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Quels sont pour vous les trois livres de philo à lire pour un honnête homme ?


 
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1.  "La république" de Platon
 
 
6.7 %
 119 votes
2.  "La métaphysique" d'Aristote
 
 
15.7 %
 279 votes
3.  "l'Ethique" de Spinoza
 
 
1.5 %
    27 votes
4.  "Essai de théodicée" de Leibniz
 
 
15.0 %
 266 votes
5.  "Critique de la raison pure" de Kant
 
 
17.8 %
 315 votes
6.  "Par delà le bien et le mal" de Nietzsche
 
 
5.9 %
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7.  "L'évolution créatrice" de Bergson
 
 
6.4 %
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8.  "Etre et temps" d'Heidegger
 
 
7.5 %
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9.  "Qu'est-ce que la philosophie" de Gilles Deleuze
 
 
8.1 %
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10.  "Moi, ma vie, mon oeuvre" de obiwan-kenobi
 

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Auteur Sujet :

Philo @ HFR

n°12561134
foutre de
Posté le 31-08-2007 à 15:42:42  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
 

neojousous a écrit :

Les concepts d'entités transcendantes.

Baptiste R a écrit :


Ouéééééé, neo avec nous, neo avec nous !


 


---------------
« Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement »
mood
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Posté le 31-08-2007 à 15:42:42  profilanswer
 

n°12561194
neojousous
Posté le 31-08-2007 à 15:45:56  profilanswer
 

foutre : plait-il ?

n°12561237
foutre de
Posté le 31-08-2007 à 15:48:58  profilanswer
 

je disais "oui", c'est tout


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« Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement »
n°12567740
sylvva
Posté le 01-09-2007 à 05:45:30  profilanswer
 

alcyon36 a écrit :


1. "Ce que tu dis est tout à fait « vrai », mais ce n’est juste pas la question…quand bien même ce « niveau de discussion » serait « dépassé » (ce que j’ai toujours du mal à entendre), je ne vois pas comment tu peux en conclure qu’il est inutile de se rendre intelligible la pensée de Kant, la pheno…ce qu’était justement en train de faire neojousous...et si ce n'est pas ce que tu en conclus, alors je ne vois pas le sens de ton intervention."
 
- eh bien, il y a eu malentendu : je ne parlais pas du niveau de la discussion sur ce forum,  
mais de celui de la problématique philo en général
 
2  " J’ai parlé de lieu commun car il me semblait que depuis la rupture 18-19 eme siècle cette question des rapports entre science et philo était une question structurante de notre économie de pensée…après les tentatives sont plus ou moins heureuses."
 
- d'accord avec toi, mais ce n'est pas parce qu'une idée devient lieu commun qu'elle est moins intéressante à mentionner
 
3  " Je ne supporte pas ce style de musique…je ne vois pas à partir de quoi tu peux en conclure que je me fonde sur des préjugés anti-ricain…"
 
- il est connu que des critiques français ont taxé la "country" de musique de " l'américain conservateur et blanc",
j' ai cru voir ce préjugé dans tes expressions ( road trip, sheriff fais-moi peur )...
tant mieux si ce n'est pas le cas : tu t'intéresses à la philo, qui, entre autres, est une tentative de voir  
les choses au-delà des préjugés
 
 
4 Si tu veux je peux t’aider j’ai une formation de juriste à la base ;)
Voyons ce que dis ce cher AC
« Jeune fille » : bon là il t’attaque sur ton expérience, il te dit moi je suis un vieux de la vieille en philo, je vais t’apprendre à penser…c suffisant, mais ça ne t’attaque pas toi en tant que femme.
 
« votre bêtise n'a d'égale que votre laideur, " intérieure " (et  "extérieure " ?). » : alors là en gros il te dis que t’es conne, et met en parallèle, à titre de spéculation que tu es aussi moche que conne…bon ba faut le dire, il est vraiment pas galant, ni fin et son attaque est vraiment petite, mais ce qu’il dit peut très bien valoir pour un homme (je sais ce que je dit, il m’a déjà traité de jeune homme…Blabla  lol).
 
« Comme j'aimerai vous expliquer tout cela de vive voix, et plus encore (" paire de claques " et " coup de pied au cul " à l'appui)..." » : bon ba là il te dit que ce que t’as raconté il a trouvé ça tellement con et bête qu’il aimerait te secouer les puces…encore une fois rien à voir avec le fait que tu sois une femme.
 
- quand on prend séparément ces attaques, comme tu fais, leur charge sexiste est diluée,
  quand on les prend dans leur enchaînement, elle est évidente :
 
minorer  ( "jeune fille" )
+
diffamer ( "bête et laide" )
+
exprimer l'envie de frapper violemment ( " j'aimerais t'administrer des claques et des coups de pieds" )
 
c'est du sexisme aggravé de menaces
 
 
 
" Ensuite voir un avocat ne prouvera rien du tout, son interprétation n’est rien d’autre que de la dogmatique juridique…comme ne cesse de le marteler Troper et consort, l’interprétation juridique n’est pas un acte de connaissance mais un acte de volonté…l’interprétation authentique ne dévoile pas un sens qui serait pressent dans le texte, mais elle produit le sens, ou à la lettre la norme…"
 
- en effet, parce que l'avocat se donne comme tâche de défendre son client,
c'est à un juge que je devrais m'adresser,  
restant neutre entre l'accusation et la défense, il est mieux placé pour saisir le sens d'un texte juridique,  
au-delà des interprétations subjectives qu'on puisse en faire,
 
- il qualifierait probablement les faits de "diffamation ( toute allégation ou imputation qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération de la personne ) et injure ( toute expression outrageante, termes de mépris ou invective ) publiques, à caractère discriminatoire ( envers une personne à raison de son sexe )
et déciderait une de ces sanctions :
un an d'emprisonnement et 45.000 euros d'amende ou l'une de ces deux peines seulement pour la diffamation,  
six mois d'emprisonnement et/ou 22.500 euros d'amende en cas d'injure,
dans les deux cas, l'affichage ou la diffusion de la décision prononcée pouvant être ordonnée à titre de peine complémentaire
- il y ajouterait la qualification  de " menace de commettre un délit contre les personnes", qui  est punie de  
6 mois d'emprisonnement et de 7.600 e d'amende lorsqu'elle est matérialisée par écrit
 
" Apres sérieusement, je comprends mal l’usage que tu fais de discrimination, je ne vois pas de quelle discrimination tu as pu être victime…l’AC n’a aucun pouvoir. Il me semble que tu peux toujours poster comme tout le monde, je me trompe ? donc éclaire moi… si tu parles de discrimination, c'est-à-dire d’une différence de traitement dans le comportement de l’AC à ton égard... D’ailleurs, AC est aussi capable de lancer d’énormes couronnes de fleurs à des femmes, à partir du moment où il les considère digne d’interet…je te renvoie à cette déclaration de passion que AC a faite à Musc…


 
 
- ce n'est pas parce qu'il ne m'a pas empêchée de poster qu'il n'a pas commis de discrimination
 
 
- le fait qu'il fasse des cadeaux ailleurs ne le disculpe pas de ce qui l'inculpe
 
conclusion : non seulement tu as dû suivre une drôle de formation juridique,
mais tes raisonnements sont curieux, ils ont l'air d'un plaidoyer pro domo...

n°12567743
sylvva
Posté le 01-09-2007 à 05:59:19  profilanswer
 

alcyon36 a écrit :


c marrant de taper sur Laruelle (pas sur que tu ais compris sa demarche)  
 
- j'ai en tout cas compris que sa non-philosophie ( lapsus révélateur ? ) verse dans la religion
 
 
alors que tu mets toi même en ligne des textes de certains non-philosophe, qui voient en lui tout sauf un sombre cretin...
 
