Visionné, sympa. Mais brrr... perdus au milieu de cette salle. Effet un peu glacial.
Est-ce moi ou une sensation ? Il me semble que bonne partie des vieux artistes british +/- rock/pop pondent des versions de plus en plus soul de leurs chansons. Sting du moins est clairement entré dans les (british) soft/neosoul singers depuis des éons. Ce n'est pas un reproche, au contraire.
D'autres ont plutôt tendance à remaquiller leurs vieux tubes en plus jazzy ou bluesy, ça rend pas mal parfois.
Pour les 60 ans de Sting, apparition "surprise" de Stevie Wonder. La surprise c'est surtout cette reprise magnifiée de la chanson Fragille, en toute humilité et décontraction - un beau cadeau.
https://youtu.be/FPjj8edvjgM
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Remontage sauvage de 17 ans.
Gwen311 a écrit :
Salut à tous! Je suis très fan de sting et me posais une question : quelles sont les racines de la chanson an englishman in new york?
Quand je parle de racine, cela signifie inspiration, à la fois musicale et textuelle.
J'ai cherché sur google mais n'ai rien trouvé d'intéressant.
Si quelqu'un a des infos... merci beaucoup
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Je suppose que tu as trouvé depuis. L'inspiration du texte est déductible de cette interview de Quentin Crisp:
https://www.youtube.com/watch?v=SaXPFuIXpk4
Les racines musicales ici je ne sais franchement pas - probablement aucune racine: Sting comme bien d'autres trouve d'abord des mélodies accrocheuses qu'il puisse chanter dans sa tessiture, puis brode du texte par dessus. Ni ligne directrice ni racines ostensibles dans son répertoire... parfois, souvent, il doit gesticuler et grimace pour sortir certaines notes, étire le cou ; il souffre un peu à la manière dont souffrait Phil Collins p.e.
Message édité par Zorglub2016 le 29-11-2021 à 10:09:12
