Ouais mais c'est pas intégré dans un catalogue de profils, et à mon avis si tu appliques les tips FTS sur sdr ça te grille plus qu'autre chose, je pensais plutôt à un humain payé pour scanner ton profil et les échanges de messages puis lister là où ça pèche au cas par cas  
Ça existe sûrement déjà au Japon formellement c'est le dernier truc qui sépare encore le sdr de l'agence matrimoniale intercontinentale

Comme quoi ils te tiennent vraiment pas en haute estime

 
J'allais dire arrête il va encore faire du boudin mais le temps de me mettre en slip c'était trop tard.

#TagCR : le joueur
 
Adossé à une chaise, les minutes passent, les yeux dans le vague. Oscillant entre la carte du restaurant, et cette chaise où reposent de belles gambettes à celle que je trouve bien fougueuse et joyeuse. Elle est assise au bar, dans un joli jean et une écharpe autour du cou. Je me dis qu'elle a sans doute froid. Alors que moi, je viens du pays des Volcans, et eux, ils en ont marre d'être endormi. Dans le meilleur des mondes, elle m'attendrait. Ce soir, elle est accompagnée. Une personne que je ne vois que de dos. Est-ce un homme ? Son copain. Une femme ? La gabardine autour de ses épaules à quand même des airs de Colombo. Qu'importe, j'étais venu pour manger... Mais si mes yeux naviguent en eaux troubles, les siens, eux, me guettent de temps en temps.
 
A la base, je baguenaudais dans les rues désertes de la côte après la désaffection des touristes, en cherchant pitance avant de rentrer dans ce restaurant. Mes bottines terminent mon jean avec soin, profitant de la fraicheur du soir pour tâter le bitume. Seiko au poignet, blouson en jean, chemise cintrée. Des fois, on se remonte le moral avec ces petits rien. Plastronnant en m'approchant de la boutique, j'étais tombé sur ses yeux. Je l'ai vu. Elle m'a vu aussi. Le genre d'eye-contact qui dure un peu trop longtemps, et dont je parlais il y a 2 semaines, disant que le passage du virtuel au réel ne pouvait procurer ce genre de situation.
 
Mon plat arrive, et je regarde le spectacle de mes 2 acteurs. A la fois dans mes songes, et en même temps indiscret en grappillant des bribes de conversation. La voix de cette mystérieuse personne est féminine. J'en conclu qu'il s'agit de sa mère. Elles sont très complices, ça m'amuse. Moi, de complicité je n'ai qu'une soupe de poissons partageant son bain avec des crevettes. Par contre, j'ai une fierté. Une rage de vaincre, de celle qui brise le destin tracé pour ma sale caboche. Et comme le joueur de Dostoïevski, j'aime bien me cramer les plumes en tentant le diable jusqu'au bout. Ce soir, le ciel a parié sur zéro. Moi, sur le 13. Tandis que les 2 comparses vont régulièrement fumer dehors, je me dis que je dois faire quelque chose. Elle me semble bien jeune, cette charmante femme. Je décide alors, si la situation se présente, d'interpeller sa mère pour lui demander si c'était sa fille, avant de lui dire qu'elle était très jolie. Ça n'amène rien, mais des fois, dire les choses de façon polie, ça change le café jus de chaussette en bouteille de Bagnouls.
 
Je finis mes plats. Desserts. Et je vais payer. On sent que la roue tourne quand au moment de me lever, elles s'en vont à nouveau fumer dehors. Tant mieux, les clients n'écouteront pas mes exploits. Je sors en relevant la tête. Mademoiselle fume, seule. Elle me sourit. Je marche calmement vers elle en la fixant et souriant. A sa hauteur, je m'arrête et tourne ma tête pour lui dire "Je voulais te dire que tu étais très jolie". J'ajoute "bien que tu me paresses un peu jeune, je ne devrais pas". Elle rigole et me retourne le compliment, me disant qu'elle m'avait repéré en rentrant. Elle me donne son âge, 10 ans d'écart mais elle s'en moque. Puis on enchaine. Quelqu'un m'avait suivi au début en rentrant dans le resto, une sorte de dealer bizarre. Elle a cru que nous étions ensemble, on rigole de ça. "Ça ne collait pas vous deux, je savais qu'il y avait un truc qui cloche".
 
