Y'a quelque année quand j'étais à l'IUT, de temps en temps le soir quand j'arrivais pas a dormir mais que j'étais quand meme dans un état semi éendormi je me mettais à écrire tout ce qui me passais par la tete. Alors c'est donc écrit en petit nègre et rien dans ces textes ne mérite l'appelation d'art ou de litterature (heureusement sinon où va le monde), mais j'avais envie de les faire partager
Alors voila y'en a 20, je ne vous livre que les 6 premiers le reste suivra.
(Forcement y'a une perte d'interet par rapport a la version papier puisque vous n'avez pas besoin de dechiffrer )
 
 
FSW n°1  
 
Il est minuit et je commence à écrire n’importe quoi, c’est à dire tout ce qui traverse mon esprit tortueux (ce mot n’a rien à voir avec les tortues que, au passage, j’admire) et torturé (un peu comme la pate brisée par la vie). Ne vous etonez donc pas du caractère totalement insensé de ce texte. Je pense d’ailleurs que vous vous en etes déjà rendu compte , et la plupart d’entre vous ont déjà abandonné leur lecture et je les comprend car déjà qu’à écrire c’est pas terrible, mais a lire ! ! ! En effet je viens de lire ce qui precede (ce qui est bien avec l’ecriture, c’est qu’on peut s’arreter,se relire, aller pisser, aller faire les course, dormir, etc, sans que le lecteur ne s’apercoive que deux phrases sont espacées de plusieurs heures) et ce n’est pas hyper captivant, mais dans un soucis de veracité et de spontannéité, je vais m’efforcer de ne faire aucun tri dans toutes mes pensées sortant d’un cerveau bouillonant. Pourtant vous pouvez remarquer tout en haut de cette page quelques gribouillis prouvant que tout cela n’est pas écrit à la suite. Cela est du au fait que, des fois, je ne pense a rien (ce qui, parfois, n’est pas plus mal que d’écrire des conneries). He oui, je suis humain comme tous les hommes et, comme tous les hommes (et surtout les femmes) j’ai des passages à vide. Vous ne pouvez pas vous en apercevoir, mais en ce moment, j’ecrit tres vite, j’ecris aussi vite que je pense et des études ont hypothesé qu’une idée allait à la vitesse de la lumière, j’écris donc a la vitesse de la lumiere. Ha ! tant que j’y pense, vous seriez sympa de mettre les accents sur les « e » et « a » qu’il manque car j’en omet beaucoup. Evidemment, je vous entend déjà raler « C’est maintenant qu’il dit ca ! Il fait chier, on va etre obligé de tout relire (si c’est déjà votre deuxième lecture vous pouvez continuer, c'e’t pas la peine de recommencer une troisieme fois), mais ho!, vous allez pas faire les chochottes, si vous avez déjà lu jusqu’ici, c’est vraiment que vous avez du temps a perdre alors vous etes pas a duex minutes près quand meme surtout que vu la vitesse a laquelle j’ecris, je peux sortir un bouquin d’ici quinze jours alors mieux vaut qu’il n’y ait pas de faute d’orthographe, ca le ferait pas pour un jeune auteur comme moi destiné a une longue carriere litteraire. Non , ca le ferait pas que les critiques disent « non seulement ca n’a ni queue ni tete (m’enfin bon vous avez déjà vu un livre avec une queue et une tete , et pourquoi pas des bras pendant qu’il z’y sont comme ca plus besoin de tourner les pages ca le fait tout seul, vive le livre à bras_note de l’auteur) mais enplus c’est bourré de fautes ! » Alors là je peux dire au revoir au prix goncourt et la légion d’horreur. Il est maintenant minuit et demi, je trouve que mon rythme d’écriture est bon mais je me dis aussi que je ferais peut-etre mieux de bosser ma bioch alim mais je m’en fous. Mes yeux commencent a se fermer mais comme c’est pas avec mes yeux que je pense ni écrit, c’est pas grave. Tiens en ce moment je pense à rien. En fait c’est faux puisque je suis en trian d’écrire à quoi je pense, c’est donc que je ne pense pas à rien. C’est un peu philosophique là, non ? Donc j’ai encore mes chances pour le Goncourt ! Ouais ouais ouais ! Je commence à m’endormir, je crois que je vais arreter là pour ce soir, je continuerai demain.  
Je suis de retour. Alors vous vous etes pas trop emmerdés pendant neuf heures à attendre que la suite s’écrive ? Et hop je change de stylo ! Mais « pourquoi ? » me direz vous.Et bien c’est parce que ca fait une semaine que je n’ai rien écrit et je ne trouve plus mon stylo d’avant (je suis un peu bordélique). D’ailleurs heuresement que j’ai fait une pause parce que sinon j’en serais déjà à ma quinzieme page d’écriture. J’suis pas encore assez fatigué pour etre assez inspiré alors je m’arrete la pour l’instant, je reprendrais dans deux heures. Promis je serais là, alors ne bougez pas, I’ll be back ! ! !  
 
