Reprise du message précédent :

Je crains pour eux que l'absence de présence sur Steam leur soit néfaste.

L'impression que tout le monde s'en fout, personne ne sait qu'il existe. Plus le fait que c'est un énième moba à apprendre à nouveau.

Par contre le pve peut être sympa.

L'orage qui m'empêche de jouer à Prey  

C'est vrai qu'il y a pas beaucoup de pub, je l'ai decouvert un peu par hazard

Mais c'est 100x plus facile a apprendre qu'un Dota, c'est pas du tout le meme gameplay de toute facon

Mais Testez, ca pese que 4go

Moi c'est ma connection. Toujours pas fini de télécharger le jeu.
 
On est deux  

 
Il me reste encore 2 mois de "fibre"... avant le néant de la campagne, sans même l'ADSL.  

Sauf que moi je vais bientôt pouvoir le lancer, ça s'éloigne enfin
En tout cas en difficile ça rigole pas ce jeu

pense à la qualité de vie  

Y en a d'autres que moi qui ne peuvent se connecter ni à Steam ni à Battlenet ?
Suis à Paris, y a l'orage qui est passé par là, mais à part ça le reste du net fonctionne...

Ce que l'on a fait.    
 
Mais cette contrepartie... ça va être violent.

 
Install en cours

Toi aussi tu ne me lis pas parce que je dis que de la merde ?  

T'as l'air d'être BL par la moitié du topic.

 
Sans rire, je pense que lorsque ce sera virtuellement possible dans un MMORPG ou quelque chose d'approchant, on risque vraiment d'avoir des surprises sur le comportement des gens en ligne (beaucoup plus que maintenant). Pareil pour la torture. (et la question n'est pas à mon sens de savoir si ça va un jour être proposé, mais quand est ce que ça va être proposé).
 
 

Amz' a totalement raison, cette réaction est "débile et surjoué".
Regarde juste qui poste... si elle pouvait être les nib' à l'air pour aguicher le pov' geek en manque sans risquer le ban elle le ferai certainement...  
Elle a réussit son plan comm'... on parle d'elle quelques jours en attendant le prochain truc "à la con du net"...  
 

 
Tu veux dire comme dans l'un (le?) premier mmo où il n'y avait as de règles concernant le meurtre de joueurs et la communauté à naturellement développer une église pacifique dans le jeu ?

Cette époque est plus que révolue. Avant le net était en phase d'exploration par quelques pionniers. Aujourd'hui c'est devenu une décharge. N'importe quel déchet est libre d'y sévir. Et le respect mutuel qui existait avant n'est plus qu'un lointain souvenir.
 
Malheureusement ce sera aux devs de prévoir les écarts de conduites et de mettre des gardes fou. Quand on voit qu'aujourd'hui les chats sont supprimés de la plupart des jeux PvP. Je te laisse imaginer la suite avec la VR.

bien bien, essayons de terminer ce dimanche avec, enfin, un CR que je m'étais promis d'achever depuis un certain temps.  Bonne lecture, même si c'est un peu long, ( ) et n'oubliez pas : ACHETEZ !
 
 
 
CR "Roleplay" : Torment Tides of Numenera
(février 2017, développé par Inxile Entertainment et édité par Techland Publishing)
 
Culte.  
Voilà, le mot est lâché.  
 

 
Culte, c'est ainsi qu'on a fini par appeler ce jeu sorti quelques jours avant l'an 2000 et qui aura marqué à jamais une génération entière d'amateurs de RPG, dans l'adulation autant que la détestation.  
Prendre la succession d'un tel titre n'est pas chose aisée. Pour certains, l'exploit est même impossible. L'ovni que constituait Planescape Torment n'était peut-être qu'un de ces jeux confinant au miracle, pour lequel toute idée de suite, si prometteuse fut-elle ne pouvait débouché que sur un fiasco ou une déception.  
Dix-sept années plus tard, Inxile Entertainment et le créateur originel Chris Avellonne relèvent le défi et nous livrent, enfin, l'héritier de Planescape : « Torment - Tides of Numenera ».  
 
Les espoirs sont immenses, l'attente considérable, et le résultat, lui, est bouleversant.  
Certains joueurs subissent quatorze orgasmes simultanés et s'écroulent à terre, hurlant au jeu dans leurs derniers souffles. D'autres sont foudroyés par la consternation et précipités aux Enfers de la déception vidéoludique.  
Reste l'immense majorité, prise entre deux feux, vivant tour à tour quelque chose qui confine à leur plus incroyable expérience de jeu et aussi, parfois, à un sentiment de déconvenue et de frustration, tant l'objet devant nous est indéfinissable. Insaisissable.  
 
