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Auteur Sujet :

Épissage et Origine des Gènes de Développements

n°9593452
RykM
t'as de beaux gènes, tu sais..
Posté le 27-09-2006 à 21:16:45  profilanswer
 

Reprise du message précédent :

hephaestos a écrit :

Nan mais concrêtement, dans la vie de tous les jours, ça va changer quoi ?


 
Special Kasdedi a Svenn  [:nidnogar]

mood
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Posté le 27-09-2006 à 21:16:45  profilanswer
 

n°9593564
Svenn
Posté le 27-09-2006 à 21:25:42  profilanswer
 

hephaestos a écrit :

Nan mais concrêtement, dans la vie de tous les jours, ça va changer quoi ?


 
Espèce de littéraire ! [:janfynette]

Message cité 1 fois
Message édité par Svenn le 27-09-2006 à 21:26:06
n°9594251
NHam
Stop, look and listen.
Posté le 27-09-2006 à 22:21:08  profilanswer
 

glevesque a écrit :

Salut
 
En gros, je dis que les gènes de développement chez les eucaryotes, ont été favorisé par l'évolution des processus d'épissages (contrairement aux Archéobactéries). Et que les introns on grandement participé a ceci au début ! (revoir le schéma !)
 
Gilles


Pourquoi tu l'as pas dit comme ça tout de suite?
C'est quand même vachement plus clair. [:mrbrelle]


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La différence entre la sensualité et la perversion: La sensualité c'est avec la plume, la perversion avec le poulet entier.
n°9594277
NHam
Stop, look and listen.
Posté le 27-09-2006 à 22:23:00  profilanswer
 


T'as piqué les Schémas du Voet? Bravo. [:bap2703]


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La différence entre la sensualité et la perversion: La sensualité c'est avec la plume, la perversion avec le poulet entier.
n°9594349
RykM
t'as de beaux gènes, tu sais..
Posté le 27-09-2006 à 22:28:31  profilanswer
 

NHam a écrit :

T'as piqué les Schémas du Voet? Bravo. [:bap2703]


 
Gne ?

n°9594422
NHam
Stop, look and listen.
Posté le 27-09-2006 à 22:32:46  profilanswer
 

hephaestos a écrit :

Nan mais concrètement, dans la vie de tous les jours, ça va changer quoi ?


ça change que tu es vivant et que tu fais partie de l'espèce dominate sur cette planète... [:rhetorie du chaos]
Quoi que, dans Nature il y avait un article qui stipulait que les physiciens étaient un groupe déviant à part.
Et que leurs raisonnements abscons et obscures les poussaient à s'isoler du reste de la population.
Je vais ouvrir un topic "Ecologie des physiciens" je crois... [:klem3i1]  
Ou je délègue à Hotshot... [:urd]


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La différence entre la sensualité et la perversion: La sensualité c'est avec la plume, la perversion avec le poulet entier.
n°9594431
NHam
Stop, look and listen.
Posté le 27-09-2006 à 22:33:48  profilanswer
 


Me trompé-je...il me semble que j'ai le même schéma dans le Voet, la bible du Biochimiste... [:powerg5]


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La différence entre la sensualité et la perversion: La sensualité c'est avec la plume, la perversion avec le poulet entier.
n°9595791
RykM
t'as de beaux gènes, tu sais..
Posté le 28-09-2006 à 01:22:30  profilanswer
 

NHam a écrit :

Me trompé-je...il me semble que j'ai le même schéma dans le Voet, la bible du Biochimiste... [:powerg5]


Je suis geneticien, pas biochimiste, donc je connais pas ce genre de livre religieux nauseabond (ortho  [:w3c compliant] )
 
 

Svenn a écrit :

Espèce de littéraire ! [:janfynette]


 
L'insulte ultime  [:huit]  
 
Haephi il est a terre, la  :D

n°9596014
glevesque
Reste Calme !
Posté le 28-09-2006 à 05:13:43  profilanswer
 

Salut
 
Bon, on se calme un peut !
 
Après analyse, les introns de groupe I et II (A&B), sont des introns autocatalytiques (Riboenzyme) contrairement aux introns de type nucléaire des Eucaryotes ( qui implique les Spliceosome avec des (RNP) ribonucléoprotéines et (sn) des courte chaine (100 à 300) d'ARN nucléaire fixé à l’intron)
 
Le groupe I est surtout impliqué dans la synthèse des ARNr (Rybosomes ou enzymatique permettant les réactions de trans-estérifications) et leur action est portée sur de courte chaine de nucléotide. Alors on peut l'oublier, au pire elle représenterait l'ancètre commun (stade protobionte  peut-être) ? Car elle sont nullement impliqué dans la gestion des gènes de développement des métazoaires, sauf pour la synthèse des Ribozomes ! (Il s'agit de la découverte des Riboenzymes tout simplement ici !!!!!). Il requiert uniquement le transcrit primaire et de la GMP (une guanosine monophosphate)
 
Parcontre pour les introns de type II, le cas est plus intéressent (malgré qui ne sont pas impliqué dans le mécanisme d'épissage des gènes précurseurs de développement), et si quelqu'un peut me fournir des liens sur leurs propriétés biochimiques !
 
Gilles
 
 
 
 

n°9596063
NHam
Stop, look and listen.
Posté le 28-09-2006 à 06:57:40  profilanswer
 

Ben tu trouvera tout ça dans un bon manuel de Génétique/biologie moléculaire à la GENE VI. :jap:

Message cité 1 fois
Message édité par NHam le 28-09-2006 à 06:58:04

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La différence entre la sensualité et la perversion: La sensualité c'est avec la plume, la perversion avec le poulet entier.
mood
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Posté le 28-09-2006 à 06:57:40  profilanswer
 

n°9596163
Svenn
Posté le 28-09-2006 à 08:22:57  profilanswer
 

RykM a écrit :

L'insulte ultime  [:huit]  
 
Haephi il est a terre, la  :D


 
C'est presque toujours des littéraires qui me font ce genre de remarques, s'tout.  :o

n°9599125
glevesque
Reste Calme !
Posté le 28-09-2006 à 15:26:41  profilanswer
 

NHam a écrit :

Ben tu trouvera tout ça dans un bon manuel de Génétique/biologie moléculaire à la GENE VI. :jap:

Je comprend, sauf que les miens date des année 1970, et on parle de découverte récente (1996 pour les type 1 et année 2000 et suivante pour les autres).
 