 
Free Style Writer 2  
 
Il est 1h30, je suis toujours bien eveillé. J’ai pris une nouvelle feuille car l’autre était pleine. Une Idée m’a traversé l’esprit par rapport a ce que j’ai déjà ecrit : je vise le Goncourt, pour cela il faut bien que je sorte un livre (et oui le gagnant n’est pas tiré au hazard (et merde, j’arriverai bien a écrire le mot hasard du premier coup), hasard donc, parmi les 60 millions de Francais) et ce ne sera donc plus mon ecriture mais un police de caractère (surement Times New Roman). « Et alors ? » me direz vous. Et ca change que vous ne comprendrez rien au moment où je vous dit un truc genre « vous pouvez voir des gribouillages en haut de la feuille » et vous ne verez pas qu’au moment où je vous dis que j’écris vite, que mon écriture est à ce moment très mauvaise et pas belle (oui je sais en ce moment je n’écris pas mieux, alors que j’écris lentement mais je n’ai pas une position super pour écrire : a plat ventre sur mon lit). J’en suis donc venu à la conclusion, non pas de ne pas sortir de livre car celui pourrait me permettre de bien remplir les poches, mais de le sortir tel quel, avec toutes las ratures et cochoncetés mais qui donnerait une réelle impression de spontannéïté. Seulles vous, les personnes qui lisent la version définitive de cette œuvre (n’ayons pas peur des grands mots. En général on appelle œuvre quelque chose dont seul l’auteur en comprend pleinement le sens (s’il y en a un)) conaissez déjà (j’aime bien ce mot là : sur 4 lettres, il faut mettre 2 accents pas pareils et un point, c’est à la fois rigolo et chiant) la réponse à ma question -j’ai mal au bide. Note de l’auteur- et malheuresement vous ne pouvez me répondre étant donné qu’a l’heure où vous lisez ces mots, mon livre sera déjà fini et imprimé et distribué car dans le cas contraire vous ne pourriez pas le lire, sauf si vous tenez entre vos mains (biens crades d’ailleurs, vous auriez pu vous les laver avant d’entreprendre la lecture d’un tel ouvrage) la version originale. Ca y est je commence à être dans l’état second dans lequel je me trouvais l’autre jour, état qui me fais écrire vraiment ce que je pense et non pas ce que je décide de penser, cette dernière phrase en est bien la preuve, car a part si j’étais bourré ou sous l’emprise d’une substance illicite, jamais je ne pourrais écrire de telles conneries. Tiens ! je commence à m’endormir, ce qui est quand meme bien quand il est 2h du mat et que le lendemain (enfin pas le lendemain, plutot dans bientôt) matin il faut se lever vers 6h40 pour aller juste en tech alim de 8 a 9h. Et si tu as la tête dans le cul, on (attendez j’ai quelques problemes avec mon stylo, il veut plus ecrire. Batard, j’vais temmener voir le mec de chez Darty (spéciale dédicace pour Florian)) te demande (ha vous êtes retourné voir plus haut parce que vous ne vous rappeliez plus du début de la phrase ? Ne niez pas, je le sais, je sais que c’est chiant quand y’a des parenthèses en plein milieu, on a l’impression que l’auteur il fait ca exprès pour vous emmerder et des fois c’est vrai) ce que tu as fais la veille- cette nuit. Alors simplement tu réponds « ho ! j’écrivais ». Et ca c’est pas croyable Monsieur ecrit que dalle en cours en amphi, mais pour ecrire des conneries tard le soir, il est pas le dernier. Ca m’ennerve ces gens là. Y’a plus beaucoup de place sur cette feuille et j’ai pas envie d’en recommencer une autre alors on va passer aux thanks : je voudrais remercier ma mère, mon père (mon frère et mes sœurs, who-ho (air connu). Oui je sais elle etait facile), les stylos et encre Waterman ; Stan et Vince pour avoir écrit la BD qui me sert de support. Et tout ceux que j’oublie, que je ne pourrais citer par  
 
manque de place. Ho ! vous avez vu ce qu’il viens de ce passer ? Oui vous avez retourné la feuille : il me reste donc autant de place que ce que je viens d’écrire mais ca serait abuser si je continuais et puis on passerai d’un texte aéré à un truc tout dégueu, tout serré qu’y en a dans tous les sens, qu’on à du mal à lire. Alors j’arrête là pour aujourd’hui, mais I’ll be back  
 
