Pour ça que "le bruit des bottes", les "origines n*zies" me font pleurer de rire, c'est tout juste un RPR modernisé....  Et tous ces bobos citadins de 19 ans qui connaissent rien, qui défilent dans les rues, putain..

Notre chroniqueur David Desgouilles nous partage son expérience de militant RPR dans les années 1990. 

un autocar démarre de Besançon, avec une palanquée de jeunes RPR.
Direction Paris où les députés RPR comtois vont leur faire visiter l’Assemblée nationale. Dès le rendez-vous sur le parking au petit matin, la rumeur bruisse : Chirac va dissoudre.

Ce n’est plus qu’une question de jours, voire d’heures. Le débat devrait s’enflammer sur la route. Mais non. Car la soixantaine de jeunes n’a pas particulièrement l’esprit de contradiction avec le stratège élyséen. « Coup de maître ! », « Génial ! », « Ils vont être bien baisés, les socialos ! ». Tout l’autocar est occupé par ces manifestations de satisfaction ! Tout ? Non ! Au fond, quatre mauvais coucheurs résistent à l’envahisseur optimiste. Agacés. Énervés. Consternés.

À moins qu’il ne s’agisse d’un savant mélange des trois. Le meneur de ce petit groupe, qui plombe l’ambiance en faisant la gueule, explique en quelques phrases : « Il y aura deux catégories d’électeurs. Ceux qui ne comprendront rien à cette dissolution et ceux qui comprendront que ça cache de sombres desseins. Dans les deux cas, ils voteront contre le président. ». Pour faire bon poids, il ajoute : « Depuis 1981, aucune majorité n’a pu éviter l’alternance. Et vous voudriez que cela arrive avec le Premier ministre le plus impopulaire de la Ve République ? ».
Avant l’Assemblée nationale, un passage est prévu au siège du RPR, rue de Lille. Là, un jeune trou du cul – qu’on me pardonne, mais je n’ai pas trouvé d’autre expression depuis 1997 – explique combien la stratégie est habile, que Chirac est grand, Villepin et Juppé ses prophètes. Quelques semaines plus tard, Lionel Jospin escaladait les escaliers de Matignon.

L’expertise de l’Anses sur les effets sanitaires des systèmes d’éclairage à base de LED
Suite aux évolutions technologiques et à la publication de nouveaux travaux scientifiques sur les effets sanitaires liés à l’exposition à la lumière émise par les LED, l’agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a été saisie en décembre 2014 afin de mettre à jour son avis publié en 2010 sur les effets sanitaires des systèmes d’éclairage utilisant des diodes électroluminescentes (LED).
 
L’agence a réactualisé le travail d’expertise réalisé en 2010 et a rendu, en mai 2019, son avis "Effets sur la santé humaine et sur l’environnement (faune et flore) des LED" [1] . L’expertise réalisée en 2010 avait souligné la toxicité pour la rétine de la lumière bleue présente dans les éclairages à LED. Certaines personnes sont en effet particulièrement sensibles à la lumière bleue émise par les LED : enfants, personnes sans cristallin ou porteuses d’un cristallin artificiel, personnes atteintes de certaines maladies oculaires et cutanées ou consommant des substances photo-sensibilisantes.

Mais même moi je sais que ça changera pas grand chose, laissez vous faire ça va bien s'passer    

Clément Autain

@Clem_Autain

Une purge.

Les député.e.s insoumis sortants, mes ami.e.s @alexiscorbiere, @hendrik_davi, @RaquelGarridoFr, @frdric_mathieu et @SimonnetDeputee apprennent ce soir, sans même un coup de fil, qu’ils ne sont pas investis par LFI pour défendre les couleurs du #nouveaufrontpopulaire le 9 juin.

À la France Insoumise, il vaut mieux avoir été condamné pour violences conjugales que d’avoir défendu la démocratie, manifesté contre l’antisémitisme après le 7 octobre et plaidé pour l’union des gauches et des écologistes. L’extrême droite est aux portes du pouvoir, un rassemblement inédit vient d’être constitué à gauche, et LFI décide de fracturer notre mouvement et d’affaiblir le rassemblement.

J’appelle à la responsabilité de la direction de La France Insoumise et de Jean-Luc Mélenchon qui appelait cette semaine « à jeter les rancœurs à la rivière ». J’appelle à ne pas créer du dégoût de la politique.

J’appelle au soutien du peuple de gauche et écologiste, attaché au pluralisme et à des méthodes dignes du XXIe siècle.

Il nous reste peu de temps. Ne donnons pas les clés du pays à Bardella. Mettons toute notre énergie à créer les conditions de la victoire.

12:50 AM · 15 juin 2024

Ils "fêtaient" la victoire du RN : des militants d'ultradroite condamnés pour agression homophobe