Je cherche sa mère, et la vois dehors plus loin, de dos. Je dis à Alexia (appelons là comme ça) que je ne suis pas sûr que sa mère apprécie que je viennes l'aborder sous ses yeux. Elle en rit avant d'appeler sa mère, disant que ça lui ferait ni chaud ni froid. Sa mère est gentille, et je m'empresse de lui dire "je m'excuse, je me suis permis d'aborder votre fille sans votre permission, je suis plutôt malpoli". Ça l'a fait rire.
Nous voilà, tous les 3, dehors en terrasse, à plaisanter de tout et de rien. Alexia rigole souvent, moi je reste posé. Distribuant les cartes tantôt à la mère, tantôt à la fille. Je ne cherche pas à plaire, juste... vivre ce qui me semble une scène tout droit sortir d'un livre. J'apprends qu'elle habite ici, qu'elle repart bientôt, et que comme moi, elle vient ici souvent. Barmaid, elle connait du monde, et vu sa beauté, elle ne doit pas avoir du mal à enivrer ses ennemis. Perché sur des talons avec son jean galbant ses jolies fesses, elle a aussi du goût dans les vêtements. Mes mains, elles aimeraient bien détacher son chignon, avant de la plaquer contre le mur.
 
Je coupe court à la conversation, en lui demandant "on se revoit ?". Je lui laisse le choix. Je suis venu pour jouer, si la banque ne veut pas de ma mise, qu'elle aille au diable. Je claquerai mon fric en me grisant avec 2-3 bouteilles.  
Elle dit bien sûr, et me propose son facebook ou numéro. Je lui dit que l'un ou l'autre, je m'en foutais. Sa mère s'éclipse disant "je vous laisse gérer hein !". Je sors mon téléphone, et elle me donne son numéro. Son prénom arrive à la fin. Aussi son nom de famille. Je lui dit "ah oui ? C'est en prévision du mariage ? ça va très vite". Elle rigolera me disant que c'était pour facebook. Je lui tends la main, "enchanté Alexia, moi c'est Lead Zezette". Raté pour la banque, le 13 est gagnant ce soir.
 
Je reste discuter 5 minutes, avec Alexia et sa mère, avant de m'éclipser. Sa mère aurait aimé que je reste, moi, j'ai juste envie de prendre la flotte en regardant le ciel dégueulasse se teinter de bleu à travers mon pare brise. Je fais une bise à mes 2 nouveaux amis, et fini par un High Five avec Alexia, lui disant "à bientôt". Je n'ai pas encore écrit, je vais le faire d'ici quelques minutes. Sûrement une soirée demain soir, ou une glace le long de la mer. Peu importe, il me reste toujours une paire de 2 dans la manche. Avec des cartes de merde, parfois on retourne la table, aux yeux des autres joueurs.
 
TL;DR : parti manger au restaurant, seul. Eye-contact avec une charmante jeune femme au bar. J'ai fini mes plats, et je suis allé l'aborder. Numéro + FB, proposition de se voir demain, on verra ce que ça donne.
 
 

#TagCR : le joueur
 
TL;DR : parti manger au restaurant, seul. Eye-contact avec une charmante jeune femme au bar. J'ai fini mes plats, et je suis allé l'aborder. Numéro + FB, proposition de se voir demain, on verra ce que ça donne.

TL;DR : parti manger au restaurant, seul. Eye-contact avec une charmante jeune femme au bar. J'ai fini mes plats, et je suis allé l'aborder. Numéro + FB, proposition de se voir demain, on verra ce que ça donne.
 