 

Torment Numenera : envolez-vous
 
 
Culte, Torment Tides of Numenera ? Non, pas aujourd'hui. Peut-être demain ? Ou peut-être pas.  
À la hauteur de l'engouement qu'il a suscité ? À la hauteur de son modèle illustre ?  
Capable d'avoir le mythe de Planescape et de faire revivre des moments aussi forts et aussi intenses que celui-ci ?  
Oui. Des dizaines de fois oui.  
 
Et pour cela, malgré ses tares et ses défauts, malgré sa durée de vie qu'on jurerait courte et l'interruption brutale de l'extraordinaire voyage auquel il nous conviait, malgré tout ça et parfois plus, et bien oui, Torment Tides of Numenera est un grand jeu. Un Très grand jeu.
Envoûtant, Déroutant, Hypnotisant, et ne laissant personne indifférent.  
Et c'est peut-être ça, au final, ce que signifie « avoir la Foi ».  
 
 
 
Too Long, will not read : en avant la conclusion !

 

 
 
Torment Numenera est un c-RPG classique, avec une équipe (réduite) de personnages, des stats, des compétences et des options de dialogues.  
À la différence de l'immense totalité des titres habituels, le jeu va fortement oblitérer la composante « statistique » & loot pour se concentrer à mort sur les options de dialogue et le côté « roleplay », à l'instar de son immense prédécesseur Planescape Torment.  
 
C'est en ceci que Torment Numenera est véritablement LE jeu qui va vous permettre d'être en mode « jeu de rôle » comme jamais auparavant. Par la force de son univers, la logique des actions qu'il propose, l'extraordinaire qualité de ses quêtes et de son écriture, l'immersion atteint un niveau encore jamais égalé. Tous les personnages rencontrés vont vous marquer, au point que vous retiendrez encore leurs noms des semaines et des mois plus tard. Quant aux situations rencontrées, aux aventures vécues via les quêtes, dites-vous que vos choix et les conséquences accompagneront ou hanteront vos nuits encore plus longtemps.  
 
Le jeu est « facile » en ce sens qu'il va autoriser toutes vos actions, sans les restreindre par un jet de dé délicat ou un système construit pour brider votre imagination. Et c'est là à la fois le génie et la plus grande difficulté de ce Torment Numenera : réussir un jet de dé est aisé, mais choisir le bon embranchement de conversation ET la bonne manière de convaincre l'interlocuteur selon ce qu'on souhaite lui faire faire, et bien là réside véritablement toute la réflexion et la richesse du jeu.

Ça en fera donc un jeu difficile pour certains, qui seront peut-être trop rebutés pour l'apprécier et rentrer dedans. On les comprendra sans peine, tant ce Torment fait figure d'ovni. Aimer ce jeu, c'est accepter de jouer à sa manière, devant ces milliers de mots, son univers qui se dévoile un peu plus à chaque conversation, sans que l'on sache trop où l'on aboutira, ou ce qui finira par nous arriver.  
Le destin n'est ici pas subi : il est choisi. Et ce sont véritablement ces choix, contre lesquels on ne peut fuir ou mentir, qui révéleront à chacun ce que le jeu sera prêt à lui offrir.  
 
Torment Numenera offre 40 heures d'amusement interrompu, avec des climax fantastiques et des résolutions de quêtes d'une intensité telle qu'elles oblitéreront tout le reste et rejoindront votre panthéon des moments les plus forts vécus dans un média ludique.  
40 heures c'est déjà beaucoup quand tout est d'une telle qualité, mais c'est aussi trop peu. Le sevrage et la fin arrivent brutalement, provoquant un véritable sentiment de manque, de frustration maintenant que l'on réalise que oui, c'est bien fini.  
 
On en aurait voulu plus, bien plus, le double, le triple ! Il faudra s'en contenter. Avec ce sentiment d'avoir touché à quelque chose d'unique.  
Et d'avoir vécu un voyage merveilleux.  
 
En dire ne serait-ce qu'un mot de plus serait criminel : jouez-y.  
 