Free Style Writer 3  
 
C’est toujours dur de demarrer un de ces free style à l’écrit. Savoir quelle va être l’accroche pour le lecteur (si jamais il y en a), ne pas s’embourber dans des remarques inutiles ou essayer de commencer comme si c’etait une histoire. Mais une fois parit, c’est otut de suite plus facile. Ce mécanisme est un peu assimilable à la mise en mémoir tampon quand on lit un truc sur PC mais ca n’a en meme temps aucun rapport. Non, en fait c’est plutôt comme à chaque fois qu’oncommence quelque chose, il faut un moment d’échaufement, ou bien comme la phase de latence d’une cinétique bactérienne sauf que y’a pas forcément de phase de ralentissement et que ca sert à rien de passer en log décimal. Pour quelqu’un qui sait pas quoi dire, c’est quand meme déjà pas mal même si comme le dit a peu près une expression que je ne me rappelle plus : « c’est pas parce qu’on parle beaucoup qu’on a quelque chose à dire ». C’est pas trop crade pour une fois ma feuille non ? Il faut dire que même si je suis dans mon lit pour écrire, je suis assis, j’écris sur une BD rigide ( Travis, tome 2 « opération minotaure » : c’est moyen. Trop futuriste pour moi, y’a pas de dragon ni de chevallier, pas de magie => c’est nul) alors que les autres fois, je suis couché à plat ventre, un support pas top (genre magazine souple comme, au hazard, Hard Rock Mag) en ne regardant pas toujours ce que j’écris. Malgré tout, je viens de faire ma première cochonceté (entre les mot « Rock » et « Magazine ») mais étant donné que je ne vise pas la perfection ce n’est pas grave. Je sais pas vous mais je trouve que le temps passe vite quand j’écris. Enfin c’est pas qu’il passe vite mais je ne le vois pas passer et j’en perd la notion. D’ailleurs je viens de me rendre compte que depuis le haut de cette page, seulement un quart d’heure est passé, donc c’est plutôt que le temps passe lentement. C’est étrange comme sensation. En me relisant, j’me dis que par rapport à d’habitude, c’est moins drôle (y’en a tout de suite qui pensent « parce qu’il trouve ca drôle d’habitude ? » Hé bien oui, j’ai le rire facile et j’aime bien quand les gens trouvent que je suis drôle). En fait c’est parce que je suis fatigué que ne suis pas drole. L’humour, le drole, c’est quelque chose qui se travaille. Quand certains font de l’impro, on trouve ca drole parce qu’on sait que c’est de l’impro et donc on est moins exigent. Bref, l’humour, même s’il est instantanné n’est pas otpimal (je ne suis absolument pas d’accord avec ce connard d’écrivain – note de l’auteur lors de la recopie). Alors que les trucs intelligents ca ne se travaille pas, ca sort comme ca, comme une connerie (tout ce texte en est la preuve)(et des fois c’en est) sauf que c’est intelligent. Houla, subtil n’est il pas ? « Con » ? Vous êtes durs (aucune connotation sexuelle !! franchement relisez la phrase ! keske ca viendrait foutre là ?) mais j’accepte la critique, je suis d’ailleurs le premier à reconnaître que je suis con (oui et je suis surtout con d’écrire ces conneries au lieu de reviser, que dis-je, d’apprendre ma physico-chimie). Mon débit de mot à la seconde commence à baisser (phase de ralentissement ?) et je vais peut etre bientôt arrêter. Non je n’ai pas l’intention de remplir cette copie double ce soir. Alors à la prochaine, moi je dors ! Je pense quand même que si j’arrivais à noter les cours en amphi aussi bien et beaucoup que quand je fait le free style writer, j’aurai moins de probleme pour rattraper les cours et les apprendre ensuite. C’est tout, c’est fini, juré craché et recraché (j’avais un bon molard qui tenais pas en un seul morceau)  
 
