Reprise du message précédent :

ton argumentation a du être effacée par inadvertance...    

pardon ?  

Le frére de monk est autiste par contre non?

 
C'est une façon de parler hein... Pour dire que ce n'est pas la réalité...  

ok

Est- ce :
- une maladie imaginée par quelques psychiatres en manque de reconnaissance ?
- une vraie maladie ?
- des hypocondriaques qui se cherchent une nouvelle maladie ?
- des mères "larguée" qui cherchent le pourquoi du comment fonctionnent leurs enfants ?
- des personnes "d'intelligence moyenne" qui essaye de "discréditer" des personnes plus intelligentes dans un domaine précis ?
- ...
 
C'est bizarre mais j'ai l'impression que plus le temps passe, plus les gens deviennent fragiles psychologiquement parlant, et cherche constamment à trouver une raison  
à leur solitude dans le monde d'aujourd'hui.
Une personne à les symptômes de cette maladie est alors ? Tant que ça ne met pas sa vie en danger il n'y pas réellement de soucis à se faire.  
Et vu la description de ce syndrome, je suis sûr que les trois quart des grands scientifiques, ou inventeurs, qui ont fait avancer ce monde étaient touché...
 
Et ce qui m'agasse encore plus c'est que l'on commence à parler de maladie génétique alors que l'on est à peine capable d'expliquer l'autisme "normale" !

Une personne à les symptômes de cette maladie est alors ? Tant que ça ne met pas sa vie en danger il n'y pas réellement de soucis à se faire.  >>>va dire ça à des parents d'enfants autistes...ils ne sont pas en danger alors pourquoi se prendre la tête????

 
 
c'est à mon sens la vision du français moyen sur l'autisme et les maladies psychiatriques en général.

Parce que tu est au-dessus du français moyen
 
Je conçoit très bien qu'il y est des maladie psychologique grave et de l'utilité des psy dans ces cas.
L'autisme aussi je sais très bien ce que c'est.  
 
Mais là ça correspond plus à un comportement naturel de certain être humain et cela n'engendre rien de grave, c'est peut-être ,dans certain cas, l'inverse.
Si cela empire l'intervention d'un psy est sûrement recommandé.
 
Ce qui m'agace le plus c'est la présentation de cette maladie, on joue encore sur la peur des gens: "attention votre fils-fille reste tout seul et est il est super calé dans un domaine
il est peut-être atteint, prenez de suite rendez vous avec un psy"
 
Et biensûr les trois quart des sites et des personnes qui en parlent non aucunes notions psychiatriques et s'enflamme pour un "rien"  

J'ai coché la 3. En fait, j'ai découvert récemment que j'avais un trouble de la personnalité passive-agressive, certains symtômes sont en commun avec le syndrome d'Asperger.

j'ai coché trois :
La caractéristique la plus marquante sont les passions hors-norme dans leur type et leur intensité : le simple fait d'apprendre une nouvelle formule chimique me passione
une anomalie de la Théorie de l'esprit : le syndrome d'Asperger serait une difficulté à se représenter les intentions d'autrui  
Un asperger présente un QI supérieur au QI moyen: moi c'est 135
sont habituellement très maladroits
...borderline...

qu'est ce que tu racontes toi????  
le SA est tout sauf une somme de comportements naturels...et au passage c'est un syndrome pas une maladie en tant que telle...
et réduire le  SA à "attention votre fils-fille reste tout seul et est il est super calé dans un domaine...", c'est passer à coté de souffrances psychologiques importantes...mais bon grâce à toi tout va mieux ...merci!!!!!!!

 
les (vieux) ados à tendance nerdophile pourraient ils admirer et légitimer le SA comme certaines ados complexées peuvent admirer les anorexiques?  
Parallèle pertinent à mon avis  

 
Réduire le syndrome au fait d'avoir des centres d'intérêts forts ou autres détails c'est vraiment ne rien comprendre à ce qu'il représente réellement.
 
Il y a un point que tu sembles oublier. Si tu regardes bien les critères de diagnostic du DSM par exemple tu as du oublier çà:
 

 
Donc cela ne concerne pas le simple fait d'être un peu différent des autres, mais le fait d'avoir des problèmes sociaux. A partir de là il est nécessaire de faire un diagnostic pour voir quel est le problème de base pour pouvoir le traiter au mieux. Exactement comme fait n'importe quel médecin qui examine un malade.
 

 
Trouve moi une seule étude un tant soit peu sérieuse qui dit çà. Tout au plus certains ont émis l'hypothèse du syndrome pour quelques scientifiques ou inventeurs. Mais ce ne sont que des hypothéses qui ne font pas l'unanimité, et cela ne concerne que quelques cas particuliers, donc certainement pas les trois quarts.
 
De toute façon il n'y a aucune raison pour que les scientifiques ou inventeurs soient immunisés contre cà ou n'importe quelle autre maladie, donc il y en a forcément quelques uns qui l'ont eu.
 

