Je demande une féminisation des titres, métiers, fonctions, etc. Et pourquoi pas l'accord de proximité. Je ne demande pas à mettre des points partout  

Les règles de français sont faites par l'académie française. Ce qui n'est pas le cas dans la situation présente. Le reste du post est donc non avenu.

 
mais pourquoi ce besoin de complexifier ? Méthode KISS bordel
 

Des personnes qui les ont forgé au fil du temps. L'enseignante ou l'enseignant doit suivre un programme, c'est pas la même chose.

Sérieux j'aimerai vraiment qu'un dyslexique vienne dire ce qu'il pense de l'écriture inclusive. Me semble que playgeek en est un, faudrait lui demander

forgées    
 
Bien la peine de nous bassiner avec l'écriture inclusive, si c'est pour ne même pas accorder au féminin quand il le faudrait.

 
ne lis pas sa signature

ne lis pas sa signature

Sérieux j'aimerai vraiment qu'un dyslexique vienne dire ce qu'il pense de l'écriture inclusive. Me semble que playgeek en est un, faudrait lui demander

Non mais c'est bien ce que je dis, j'ai peut-être été un peu vite en besogne en disant qu'elles n'avaient aucune prise, mais les instances normatives codifient, réglementent, normalisent des évolutions qui sont apportées par l'usage. La très grande majorité du temps, elles n'impulsent pas de changement dans la langue. Quant à ton argument sur les langues régionales excuse-moi    cet argument n'est pas à la hauteur du reste de ton post. Interdire à quelqu'un de parler une langue ce n'est pas modifier cette langue par une instance normative. Ces langues régionales n'ont pas été modifiées, elles sont devenues des langues mortes tout simplement.
Toujours est-il que prétendre que ces règles de grammaire "genrées" auraient été inventées à dessin puis implantées dans la langues par des académiciens machistes, c'est un peu délirant quand même  

Tu peux préciser la partie en gras ?

Ben ceux qui écrivent en sms, c'est bien simple, je ne les lis pas. Du coup ils ne me gênent pas trop.  
L'écriture inclusive, c'est plus fourbe : la phrase semble écrite en français, tu ne te méfies pas, et bim! au détour d'une ligne, tu te fais surprendre par des points et des mots illisibles comme pastora·les·ux ou animat·eur·rice·s.  

Je comprends pas trop...
 
Pour pastoral, tu mets le féminin en premier... le féminin l'emporte sur le masculin ?
Et pour animateur, tu mets le masculin en premier... le masculin l'emporte sur le féminin ?
 
Bon bah moi vraniemt je crios que je ne coermpnrdias jaamis rien à cttee écriurte incviulse  

Il suit l'ordre alphabétique, c'est neutre

T'utilises "il" alors meme que l'on sait deja que c'est une femme.

Donc l'apparition et la codification des règles de grammaire "sexistes" datent du XVIIème. La condition de la femme s'est-elle dégradée à partir de cette date ? Non.

Etant au plus bas de l'echelle sociale, elles pouvaient pas aller plus bas

Droit de vote des femmes en Angleterre 1918
Droit de vote des femmes en France 1944

 
Ça prouve que dalle.

une femme peut être un génie scientifique.

Pour les noms de fonction, je dois dire que je suis partagée.
 
- député : au départ,  c'est un participe passé, je n'ai donc absolument aucune objection à l'accorder et écrire députée.
 
- autrice/écrivaine : je ne vais pas vous mentir, je trouve cela indiciblement laid. Cependant je vois encore la logique derrière.
 
- ingénieure/professeure : non. Juste non. C'est moche et ça ne colle à aucune logique existante.
 
- cheffe : Au bout d'un moment faut arrêter les conneries. Chef, ça veut dire tête, on ne va pas inventer un féminin. Le genre grammatical n'a rien à voir avec le genre des personnes, un homme peut être une figure historique et une femme peut être un génie scientifique.
 
De manière générale, je ne vois pas forcément l'intérêt de vouloir faire coller absolument le genre des mots au genre des personnes qu'ils désignent. Un bébé peut être un garçon ou une fille. Une mouche peut être une mouche mâle. On ne va pas dupliquer tous les mots pour autant, ça n'a pas d'intérêt.

Etant au plus bas de l'echelle sociale, elles pouvaient pas aller plus bas

Pour les noms de fonction, je dois dire que je suis partagée.

- député : au départ, c'est un participe passé, je n'ai donc absolument aucune objection à l'accorder et écrire députée.

- autrice/écrivaine : je ne vais pas vous mentir, je trouve cela indiciblement laid. Cependant je vois encore la logique derrière.

- ingénieure/professeure : non. Juste non. C'est moche et ça ne colle à aucune logique existante.

- cheffe : Au bout d'un moment faut arrêter les conneries. Chef, ça veut dire tête, on ne va pas inventer un féminin. Le genre grammatical n'a rien à voir avec le genre des personnes, un homme peut être une figure historique et une femme peut être un génie scientifique.

De manière générale, je ne vois pas forcément l'intérêt de vouloir faire coller absolument le genre des mots au genre des personnes qu'ils désignent. Un bébé peut être un garçon ou une fille. Une mouche peut être une mouche mâle. On ne va pas dupliquer tous les mots pour autant, ça n'a pas d'intérêt.

Dans le même genre une homme qui fait des études de sage femme ne sera pas appelé sage homme.

du coup si on fait une nouvelle règle basée sur le neutre les enfants vont intérioriser que la notion de neutre est meilleure que la notion d'homme ou de femme
 

Dans le même genre une homme qui fait des études de sage femme ne sera pas appelé sage homme.

Et pourquoi pas faire que si dans une réforme ?

Et pourquoi pas faire que si dans une réforme ?  

forgées  

Bien la peine de nous bassiner avec l'écriture inclusive, si c'est pour ne même pas accorder au féminin quand il le faudrait.

Et on dit infirmière tout le temps alors qu'il existe des infirmiers...

grammaticalement, oui

 
Ou alors juste vous arrêtez votre combat d'arrière-garde et vous gonflez pas toutes celles et ceux qui choisissent d'écrire "les auteures et les auteurs" ou "auteur⋅e⋅s".