« Si un parti nazi existait, j’y adhérerais. » Il est un peu plus de 22 heures, vendredi 19 juillet, lorsque Théo M., un militant néonazi alsacien de 19 ans, est escorté dans le box du tribunal correctionnel de Paris. 

En pleine période électorale, « Panzer » clamait ainsi qu'il allait faire « sauter l’Elysée », ou encore faire exploser la voiture d'un journaliste indépendant. Et éructait : « Camarades, vous n’avez rien à perdre ? Vous êtes prêts à prendre les armes ? »

Si Théo M. ne répond qu’en monosyllabes ce soir devant les juges du Tribunal de Paris, il aura été plus loquace durant sa garde à vue à la Sdat. Les enquêteurs ont passé son idéologie au rayon X. « J’aime Adolf Hitler, je ne vais pas me cacher. Je suis nazi. Je suis nazi », leur a ainsi affirmé le jeune homme. De quel parti politique se sent-il proche, ont demandé les policiers antiterroristes ? « Du RN. » 

« Si un parti nazi existait, j’y adhérerais. » Il est un peu plus de 22 heures, vendredi 19 juillet, lorsque Théo M., un militant néonazi alsacien de 19 ans, est escorté dans le box du tribunal correctionnel de Paris. 

En pleine période électorale, « Panzer » clamait ainsi qu'il allait faire « sauter l’Elysée », ou encore faire exploser la voiture d'un journaliste indépendant. Et éructait : « Camarades, vous n’avez rien à perdre ? Vous êtes prêts à prendre les armes ? »

Si Théo M. ne répond qu’en monosyllabes ce soir devant les juges du Tribunal de Paris, il aura été plus loquace durant sa garde à vue à la Sdat. Les enquêteurs ont passé son idéologie au rayon X. « J’aime Adolf Hitler, je ne vais pas me cacher. Je suis nazi. Je suis nazi », leur a ainsi affirmé le jeune homme. De quel parti politique se sent-il proche, ont demandé les policiers antiterroristes ? « Du RN. » 

Le soleil rend illisible le QR code du « Pass Jeux #JO2024 » sur les téléphones ! « Même avec la luminosité mise au maximum, ça ne fonctionne pas », souffle une policière agacée par la situation. La police recommande désormais d'imprimer le laissez-passer… (Parisien)

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La plus grosse surprise est clairement venue de la défaite du rapporteur général du budget sortant, Jean-René Cazeneuve (Ensemble pour la République, EPR, ex-Renaissance). Le député du Gers a été battu par Charles de Courson, qui s’était illustré par son opposition frontale à la réforme des retraites au printemps 2023. Les deux hommes sont arrivés à égalité au troisième tour avec 27 voix chacun. Mais le député de la Marne a finalement été élu au bénéfice de l’âge. « La commission des finances de l’Assemblée nationale est désormais dirigée par deux “insoumis” », a jugé Mathieu Lefèvre (EPR, Val-de-Marne) sur X, samedi 20 juillet. M. de Courson n’appartient pourtant pas à LFI et est plus connu pour sa rigueur budgétaire.
 
Le coup est dur pour le camp Macron, tant le rapporteur général du budget est une sorte de « ministre du budget bis », figure incontournable dans la préparation des textes financiers avec Bercy.

Ailleurs, dans deux commissions, la gauche a « identifié des deals » entre Ensemble pour la République, MoDem, Horizons, DR et extrême droite. Sans que l’on puisse formellement confirmer des accords, les résultats indiquent qu’en commission des lois et en commission du développement durable, les voix RN et ciottistes se sont portées sur les candidats macronistes (respectivement Florent Boudié, député EPR de Gironde, et Sandrine Le Feur, députée EPR du Finistère) pour faire barrage au NFP.

L’expert penche toutefois pour d’autres hypothèses plus surprenantes. « Ce n’est pas très reluisant, mais le retard français dans l’installation de systèmes d’exploitations récents – parce que cela représente une dépense que les entreprises n’estiment pas indispensable – peut avoir agi comme un bouclier de façon involontaire. C’est tout bête mais si vos machines fonctionnent encore sur une base de Windows XP, comme c’est le cas dans pas mal d’institutions comme les hôpitaux, elles n’ont tout simplement pas accepté la mise à jour défectueuse ! »