Nous n'allons pas faire moins de 5%

 «Je ne regarde pas ce qu’il y a sur la liste du RN. Je regarde qu’on ait nous une liste d’hommes et femmes compétents, enracinés et qui défendront la France», a-t-il déclaré.

«En tant qu’enfant de l’immigration, je l’ai pris comme une insulte», s’est émue l’ex-membre du Haut conseil à l’Intégration et de sa mission laïcité sous Nicolas Sarkozy. Née en France de parents algériens, ayant vécu une quinzaine d'années en Algérie avant de s’installer en France, l’essayiste voit dans ce choix de mots la preuve que «pour certaines personnes, quoi que fassent les enfants de l’immigration, ils ne sont pas considérés comme Français».

Engagée au RN pour «participer à la recomposition française», Malika Sorel-Sutter a estimé que, contrairement aux Républicains, «le RN est un parti qui accueille tous les Français de cœur et d’esprit».

L'affaire commence avec la décision, prise juste avant les élections municipales de juin 2020 par le prédécesseur d'Éric Straumann, Gilbert Meyer, d'augmenter rétroactivement les indemnités de son chef de cabinet Joël Munsch.
 
Cette décision avait été entérinée par deux arrêtés municipaux, peu de temps avant que Gilbert Meyer ne soit remplacé par Éric Straumann à la mairie. Gilbert Meyer était décédé quelques semaines plus tard, en septembre 2020.

Le 15 janvier dernier, lors de la cérémonie des vœux de l’université du département ultramarin, un représentant musulman a prononcé une prière islamique et béni l’établissement devant un large public, a appris Le Figaro de plusieurs membres du personnel. Or, il est strictement interdit de prier dans l’enceinte des universités publiques, à moins qu’une salle œcuménique soit prévue à cet effet, ce qui n’est pas le cas ici.
 
Le représentant du grand cadi, responsable religieux de l’archipel, a pourtant pris la parole en arabe pendant plus d’une minute, comme le montre une rediffusion de la cérémonie. Ce genre de bénédictions, appelé «douha» à Mayotte, est assez banal. «Toute inauguration, chaque élément de la vie quotidienne, donne lieu à un douha», défend Frantz Thille, référent laïcité de l’université.
 
 
 
Le nom d’«Allah» est pourtant invoqué à de multiples reprises dans le texte du responsable religieux. Traduits de l'arabe, les propos ne laissent pas de place au doute : «Il n’y a de Dieu que Dieu, je me méfie de Satan» ou encore «Accepte nos prières puisque tu es miséricordieux. Dieu bénit notre prophète puisque tu es le bienfaiteur».
 
 De son côté, le rectorat fait simplement valoir que «le département est à très large majorité musulmane et qu’il existe des coutumes locales». Tout en admettant qu’il demeure «compliqué, même pour le rectorat, d’appliquer complètement la laïcité». Contacté, le ministère de l’Enseignement supérieur rappelle que cette situation peut s’apparenter à du «prosélytisme qui est interdit par la loi».  
 
https://www.lefigaro.fr/actualite-f [...] e-20240328

Ils espèrent «faire entrer les souverainistes au Parlement européen» et «créer la véritable surprise de ce scrutin». Ce jeudi 4 avril, le président des Patriotes, Florian Philippot, et le président de Via - la voie du peuple, Jean-Frédéric Poisson, ont annoncé dans un communiqué commun «un accord de coalition visant à faire liste commune aux élections européennes».