Vous êtes chanceux, vous les jeunes de connaitre cela dans vos livre, Bravo !!!!!
 
Pour le type deux, il semblerait qu'il sont impliqués pour les gènes de transposition ou gènes sauteur (Bactérie et Archéobactérie). Il semble aussi s'agire de l'ancètre des gènes qui sont impliqués dans le processus d'épissage des introns nucléaires des Eucaryote.
 
Donc la branche la branche évolutive semble ce confirmer de plus en plus ! (je ferai une mise à jours du schéma bientôt !)
 
Exemple :
 
Ancètre (LUCA disont) qui se sépart en plusieurs groupe (avec intron de type I (Ribozymes)). Parmis ces groupes il y a les ancètres des Eubactéries et des Archéobactéries. Toute les deux ayant acquient les introns de type I et II (gènes impliqués dans les phénomènes de transposons qu'ils viennent d'acquérir par mutation-évolution). Ansuite les pré-Arché se divise en Arché et Urcaryote avec mutation des gènes de transposition chez ces dernier et de mécanique pseudo-Endosynbionte. Les Urcaryote par toutes sortes de mécanisme d'endosynbiotes () se divise en Eucaryote () et disparaissent.
 
Bob je finalise le tout et je vous reviens !
 
Gilles

n°9599268
NHam
Stop, look and listen.
Posté le 28-09-2006 à 15:44:45  profilanswer
 

glevesque a écrit :

Je comprend, sauf que les miens date des année 1970, et on parle de découverte récente (1996 pour les type 1 et année 2000 et suivante pour les autres).
 
Vous êtes chanceux, vous les jeunes de connaitre cela dans vos livre, Bravo !!!!!
[...]


Euh...les dernières éditions sont assez récentes (2000 ou 2002).
Et ça se trouve dans toutes les bonne bibliothèques universitaires.
Me dit pas que tu habite dans le fin fond du québec... Si?


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La différence entre la sensualité et la perversion: La sensualité c'est avec la plume, la perversion avec le poulet entier.
n°9599407
glevesque
Reste Calme !
Posté le 28-09-2006 à 16:02:01  profilanswer
 

Salut
 
Et bien, Oui j'abite en campagne, et au Québec elles sont vraiment éloigné !!!!!
 
Voici un liens :

Citation :

Les introns de groupe II, qui sont probablement à l'origine du complexe d'épissage nucléaire (spliceosome) et de ses substrats, sont constitués d'un ribozyme (ARN catalytique) de grande taille et de la séquence codante d'une réverse transcriptase. On les trouve dans les génomes mitochondriaux, chloroplastiques et bactériens, où ils se comportent le plus souvent comme des rétrotransposons. (transposition d'un site génomique à l'autre)
 
[url=http://www.cnrs-gif.fr/cgm/michel/index.html]
Structure et activités in vitro des introns de groupe II[/url].

n°9599448
glevesque
Reste Calme !
Posté le 28-09-2006 à 16:06:32  profilanswer
 

Salut
 
Lien du poste précédent = http://www.cnrs-gif.fr/cgm/michel/index.html
 
Je cherche maintenent des liens sur la mécanique biochimique des processus de coupage sur les  rétrotransposons (transposition d'un site génomique à l'autre) et aussi sur la réverse transcriptase (duplication chez certain rétrovirus à ARN vers ADN)
 
Gilles

n°9604466
glevesque
Reste Calme !
Posté le 29-09-2006 à 04:18:30  profilanswer
 

Salut
 
Voici les correctifs !
 
[img] http://img171.imageshack.us/img171 [...] oteeg1.jpg [/img]
 
Ce schéma représente quatre époques, qui peut-êtres associés à l’évolution des gènes de développement et de différenciation cellulaire. A chaque étape qui a impliqué une mutation majeure des gènes de développement ou de différenciation cellulaire, il en a résulté une correspondance étroite avec une explosion de la biodiversité des organismes vivant sur terre. Ce boom a été presque immédiatement suivit d'une sorte de grande décimination (1), causée par la pression sélective des espèces et un peut de contingence ! Un peut comme le phénomène qui sait produit pour le nombre de phylum des arthropodes (trilobites / crustacés / araîgnées / insectes) qui a explosé tout d’un coût au Cambrien, mais dont un seul embranchement a survécu au fil du temps et qui existe toujours de nos jours.
 
Au début (les premier 500 millions d’années) la terre était un environnement extrême (8) ! Milieu qui était propice aux développements des organismes, comme les Archéobactéries. Si on se base sur l'aspect évolutif de l'ingénirie génétique (paléogénétique), qui sont axées sur les gènes de réplication (étape 1 sur le schéma) et les gènes de développement ( différenciation, polarisation, segmentation, homéotique) (3-9), représenté par les étapes 3 et 4, et également sur l’évolution parallèle des différents mécanismes d’épissages de l’ARNm (6-10-13-14). On peut supposé que l'ancêtre des cellules (comme LUCA), devait dupliquer son ADN de manière contigu (sans intron) ou presque, un peut comme le fait la plupart des bactéries actuelles (ARN polycistronique). L’origine des phénomènes d’auto-épissages des introns du groupe I (découvert en 1960), qui son associé sur l’activité auto-catalytique des Ribozymes des pré-ARNr, remonte peut-être à cette époque (et peut-être même au tout début de l’invention de la réplication cellulaire). Ce mécanisme d’auto-épissage serait en fait l’ancêtre des autres mécanismes d’épissages, soit l’épissage alternatif des ARNm nucléaire des cellules Eucaryotes, qui implique le complexe Spliceosomes (snRNP = ribonucléoprotéiques) (2-10)), et de l’épissage auto-catalytique du groupe II des procaryotes (impliqué surtout comme rétrotransposons) (13). Ce dernier serait à son tour, l’ancêtre de l’épissage alternatif des Eucaryote (14).
 