- que veux-tu dire ?  évidemment que ses confrères le soutiennent,
je les ai mis en ligne pour info


n°12567816
jean eymar​d
Posté le 01-09-2007 à 08:53:10  profilanswer
 

rahsaan a écrit :


 
Pour les stoïciens, la Nature est un grand tout vivant, ordonné et parfait. Tout ce qui est obéit à une nécessité d'ensemble. Etre libre, c'est connaître cette nécessité et l'accepter.


Un grand corps vivant.

n°12567866
foutre de
Posté le 01-09-2007 à 09:34:59  profilanswer
 

jean eymard a écrit :


Un grand corps vivant.


un grand corps malade, si l'on en croit un grand stoïcien slameur  :D


---------------
« Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement »
n°12567886
alcyon36
Posté le 01-09-2007 à 09:44:51  profilanswer
 


1. ok
2.ok
3. ok, quoique les rapports entre pejugés et formation du gout sont, il me semble, un peu plus complexe.
4. merci pour ma formation, mais je n'ai fait aucune reference au droit ou au raisonnement juridique, seulement un renvoi à sa theorie generale, ce qui est radicalement different...mais je te rassure, mes maitres n'avaient pas l'air de se plaindre de moi;)
D'ailleurs, tu n'as  pas saisi ma reference (plutot que de faire la maline)...il n'y a pas de sens que le juge serait susceptible de saisir...sert à rien de se demander quel est le sens d'une norme, le sens c'est la norme.(ca me rappelle un mec qui disait qu'il ne fallait pas se demander quel etait le sens d'un evenement, car l'evenement c'est le sens;)) le sens ne preexiste pas à l'interpretation qu'en donne l'organe competent pour l'interpreter...Autoritas non veritas facit jus.
 

Citation :

quand on prend séparément ces attaques, comme tu fais, leur charge sexiste est diluée,  
  quand on les prend dans leur enchaînement, elle est évidente :  
 
minorer  ( "jeune fille" )  
+  
diffamer ( "bête et laide" )  
+  
exprimer l'envie de frapper violemment ( " j'aimerais t'administrer des claques et des coups de pieds" )  
 
c'est du sexisme aggravé de menaces  


ba desole, meme mis bout à bout, ca me semble toujours pas pertinent. Personne sur ce forum, enfin il me semble(j'avoue parfois je ne lis pas tout), n'a pretendu que AC t'avais parlé correctement...Je pense que tout le monde conviendra avec toi, qu'en effet il t'a "minorer", diffamer....enfin en gros insulter...là dessus pas de probleme. Mais se faire insulter par quelqu'un ca na rien de sexiste, en aucun cas il ne t'attaque sur ton sexe, et je vois mal comment tu pourrais nous montrer que c'est le fait que tu sois une femme qui ai motivé ses propos...tu ne fais que dire, il m'a insulté, et c'etait sexiste...aucn interet de me repondre ca. Ce que je veux que tu me montres c'est ce qui te permet de dire que son comportement est du à ton sexe et non pas à cause de ta supposée betise. A ce titre, c'est la même chose pour ta chanson...tu as beau jeu de parler de prejugés, vu que ta remarque reposait egalement sur un prejugé, a savoir que quelqu'un ki n'aime pas la musik country est anti-ricain. :lol:  
 
Pour Laruelle, Foutre a déjà dit ce que je voulais te repondre...pas de probleme sur sa deviance religieuse sur le messianisme etc.... en revanche ce que tu disais d'une science de l'affect me semblait peu pertinent pour qualifier son taf...mais suffit de se repporter au post de Foutre.
ensuite, j'adore que l'on me prenne pour un abruti...merci de m'expliquer que des disciples (confreres) soutiennent et defendent leurs maitre...Sans toi je sais pas comment je ferai...:D )
plus serieusement, ce texte tu nous l'as envoyé pour info?

Citation :

bon, si vous n'êtes pas convaincus, prenez du moins du neuf,  
 
ici, chez Mandrake :  
 
http://anaximandrake.blogspirit.co [...] sme-1.html  
 


si c'est le cas, je trouve que ta presentation est mal trouvée, elle semblait nous indiquer que tu l'approuvais et nous invitais à le decouvrir comme quelquechose d'interessant.

Message cité 1 fois
Message édité par alcyon36 le 01-09-2007 à 19:20:19

---------------
"la pensée de l'être est le souci porté à l'usage de la langue" Heidegger
n°12567941
foutre de
Posté le 01-09-2007 à 10:15:53  profilanswer
 

alcyon36 a écrit :


Autoritas non veritas facit jus.


ça fait du bien d'entendre du latin. En MP je discute avec rahsaan de la correction de certaines déclinaisons dans des expressions latines usuelles à la forme passive. Tout cela est revigorant au possible...

alcyon36 a écrit :


Pour Laruelle, Foutre a déjà dit ce que je voulais te repondre...

 

mais suffit de se repporter au post de Foutre.

 

j'espère avoir une réponse parce que j'ai remarqué ces derniers temps que qd je pose une question, on fait beaucoup d'effort pour répondre à côté. Va certainement falloir en bon prof que je fus que je travaille plus sur la reformulation (c'est ça qui sauve à l'oral de philo : formuler une question jusqu'à ce que l'élève la comprenne, sinon, comment voulez-vous qu'il reponde sans comprendre ce qu'on attend de lui... un ami me racontait une bonne anecdote sur une question cartésienne de "étendu/pensant" à son oral ; témoignage saisissant - au sens mystique du terme :sol: )

Message cité 1 fois
Message édité par foutre de le 01-09-2007 à 10:17:12

---------------
« Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement »
n°12567964
alcyon36
Posté le 01-09-2007 à 10:25:47  profilanswer
 

foutre de a écrit :


ça fait du bien d'entendre du latin. En MP je discute avec rahsaan de la correction de certaines déclinaisons dans des expressions latines usuelles à la forme passive. Tout cela est revigorant au possible...


 

foutre de a écrit :


 
j'espère avoir une réponse parce que j'ai remarqué ces derniers temps que qd je pose une question, on fait beaucoup d'effort pour répondre à côté. Va certainement falloir en bon prof que je fus que je travaille plus sur la reformulation (c'est ça qui sauve à l'oral de philo : formuler une question jusqu'à ce que l'élève la comprenne, sinon, comment voulez-vous qu'il reponde sans comprendre ce qu'on attend de lui... un ami me racontait une bonne anecdote sur une question cartésienne de "étendu/pensant" à son oral ; témoignage saisissant - au sens mystique du terme :sol: )


quelle etait ta question? :p


---------------
"la pensée de l'être est le souci porté à l'usage de la langue" Heidegger
mood
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Posté le 01-09-2007 à 10:25:47  profilanswer
 

n°12567970
foutre de
Posté le 01-09-2007 à 10:28:52  profilanswer
 

je parlais des questions à syllva. je peux publier une troisième fois mon post, mais je risque d'être traité en trolleur

 


http://www.couic.net/modo.gif

 

:D :D :D :D

Message cité 1 fois
Message édité par foutre de le 01-09-2007 à 10:30:09

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« Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement »
n°12568003
alcyon36
Posté le 01-09-2007 à 10:41:25  profilanswer
 

foutre de a écrit :

je parlais des questions à syllva. je peux publier une troisième fois mon post, mais je risque d'être traité en trolleur
 
 
http://www.couic.net/modo.gif
 
 :D :D :D :D


 :lol:


---------------
"la pensée de l'être est le souci porté à l'usage de la langue" Heidegger
n°12569046
foutre de
Posté le 01-09-2007 à 14:19:43  profilanswer
 

http://johnftp.free.fr/imfor/TT.gif


---------------
« Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement »
n°12569273
sylvva
Posté le 01-09-2007 à 15:16:53  profilanswer
 


 
au F 2 prof ( pensant étendu, lacune de descartes )
 
 
1. "je comprends mal la démarche. d'ailleurs, la grégarité, c'est un concept nietzschéen non? C'est une sorte de reproche nietzschéen que tu lances ?"
 
