de la façon dont Montague critique le confusionnisme génératif.
 
 Il faut cependant contraster cette affirmation car il décortique la réalité sémiotique de la passion, et on ne saurait assimiler, comme le fait Descartes, l'universalisme à un confusionnisme phénoménologique, pourtant, il est indubitable qu'il se dresse contre la conception spéculative de la passion. Il convient de souligner qu'il en spécifie l'aspect métaphysique dans sa conceptualisation bien qu'il rejette l'origine de la passion.
 C'est dans une finalité analogue qu'il rejette la destructuration rationnelle de la passion et si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il systématise, par la même, l'analyse synthétique de la passion, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en rejette la démystification post-initiatique en tant que concept métaphysique de la connaissance, cela signifie donc qu'il se dresse contre la destructuration universelle de la passion.
 Finalement, la passion s'oppose fondamentalement au confusionnisme empirique.
 
 Pour cela, on peut reprocher à Montague son confusionnisme subsémiotique. On ne peut considérer que Chomsky spécifie néanmoins la relation entre suicide et universalisme que si l'on admet qu'il en examine la démystification rationnelle dans sa conceptualisation.
 C'est dans une finalité identique qu'il décortique la relation entre continuité et spiritualisme, et on peut reprocher à Spinoza son confusionnisme idéationnel, pourtant, il conteste l'analyse originelle de la passion.
 Nous savons qu'il caractérise le confusionnisme transcendental par sa consubstantialité post-initiatique. Or il en examine l'analyse universelle dans sa conceptualisation, c'est pourquoi il restructure la consubstantialité spéculative en regard de la consubstantialité afin de la resituer dans toute sa dimension sociale.
 C'est dans une optique identique qu'il interprète la destructuration déductive de la passion pour la resituer dans toute sa dimension intellectuelle et politique.
 Finalement, la passion nous permet d'appréhender un mesmerisme spéculatif de l'Homme.
 
 Pourtant, il est indubitable qu'il rejette la destructuration circonstancielle de la passion. Il convient de souligner qu'il en caractérise l'analyse idéationnelle sous un angle post-initiatique, car on ne peut considérer que Montague réfute la démystification générative de la passion si l'on n'admet pas qu'il en donne une signification selon la destructuration sémiotique en regard de la consubstantialité.
 C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme synthétique la passion (voir " pour une interprétation irrationnelle de la passion " ), et on ne peut contester l'influence de Leibniz sur la consubstantialité déductive, contrastons cependant ce raisonnement : s'il réfute la démystification déductive de la passion, c'est également parce qu'il en donne une signification selon la destructuration existentielle en tant que concept minimaliste de la connaissance.
 Par le même raisonnement, on ne saurait reprocher à Rousseau son mesmerisme transcendental et c'est le fait même qu'il conteste, par ce biais, la réalité idéationnelle de la passion qui nous permet d'affirmer qu'il en interprète l'origine idéationnelle en regard de la consubstantialité.
 La vision montagovienne de la passion s'apparente, finalement, à une représentation empirique de l'ionisme déductif.  
 
 Pour une passion spéculative.
 
 La passion ne peut être fondée que sur l'idée de l'ionisme existentiel.
 C'est dans cette même optique que Leibniz examine la conception universelle de la passion.
 On ne saurait assimiler, comme le fait Rousseau, la raison irrationnelle à un ionisme, et comme il est difficile d'affirmer qu'il décortique la raison idéationnelle de la société bien qu'il examine la conception idéationnelle de la passion, il semble évident qu'il conteste la conception primitive de la passion.
 La raison ou l'ionisme ne suffisent cependant pas à expliquer la raison primitive en tant que concept subsémiotique de la connaissance.
 Ainsi, on ne peut contester l'influence de Spinoza sur la raison métaphysique. Cela nous permet d'envisager qu'il envisage l'analyse originelle de la passion, car notre hypothèse de départ est la suivante : la passion ne se comprend qu'à la lueur de la raison transcendentale. Par conséquent il spécifie la réalité transcendentale de la passion.
 En effet, on peut reprocher à Descartes sa raison circonstancielle, et on pourrait mettre en doute Kant dans son approche substantialiste de la raison, il faut cependant mitiger cette affirmation car il envisage la réalité circonstancielle de la passion.
 Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il systématise la démystification post-initiatique de la passion, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en systématise la destructuration post-initiatique dans une perspective leibnizienne, cela signifie donc qu'il réfute la démystification rationnelle de la passion.
 C'est avec une argumentation similaire qu'il identifie la réalité morale de la passion et si on peut, par ce biais, reprocher à Nietzsche sa raison phénoménologique, il particularise cependant l'analyse morale de la passion et il en spécifie en effet la démystification morale dans sa conceptualisation.
 On peut, pour conclure, reprocher à Leibniz son ionisme minimaliste.
 
 Néanmoins, il donne une signification particulière à l'origine de la passion, et on ne saurait écarter de la problématique l'impulsion chomskyenne de la raison transcendentale, cependant, Rousseau conteste la conception circonstancielle de la passion.
 Le fait qu'il conteste l'analyse synthétique de la passion signifie qu'il en donne une signification selon la réalité originelle en tant qu'objet sémiotique de la connaissance.
 C'est ainsi qu'on ne saurait reprocher à Sartre sa raison rationnelle et on ne peut considérer qu'il particularise alors la démystification empirique de la passion qu'en admettant qu'il en conteste l'origine post-initiatique dans sa conceptualisation tout en essayant de la resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.
 On pourrait, pour conclure, mettre en doute Spinoza dans son approche substantialiste du causalisme.
 
 Néanmoins, il rejette l'analyse subsémiotique de la passion, et on ne peut contester l'influence de Montague sur le causalisme rationnel, néanmoins, il spécifie l'expression originelle de la passion.
 On ne saurait écarter de cette étude l'impulsion chomskyenne de la continuité circonstancielle. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il caractérise la continuité idéationnelle par sa continuité post-initiatique.
 C'est ainsi qu'on ne saurait assimiler, comme le fait Descartes, la continuité existentielle à un causalisme originel pour l'opposer à son cadre intellectuel et politique la continuité rationnelle.
 On peut, par déduction, reprocher à Kant sa continuité existentielle.
 
 C'est dans cette même optique qu'il se dresse contre la démystification transcendentale de la passion. La passion nous permet pourtant d'appréhender un causalisme empirique en tant que concept déductif de la connaissance.
 C'est avec une argumentation identique qu'on ne peut contester l'influence de Sartre sur la continuité idéationnelle. Contrastons cependant ce raisonnement : s'il se dresse contre l'expression minimaliste de la passion, il faut également souligner qu'il en décortique la réalité métaphysique comme concept substantialiste de la connaissance, et la passion nous permet d'ailleurs d'appréhender un causalisme moral de l'individu. fin.  
 
http://www.charabia.net/gen/gendisp.php?gen=1