On peut supposer également, que différent facteurs endogène ou exogène de mutation, ont agient directement sur les gènes de réplications, ou sur d’autres gènes qui étaient alors associés aux différents mécanismes génétique de différenciation (gène du lactose chez les bactéries) et de coordination (facteur de transcription par exemple), lors de la transcription et de la duplication de l’ADN. Ou encore lors de processus de transfère horizontaux (comme chez les bactéries actuelle qui s’échange des morceaux d’ADN) ou de transposition (gène sauteur ou transposons). Ces différents mécanismes mutationnels (5), ont put modifier ou altérer l’expression des gènes de réplication cellulaire. La ou les cellules ancestrales ayant subi(en)t de t’elle mutation, ont alors donnés naissance à différentes lignées ou souches évolutives, dont une branche qui sait orienté vers les ancêtres des Eubactéries à l’ARN polycistronique, et une autre vers les ancêtres des Archéobactéries à ARN monocistronique ou morcelé. Avec l’ARN monocistronique, est né le véritable mécanisme d’épissage (6-10) des ARNm (groupe II). Les Eubactéries et les Archéobatéries, auraient hérité de leurs ancêtre commun, des introns de groupe I auto-catalytique (Ribozymes).  
 
Un peut plus tard, une nouvelle souche d’Archéobactérie aurait subit une autre forme de mutation, sur son matériel génétique. Mutation qui aurait favorisé les phénomènes membranaire et cytoplasmique d’endosymbionte. Cette branche aurait évolué par la suite vers les Urcaryotes (ancêtres des Eucaryotes) (Mereschkowski)(8). L’étape 2 du schéma illustre cette étape. Différentes Archéobactérie auraient capturées des procaryotes en différentes occasions, dont certains auraient développés une forme de symbiose avec leurs hôtes (comme les ancêtres des mitochondries et des chloroplastes). Certains phénomènes environnementaux, comme l’augmentation de la concentration de l’oxygène moléculaire dans l’atmosphère (vers 2.2 Ga), émit lors de la photosynthèse effectuée par les cyanobactéries, sont peut-être à l’origine de ce processus d’adaptation, ou de son accélération. De cette symbiose serait apparue les Urcaryotes, qui auraient donnés naissances par la suite aux cellules à noyau de type Eucaryotes, vers 1.4 Ga. Avec les Eucaryotes, nous assistons à la naissance des ARNm de type nucléaire, dirivant de toute probabilité des introns du groupe II des Archéobactéries (14). Ces derniés vont participer et favoriser, un peut plus tard, le développement des gènes de segmentations et homéotiques.
 
Les différentes formes évolutives des mécanismes d’épissages, que nous retrouvons chez les procaryotes (groupe I et II), ne sont peut-êtres pas étrangées à cette forme de symbiose entre les ancêtres des Archéobactéries et des Eubactéries. Le tout aurait peut-être dût disparaître par la suite, par manque d’équilibre dynamique (pré-ARNm fragile) dut à la pression sélective de l’époque. Mais peut-être que certains facteur environnementaux ou de contingence, en auraient décidés autrement (chute de météorite ou autre). Favorisant du même coût, l'émergence et l'évolution de ce grand facteur de diversification génétique. Puisque que les mécanismes d'épissages sont impliqués dans la variabilité des protéines de retranscriptions (2-10), et donc de grand facteur d'adaptation (un gène plusieurs protéines/fonctions).
 
La première explosion de la vie sur terre, a donc commencé avec LUCA (?), elle fut la première véritable souche de cellule vivante, à faire l’acquisition de mécanisme de réplication cellulaire stable et transmissible entre les générations. Un peut plus tard (quelque millions d'années) une branche se divise en 2, pour donner naissance aux premières Eubactéries (probablement l’ancêtre des bactéries actuelle) avec leur ARN polycistronique, et aux (pré- ?) Archéobactéries avec leurs gènes de type morceler (qui possède des introns de groupe I et II). Le deuxième boom de la vie sur terre, survient à l’étape 2 du schéma, lors de la fusion et de la symbiose d’Archéobactéries avec différents types d’Eubactéries. Les organismes résultant de cette fusion, vont désormais ce séparer de la branche évolutive principale des pré-archéobactéries, pour former les ancêtres des eucaryotes (cellules animale et végétale avec noyau). Les Eucaryote marque la naissance des tous premiers protistes sur terre, qui sait produit entre 900 à 750 Ma.
 
Cette étape marque également la naissance des gènes précurseurs de différenciation cellulaire (gènes de polarité ou gènes maternels). Certains protistes Eucaryotes ce regroupe en colonie, et communique entre eux, via des molécules chimique (facteur de morphologie externe, et début de l’expérimentaion des gands plan d'organisation pluricellulaire), des axes de différenciations (11) qui sont portés sur leurs différentes activités métaboliques et biochimiques plus spécialisée. Les différents processus d’épissages poursuivent leurs évolutions, tout en favorisant une coopération de plus en plus accrût avec le reste du matériel génétique. Il ce développe à la longue, une synergie en forme de boucle résonnante ou récurente, qui est portée sur les affinités biochimiques retranscriptionnelles (facteur de transcription) de forme complémentaire, et ceci à travers l'activité de transcription de l'ADN vers la maturation des ARNm (épissage-excision). Différentes mutation ont sûrement favorisées de t’elle phénomènes à cette époque reculée du protérozoique, et peut-être effectué à partir même des gènes de réplications (mutation/transposition).  
 
Cette évolution va ce diriger par la suite, vers les gènes qui sont impliqués dans la segmentation, lors du développement des métazoaire. Comme les gènes de polarité (impliqué dans le grand axe antéro-postérieure et dorso-ventrale), le gène paire rule (voir schéma) et les gènes de parité segmentaires (axé sur la répétition des segments) (3-9). Ils vont faire leurs apparitions et donnés naissances aux tous premiers organismes métazoaires (organisme multicellulaire). Ces organismes présentes quelques axes de différenciation cellulaire morphologique (comme les méduses, les éponges et les corraux). C'est le début et le boom des premiers métazoaires à corps mous de la faune d’Édiacara, vers 700-600 Ma.  
 