- oui, il m'a semblé voir dans certaines réactions une constitution en troupeau,
  à cause de la peur de l'autre sexe
 
  j'avais donc fait remarquer à Alcyon que je le trouvait assez intelligent  
  pour ne pas se sentir obligé de s'excuser d' " avoir pollué le topic"
  en discutant avec moi
 
  ( il ne s'agissait donc pas de lui reprocher d'être poli envers le groupe )
 
2. " je ne vous ai pas vue sensible à l'égalité des revendications"
 
plusieurs réponses, fonction du sens de vos propos :
 
- si j'ai cité des textes réglementaires c'était pas dans une perspective   féministe, mais juste pour les rappeler,
   
- je ne comptais pas discuter de la discrimination en général, que je rejette,
  au nom de la dignité de la personne, cela me paraissait aller de soi,
 
- si je n'ai rien revendiqué pour les hommes c'est que je ne m'autorise pas à parler à   la place d'autrui
 
- si j'ai jeté quelques mots du tac au tac c'était de bonne guerre, jusqu'au moment      où de l'autre côté se sont avérées de graves carences éducatives, et dans ces cas  
  il est nécessaire de rappeler la loi
 
3. " C'est pourquoi je veux bien être disqualifié "
 
- je pense avoir raison de vous considérer disqualifié, dans cette posture,
  étant donné que vous n'y avez point vu de discrimination  
  ( peut-être n'y avez vous pas suffisamment réfléchi )
 
 
4. " c'est un gage de qualité pour nos échanges que vous ne vous adressiez jamais à ma    personne "
 
-  en effet, dans une discussion de principe on ne s'adresse pas à une personne
   particulière,
   personnellement, j'entends m'y adresser encore moins quand elle n'est pas              respectueuse  
 
5. " mais ces liens indiquent-ils autre chose que ce que Ricoeur ou Laruelle ont          décrit..."  
  " en tant que questions, elles n'affirmaient rien quant à l'article..."
 
- explicité ainsi, je comprends que j'ai mal interprété votre réponse, vous admettrez
  que la confusion était possible,
  par ailleurs, la rapidité d'une pensée ne me semble pas être gage de sa pertinence
 
 
6. " en quoi une pensée qui s'appuie sur les neurosciences (vos arguments contre le   dernier livre de Fr. laruelle dont je doute que vous ayez lu le contenu, même si vos   critiques ne sont pas injustifiées, il va sans dire...) échappe-t-elle au   positivisme et à la mathématisation du réel qui lui sert de réalisation argumentaire   (ce que vous appelez la "vérification logique ou empirique" )?
il me semble que la lecture d'ailleurs est une expérience empirique où l'on peut   vérifier (mais non pas mesurer mathématiquement, c'est vrai) le fonctionnement de la   métaphore. "
 
remarques :
 
- c'est vrai, je n'ai pas lu ce dernier livre, je m'en suis rapportée à la présentation de l'éditeur, peut-être ai-je eu tort...
 
- en évoquant les neurosciences et leur capacité récente à mesurer les réseaux de  neurones je ne comptais pas argumenter précisément contre ce livre mais contre l'idée exprimée sur le forum ONPHI :
 
  http://www.onphi.org/forums/forum- [...] puissance-     raison-195.html
 
  par Yves Blanc ( qui, en tant que non-philosophe s'y prononce vraisemblablement  
  sous la supervision de Laruelle ), que l'on ne peut pas mathématiser l'affectif  
  ( et citant, à ce propos, au point 7, H.Zwirn, Les limites de la connaissance,  
  p. 352 :  
 
  « La raison en est que nous ne savons appliquer la science qu’au domaine où elle       est applicable, c’est-à-dire à celui des phénomènes mathématiquement compressibles     qui se laissent engendrer par  des algorithmes. Autrement dit, les seuls phénomènes    que nous considérons comme scientifiques (du ressort de la science) sont ceux-là, à    l’exclusion de l’esthétique, de l’affectif, etc. » )
 
question principale :
 
"en quoi une pensée qui s'appuie sur les neurosciences échappe-t-elle au positivisme..."
 
 
- j'ai du mal à comprendre la question,
  il y a malentendu, je n'ai pas dit cela, je ne vois pas à quoi vous faites allusion
 
- échapper au "positivisme", au mesurable, est une faille pour une science
  ( Popper : nécessité de la réfutabilité, Euclide : " Ce qui est avancé sans preuve  peut être rejeté  
sans preuve " )
 
 
 
"la lecture est une expérience empirique où l'on peut vérifier ( mais non pas  mesurer mathématiquement, c'est vrai ) le fonctionnement de la  métaphore"
 
- on peut vérifier le fonctionnement ? c'est-à-dire ?
  on peut constater juste que la métaphore est présente, mais pas sa pertinence,
  car elle avance sans preuve, elle est interprétation
 
 
7. Laruelle : je ne le connais guère, en fait,  
   et à première vue je n'ai pas trop envie de l'approfondir, car peut-on faire une science, fut-elle "selon",  
   quand on ne peut avancer quoi que ce soit sur son objet ? c'est bien pour cela qu'il est amené à retourner au          
   messianisme
 
 
8. je ne me retire pas derrière des textes, je les ai utilisés pour appuyer mes réponses à tel propos
 
   je ne viens pas ici en tant que porte-parole de MMS, elle est loin d'en avoir  besoin !
 
   le portrait médiocre était juste le reflet de ces regrettables dérives style
   guerre des sexes, sur un topic qui se veut philo, et non pas un jugement global
   ( quoique, vu la joyeuse persistance, cela revêt  l'air d'un syndrome ! )
 
9. me lire :
 
   cela se réduit à peu de choses : dans la pensée occidentale s'affrontent depuis
   l'antiquité deux courants, idéalisme et matérialisme ( sous la forme
   religion/athéisme, et plus récemment phénoménologie (intuition)/positivisme (raison),  
   qui prétendent chacun atteindre la "réalité ultime" (Dieu/matière)
 
   or MMS ( et par là je réponds à Mangue-ouste aussi ), basée sur la physique  quantique, montre que lorsque    
   notre esprit dit connaître le Réel, ce Réel n'est et ne peut être rien d'autre que la manière dont il appréhende  
   ce dit Réel, en d'autres mots sa propre création
 
   autrement dit, quand notre esprit cherche, le résultat de la recherche
   n'est autre que ce qu'il a lui-même créé
 
   cela étant valable tant pour l'intuition que pour la raison,
   
   en fait, l'Objet n'existe pas, il n'y a que notre manière de l'envisager
   
   cela ressort très bien de cette explication :
 
   http://video.google.fr/videoplay?d [...] 4046897581
 
   doc. complémentaire, dans la même problématique :
 
http://64.233.183.104/search?q=cac [...] =firefox-a
 
  bon courage !
 
