Ne nous emballons po les zamis.
J'ai joué au 1er volet sur PS2. Bon avec l'effet de surprise, et le jeu pas trop bâclé, on pouvait dire qu'il était bien. Mais en jouant au 2 sur PS2, j'ai eu la désagréable impression que Mr Bandai essayait de m'enfoncer quelquechose dans mon rectum. ( je précise, ce n'est po moua qui l'es ai achetés ces deux jeux ).
Un truc tout d'abord qui m'a un peu scotché et auquel je n'avais pas trop fait attention sur le 1, c'est que la plupart des animations ( notamment pour les combos simples, genre enchainements de coups de pied ou de poings ) sont quasi identiques à ceux de la version Snes ( si, si, rejouez-y et vous verrez !! Ce combo de coup de pied de Sangoku a un air de déjà-vu. Pareil pour ce coup de poing de Sangohan ). Donc bonjour le travail dans la recherche des animations de persos. Ca fait toujours plaisir de voir que les graphistes et les programmeurs travaillent main dans la main pour peaufiner une licens... heu, un jeu.
Ensuite, le cell shading... Franchement, n'avez-vous po l'impression sur ce DBZ qu'il y en a uniquement pour pouvoir dire " hé matez le bo jeu que j'ai fait, y a du cell shading dedans ". Parce que je trouve po que ça jette mais ça n'engage que moua, je n'aime po l'aspect graphique du cell shading.
Troizio, l'acquisition des capsules ( eet là, je rigole ). Ceux qui ont joué au 1er volet PS2 comprendront pourquoi je dis que ceux qui ont crée ce jeu ont confondu durée de vie et emmerdage total. Devoir entrer dans le bazaar, voir que la capsule que vous voulez n'y est po, ressortir, rerentrer. Et encore, il y a moins de loadings sur le 2... Maigre consolation. J'attends de rire aux larmes dès qu'ils nous sortiront leur fameuse memory card spécial dbz avec tous les secrets débloqués. Ou comment pallier leur manque de discernement sur la jouabilité en s'en mettant un peu dans les fouilles au passage. C'est pathétique.
Quattrozio, ha ben nan y a po de quattrozio.
En résumé c'est encore et toujours un effort de fourmi apathique pour nous sortir un jue tout juste moyen, sans innovation, mais bon, à quoi se compliquer la vie quand on peut gagner de la thune facilement. Avouez, vous auriez fait pareil, non ? 8P
Moi oui. Si je détenais la licence, je demanderais à mes équipes de développement d'engager le moins de temps et de frais et de programmer un jeu qui se vende, tant pis pour la qualité finale puisqu'il suffit que le jeu soit d'un niveau acceptable, la licence faisant le reste.
C'est beau la vie quand même.
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Signe particulier : devient tout vert, arrache ses vêtements et finit en slip quand il s'enerve.