 
 
SPOILERS : les moments forts et ce qui eut pu être mieux dans le jeu
 
Par où commencer ? On ne peut pas vraiment résumer Torment Numenera : c'est un jeu qui se vit, qui pour chacun sera une expérience personnelle et en partie indescriptible.  
Alors je vais me contenter de ce qui, moi, m'a marqué (en restant synthétiques, sinon on en a pour des heures ) :  
 
• Les trois grandes zones qui constituent les Actes : époustouflantes ! Chacune possède son univers, ses codes propres avec ses opportunités et ses dangers. Elles sont si caractérisées qu'on a l'impression de changer de monde à chaque fois ! La ville de Sagus est mémorable, très grande et vraiment bourrée de possibilités et de secrets inoubliables. La zone archéologique de la « Bataille Infinie » recèle une richesse au niveau du Lore qu'on ne saurait appréhender si l'on ne se met à creuser, à fouiller et à faire un véritable travail d'enquêteur. Quant au « Bloom », oh bon sang que c'était extraordinaire ! Un environnement malsain, dangereux et déviant, où l'on se surprend à regarder le moindre mur comme un potentiel piège meurtrier ! De loin la plus marquante de toutes les scènes d'exposition, et pourtant l'acte final va lui aussi très loin.  
 

 
• Les quêtes… bon sang les quêtes ! Alors oui, j'ai déjà qu'on était dans le haut du pavé de la top qualité, mais même ça ce n'est pas suffisant ! Imaginez un exorcisme à travers les PNJs d'une ville, dont on découvre qu'il s'agit d'une sorte de multiples réincarnations et dont l'une des effigies est une enfant maltraitée qui s'occupe de deux autres gosses encore plus petits et est la seule à leur éviter de mourir sur le champ ? Que faire alors, sachant qu'on sait que la gamine est probablement condamnée ?  
• Sur les traces d'un serial-killer, qui chaque nuit viendra égorger certains PNJs, parfois ceux-là mêmes qui vont aider pour une quête et qui vous sont désormais terriblement touchant ?  
• Cette autre femme, dont l'amant vous persuade qu'il la poursuivra jusqu'au bout du monde pour lui déclarer son amour : et si le terme pourchasser était à prendre au premier degré ? Et si au contraire il était honnête et qu'on se trompait ? Ou alors, et si…
• La Bataille Infinie, dévoreuse des âmes de ses guerriers, monstruosité rendant possible grâce à une machine ayant enfermé les participants dans une boucle temporelle immuable : pourrait-on seulement l'arrêter ? Et dans ce cas, quel camp devrait-il l'emporter ?  
• Le ou La Changing God, notre créateur : un fou, un être divin, le prochain cavalier signifiant l'Apocalypse de ce monde ? Et si nous étions à sa place, que choirions-nous vraiment de faire ? Ou peut-être même, et si nous étions bel et bien lui ????
• Ces spectres et autres fantômes qui hantent notre esprit… pourquoi ? Pourquoi seulement nous là où nos autres frères et sœurs castoff en sont incapables ?  
 

 
 
• Le système de crises…. La quintessence de ce qu'il y a de mieux et de pire dans ce jeu. En combat, il faut dire les choses, ça n'a rien de passionnant. Mais quand apparaissent les crises « principales », alors que les événements scryptés déboulent tout d'un coup dans notre jeu et qu'on est subi à une terrible pression, alors là… OMFG !! Peut-être la meilleure expérience du jeu, et pourtant on va loin à certains moments !  
 
 

 
 
Et puis, à côté de tout ça, et bien il y a les trucs qui sont chiants :  
 
• Un inventaire pas bien foutu, d'ailleurs l'interface en elle-même est pas terrible. Bon au moins c'est vraiment adapté au PC, mais fichtre ça reste bien moyen
• D'ailleurs les éléments graphiques de l'UI sont pas toujours géniaux géniaux… Par moment ça fiche même carrément le boxon alors qu'on est en pleine discussion ! Et puis sérieux, c'est obligé de zoomer à mort sur les personnages dès qu'on tape la parlotte ?  
• C'est quand même un jeu assez facile. Alors oui, certes, la véritable difficulté c'est de choisir ce qu'on veut et comment on joue, mais on ne peut s'empêcher de se dire qu'un petit rééquilibrage et un poil de tension par-ci par-là auraient été les bienvenus. Genre, on aurait pu foirer certains jets de dés aux moments critiques et se voir carrément ouvrir un autre pan du jeu, en se retrouvant en prison, bannis ou que sais-je ? mais bon, après 4 ans de développement, fallait bien sortir le jeu.  
• On sent d'ailleurs que des coupes ont été faites. L'acte 2 est bien plus court que ses prédécesseurs (alors qu'ils possèdent deux des quêtes et des situations les plus puissantes de toute l'histoire) et certaines zones ont carrément été reléguées au rang de « zones non interactives » ou presque. Clairement, Inxile a sacrifié du contenu, peut-être la faute à un temps considérable consacré à l'élaboration d'un système de jeu qui au final n'aura pas été concluant pour eux. Dommage quand même.  
• La durée de vie : ah qu'on aurait aimé avoir 15, 20 heures de plus ! Au mois, vraiment au moins. Le voyage est déjà extraordinaire en l'état, mais on se surprend à rêver et à soupirer profondément en songeant ce qu'aurait pu être le jeu s'il avait été mené jusqu'à son apogée.  
 