 
 
   
 
   
 
 
 
 
 
 
   

n°12569287
sylvva
Posté le 01-09-2007 à 15:20:07  profilanswer
 
n°12569526
foutre de
Posté le 01-09-2007 à 16:23:44  profilanswer
 

merci pour ces liens, dès que j'ai 43 minutes, j'écoute cette conférence. Ce qui est curieux c'est que cette femme ait aussi enseigné a reims, et que ses propos consonnent avec ceux d'un autre chercheur rémois, qui tentait de théoriser l'invention, justement, comme Réel. j'en ai déjà parlé auparavant

 

mais par ailleurs, quand vous dites :

sylvva a écrit :

 


7. Laruelle :
   et à première vue je n'ai pas trop envie de l'approfondir, car peut-on faire une science, fut-elle "selon",
   quand on ne peut avancer quoi que ce soit sur son objet ?


je crois qu'il y a malentendu. La non-philosophie n'est pas une science de l'Un, elle est une science de la philosophie comme discours sur le réel, en tout cas prétendant à.
En inspectant le matériau philosophique de fond en comble, laruelle dégage des processus et des syntaxes récurrents, notamment ce qu'il appelle la décision philosophique, la pensée par mixte, la circularité, ou encore le principe de philosophie suffisante.
mais je suis volontiers avec vous pour attendre qu'on en dise un peu plus sur l'Un. Michel Henry me semble à cet endroit plus nourrissant comme lecture.

Message cité 1 fois
Message édité par foutre de le 01-09-2007 à 16:25:34

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« Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement »
n°12570549
alcyon36
Posté le 01-09-2007 à 19:17:38  profilanswer
 

sylvva a écrit :


 
 
 
- en évoquant les neurosciences et leur capacité récente à mesurer les réseaux de  neurones je ne comptais pas argumenter précisément contre ce livre mais contre l'idée exprimée sur le forum ONPHI :
 
  http://www.onphi.org/forums/forum- [...] puissance-     raison-195.html
 
  par Yves Blanc ( qui, en tant que non-philosophe s'y prononce vraisemblablement  
  sous la supervision de Laruelle ), que l'on ne peut pas mathématiser l'affectif  
  ( et citant, à ce propos, au point 7, H.Zwirn, Les limites de la connaissance,  
  p. 352 :  


c'est loin d'être evident, Blanc n'est qu'un correspondant de l'Onphi, pas sur qu'il ai publié sous la direction de Laruelle....


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"la pensée de l'être est le souci porté à l'usage de la langue" Heidegger
n°12572397
foutre de
Posté le 01-09-2007 à 22:30:26  profilanswer
 

oui, d'autant que ce n'est pas une publication mais vraisemblablement un propos de forum.
cela étant, le texte est d'une bonne facture, assez agréable à lire. pas trop viscéral, en tout cas, c'est sûr

 

quemqu'un connaît ce Zwirm dont le nom revient ?


Message édité par foutre de le 01-09-2007 à 22:32:42

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« Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement »
n°12573035
Ache
immatriculé-conception
Posté le 01-09-2007 à 23:57:15  profilanswer
 

C'est Hervé Zwirn.


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Parcours étrange
n°12573936
foutre de
Posté le 02-09-2007 à 09:31:39  profilanswer
 

impressionnant parcours (:D). ce qu'on peut se sentir amateur qd on lit "logique non monotone"


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« Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement »
n°12575331
foutre de
Posté le 02-09-2007 à 14:41:18  profilanswer
 

bon alcyon36, comme il faut faire absolument ton éducation en country et autre folkeries outre-atlantiste, voici d'abord :

 

http://youtube.com/watch?v=yr-ew5j [...] ed&search=

   

et, uniquement si tu en redemandes :

 


http://www.primus.be/img/primus8spot6.jpg

  

PLEIN ECRAN BIEN SUR


Message édité par foutre de le 02-09-2007 à 14:42:10

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« Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement »
n°12576003
foutre de
Posté le 02-09-2007 à 16:31:20  profilanswer
 

sylvva a écrit :


 
 
"la lecture est une expérience empirique où l'on peut vérifier ( mais non pas  mesurer mathématiquement, c'est vrai) le fonctionnement de la  métaphore"
 
- on peut vérifier le fonctionnement ? c'est-à-dire ?
  on peut constater juste que la métaphore est présente, mais pas sa pertinence,
  car elle avance sans preuve, elle est interprétation


je crains qu'elle ne soit bien pire que ça. mais peut-être retomberions-nous dans ce que vous semblez repousser comme intuitionisme phénoménologique confirmant dieu


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« Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement »
n°12576025
neojousous
Posté le 02-09-2007 à 16:35:58  profilanswer
 

Pire dans quel sens ?

n°12576929
foutre de
Posté le 02-09-2007 à 18:56:08  profilanswer
 

la métaphore est interprétation (dans la mesure où on accepte cette très abrégée definition qui en est donnée comme "avancée sans preuve", bref "hypothèse au milieu des symboles" ; mais toute autre définition de l'interprétation, comme "herméneutique", comme "traduction" aussi, voire comme "analyse" également, conviendrait à la métaphore, dans la mesure ou métaphore et interprétation sont liées depuis des éons, voire des lustres), mais elle n'est interprétation que du point de vue d'un lecteur qui la reçoit (dans la lecture d'un texte), dans une topologie linguistique avec shéma fonctionnel de type jakobsonien.
Je suis devant un texte, un énoncé, j'entends une parole qui seconde d'un écart l'usage d'un concept attribut ("feu" pour 'colère'...).
si la  métaphore est in absentia l'interprétation commence. si c'est une métaphore in praesentia, les deux éléments ("le comparé" et le "comparant" disent-il (je suppose que sylvva connaît comme étudiante de lettres, non ?)) sont donnés : foin d'interprétation et de tatônnement identificatoire (d'où vient ce concept impromptu ?), le lecteur n'a qu'à jouir dans l'appréciation de la distance (cf.les préconisations d'écriture des surréalistes) entre les deux, et du camaïeu sémantique qui en résulte, jouissance de coloriste et de musicien.

 

Si interprétation il doit y avoir, c'est parti pour une quête d'origine, bref le manque, comme identité à déceler, recontituer.
dire que c'est un processus sans preuve est relativement faux.
 "relativement" justement parce que la pertinence d'une métaphore s'appuie uniquement sur des procédures empiristes, donc relatives par définition.
mais Toute interprétation se vérifie dans le champ lexical et sémantique environnant, par la cohérence imaginaire de l'écriture du texte, par création d'un réseau interne au texte de renvois rimés, non pas sonores, mais dans le sens même, ou l'étymologie des mots, miroitement décrivait mallarmé.
il y a un cursus de démonstration pour l'interprétation qui correspond à une évaluation, à un jugement de type argumentaire, par rapport à un usage historique du langage (telle langue, ou bien le comparatisme, ou encore la tentative transhistorique de percevoir des mécanismes généraux ou fondamentaux translinguistiques (Lacan, Wittgenstein)). Un critère de mesure peut-être utilisé en éminence, rareté historique par exemple (la terre est bleue comme une orange), type de syntaxe dans laquelle la métaphore s'actualise (elle se réduit rarement à l'attribution typique par l'usage d'un verbe d'état, en français par exemple) ; mais le plus souvent l'usage empiriste repose plutôt sur des échelles, des agencements et des typologies (dictionnaires des tropes, etc...), bref sur la multiplicité comparative.
la pertinence, si alors c'est un des critères, devra dessiner son horizon perspectiviste de justesse.
là on voit la nécessité qu'un concept précède l'opération d'interprétation, ou un champ conceptuel, qui fait droit, et sanction.