La quatrième et dernière étape, qui est représenté sur le schéma, marque l’évolution des gènes homéotiques (3-9). Ces dernier détermine la spécialisation des différents segments d’un organisme, lors du développement embryonnaire. Cette étape est associée au boom et à l'explosion de la variété biologique, qui c’est produit au début du Cambrien (début du phanérozoique), situé à 543 Ma. Cette période géologique est associé à la croissance des grands plans d'organisation des organismes vivant (phylum). Comme par exemple l'explosion de la variété des arthropodes de cette époque. Plus d'une vingtaine d'embranchement d'Arthropode ont existés au cambrien inférieur, mais juste une a évolué jusqu'a notre époque, et une dizaine de phylum d'animaux différents ont également disparut de la surface du globe à cette même époque ! (1)
A chaque étape qui ont marquées l’évolution des gènes de réplication et de développement, mais aussi sur l’évolution du gènes qui sont impliqués dans les phénomènes de l’épissage de l’ARNm (6-10) qui leurs sont directement associés. La terre à subit un boom dans la croissance de sa diversité biologique, et chacune d’elle a été immédiatement suivit par la suite, dans un intervale de quelque millions ou millier d’années, d'une perte par décimination d’une empleure tout aussi comparable. Les différents mécanismes de d'évolution-adaptation, portés sur la pression sélective naturelle des espèces, en est la cause principal, mais a tout cela il faut aussi ajouté certaine notion de contingence. (mécanisme de décimination comme les chutes de météorites, grande activité volcanique lors de la collision des plaques tectonique entre autre). Les gènes de développement de segmentation et homéotique, ont donc été favorisé par l’évolution des différents mécanismes d’épissage des ARNm. Du type I de l’ancêtre commun, vers le type II des Archéobactérie, puis vers les processus de maturation des ARNm nucléaire, qui est directement sous le contrôle de l’activité génétique (facteur de transcription).
 
1 – La vie est belle, Stephen Jay Gould, Édition du Seuil 1991
2 - Les microARN, une nouvelle classe de régulateur de l’expression génétique. (Caroline Hartmann/ Fabienne Corre-Menguy/ Adnane Boualem/ Mariana Jovanovic/ Christine Lelandais-Brière)
http://www.erudit.org/revue/ms/200 [...] 336ar.html
 
3 – Les gènes de segmentation
Définitions :
- Le gène homéotique se caractérise par une séquence nucléotidique commune à tous les gènes homéotiques : l'homéoboîte. Le  
gène homéotique code pour une protéine appelée homéoprotéine.
- L'homéoprotéine est un facteur de transcription codé par un gène homéotique. Elle possède une séquence en acides aminés  
commune à toutes les homéoprotéines : l'homéodomaine.
- L'homéoboîte est une séquence de 180 paires de base nucléotidiques qui code pour l'homéodomaine.
- L'homéodomaine est une séquence de 60 acides aminés dont la conformation tridimensionnelle reconnaît spécifiquement des  
régions régulatrices de certains gènes.
http://www.ac-reims.fr/datice/svt/ [...] segmen.htm
 
4 - Développement embryonnaire et gènes sélecteurs, Michel Delarue
http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/h [...] omeo0.html
5 – Les modification du matériel génétiques (type de mutation/altération)
http://formation.etud.u-psud.fr/bi [...] /index.htm
6 - LA TRANSCRIPTION CHEZ LES EUCARYOTES ET LES MODIFICATIONS POST-TRANSCRIPTIONNELLES CHEZ LES EUCARYOTES
http://spiral.univ-lyon1.fr/polyco [...] ire-9.html
7 - Biochimie
http://perso.orange.fr/vincent.masson/bioch/index.htm
8 - Théories sur l'origine des eucaryotes (les théories de fusion et d'endosymbioses)
http://cgdc3.igmors.u-psud.fr/micr [...] p01_06.htm
9 – Gènes de développement (description des trois catégories)
http://quasimodo.versailles.inra.f [...] p07p01.htm
10 – Spliceosomes
http://fr.wikipedia.org/wiki/Spliceosome
11 - Le cycle kystique de Sterkiella
Processus d'Enkystement et gène de différenciation
http://www.umr8080.u-psud.fr/bc4new/fr/kystebilan.htm
et
http://www.umr8080.u-psud.fr/bc4new/fr/morphobilan.htm
 
12 - L'inné et l'acquis dans le comportement animal : deux gènes responsables du comportement sexuel
chez la drosophile, Françoise Ibarrondo
http://www.snv.jussieu.fr/vie/doss [...] mpgene.htm
13 – Structure et activités in vitro des introns de groupe II (G. Bassi, M. Costa, F. Michel)
http://www.cnrs-gif.fr/cgm/michel/index.html
14 - Les introns de groupe I / II sont les précurseurs de ribozymes plus complexes
http://www.biochimie.univ-montp2.f [...] page10.htm
 
Gilles

n°9604585
Profil sup​primé
Posté le 29-09-2006 à 07:30:15  answer
 

Gaffe à l'expression "boom" pour la diversification au Cambrien : elle est trompeuse
 
(voir l'article du fameux Simon Conway-Morris The Cambrian explosion: slow-fuse or megatonnage ?)

n°9612139
glevesque
Reste Calme !
Posté le 29-09-2006 à 23:37:50  profilanswer
 

Salut
 
Très bonne arcticle effectivement !
 
Mais commme il est dit dans cette article, les facteurs génétiques (favorisés ou non par des facteurs environnementaux (augmentation phosphate/carbonate) !) est antérieurs aux traces laissées par les fossiles. Parcontre le terme boom que j'utilise ici, est un peut abusif et je le conviens. Car chaque étapes (1,2,3,4) du phénomènes que je décris dans le schémas (relié à l'évolution des gènes de développement), sont répartis sur une période de temps de plusieurs milliers ou voir même, de plusieurs millions d'années.
 
Ils ce rapportes surtout aux périodes qui sont (les dates sont très aproximatives d'ailleurs!!!!) associé aux différentes formes majeures des variations génétiques sur les gènes de développement. C'est pour cela que j'ai indique 'vers 700-600 Ma' pour la faune d’Édiacara, au lieu de 570 à 543 Ma, qui appartient a la paléontologie et aux fossilles découvert pour cette époques géologique.
 
D'ailleur, l'aspect visuelle de l'arbre évolutif des phylums, sur mon schéma, n'était qu'approximatif pour illustrer les étapes 3 et 4 différentes, qui sont reliés à l'évolution des gènes de développement (segmentation et homéotique) !  
 
