La DNACG ( L'organisme de contrôle et de la gestion des clubs ) n'arette pas, depuis que le SCA ( Sporting Club Albigeois) - Nous parlons de rugby à XV – est ùonté en Top 14, de charger ce club et essaye par tous les moyens possible et inimaginaux ( du moins c'est ce qu'il laisse paraître) de faire descendre cette équipe en Pro D2, alors qu'ils se sont battu corps et âme pour rester en Top 14. Le club à fait des concessions pour faire tout ca que la DNACG leur demandait jusqu'à même baisser le salaire des joueurs ( avec l'accord de ses derniers ), mais ils ( la DNACG) en demande toujours plus!!!! Dernière demande en date: « Donner 100 pour cent des recettes de sponsoring et non 70 pour cent » en echange d'acceptation des 4 dernières régulisations de joueurs. C'est à dire: Vous nous donner 100 pour cent de ses recettes et en échange nous accepterons que ces 4 joueurs jouent cette année. (Pour preuve cet article sur le journal: « La depeche du midi »
C'est une honte!!! La DNACG fait du chantage à ce club ( le SCA). Ils ont menacé à plusieurs reprises de les faire descendre en Pro D2, alors que le SCA fait tout pour acceder à leurs demandes.
Aujourd'hui que faire ? Laisser ce club qui c'est démené tant bien que mal dans la moise ? Non, il en est hors de question!!! Il est temps que cela se sache et que les gens: supporters et autres réagissent!!! Si nous laissons la DNACG faire, c'est perdre toutes les valeurs du sport, du rugby... En attendant que d'autres en plus de moi réagissent, vous savez maintenant comment ceux qui ont le pouvoir réagissent et se permettent de faire couler un club qui ne leur plait pas.
Article de « La depeche du midi:
Rappel de l'affaire : fin septembre, la DNACG avait demandé au SCA de réduire sa masse salariale d'un million d'euros, sous peine de ne pas valider onze contrats.
Un partenaire avait mis la main à la poche à hauteur de 500 000 euros, tandis que les joueurs avaient accepté une baisse de salaire de 17,5 %.
Depuis, la direction attendait sereinement le feu vert pour en finir avec une histoire qui a pollué la vie du club dans les grandes largeurs.
A 48 heures de l'ouverture du championnat, la DNACG, l'organisme de contrôle de la gestion des clubs, a fini par rendre son verdict. Une mauvaise nouvelle pour le SCA. Hier, vers 15 heures, un appel téléphonique a appris aux dirigeants que sur les 11 contrats non validés, 7 étaient régularisés, tandis que 4 ne l'étaient pas. Rappel de l'affaire : fin septembre, la DNACG avait demandé au SCA de réduire sa masse salariale d'un million d'euros, sous peine de ne pas valider onze contrats. Un partenaire avait mis la main à la poche à hauteur de 500 000 euros, tandis que les joueurs avaient accepté une baisse de salaire de 17,5 %. Depuis, la direction attendait sereinement le feu vert pour en finir avec une histoire qui a pollué la vie du club dans les grandes largeurs.
Après trois semaines d'attente, l'annonce d'hier est tombée comme un coup de massue pour Louis Barret, président de la Sasp du SCA. « A deux jours du début du championnat, c'est une situation difficile. Je ne comprends pas. Du 15 au 19 octobre, nous avons répondu à une quinzaine de questions de la DNACG. Le 24, on nous a encore demandé des éléments complémentaires que nous avons fournis, ainsi que d'autres ce matin. Nous avons donné les 10 % de garanties sur le budget et 900 000 euros de garanties sur le capital social. Au final, quatre contrats ne sont pas validés au motif qu'il faut donner 100 % de ses recettes de sponsoring et non 70 %. Qu'on nous laisse travailler tranquillement ou qu'on nous dise clairement si on gêne.
« je n'ai pas envie de jouer à biarritz»
Je ne me pose pas la question de savoir si on nous en veut ou pas, mais aujourd'hui, je n'ai pas envie de jouer à Biarritz. C'est ma position de président. On enverra sur le terrain le président et le chauffeur du car. On nous sanctionne déjà et on a plus rien à perdre… »
Le président n'a pas souhaité communiquer la liste des quatre joueurs arbitrairement concernés (l'un devait jouer samedi), mais il ne croit plus aux promesses. « Le problème aurait pu se régler aujourd'hui, mais je n'y crois plus. Pour commencer le championnat, il me faut 34 joueurs. C'est une question de principe. J'ai déjà demandé aux joueurs de baisser leurs salaires et demain, il va falloir que je dise à quatre d'entre eux que cela n'a pas suffi et qu'ils ne pourront pas jouer. Je suis un président bénévole qui se bat pour que le rugby vive dans sa ville, mais c'est bon, çà suffit… » Pour récupérer les contrats des quatre joueurs en question, le SCA n'a pas d'autres solutions que de trouver les 500 000 euros nécessaires pour atteindre les fameux 100 % de recettes de sponsoring. Pas facile sachant que les partenaires comme la mairie ont déjà bien donné pour permettre au club de survivre.
Coup de blues après la décision inattendue de la DNACG (qui n'a pas souhaité s'exprimer) ou coup de semonce médiatique pour crever l'abcès ? On ne sait trop, toujours est-il que la présence du SCA à Biarritz reste aléatoire.
--------------------------------------------------------------------------------
Eric Béchu ( Entraineur du SCA ): «Je me conformerai à la décision du président»
Hier, le staff et les joueurs du SCA étaient au repos. Une journée bien évidemment perturbée par la décision de la DNACG. Eric Béchu, le directeur technique, la commente en ces termes.
« Je ne connais pas tous les tenants et les aboutissants, mais quand on est épinglés, c'est que l'on vit au-dessus de ses moyens. Nous avons un budget de 8 m€ alors que la moyenne des clubs de Top 14 se situe à 11,3.
A Albi, le salaire moyen est inférieur à celui du Top 14. Les joueurs recrutés viennent de Pro D2, à l'exception de deux d'entre eux qui ont joué en Top 14. Le club ne fait pas de folie. Les joueurs et le staff viennent de faire un effort de 600 00 euros en baissant leurs salaires pour récupérer tous les contrats.
C'est comme si on demandait à un paysan de récolter avant d'avoir semé. Le président prendra la décision de jouer ou non à Biarritz et je m'y conformerai. Après la somme d'efforts effectués en préparation, ce serait terrible de ne pas jouer, mais je comprends que le président s'estime lésé. »