 


Mais la métaphore comme interprétattion n'est que celle du lecteur, c'est à dire le point de vue sur la métaphore d'une région particulière de sa réalité.
daumal, qui a largement participé à la diffusion de la littérature indienne sanscrite (en écrivant lui même sa grammaire du sanscrit et en traduisant de nombreux textes de poésie hindouiste), expliquait tout d'abord qu'un poème est l'enfant de deux actes psychosociaux, "écrire" et "lire", qui étaient inséparable pour comprendre la structure même de l'évènement.
il est curieux qu'il rapporte dans ses travaux la configuration inattendue de la métaphore en sanscrit : elle fait usage d'une particule de négation :
par exemple "le feu de ma colère", donnera à peu près " non-colère mon feu".
- on voit qu'outre la négation inhabituelle en français (sauf dans "non-philosophie", bien sûr  :D  :lol:  :D  :lol:  :lol:  :D , puisqu'elle se donne explicitement de suspendre le sens de la philosophie, mais sans en faire un transport vers un deuxième terme, sans binarité, sans "sorti" ), la formule recourt également à l'apposition pour s'exprimer dans notre langue (Il y aurait ici à prendre en considération cette conceptualisation de l'apposition que propose Krisis 2, dont baptiste R à rendu compte il y a déjà qq mois)

 


si donc nous n'écartons pas, par un geste de régionalisation ambigu, qui fonctionne comme une scotomisation partielle de l'opération qu'est la métaphore, si nous n'écartons pas tout le pôle "écriture", "production"... "profération" (jaculatoire au sens qui est le sien :sol: ), pour ne garder que le regard consommateur du lecteur, qui objective le texte en champ de symboles à déchiffrer selon telle ou telle grille pour y stabiliser sa compréhension et son jugement, si au contraire nous considérons chacun des aspects du geste linguistique, donc culturel et intersubjectif de part en part, en quoi elle consiste, la métaphore apparaît bien plus profonde qu'un geste d'interprétation, et pourait-on dire de décodage (car le code dont on use, et qu'on cherche à démontrer autant qu'il sert à démontrer la métaphore (entrelacement et rétroaction de la pertinence empirique), ce code est tout aussi bien un fantasme que le message que l'interprétation cherche à décoder, et l'action qu'elle prétend d'encodage qui aurait coïncidée avec l'émission de la métaphore dans le discours n'est pas moins fantasme non plus, c'est-à-dire lieu de projection, ou fantasme d'un tel lieu ; ce que j'ai dit : manque).

 

Du point de vue de l'émission de la métaphore, c'est l'acte d'invention qui prime, invention qui est intuition, écriture automatisée passive, ou encore soumise à procédé mécanique expérimental de production (par exemple informatique avec J-P Balpe ou d'autres (d'ailleurs plus ou moins bien réussi, jugez par vous même), plus simplement à structure oulipienne), et cela sous contraires multiples (Valery) ou sous la seule contrainte de la liberté la plus totale d'émission (Roche).
si l'usage veut qu'on s'attache usuellement aux "méta" de la métaphore (qui vont par deux et dont on fait chacun le miroir de l'autre); on peut cependant se pencher sur son "phorein", sa partie mouvante, de "transport". il se joue à cet endroit un jeu sans preuve ni interprétation préalable, dans l'avancée de l'émission verbale, l'essai hasardeux d'un agencement de sens dans la profération fluante. le langage glisse sur quelque chose en ne programmant plus sa marche vers le développement d'un concept préalable, elle n'est plus codage, mais fantaisie passive s'aventurant dans la possibilité de produire.
inventer alors se dégage de l'acte métaphorique, invention qui précède non seulement chronologiquement, mais qui préstructure de part en part la possibilité même d'interpréter, dans le sens où elle est l'ouverture d'un contrat de lecture qui démultiplie les possibilités (lire "puissances" ) de la lecture en ouvrant sous chaque concept le fond multiple (ou la trappe, aussi bien) de sa circulation non linéaire vers un autre.

 

comme rahsaan l'évoquait, le sens ne se dit pas de l'évènement, parce que l'évènement c'est le sens lui-même. la métaphore repose sur un entre-saisissement intersubjectif de la sémantique, un pas aventureux dans une vibration qui anime les enchaînements verbaux. La contemplation du spectacle de son apparition, le rythme, les tonalités spécifiques de son émission, l'intuition sémantique masquée qu'elle implique sont autant des possibilités qu'elle offre, outre l'interprétation.
la métaphore ne relève de procédures judicatives de vérifications que pour une part étroite de ce qu'elle met en jeu.
 
la question de sa pertinence (de sa vérité ?) écarte l'expérimentation foncière dont elle relève (un peu comme la production de particules instables dans les accélérateurs de la physique). Comme tout ce qui relève de l'art (et non de la raison épistémogène), telles la politique, la médecine, la parentalité,..., la métaphore fonctionne au risque et aucun concept ne précède son appréhension, ni par l'émetteur, ni par le récepteur. En tant qu'invention, elle relève de quelque chose de plus insurrectionnel (et intime sémantiquement) que la simple interprétation.

 

C'est en ce sens qu'elle est bien pire, bien pire encore que ce qui ne permet pas qu'on prouve sa pertinence


Message édité par foutre de le 04-09-2007 à 20:42:49

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« Une force presque nulle est une force presque infinie dès lors qu'elle est rigoureusement étrangère au système qu'elle met en mouvement »
n°12579690
sylvva
Posté le 03-09-2007 à 00:20:16  profilanswer
 

Alcyon
 
 1. "il n'y a pas de sens que le juge serait susceptible de saisir à une norme,  
sa mission est d'appliquer cette norme "
 
 
- oui, sa mission est d'appliquer la norme, mais tu conviendras qu'appliquer une norme ne peut pas se faire correctement sans en avoir saisi au préalable le sens
 
 
2. " tu n'as pas saisi ma référence ( plutôt que de faire la maline )..."
 
- en quoi je " fais la maline" ?
 
3. " le sens c'est la norme, ... le sens ne preexiste pas à l'interpretation qu'en donne l'organe competent pour l'interpreter..."
 
- si par cela tu veux dire :  
 
une norme et son bien fondé sont établis par l'autorité qui légifère,
la norme, pour demeurer claire, doit être concise, et donc ne peut pas contenir tous les cas particuliers, elle énonce les règles générales
d'où la nécessité de déléguer un organe compétent, le juge, auquel on confie le soin de son interprétation dans tel cas particulier
 
je suis d'accord
 
 
4. "Au-C-toritas non veritas facit jus." ( permets-moi ce petit rappel )
 
 
 
5.  " je vois mal comment tu pourrais nous montrer que l'insulte est sexiste"
 
le sexisme ressort de cela :
 
- le monsieur déboule sur le forum dans une sorte d'emportement furieux,
alors qu'on n'avait jamais échangé auparavent,
- s'adressant à moi par le terme de jeune fille,
alors qu'il ne peut pas savoir l'âge que j'ai,
- et me traitant de laide( on comprend que le point d'interrogation mis entre parenthèse est une figure rhétorique, il exprime donc une affirmation )  
alors qu'il ne me connaît pas,
- pour lancer ensuite des menaces en termes de botter le cul
 
ceci posé,  
- il enchaîne par le mépris : je suis tellement bête qu' en fin de compte ce n'est même pas la peine qu'il m'explique la vraie philosophie,
- et finit par l' ostracisme : de par ma bêtise je suis barbare et damnée pour l'éternité !
 
le fait que le discours soit parsemé de références philosophiques ne saurait occulter  
sa trame, dont on peut remarquer la cohérence, ni son but immanent : m'anéantir en tant que jeune fille bête et laide
 
 
 
( nota : tout cela sous couvert de posture nietzschéenne...
eh bien, la culture, qu'il prétend défendre, se dispensera bien de pareilles défenses !
 
on a ici un cas patent d'imposture morale, de ceux qui rappellent le mot de Montaigne :
 
