rahsaan a écrit :
Putain un bêtisier de Soral, je sais pas ce que ça peut être franchement Il engueule son équipe parce que le micro est dans le champ ?
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Il est tellement perché dans son délire de persécution qu'il doit se dire que rire, c'est indécent face à la misère de sa situation de cible permanente de l'oligarchiquinoudominemoaédieudonné. Un bêtisier "normal", c'est une succession de "fous rires", par exemple, Poolvoerde et Lanvin qui mangent des sushis, de Caunes qui faut boire de la gnôle à Garcia, ou Michel Cymes qui raconte une sale blague à Marina Carrère d'Encausse. Le bêtisier ER, c'est Soral qui humilie son équipe :
— Putain, la perche, là, si tu continues, je vais te la mettre dans la gueule, t'as compris !
— Et c'est, euh... merde, le mec-là, celui qui a fait ce film-là... putain, les mecs, aidez-moi, vous êtes mauvais ma parole !
— Si je ne suis plus au FN, c'est parce que Le Pen, le père, m'a viré, après ma "lubie d'un vieil homme"... Quoi ? Vous me regardez bizarrement, j'ai dit une connerie ?
— Bande d'enculés, quand je dis coupez vos portables, vous coupez vos portables, moi ça me déconcentre. Ça te fait rire, trou du cul ? Sans moi, t'es rien, n'oublie pas.
— Elles sont merdiques tes questions, Vincent. Tu peux pas te casser le cul un minimum, faut vraiment que je fasse tout ici...
— Vincent, sur le FN, je suis pour ou contre Marine ? Je suis perdu dans mes notes. Passe-moi mon portable, j'appelle Péninque.
— Et ma sœur, en réalité, elle s'est tapée Berri, oui. Ça m'a rendu dingue, moi, c'est elle que je voulais me taper. Elle était punkette, j'étais punk, j'aurais pu me la faire, hein. Un peu comme Trump, si Ivenka n'avait été sa fille, il l'aurait tringlée, hein.
— Quand tu auras pris les coups que j'ai pris, tu pourras parler. En attendant, tu dégages du plateau.
— Qui est le con qui m'appelle ? Putain, ça me casse les couilles d'être dérangé par mon portable. Vincent, rapporte ! Vous allez voir, je vais passer un de ces savons à ce connard qui... oh, c'est Dieudonné ! Oui, allô ? Mais pas du tout, Dieudo, tu ne me déranges jamais, tu m'appelles quand tu veux, tu le sais bien...
— ...et c'est Frédéric Haziza, qui contrôle les médias, par Patrick Drahi, depuis Israël, hein... Pffff, Pierre, t'as pas l'impression que je me répète un peu ? L'oligarchie, Israël, les francs-macs, tout ça. J'ai une impression de déjà-vu, pas toi ? Ça fait dix ans que je tourne dessus, je crois que j'ai fait le tour. Au moindre truc, je dis qu'il y a Israël, je sais que c'est faux, mais faut bien ferrer la clientèle. Tu ne tournes plus, là, si ?