 

 
 
Il manquait peut-être bien un an de développement encore à Inxile, qui eut pu écrire et développer le reste de son univers, quitte à ne pas chercher à concrétiser la chimère d'un gameplay parfait, en totale adéquation avec le jeu « role-play » qu'est Torment Numenera.  
 
C'est un peu dommage car alors, le doute n'est que très peu permis, nous aurions eu réellement notre jeu Culte.  
Mais on ne peut pas toujours tout reporter, au risque de s'enfermer dans une arlésienne à la réalité de plus en plus éthérée. Inxile a fait le choix de nous offrir Torment Numenera sous sa forme actuelle. Imparfaite, oui, imprécise même !, mais bel et bien là. Et pour un résultat indiscutable.  
 
Quelque part, c'était tout ce qu'on leur demandait
 
 

Je viens d'acheter PUBG, rien à dire c'est de la bonne

@visiteur : c'est pour cela que tu voulais reprendre les recaps de la semaine ?

Ah tu m'a rappelé l'époque dayz avec les tirs sportif sur la cote

 
 
J'ignorais totalement cette anecdote, particulièrement intéressante. Quel était le jeu en question stp ?
 
Ceci étant dit, je suis persuadé que ce genre de comportement, très positif, peut tout à fait cohabiter avec ceux que je décris.

DayZ
 
Les expéditions autour de Tchernogorsk pour chercher le PvP
Le coup de stress pour looter les blood bags de l'hôpital
Les morts incomprises alors qu'on était full stuff AS-50 + Ghillie suit
Revenir sur le jeu et spawner à Solnichy loin de tout
 
Ces nuits inoubliables sur TS avec temujin & co

Les escaliers, les portes et les échelles qui ont causé plus de mort que les zombies et le pvp

Surtout les arbres ninja qui te brise la colonne vertébrale quand t'es couché oklm pour sniper les noobs qui loot l'aeroport

Dommage que pubg devienne trop dur quand notre eloskill monte à fond.
 
Je regrette mes 1eres parties ou je finissais top 5 à chaque fois.
Maintenant c'est dur.
Il est temps de refaire un compte

J'avoue, aprés 100h, on tombe que sur des gens très très énervés.
 
Faut jouer autrement

Parce que le jeu groupe les joueurs en fonction de leur experience?
Je pensais que c'etait random...

C'est parce que tu as une connection; avec une connexion, ça fonctionne mieux.  

Ultima Online je suppose
EVE Online; Star Wars Galaxy pouvaient être joués de façons intéressantes avec des carrières non violentes.

 
y'a du matchmaking??!  

Ce we/semaine :

- j'ai enfin terminé The Witcher 3, vu que je viens de finir Blood & Wine. C'est clairement la meilleure saga de jeux vidéos à laquelle j'ai joué. Un must-have et must-play cette trilogie Du coup j'attends avec impatience Cyberpunk 2077     Maintenant, il va me falloir trouver à quoi jouer .... j'ai une tonne de jeux en backlog mais là après avoir fini cette saga, la chakite pointe un peu

- un peu de Hearthstone

Ce week-end j'ai commencé Divinity : Original Sins EE
 

Ce week-end de l'overwatch comme tous les week-ends.

Et dimanche soir en multi hfr sur Serious Sam  HD second encounter. Ça a mal vieilli.  

 
Je ne te cache pas que je me suis pointé sur Serious Sam uniquement parce que j'ai eu un lapin à River City Ransom : Undergound

C'est un coup des chinois ça  

beaucoup de tekken 7 en ligne ce début de weekend, j'ai vraiment du mal à réagir sur les balayettes/chopes. La vieillesse    
des sessions avortés de river city ransom underground à cause de la family

Je me doute que tu n'es pas venu pour ton amour du fps sans sensation de tirs  

Weekend IRL
Soldes à 200km + barbecues

 
Elle a flingué ta voiture pour agir comme ça?  

XCOM2 (fini) et un peu de PUBG
 
Oula, c'est un peu desert ici    
Vous etes tous en vacances ou quoi

 
Oui avec system d'ILO, le plus rapide du monde d'ailleurs, 2 sec pour trouver une partie avec 100 joueurs.