" ce sont choses que j'ai toujours vues de singulier accord : les opinions super-célestes et les moeurs sousterraines.  "  
 
et en l'occurence, d'imposture philosophique,  
car la philosophie demande, en premier lieu, décentrement de ce qui est pulsion
 
pour ces cas on devrait introduire un concept spécifique
( à bien y réfléchir, celui de pholosophe pourrait faire l'affaire... )
 
6. " c'est la même chose pour ta chanson...tu as beau jeu de parler de prejugés, vu que ta remarque reposait egalement sur un prejugé"
 
 - tu conviendras que si quelqu'un juge par préjugé dans tel cas particulier,
 cela n'est aucunement une preuve qu'il juge de cette manière à chaque fois
 
7. " j'adore que l'on me prenne pour un abruti...merci de m'expliquer que des disciples (confreres) soutiennent et defendent leurs maitre"
 
- lis plutôt ceci :
 
" c'est marrant de taper sur Laruelle, alors que tu mets toi même en ligne des  
textes de certains non-philosophe, qui voient en lui tout sauf un sombre cretin..."
 
j'avais répondu : il est évident que ses confrères le soutiennent, j'ai mis
ces textes en ligne pour info ( sousentendu logique : " et non pas parce que
je suis d'accord avec ces textes " )
 
alors, permets que je te retourne la remarque : merci de me prendre pour une abrutie alors  
que je donne une réponse pertinente, tu ferais bien de mieux lire
 
8. " ce texte tu nous l'as envoyé pour info? "
 
j'ai dit : " si vous n'êtes pas convaincus ( sousentendu : que l'on ne peut plus en rester à la problématique classique du rapport sujet/objet ) prenez , du moins, du neuf ( sousentendu : dans cette vision classique ), chez Mandrake "
 
oui, c'était pour info
mais je ne vois pas en quoi cette invitation indique que j'approuve ou trouve intéressant quoi que ce soit
 
moralité :    :pt1cable:  
tes remarques sont de vrais casse-tête, il faut aimer hénaurrmément l'humanité pour les laisser sans réponses  :)  
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
F 2
 
formidable, le Joel, non ?!
cela m'a beaucoup fait rire, merci
 
mais  je me demande si votre allusion à l'éducation, d'un humour auquel on ne peut pas
ne pas sourire, est innocente ou sousterraine ( voir infra, Montaigne ) ...
 
car vous n'êtes pas, j'en suis certaine, sans ignorer à qui vous l'adressez
et donc, quel peut en être le résultat
 
quoi qu'il en soit, je répondrai
 
Alcyon

n°12579736
sylvva
Posté le 03-09-2007 à 00:30:05  profilanswer
 


errata :
 
1. "pour les laisser sans réponse" : lire " pour ne pas les laisser sans réponse"  
( oups,  lapsus ! )
 
2. a/ "infra" : lire "supra"
    b/ "Alcyon" : ignorer   ( ma foi, on dit que le hasard... :bounce:  )

n°12579828
sylvva
Posté le 03-09-2007 à 00:59:10  profilanswer
 


F 2
 
 
comme dit,  l'(ex-)étudiante de lettres répond,
 
( elle n'en veut plus à personne, vu qu' errare, et a fortiori ejaculari, humanum...  :lol:  )
 
jolie, la démo sur la métaphore...
 
( en plus, j'ai tout compris, n'en déplaise à certains )
 
à vous suivre, elle n'est pas interprétation, elle est quelque chose d'autre  
que  mécanisme de codage, elle est surgissement, sens
 
je veux bien,
 
cependant, métaphore il y a quand la relation entre les mots sousentend une comparaison,
dixit Laroussus : " la fleur des ans" = la jeunesse comme l'arbre qui est en fleur
 
quid alors de la fantaisie passive, du pas aventureux ?
 
parlons-nous de la même chose ?
y a-t-il un autre sens du mot "métaphore"
 
nota : dans le surgissement dont vous parlez, "méta" a bien sa place :
 = transporter au-delà du codage
 
 ( na !)

n°12580250
alcyon36
Posté le 03-09-2007 à 02:07:35  profilanswer
 

sylvva a écrit :

Alcyon

 

1. "il n'y a pas de sens que le juge serait susceptible de saisir à une norme,
sa mission est d'appliquer cette norme "

 


- oui, sa mission est d'appliquer la norme, mais tu conviendras qu'appliquer une norme ne peut pas se faire correctement sans en avoir saisi au préalable le sens

 


2. " tu n'as pas saisi ma référence ( plutôt que de faire la maline )..."

 

- en quoi je " fais la maline" ?

 

3. " le sens c'est la norme, ... le sens ne preexiste pas à l'interpretation qu'en donne l'organe competent pour l'interpreter..."

 

- si par cela tu veux dire :

 

une norme et son bien fondé sont établis par l'autorité qui légifère,
la norme, pour demeurer claire, doit être concise, et donc ne peut pas contenir tous les cas particuliers, elle énonce les règles générales
d'où la nécessité de déléguer un organe compétent, le juge, auquel on confie le soin de son interprétation dans tel cas particulier

 

je suis d'accord

 


4. "Au-C-toritas non veritas facit jus." ( permets-moi ce petit rappel )

  

5.  " je vois mal comment tu pourrais nous montrer que l'insulte est sexiste"

 

le sexisme ressort de cela :

 

- le monsieur déboule sur le forum dans une sorte d'emportement furieux,
alors qu'on n'avait jamais échangé auparavent,
- s'adressant à moi par le terme de jeune fille,
alors qu'il ne peut pas savoir l'âge que j'ai,
- et me traitant de laide( on comprend que le point d'interrogation mis entre parenthèse est une figure rhétorique, il exprime donc une affirmation )
alors qu'il ne me connaît pas,
- pour lancer ensuite des menaces en termes de botter le cul

 

ceci posé,
- il enchaîne par le mépris : je suis tellement bête qu' en fin de compte ce n'est même pas la peine qu'il m'explique la vraie philosophie,
- et finit par l' ostracisme : de par ma bêtise je suis barbare et damnée pour l'éternité !

 

le fait que le discours soit parsemé de références philosophiques ne saurait occulter
sa trame, dont on peut remarquer la cohérence, ni son but immanent : m'anéantir en tant que jeune fille bête et laide

  

( nota : tout cela sous couvert de posture nietzschéenne...
eh bien, la culture, qu'il prétend défendre, se dispensera bien de pareilles défenses !

 

on a ici un cas patent d'imposture morale, de ceux qui rappellent le mot de Montaigne :

 

" ce sont choses que j'ai toujours vues de singulier accord : les opinions super-célestes et les moeurs sousterraines.  "

 

et en l'occurence, d'imposture philosophique,
car la philosophie demande, en premier lieu, décentrement de ce qui est pulsion

 

pour ces cas on devrait introduire un concept spécifique
( à bien y réfléchir, celui de pholosophe pourrait faire l'affaire... )

 

6. " c'est la même chose pour ta chanson...tu as beau jeu de parler de prejugés, vu que ta remarque reposait egalement sur un prejugé"

 

- tu conviendras que si quelqu'un juge par préjugé dans tel cas particulier,
 cela n'est aucunement une preuve qu'il juge de cette manière à chaque fois

 

7. " j'adore que l'on me prenne pour un abruti...merci de m'expliquer que des disciples (confreres) soutiennent et defendent leurs maitre"

 

- lis plutôt ceci :

 

" c'est marrant de taper sur Laruelle, alors que tu mets toi même en ligne des
textes de certains non-philosophe, qui voient en lui tout sauf un sombre cretin..."