Free Style Writer 4  
 
Tata! Me revoilà! Aujourd’hui je vais renter quelque chose de jamais fait : je vais tenter de faire le free style writer sans être crvé (mais en étant quand meme dans mon lit). C’est bizarre, étant bien installé, j’écris quand même comme une coche. Houps faut pas que je dise ca y’en a qui même en s’appliquant écrivent pas comme ca. C’est quand même qq chose qui m’intrigue ca : pourquoi, ayant recu la meme education en écriture, on n’arrive pas tous à écrire de manière pas dégueu. J’veux dire, c’est normal qu’onn’ai pas tous la meme ecriture, ca c’est chacun qui écolue, mais c’est vrai, on écrit tous depuis le CP et y’en a, on a l’impressionqu’ils ne savent toujours pas se servir d’un stylo ; c’est nul quand je suis pas fatigué même moi je trouve ca chiant. Non mais comme si quelqu’un pouvais s’interesser à l’écriture de chacunet son évolution !!! Pour que cela puisse marcher, il faudrait remplacer le verbe « ecrire » par « baiser » et « stylo » par « sexe » (j’aurai bien mis bite, mais je pense aussi à mon public féminin) et ainsi de suite, je vous fais confiance pour la conversion j’ai pas de doute la dessus. Allez y, vous verrez c’est tout de suite plus interessant et qd même plus drole.  
 
Ca y est vous avez relu ? Bande d’obsédés évidemment vous, dès qu’on parle de cul, ca va mais quand on essaie de vous initier à l’étude intelligente des différentes facons d’écrire (ne remplacer plus par baiser, on ne joue plus !!) y’a plus personne. Halala, elle est belle la France d’aujourd’hui !!  
 
 
Free Style Writer n °5  
 
J’ai l’impression d’être en train de rater ma vie me suis-je dis aujourd’hui dans un long moment de déprime entre 21h35 et 21h37 (d’habitude c’est beaucoup plus court). C’est vrai, y’a beaucoup de choses qui ne vont pas dans ma vie, mais a quoi bon en parler. C’est vrai, ça m’énerve les gens à qui c’est même pas la peine de leur poser la question « comment ça va ? » car elles répondent forcement que ça va mal qu’ils ont plein de problèmes hyper important, ces gens qui passent leur vie à se plaindre de leur malheur. Chacun a ses problèmes mais ils ne regardent que lui. Donc fini la déprime, place à la déconnade !  
Euh… pouet pouet camion ! C’est tout ce qui me viens à l’esprit dans le registre déconnade pour le moment. Désolé à tous pour le faible niveau montré ici, mais je sais que ça plait a certains habitués. Il en faut pour tous les goûts (je laisse l’humour intellectuel à Raymond Devos s’il est encore vivant).  
J’ai franchement froid au pied. Tiens ça me fais penser, une fois j’avais écris un truc genre « j’ai mal au bide_ note de l’auteur », cela du être écrit vers le 20/12/2000, car 3 jours plus tard je me faisais opérer de l’appendicite (enfin même péritonite mais, hein, chacun ses problèmes). J’espère donc que dans trois jours je ne serais pas hospitalisé pour un rhume du pied (on peut dire rhume de cerveau, car il est vrai que mon système nerveux central (« Nicolas, Il faut d’activer le système nerveux central » hommage à Fabienne Petit) est placé relativement bas. L’avantage c’est que je suis plus stable car ça abaisse mon centre de gravité, c’est que ça pèse lourd un cerveau rempli de conneries ! J’espère qu’avec le succès je ne prendrai pas la grosse tête car sinon plus tard je mettrai du 43 à u pied et du 56 de l’autre ! M’enfin je pourrais toujours me faire faire des pompes sur mesure, quand on a les moyens on peut tout ce permettre, même de se faire faire des slips en édition limitée avec maqué « The Nico’s touch » dessus, la classe !  
Ca ne va pas là je fais plus du remplissage qu’autre chose. Je trouve ça chiant. Je suis peut être trop dur avec moi même perfectionniste que je suis. Sur ce je décide de jeter la plume (c’est dégueu, y’a de l’encre noire partout maintenant. C’est pas vrai en fait j’écris au stylo, jeter la plume c’est juste une expression) sur le bureau (ceci est un exercice périlleux car mon lit est loin de mon bureau, et vous savez bien que j’écris sur mon lit, ça fait d’ailleurs une éternité que je ne me suis pas installé à mon bureau) et il ne me reste plus qu’a vous souhaiter une bonne nuit ou une bonne journée (selon le moment où vous lisez ces lignes et selon l’endroit où vous vous trouvez sur terre (oui je compte être mondialement connu, vous le savez bien)) et vous dire ô combien je vous aime. Alors à+ et on se voit quand on se voit.

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