Pour plus de détaille a ce sujet, voir la Fig.22 - Schéma évolutif, du lien suivant :
http://www.cnrs.fr/cw/dossiers/dos [...] nnier.html
 
et figure 4 ici :
 
http://www.futura-sciences.com/com [...] php?id=281
 
Voir aussi la FIG. 8, pour l'ancètre des vertébrés (Haikouichthys) découvert en chine (faune de Chengjiang), vers 530 Ma.
 
Il faudrait bien que je retravail un peut mon arbre de l'évolution des phylums (embrenchement), effectivement ! Mais cela n'était pas le véritable but de la démonstration que je voulais faire sur l'évolution des gènes de développement et de leurs emplification et association avec l'évolution parrallèles des phénomènes d'épissages. Le schéma des phylums n'était là que pour illustrer cela ! (mais je le retravaillerai éventuellement !!!!!)
 
Merci pour l'info !!!
 
Gilles
 

n°9685841
glevesque
Reste Calme !
Posté le 10-10-2006 à 18:26:19  profilanswer
 

Salut
 
Voici une petit confirmation indirecte, mais petite confirmation tout de même !:bide:  

Citation :

Les espèces se transforment-elles de manière continue, toujours au même rythme, ou bien, comme l’exprime l’hypothèse des équilibres ponctués, procèdent-elles par accélérations brutales entrecoupées de périodes d’accalmie ? Au terme d’une vaste étude sur des animaux et des végétaux, une équipe britannique appuie cette seconde idée, mais avec réserve.
 
Source (Futura Science) : Quand l’évolution accélère


 
Gilles

n°9687083
lokilefour​be
Posté le 10-10-2006 à 21:23:58  profilanswer
 

Ton lien est vérolé
 
http://www.futura-sciences.com/new [...] e_9759.php


---------------

n°9687100
hephaestos
Sanctis Recorda, Sanctis deus.
Posté le 10-10-2006 à 21:25:51  profilanswer
 

A quel article est-ce que cet article là fait référence ?

n°9687111
RykM
t'as de beaux gènes, tu sais..
Posté le 10-10-2006 à 21:26:56  profilanswer
 

hephaestos a écrit :

A quel article est-ce que cet article là fait référence ?


 
http://sciencenow.sciencemag.org/c [...] 006/1005/2

n°9688950
Profil sup​primé
Posté le 11-10-2006 à 00:55:57  answer
 

Vois pas trop le rapport avec l'origine des processus d'épissage [:wam]

n°9689497
NHam
Stop, look and listen.
Posté le 11-10-2006 à 07:24:59  profilanswer
 

Citation :

Conclusion ? Mitigée. Dans certains groupes, des bouffées d’apparitions de nouvelles espèces sont bien mises en évidence, faisant pencher la balance vers l’hypothèse des équilibres ponctués. Chez le genre Costus (plantes tropicales voisines du gingembre), plus du quart des changements évolutifs se sont concentrés sur des périodes de modifications génétiques rapides. Le même phénomène s’observe chez d’autres plantes et chez des champignons. En revanche, une lignée de papillons a, elle, connu, une paisible évolution graduelle.


Tu m'étonnes... [:fing fang fung]
Et si, bêtement, ceux des organismes qui ont des "bouffée" évolutives devaient cet accroissment de mutation à une dérive de leur système de réparation de l'ADN? Par là j'entend une perte d'efficacité des corrections, qui induirait un taux de mutation supérieur à la normale jusqu'au retour à un système normal.
ça expliquerait que d'autres continuent d'évoluer paisiblement dans le même laps de temps.
 
Qui peut dire si cette éventuelle dérive du système de correction n'est pas due elle-même à une pression de sélection?  
 
Enfin (la sale conclusion!) je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas être confronter aux deux "types" d'évolution simultanément. [:skeye]

Message cité 1 fois
Message édité par NHam le 11-10-2006 à 07:29:13

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La différence entre la sensualité et la perversion: La sensualité c'est avec la plume, la perversion avec le poulet entier.
n°9690581
Profil sup​primé
Posté le 11-10-2006 à 12:05:16  answer
 

NHam a écrit :


Enfin (la sale conclusion!) je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas être confronter aux deux "types" d'évolution simultanément. [:skeye]


Ben tu peux pas marcher vite et lentement à la fois... [:zytrahus5]
(Note que l'hypothèse de périodes de stress conduisant à des mutations moins réfrénées, a déjà été avancée y a une dizaine d'années - c une base de l'évo-dévo - et a été remise au goût du jour par la découverte des Heat Shock Proteins)

Message cité 2 fois
Message édité par Profil supprimé le 11-10-2006 à 12:07:33
n°9690657
RykM
t'as de beaux gènes, tu sais..
Posté le 11-10-2006 à 12:13:58  profilanswer
 


 
Auj on sait que c'est du vent (en terme moleculaire  [:dao] ).
 
Faudra chercher un autre mecanisme.  [:cosmoschtroumpf]

n°9690691
Profil sup​primé
Posté le 11-10-2006 à 12:17:21  answer
 

RykM a écrit :

Auj on sait que c'est du vent (en terme moleculaire  [:dao] ).
 
Faudra chercher un autre mecanisme.  [:cosmoschtroumpf]


Huh ? [:wam] T'as un lien ? ça doit être récent ce "vent" non ? :)

n°9690697
NHam
Stop, look and listen.
Posté le 11-10-2006 à 12:18:11  profilanswer
 


Fais pas celui qui comprend pas... [:j l b]
Je parle des deux type d'évolution pour des espèces ou des population différentes.
Tous les animaux et les plantes n'évoluent pas simultanément de la même manière.
Par conséquent, une espèce animale donnée peut subir une "bouffée" evolutive tandis qu'une autre passe par un stade (de france?) d'évolution "continue". [:doc skeyou]


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La différence entre la sensualité et la perversion: La sensualité c'est avec la plume, la perversion avec le poulet entier.
n°9690705
NHam
Stop, look and listen.
Posté le 11-10-2006 à 12:18:50  profilanswer
 


Vent du nord qui vient de se lever. [:mrbrelle]


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La différence entre la sensualité et la perversion: La sensualité c'est avec la plume, la perversion avec le poulet entier.
n°9692355
Profil sup​primé
Posté le 11-10-2006 à 15:55:12  answer
 

NHam a écrit :