 

j'avais répondu : il est évident que ses confrères le soutiennent, j'ai mis
ces textes en ligne pour info ( sousentendu logique : " et non pas parce que
je suis d'accord avec ces textes " )

 

alors, permets que je te retourne la remarque : merci de me prendre pour une abrutie alors
que je donne une réponse pertinente, tu ferais bien de mieux lire

 

8. " ce texte tu nous l'as envoyé pour info? "

 

j'ai dit : " si vous n'êtes pas convaincus ( sousentendu : que l'on ne peut plus en rester à la problématique classique du rapport sujet/objet ) prenez , du moins, du neuf ( sousentendu : dans cette vision classique ), chez Mandrake "

 

oui, c'était pour info
mais je ne vois pas en quoi cette invitation indique que j'approuve ou trouve intéressant quoi que ce soit

 

moralité :    :pt1cable:
tes remarques sont de vrais casse-tête, il faut aimer hénaurrmément l'humanité pour les laisser sans réponses  :)

 



 

1. bon pr AC je suis à peu pres d'accord avec tout ce que tu dis...là dessus vraiment pas de probleme...sauf que je ne vois toujours pas en quoi son interbvention est sexiste, ta demonstration ne fais que me prouver que c kk1 de suffisant, insultant, meprisant...enfin tout plein de qualificatif...mais pour le sexisme je maintiens, il aurait pu exactement tenir les memes propos pour un homme, dailleurs si tu regardes sur le forum, il a dejà attaqué des "jeunes hommes" de cette facon...qu'il adapte sa bassesse à une femme je veux bien, mais en rien ca ne veut dire que c'est le fait que tu sois une femme qui ai motivé son attaque...et dans tout ce que tu dis, je pense que toute personne lisant ton post pourra le constater, il n'y a aucun element qui permette de le dire...enfin, passons, caa me saoule de parler de l'AC(puis, perso j'ai surement bcp moin de culure que toi, mais meme si il repond souvent à côté, j'apprends pas mal de conneries ds ses posts)...

 

2.pour les prejugés, je n'ai jamais dis le contraire;)

 

3. pour le droit...

Citation :

il n'y a pas de sens que le juge serait susceptible de saisir à une norme,
sa mission est d'appliquer cette norme "


d'abord je n'ai jamais dit ca...donc ne le met pas entre guillemet, on pourrait croire que tu me cites..pour eviter les malentendu...;)ce que je veux dire c'est justement que le juge n'applique aucune norme, mais cree la norme, ou en tout cas l'organe qui est competent pour interpreter le texte.
donc visiblement je ne suis pas clair...je veux dire qu'à la lettre qu'en droit il y a deux types d'interpretation.
l'interpretation scientifique, celle de la doctrine, de la dogmatik juridik, des commentateurs du monde judiciare.... et il y a l'interpretation authentik, celle que donne l'organe competent pour interpreter l'enoncé.
la question qui se pose dans une theorie generale du droit, c'est de savoir si l'interpretation de cet organe, que ce soit un juge, une cour, le president de la rep...est un acte de connaissance ou un acte de volonté.
Par acte de connaissance il faut comprendre que l'interpetation "indique" la signification d'une chose, et par acte de volonté que l'interpretation "determine" la signification d'une chose.
Ce qui caracterise l'interpetation juridique, c'est justement que c'est un acte de volonté...en l'espece l'interpetation authentik n'est pas susceptible d'être fausse, incorrecte ou je ne sais quoi...il n'y a aucun "sens" ou "signification" objective ou prealable qui pourrait lui être opposé...bref pour mettre les pieds ds le plats, l'interpretation juridique est une decision arbitraire ayant lieu dans un reseau de contraintes et de determinismes...(je reviendrai sur tout ce probleme du droit et de la theorie realiste de l'interpretation dans quelques mois, des que j'ai le tps je posterai un bo petit pavé bien de chez nous, en forme d'hommage à ce cher Michel Troper))

 

4. pour mandrake, dsl c'est moi ki ai mal compris... je ne parlais pas de ta reference au texte sur la non-philosophie(j'avais bien compris que tu le citais pour qu'on puisse se rendre compte par nous-même) mais au texte sur Mandrake(mais j'avoue, j'ai oublie de le preciser, donc la faute m'en incombe).
je trouvais juste drôle que tu nous renvoies à des textes de non-philosophes...au moin ca montre que tu lis de tout;)
donc je te l'accorde, une de mes remarque etait un vrai casse-tête :p

 



Message édité par alcyon36 le 03-09-2007 à 02:10:59

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"la pensée de l'être est le souci porté à l'usage de la langue" Heidegger
n°12580265
alcyon36
Posté le 03-09-2007 à 02:12:02  profilanswer
 

sylvva a écrit :


F 2
 
( en plus, j'ai tout compris, n'en déplaise à certains )
 


ha, ba yen a ki ont de la chance :lol:


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"la pensée de l'être est le souci porté à l'usage de la langue" Heidegger
n°12580351
sylvva
Posté le 03-09-2007 à 03:49:31  profilanswer
 

foutre de a écrit :

Ce qui est curieux c'est que cette femme ait aussi enseigné a reims, et que ses propos consonnent avec ceux d'un autre chercheur rémois, qui tentait de théoriser l'invention, justement, comme Réel.


 
ce n'est pas curieux, l'invention dit justement que le nom de Réel doit être conféré
non pas à ce que décrit la science, mais à la manière dont notre esprit perçoit ce qui l'entoure  
 
et cela ( c'est-à-dire le fait que l'on doit appeler Réel cette manière ), parce que nous n'avons jamais de contact autre que par notre psychisme  ( sensations, perceptions, pensées, raisonnements ) avec ce qui nous entoure
 
ce que nous avons l'impression de découvrir dans l'objet n'appartient pas à l'objet,
il n'est qu'une création dûe à notre esprit
 
( cela ne veut bien sûr pas dire que l'objet n'existe point ! )
 
ce que nous découvrons est, en fait, ce que nous créons
 
Réel n'est pas l'Objet, mais notre esprit et la manière dont il le perçoit et le conçoit
 
on peut répliquer : et alors ? qu'est-ce que cela change ?
 
cela change que nous ne pouvons plus dire de telle chose qu'elle est vraie,  
parce qu'un autre esprit peu très bien la concevoir comme vraie :  
 
- vous, par exemple, vous ne pourrez pas dire que le monde est chaos,  
parce que Mère Thérésa dit qu'il est ordonné par Dieu,  
 
et vice-versa !!   :lol:  
 
ce qui me semble bon dans l'histoire est qu'on peut enfin infliger un pan sur le bec
à toute prétention d'une croyance à la prééminence sur l'autre
 
du fait que l'on ne peut pas identifier, localiser ni mesurer les supposées particules élémentaires,
( qu'on ne connait qu'en théorie ) on ne peut pas prétendre décrire la Réalité
 
plus d'infos ici :
 
http://denis-collin.viabloga.com/n [...] physique-i
 
 
 

n°12580374
sylvva
Posté le 03-09-2007 à 04:26:41  profilanswer
 

alcyon36 a écrit :


ha, ba yen a ki ont de la chance :lol:


 
ne pleure pas, tu n'as rien perdu, je t'assure

n°12580378
sylvva
Posté le 03-09-2007 à 04:28:34  profilanswer
 


 
 
F 2
 
quelques questions :
 
 
1. " Nietzsche, qui a le premier en occident exploré les conséquences de ce qu'il a appelé la mort de Dieu, n'a pas été cependant épargné, dans son exploration, d'expériences proches de la mystique"  
 
- il n'a surtout pas été épargné de la folie
 
Lucrèce, dont il se voulait disciple, s'est donné la mort
 
alors, un croyant, un vrai, on va dire, pourquoi ferait-il sourire ?
sa vie n'est-elle mille fois plus enviable que celle de l'athée,
amené à affronter la folie ?
 