 

chiesse s'est amélioré  

#TagCR : le joueur

TL;DR : parti manger au restaurant, seul. Eye-contact avec une charmante jeune femme au bar. J'ai fini mes plats, et je suis allé l'aborder. Numéro + FB, proposition de se voir demain, on verra ce que ça donne.

  Monsieur.
alors, tu as lu trop vite le topic cet après-midi, on n'a pas créé le topic des BG/winners en fait; ici c'est toujours le topic des GSNALF. il faut sortir, maintenant

#TagCR : le joueur
 
Adossé à une chaise, les minutes passent, les yeux dans le vague. Oscillant entre la carte du restaurant, et cette chaise où reposent de belles gambettes à celle que je trouve bien fougueuse et joyeuse. Elle est assise au bar, dans un joli jean et une écharpe autour du cou. Je me dis qu'elle a sans doute froid. Alors que moi, je viens du pays des Volcans, et eux, ils en ont marre d'être endormi. Dans le meilleur des mondes, elle m'attendrait. Ce soir, elle est accompagnée. Une personne que je ne vois que de dos. Est-ce un homme ? Son copain. Une femme ? La gabardine autour de ses épaules à quand même des airs de Colombo. Qu'importe, j'étais venu pour manger... Mais si mes yeux naviguent en eaux troubles, les siens, eux, me guettent de temps en temps.
 
A la base, je baguenaudais dans les rues désertes de la côte après la désaffection des touristes, en cherchant pitance avant de rentrer dans ce restaurant. Mes bottines terminent mon jean avec soin, profitant de la fraicheur du soir pour tâter le bitume. Seiko au poignet, blouson en jean, chemise cintrée. Des fois, on se remonte le moral avec ces petits rien. Plastronnant en m'approchant de la boutique, j'étais tombé sur ses yeux. Je l'ai vu. Elle m'a vu aussi. Le genre d'eye-contact qui dure un peu trop longtemps, et dont je parlais il y a 2 semaines, disant que le passage du virtuel au réel ne pouvait procurer ce genre de situation.
 
Mon plat arrive, et je regarde le spectacle de mes 2 acteurs. A la fois dans mes songes, et en même temps indiscret en grappillant des bribes de conversation. La voix de cette mystérieuse personne est féminine. J'en conclu qu'il s'agit de sa mère. Elles sont très complices, ça m'amuse. Moi, de complicité je n'ai qu'une soupe de poissons partageant son bain avec des crevettes. Par contre, j'ai une fierté. Une rage de vaincre, de celle qui brise le destin tracé pour ma sale caboche. Et comme le joueur de Dostoïevski, j'aime bien me cramer les plumes en tentant le diable jusqu'au bout. Ce soir, le ciel a parié sur zéro. Moi, sur le 13. Tandis que les 2 comparses vont régulièrement fumer dehors, je me dis que je dois faire quelque chose. Elle me semble bien jeune, cette charmante femme. Je décide alors, si la situation se présente, d'interpeller sa mère pour lui demander si c'était sa fille, avant de lui dire qu'elle était très jolie. Ça n'amène rien, mais des fois, dire les choses de façon polie, ça change le café jus de chaussette en bouteille de Bagnouls.
 
Je finis mes plats. Desserts. Et je vais payer. On sent que la roue tourne quand au moment de me lever, elles s'en vont à nouveau fumer dehors. Tant mieux, les clients n'écouteront pas mes exploits. Je sors en relevant la tête. Mademoiselle fume, seule. Elle me sourit. Je marche calmement vers elle en la fixant et souriant. A sa hauteur, je m'arrête et tourne ma tête pour lui dire "Je voulais te dire que tu étais très jolie". J'ajoute "bien que tu me paresses un peu jeune, je ne devrais pas". Elle rigole et me retourne le compliment, me disant qu'elle m'avait repéré en rentrant. Elle me donne son âge, 10 ans d'écart mais elle s'en moque. Puis on enchaine. Quelqu'un m'avait suivi au début en rentrant dans le resto, une sorte de dealer bizarre. Elle a cru que nous étions ensemble, on rigole de ça. "Ça ne collait pas vous deux, je savais qu'il y avait un truc qui cloche".
 