Fais pas celui qui comprend pas... [:j l b]
Je parle des deux type d'évolution pour des espèces ou des population différentes.
Tous les animaux et les plantes n'évoluent pas simultanément de la même manière.
Par conséquent, une espèce animale donnée peut subir une "bouffée" evolutive tandis qu'une autre passe par un stade (de france?) d'évolution "continue". [:doc skeyou]


Ah ben ça, effectivement si on en croit les archives fossiles, les périodes de radiation évolutive n'affectent pas tous les taxons en même temps... mais grosso modo ça affecte quand même (au moins) tout un phylum à la fois... Reste plus qu'à comprendre suite à quoi :miam:

n°9694413
NHam
Stop, look and listen.
Posté le 11-10-2006 à 20:05:40  profilanswer
 


Tout le phylum? [:mlc2]
Et qu'est-ce qui pourrait expliquer ça? [:urd]


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La différence entre la sensualité et la perversion: La sensualité c'est avec la plume, la perversion avec le poulet entier.
n°9694428
Profil sup​primé
Posté le 11-10-2006 à 20:07:24  answer
 

NHam a écrit :

Tout le phylum? [:mlc2]
Et qu'est-ce qui pourrait expliquer ça? [:urd]


La parenté, justement. Mêmes structures, mêmes milieux de vie [grosso merdo] d'où réactions voisines face à un même stress... C'est bien pour ça qu'on parle de radiation des Echinodermes/Céphalopodes/Mammifères & co.

n°9694523
NHam
Stop, look and listen.
Posté le 11-10-2006 à 20:18:09  profilanswer
 

Je crois que je n'ai pas de définition correcte de "Radiation" alors... :/
Tu peux développer simplement?


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La différence entre la sensualité et la perversion: La sensualité c'est avec la plume, la perversion avec le poulet entier.
n°9695121
Profil sup​primé
Posté le 11-10-2006 à 21:12:16  answer
 

NHam a écrit :

Je crois que je n'ai pas de définition correcte de "Radiation" alors... :/
Tu peux développer simplement?


 
En gros, une radiation c'est :  
- un événement (= avec un 'avant' et un 'après')
- bref (= géologiquement parlant, un processus qui dure une poignée de millions d'années)
- d'accroissement (= nombreux phénomènes d'apparition, d'innovation)
- de diversité et/ou disparité (= bcp de nouveaux taxons et/ou de nouvelles morphologies)
 
Chacune de ces composantes étant quantifiable : on peut faire des comparaisons avant/après ; on peut dire combien de temps ce "pic" a duré ; on peut caler dans le temps toutes les nouveautés ; et enfin on peut calculer la quantité de "nouveauté" au niveau taxonomique et/ou morphologique.
 
Un exemple pas super représentatif mais assez facile à concevoir, la petite radiation des mammifères au début du tertiaire.
Avant, on a une diversité assez modérée (peu d'espèces) et une disparité pas terrible (que des machins qui se ressemblent style musaraigne).
Après, on a des baleines, des rhinocéros, des chauves-souris, des chacals, et des trucs dont t'as même pas idée... et tout ça à tire-larigot.
 
Un meilleur exemple c'est la fameuse "explosion cambrienne" (bon, un pétard avec une mèche lente et qui claque en plusieurs dizaines de Ma). Avant, on a quelques échinodermes qui se ressemblent beaucoup, trois arthropodes vermiformes qui se battent en duel... après, on a des dizaines de nouveaux phylums vachement différents. Et encore après, bah plus rien ne bouge (trop).
Même que c'est une belle merde pour dire ce qui s'est passé, comment, et dans quel ordre, et à cause de quoi, entre cet avant et cet après :o
 
D'où le terme "équilibres" (= rien de bien nouveau, toujours la même chose) "ponctués" (entrecoupés de phases où tout change).


Message édité par Profil supprimé le 11-10-2006 à 21:19:34
n°9697469
NHam
Stop, look and listen.
Posté le 12-10-2006 à 07:15:17  profilanswer
 

Merci professeur Rollin! [:romf]
http://www.theatresenscene.com/ressources/noisy/noisy_rollin.jpg


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La différence entre la sensualité et la perversion: La sensualité c'est avec la plume, la perversion avec le poulet entier.
n°12545922
glevesque
Reste Calme !
Posté le 30-08-2007 à 01:11:11  profilanswer
 

Salut  
 
Le processus s'éclaircis :  
 
Des procaryotes aux eucaryotes le phénomène d'épissages a évolué du type 1 à 3 (pour les eucaryotes) ! L'épissage est aussi relié à l'épigénitique dans son évolution, par son association d'interface entre la production des ARN pré-messager via les molécules d'ADN et l'activité de leurs polymérase et l'environnement, il s'agit d'une activité d'équilible chimique adaptationnelle qui relie le milieu interne de l'activité génétique de synthèse des protéines à l'environnement immédiat qui englobe et dans lequel beigne la structure génétique, leurs influence mutuelle permet une adaptation et un feelback plus rapide pour l'évolution des organisme vivant via des ajustements qu'établit l'épissage à travers ses activité de maturation des ARN pré-messager vers les ARN messager. Voilà donc un nouveau niveau de coopération génétique inductionnelle !  
 
L'épissage est un phénomène qui emplifit le feelbak sous une forme de résonance coopérative sur la traduction génétique par rapport à l'évolution et à l'adaptation sélective des produit protéiniques et enzymatiques découlant des gènes de base, face à leur milieu ! Il y a donc eu un phénomène biochimique de rétroaction sur la traduction génétique (de l'ADN aux ARN messager) mis en branle par l'épissage, agissant en quelque sorte comme une interface entre le milieu génétique et le milieu extérieur. C'est le fruit de l'activité indirecte de l'épissage, qui rétroagit sur la maturation des molécule d'ARN aprèes leur traduction à partir des gènes, qui est réellement responssables des pression sélectives et de l'adaptabilité.  
 
Ce mécanismes peut aussi bien être a l'origine de l'évolution des gènes de développement (gène architèque et gène de segmentation). Résultant d'une bifurcation mutationnelle de l'appareillage génétique impliquer dans certaines forme de mécanisme d'épissage, mais cette fois ci au lieu de controler les processus de rétroaction enzymatique sur la maturation des ARN messager, ce dernier aurait évoluer vers un mécanisme de feelback directe sur l'expression (activation) génétique pouvant controler (par processus de résonnance fonctionnelle de l'activité génétique et enzymatique) l'activité de plusieurs autres gènes (via des facteur de transcription spécifique) dans une suite cohérentes relié a la concentration de leurs produits d'activité individuelle, formant ainsi par différents processus d'activité diriger et controlé biochimiquement des complexe génétique relié au gènes de développement. (voilà en gros le résumer de ma thèse)  
 
Donc il est tout a fait possible d'immaginer que ce phénomène aurait put participer à l'origine à l'évolution des métazoaires !  
 