évidemment, une fois qu'on a vu le chaos, on ne peut plus faire marche-arrière,
et c'est tout le problème...
 
 
2. en tant qu'athée, qu'est-ce qui vous dissuade de mal agir envers autrui ?
 
la peur de la répression ?
 
 
3. qu'est-ce que "bien pire" que pourrait révéler la métaphore ?
 
qu'au-delà de l'apparente rationalité et logique du langage
se trouve une immense irrationalité ?
 
que Dieu et le Diable existent bel et bien et s'affrontent
par notre intermédiaire ?
 
4. " les croyants qui s'annihilent jusqu'à la bêtise dans leur expérience intime
que dieu est en eux "
 
- vous ne croyez pas qu'il puisse exister un état de conscience dans lequel
se produit comme une fusion du sujet et de l'objet, ressentie
comme un inexprimable bonheur, la dite béatitude des saints ?
 
5. imaginons la science ( ou la philo ) comme un oeil, et que cet oeil
regarde une maison et fait l'inventaire de ce qu'il voit
 
il peut voir beaucoup de choses, mais il ne peut pas se voir lui-même
 
ce que prétend la non-philo de Laruelle ( que je ne connais pas )
est de voir cet oeil ?
 
 
 

n°12580386
alcyon36
Posté le 03-09-2007 à 04:48:17  profilanswer
 

sylvva a écrit :

 

2. en tant qu'athée, qu'est-ce qui vous dissuade de mal agir envers autrui ?

 

la peur de la répression ?

 



malheurese, ques dis tu...rien ne dissuade Foutre de mal agir envers autrui...n'as tu donc jamais lu un de ces jeux de mots? Pour sur c'est une des plus monstrueuse offense à la dignité de l'homme qu'il m'ait ete donné de voir.... :D  :lol:


Message édité par alcyon36 le 03-09-2007 à 04:50:48

---------------
"la pensée de l'être est le souci porté à l'usage de la langue" Heidegger
n°12580387
alcyon36
Posté le 03-09-2007 à 04:49:30  profilanswer
 

sylvva a écrit :


 
2. en tant qu'athée, qu'est-ce qui vous dissuade de mal agir envers autrui ?
 
la peur de la répression ?
 


malheurese, ques dis tu...rien ne dissuades Foutre de mal agir envers autrui...n'as tu donc jamais lu un de ces jeux de mots? Pour sur c'est une des plus monstrueuse offense à la dignité de l'homme qu'il m'ait ete donné de voir.... :D  :lol:


---------------
"la pensée de l'être est le souci porté à l'usage de la langue" Heidegger
n°12580401
sylvva
Posté le 03-09-2007 à 05:09:51  profilanswer
 

Alcyon
 
1. ok pour les guillemets, ai-je vraiment dénaturé tes propos ? je pensais les avoir explicités
 
2. "en rien ca ne veut dire que c'est le fait que tu sois une femme qui ai motivé son attaque..."
 
cela, seul un juge peut le décider...
 
comme je pense porter  plainte , je ne manquerai pas de t'inviter à l'audience  
 
si le verdict sera : " relaxe", tu  :bounce: jusqu' au plafond !!
s'il sera : "coupable", tu diras que, de toute manière, une décision juridique est arbitraire  
( = "aux dépens de la raison)  !! :D  
 
( imagine donc comment  je me réjouirai d'apprendre le droit à tes lumières !  :D  )
 
plus sérieusement, je pense que par "arbitraire" tu comprends ici "autorité qui n'a d'autre fondement que le bon vouloir de celui qui l'exerce"
et non pas : "qui dépend de la seule volonté, souvent aux dépens de la justice "
 
3. "  je te l'accorde, une de mes remarque etait un vrai casse-tête "
 
pas bien grave, quand on est un supergentil Alcyon finalement pas si machiste on se fait tout pardonner !  :love:  
 
4.  et tu auras plus, ça :   :love:    :love:  
si dans le superpâté tu pourras m'expliquer s'il est juste que certains possèdent des fortunes
colossales et que d'autres crèvent la dale !   ;)  

n°12580408
sylvva
Posté le 03-09-2007 à 05:20:39  profilanswer
 

alcyon36 a écrit :


malheurese, ques dis tu...rien ne dissuades Foutre de mal agir envers autrui...n'as tu donc jamais lu un de ces jeux de mots? Pour sur c'est une des plus monstrueuse offense à la dignité de l'homme qu'il m'ait ete donné de voir.... :D  :lol:


 
quelque chose me dit que F 2 est aussi malveillant qu'Alcyon est machiste...
 
une intuition féminine, donc, forcément ( tu as deviné ! )  bête   :sol:  
 
mais où est-ce que je peux trouver ses jeux ?  :heink:  

n°12580411
alcyon36
Posté le 03-09-2007 à 05:22:18  profilanswer
 

par arbitraire il faut comprendre qui depend de la seule volonté de celui qui interprete...et ce independement d'un supposé sens qui residerait dans l'enoncé du texte (ou du fait) à interpreter.
ce qui ne veut pas dire que de fait, celui qui interprete n'est pas soumis à des rapports de forces, et des determinismes psychiko-sociologik...
ca ne te semble pas juste? (pas par rapport à la justice, par rapport à ce qu'est l'interpretation juridique en tant qu'elle est juridique)

Message cité 1 fois
Message édité par alcyon36 le 03-09-2007 à 05:27:01

---------------
"la pensée de l'être est le souci porté à l'usage de la langue" Heidegger
n°12580415
alcyon36
Posté le 03-09-2007 à 05:25:57  profilanswer
 

sylvva a écrit :


 
quelque chose me dit que F 2 est aussi malveillant qu'Alcyon est machiste...
 
une intuition féminine, donc, forcément ( tu as deviné ! )  bête   :sol:  
 
mais où est-ce que je peux trouver ses jeux ?  :heink:  


 
ba ca, faut que tu t'amuses à bien lire tout ses post.... yen a pleins cachés.
mon prefere, en fait j'ai un doute, il etait peut etre de Rashaan...c'est celui ci
"je ne suis pas kantien, je suis moderne aussi"...faut quand même avoir vraiment peu foi en l'avenir de l'homme pour oser de tels calembours :lol:  :D


---------------
"la pensée de l'être est le souci porté à l'usage de la langue" Heidegger
n°12580418
sylvva
Posté le 03-09-2007 à 05:28:11  profilanswer
 

alcyon36 a écrit :

par arbitraire il faut comprendre qui depend de la seule volonté de celui qui interprete...ça ne te semble pas juste?


 
si, à condition que le juge ait été bien formé, parce que, malgré les règles d'interprétation, il y a lieu d'admettre des principes supérieurs d'équité, non ?

n°12580419
alcyon36
Posté le 03-09-2007 à 05:28:44  profilanswer
 

youpi, je me prends une semaine de vacance fin septembre...3ans et demi que j'attends ca....;)


---------------
"la pensée de l'être est le souci porté à l'usage de la langue" Heidegger
n°12580425
sylvva
Posté le 03-09-2007 à 05:37:13  profilanswer
 

alcyon36 a écrit :


 
ba ca, faut que tu t'amuses à bien lire tout ses post.... yen a pleins cachés.
mon prefere, en fait j'ai un doute, il etait peut etre de Rashaan...c'est celui ci
"je ne suis pas kantien, je suis moderne aussi"...faut quand même avoir vraiment peu foi en l'avenir de l'homme pour oser de tels calembours :lol:  :D


 
 
 
parce que, être kantien c'est en fait être moderne,
c'est bien cela le sens ?

mood
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