Je cherche sa mère, et la vois dehors plus loin, de dos. Je dis à Alexia (appelons là comme ça) que je ne suis pas sûr que sa mère apprécie que je viennes l'aborder sous ses yeux. Elle en rit avant d'appeler sa mère, disant que ça lui ferait ni chaud ni froid. Sa mère est gentille, et je m'empresse de lui dire "je m'excuse, je me suis permis d'aborder votre fille sans votre permission, je suis plutôt malpoli". Ça l'a fait rire.
Nous voilà, tous les 3, dehors en terrasse, à plaisanter de tout et de rien. Alexia rigole souvent, moi je reste posé. Distribuant les cartes tantôt à la mère, tantôt à la fille. Je ne cherche pas à plaire, juste... vivre ce qui me semble une scène tout droit sortir d'un livre. J'apprends qu'elle habite ici, qu'elle repart bientôt, et que comme moi, elle vient ici souvent. Barmaid, elle connait du monde, et vu sa beauté, elle ne doit pas avoir du mal à enivrer ses ennemis. Perché sur des talons avec son jean galbant ses jolies fesses, elle a aussi du goût dans les vêtements. Mes mains, elles aimeraient bien détacher son chignon, avant de la plaquer contre le mur.
 
Je coupe court à la conversation, en lui demandant "on se revoit ?". Je lui laisse le choix. Je suis venu pour jouer, si la banque ne veut pas de ma mise, qu'elle aille au diable. Je claquerai mon fric en me grisant avec 2-3 bouteilles.  
Elle dit bien sûr, et me propose son facebook ou numéro. Je lui dit que l'un ou l'autre, je m'en foutais. Sa mère s'éclipse disant "je vous laisse gérer hein !". Je sors mon téléphone, et elle me donne son numéro. Son prénom arrive à la fin. Aussi son nom de famille. Je lui dit "ah oui ? C'est en prévision du mariage ? ça va très vite". Elle rigolera me disant que c'était pour facebook. Je lui tends la main, "enchanté Alexia, moi c'est Lead Zezette". Raté pour la banque, le 13 est gagnant ce soir.
 
Je reste discuter 5 minutes, avec Alexia et sa mère, avant de m'éclipser. Sa mère aurait aimé que je reste, moi, j'ai juste envie de prendre la flotte en regardant le ciel dégueulasse se teinter de bleu à travers mon pare brise. Je fais une bise à mes 2 nouveaux amis, et fini par un High Five avec Alexia, lui disant "à bientôt". Je n'ai pas encore écrit, je vais le faire d'ici quelques minutes. Sûrement une soirée demain soir, ou une glace le long de la mer. Peu importe, il me reste toujours une paire de 2 dans la manche. Avec des cartes de merde, parfois on retourne la table, aux yeux des autres joueurs.
 
TL;DR : parti manger au restaurant, seul. Eye-contact avec une charmante jeune femme au bar. J'ai fini mes plats, et je suis allé l'aborder. Numéro + FB, proposition de se voir demain, on verra ce que ça donne.
 
 

La pick-up line de compétition    
 
Avec la mère à côté en plus... Bien joué !

 
Ce plan à 3 qui se profile avec la mère  

#TagCR : le joueur

TL;DR : parti manger au restaurant, seul. Eye-contact avec une charmante jeune femme au bar. J'ai fini mes plats, et je suis allé l'aborder. Numéro + FB, proposition de se voir demain, on verra ce que ça donne.

Moi j'ai été me siroter une bière en fin de journée hier en terrasse, j'ai bien discuté avec la serveuse, je lui aurais bien proposé mon numéro mais...