En fait il s'agit d'une hypothèse sur l'origine de la biodiversité effectuer a partir de l'évolution des phénomène d'épissage (bactérie, Arché et eucaryote moniste) qui aurai bifurqué vers l'élaboration des gènes architeques des métazoaires, et qui a caractérisé les différents boom du canbrien et de l'émergence des différents philums !  
 
Les introns et certain exons implique dans la synthèse des protéines du complexe d'épissage aurait put aussi participer a l'évolution de se schéma de la variabilité épigénétique de la diversité de l'activité adaptationnel du génomes ! (réorganisation des brin d'ADN, Transposon, transfère horizontaux et etc...) qui par rétraction positive sur l'ADN, ou de certains segnement de ce dernier, aura favorisé un retourne d'action pouvant controler certaines expression de d'autre gènes par une sorte de mécanisme d'auto-interférence redondant ou autre (voir la fonctionnalité du complexe hox a cette effet) !  
 
 
Gilles


Message édité par glevesque le 30-08-2007 à 02:47:16
n°12551867
glevesque
Reste Calme !
Posté le 30-08-2007 à 17:42:58  profilanswer
 

Salut
 
Le plus difficile reste a construire un exemple (modèle) théorique concret de tout ça ?
 
C'est ma prochaine étape !
 
Et après l'expérimentation ! (disont qui est presque impossible)
 
Il s'agit du mécanisme transitionnelle pouvant avoir eu lieu entre l'épissage de type 2 chez les procaryotes et l'épissage de type 3 chez les eucaryotes.
 
D'un mécanismes autocatalytique de l'ADR vers une bifurcation mutationnelle (ou en rapport avec l'épigénitique environnemental) d'activiation ou plutot de rétro activation de site promoteur (vers les facteur de transcription locale a une cellule) au fonctionnalité de feelbacking sur l'expression de certains génes ayant la caractéristique de controler l'expression de d'autre gène à travers une sorte de d'hémostasie sur la synthèse génétique de développement accés sur la concentration des transcrit protéinique ou enzymatique.
 
Une forme de résonace sur l'activité biochimique héréditaire de rétrocontrole promotionnelle ou de répression de l'activité génétique !
 
Quand dites-vous ?
 
Gilles  
 
Gilles

Message cité 1 fois
Message édité par glevesque le 30-08-2007 à 17:43:43
n°13067430
glevesque
Reste Calme !
Posté le 24-10-2007 à 18:59:34  profilanswer
 

Salut
 
La vérité sur "l'ADN poubelle" L'ADN humain est composé de 3,3 milliards de paires de bases mais seul 1,5% de ce potentiel serait utilisé pour la synthèse des protéines de l'organisme tout entier. Le reste du génome, soit 3,25 milliards de paires de bases, était considéré jusqu'alors comme de "l'ADN poubelle", sans fonction significative. Désormais ces chercheurs viennent de montrer, sur une partie représentative du génome, que même les ADN non-codants sont presque tous transcrits en ARN, qui ont en outre des fonctions non négligeables: les ARN non-codants régulent très spécifiquement l'expression protéique. Ainsi, si une protéine est trop ou trop peu produite dans une cellule, l'équilibre est déplacé et des maladies peuvent survenir.
 
Animal ou végétal ? Le génome d'une algue modèle livre ses secretsChlamydomonas qui retient l'attention des scientifiques: il s'agit d'une véritable mosaïque évolutive, combinant des caractéristiques clairement "végétales" et d'autres typiques des animaux. En tant que plante, le séquençage de Chlamydomonas éclaire de façon originale l'évolution du règne végétal, de l'aquatique au terrestre, de l'unicellulaire au pluricellulaire. La comparaison avec d'autres génomes d'algues et de plantes a déjà permis de dresser un catalogue de nouveaux gènes impliqués dans la photosynthèse et la biologie du chloroplaste. En revanche, d'autres gènes, et pas seulement ceux liés aux flagelles, sont plus proches du répertoire des animaux. Citons par exemple toute une série de nucléotide cyclases, des enzymes qui sont essentielles chez les animaux pour de nombreuses voies de signalisation intra- et intercellulaires. De nombreuses sélénoprotéines sont également présentes chez Chlamydomonas: elles comportent dans leur séquence un acide aminé rarissime, la sélénocystéine. Il s'agit là d'une propriété très ancienne des eucaryotes, qui n'a été conservée que dans certaines lignées, parmi lesquelles Chlamydomonas et les vertébrés.
 
La transformation génétique naturelle chez la bactérie Découverte chez S. pneumoniae (le pneumocoque), pathogène humain majeur, vecteur de méningites, otites et pneumonies, la transformation naturelle bactérienne consiste en l'intégration d'ADN d'origine externe dans le génome de la bactérie receveuse. La transformation est considérée comme une forme de parasexualité (1) réduite à sa forme la plus simple, l'un des partenaires étant la bactérie, et l'autre de l'ADN présent dans le milieu extérieur.
 
Eléments de classification des protozoaires Les zooflagellés sont les ancêtres des animaux, les phytoflagellés sont les ancêtres des plantes. Les Euglènes (Euglena) ont un flagelle tracteur, et sont à la fois des algues (elles effectuent la photosynthèse en présence de lumière) et des animaux (en l’absence de lumière, elles perdent leurs chloroplastes et se nourrissent de matière organique).
 
Arché et Parenté Quels facteurs? Nous commençons tout juste à découvrir qu’il s’agit de diverses protéines, clairement parentes des «facteurs de transcription» eucaryotiques, à telle enseigne qu’en laboratoire on peut parfois remplacer avec succès les protéines archéobactériennes par des «facteurs de transcription» eucaryotiques. Sur ce point fondamental de la vie de toute cellule, les archéobactéries ressemblent donc indubitablement aux eucaryotes. (convergence ou divergence homologue)
 
Le vent souffle sur l’arbre de l’évolution des animaux  
Un indice pour expliquer la fameuse " explosion " du Cambrien. Selon une étude menée par trois équipes de chercheurs français (du Centre de génétique moléculaire du CNRS à Gif-sur-Yvette), britanniques et américains, publiée dans la revue Nature (24 juin 1999), l'ancêtre de l'ensemble des animaux à symétrie bilatérale possédait déjà un système complexe de gènes de développement.
 
 
Une veille discussion sur le sujet chez futura science :
http://forums.futura-sciences.com/thread99402.html
 
A cette époque les intervenant (dont piwi) m'avait induit en érreur sur l'aspect non homologue des gènes hox (voir le point 9), de nos jours nous savons qu'il le sont (voir : Comment les pattes viennent au Serpent de Lambert et Rezsohazy, Champs Flammarion 2004) (8 gènes hox chez la mouche drosophile et 39 chez la souris et l'homme divisé en 4 complexe contre 1 pour les arthropodes, voir la page 153)
 
Résumer :
 
1 - Concepte de Multistabilité (page 89, et étant le sujet principale du livre sur la plasticité, très bon !) (homéostasie élargie/épigénétique/épissage alternatif (page 133 sur la diversité des assemblages modulaire des protéines avec les introns))  
2 - Boucle de rétroaction et régulations croisées sont dans le monde vivant des thèmes récurrents qui permettrent de coordonner, d'ajuster, d'adapter, de maintenir la cellule, l'organisme, la population en harmonie avec les fluctuations du milieu extérieurs. (page 69-70)  
3 - Gènes hox bicoid (facteur de transcription Hunchback-Kruppel-Knirps-Giant, rétrocontrol par gradient de concentration croisée antério-postérieur et gène Gap et pair-rule Even-skipped) (page 79-83)  
4 - Un facteur de transcription (à effet extracellulaire) pourrait donc agie comme une hormonne a effet locale (page 87)
5 - L'ADN humain est truffé de transposons (page 117), qui se recopit par transcription inverse (nommé rétrotransposons et similaire au rétrovirus (page 121) qui compte pour 45% du génome (page 117) et observation d'un premier cas observé de saut d'un rétroélément humain chez un enfant atteint d'hémophilie, alors que les parent avaient des copies intactes. Certain (Short INtersperced Element (SINE)) sont exprimer en condition de stress (page 121)  
6 - L'activité des transposons peut être néfaste pour l'espèce qui les héberge, car les incersions dans le génome peuvent entrainer l'inactivation des gènes indispenssables à l'intégralité des fonctions cellulaires (page 123/152 pour antennapedia). Pas bon pour aussi les PGM donc lors des incersion aléatoire ! Si cela affecte les gènes de développement des gamètes reproductive, et bien métamorphose il y aura (c'est moi qui souligne) !!!!!!
7 - Les facteur de transcription des Bilatéria ont une origine commune (page 146 et 156)
8 - les homéodomaine sont concervé a travers les phylum (page 140 et suivante)
9 - Si on compare les complexes homéotiques des mammifères à celui de la drosophile, on constate que l'agencement des gènes homéotiques au sein de ces complexes a été concervé. Cette observation renforce l'idée que les complexes homéotique de la drosophile et des mammifères on une origine commune. Il y a même corrélation sur la position des gènes au sein du complexe et de leur temporalité d'expression (page 152)
 
Alors que les grandes classes de facteurs de transcriptions et de molécules de signalisation sont concervées et se retrouve dans toutes les lignées Bilatéria, les modes de développement embryonnaire précoce, quand à eux, sont très variés et parfois très différents d'un groupe à l'autre d'animaux. Ainsi il est remarquable de constater que les gènes homéotiques remplissent des rôles homologue chez des organismes qui, au départ, se développe de manière différentes et qui présentent in fine des formes extrêmement variées. Si les gènes actuelles ont été concervés, ainsi que leurs fonctions, leur implication dans la diversification des formes provient de ce qu'ils prennent part à des réseaux de régulation différentes. Lapparition de nouvelles formes, sur une base de gènes architectes homologue, reposerait ainsi entre autres sur l'établissement de nouvelles relation régulatoires.  
10 - La différenciation cellulaire est sous le controle épigénétique (page 211)
 
Gilles


Message édité par glevesque le 24-10-2007 à 19:20:26
n°13073401
Profil sup​primé
Posté le 25-10-2007 à 10:48:29  answer
 

Et donc : 42.

n°13074856
Ben_be
ʎlıɐp uǝɯǝlʇuǝƃ ̡̢̛̗̘̙̜̝̞̟̠̊̋̌̍
Posté le 25-10-2007 à 13:16:28  profilanswer
 

҉ pourquoi j'ai drapalisé ce topic copier/coller  ҉ ?


Message édité par Ben_be le 25-10-2007 à 13:16:47

---------------
Putain j'ai rêvé de toi cette nuit !! Alors que jte connais même pas !!-LaL0utre | Ben_be est un roxxeur d'ours d'envergure mondiale-Daaadou |Entre un dessert et Ben_be je choisis Ben_be-Ramasse-miette
n°13121247
glevesque
Reste Calme !
Posté le 30-10-2007 à 15:46:33  profilanswer
 

Salut
 
Ostréococcus tauri, ancêtre des plantes (Algue verte)[list]Le génome du plus petit organisme eucaryote libre, Ostréococcus tauri, vient d’être séquencé par un consortium de laboratoires de recherche français et belges, auquel participe l’INRA. L’intérêt suscité par cette algue planctonique unicellulaire s’explique par sa place au tout début de la chaîne évolutive conduisant vers les plantes supérieures que nous cultivons. De ce fait, cette famille d’algues vertes partage avec les plantes beaucoup de mécanismes physiologiques et moléculaires. S’intéresser aux gènes conservés entre ces algues « primitives » et les plantes supérieures, et à la manière dont ils ont évolué, donne des pistes pour mieux comprendre la fonction et la régulation des gènes homologues chez les plantes. A cet égard, cette algue pourrait jouer vis-à-vis des plantes le même rôle que la levure vis-à-vis des animaux. [/list]
 
Ancètre des Champignons : choanoflagellés
 
Cyanobactéries ancétre des chloroplastes.
Actinobactéries (gram +) ancètre des mitochondries

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