 
Déjà il faudrait définir ce qu'est l'autisme "normal". Si on parle maintenant de spectre autistique c'est bien parce qu'il n'y a pas une forme unique d'autisme mais tout un spectre avec des manifestations différentes à des degrés divers. La différence entre kanner et asperger est particulièrement floue et ne fait pas l'unanimité. Certains proposent même de fusionner les 2.
 
Et si l'on parle de maladie génétique ce n'est pas par hasard mais parce que de nombreuses études scientifiques ont montré qu'il y a une composante génétique assez forte. Et cela pour asperger mais aussi pour ce que tu appellerais autisme "normal". Et le fait que cela t'agace ne change rien aux faits.
 
http://lien-social.com/spip.php?article1975
http://www.inserm-actualites.com/index.php?id=549
http://www.gs-im3.fr/autism/newsletter2006.pdf

lonewolf
respect!!!!
et merci pour les liens

Bonsoir.    
Je ne suis pas sur d'étre atteint, mais j'ai quelques troubles...    
 
J'ai vraiment pas envie d'étres sociable, je préfére étres geek sur mon pc ( j'ai comme méme des copines trés réguliérement) mais ca me gave d'aller voir mes potes. J'aprécie que les gens agés ( genre 20/30 ans) avec qui on peut avoir un discour un peu construit et 36 Millions de chose à apprendre    
On s'est pas mal moqué de mon 2 de tension au collége.    
 
Je suis en Bep (donc en échec scolaire dans le général avec 10 de Moy en 3 éme) et si je me rapel bien j''était dans la moyenne haute nivo QI    
 
Je ne supporte vraiment pas l'enseignemant gnéral ( je foutais pas le bordel   ) à tel point de m'endormir en cours    ( je dors 7 h par nuit)
 
Je suis complétement dans mon monde quoiqu'il arrive.    
Le regard des autres, je m'en fous royallement et je lme débrouille bien en musique ( drums) et tous ce qu'elle englobent ( sono,cs,argent,groupies   )  
Je passe mes nuit à crér ( à essayer plutot) des sites et à apprendre des langages pour mon groupe de zic    
Je suis pas un geek niveau jeu ( enfin je joue a cs quand j'ai besoin de pas réfléchir  ) mais plutot nivo internet et non pas Clement-le-no life ( ceci dit j'ai la méme souris et la méme webcam ...   )
 
Assez dysléxique aussi.
 
Bon ce ne sont que quelque symptomes mais mieux vaut prévenir que guérir
 
Un avis ? Merci  
   
 
 

N'y aurait-il pas aussi un côté "mode" à tout ça?  C'est à dire les victimes du syndromes d'asperger sont dotées d'un QI supérieur à la moyenne, possèdent un savoir encyclopédique, une acuité visuelle supérieure, etc. etc.
C'est un modèle assez flatteur finalement, et de plus dans la description on insiste beaucoup sur le fait que les victimes de SA sont asociaux, on pourrait tendre à ce reconnaître dans ce syndrome.
Genre, "oui, nous les peoples, sommes beaux, riches et célèbres, hélas on est souvent seuls car nous sommes jalousé et honnis par le reste de la misérable plèbe".
Il sera bientôt "in" de se déclarer victime du SA.
Personnellement, je me reconnais bien dans plusieurs traits : rituels, manque d'attention, vocabulaire étendu, naïveté illimitée (très chiant celui-là.  Même si je possède une bonne capacité d'analyse, je ne me pose jamais la question "mais pourquoi me raconterait-il/elle des bobards?), panique face à la douleur de l'autre, car impossibilité de montrer sa sympathie, etc.
Et c'est pourquoi je me méfie un peu de toute cette "hype" autour du SA.  Un peu comme si un groupe de colombes fondaient un club anti-guerre près d'un élevage de faucons (mais oui chères colombes, nous aussi nous détestons la souffrance dans ce monde, approchez un peu et j'élimin... nous éliminerons toute trace de souffrance de nos existences)
Bref, je pense qu'il faudra vivre avec, mais je me demande si faire autant de tapage est une bonne idée.

 
Le probléme dans notre monde actuel c'est que quand on est asocial et bien on est un future sdf ou un suicidé, il n'y a pas de place pour les asociaux, ils ont des difficultées scolaire, ils ont des difficultées à aller vers les autres et a sucité l'interet à ce moment la à part le piston ou les relations des parents je voit pas qu'es qui peut l'aidé.

 
Il y a une différence entre ne pas avoir envie d'aller vers les autres et ne pas pouvoir.

Ceux qui s'entirent ont l'avantage de s'en tiré brillament aussi d'un autre côté ; il n'y a pas que les sdf et suicidés.

On vois bien souvent ce qu'on a envie de voir, et c'est réducteur ou même flateur en ce sens. Ne retenir que ça pour les aspergers et surtout pour tous les aspergers est bien un non sens et une bêtise individuelle que de nombreuses personnes ici comettent.

Oui je peux aller sur les autres. Béte de scéne en concert   ( enfin j'essaye )

 
Avoir une vie ou tout ou rien c'est quand meme pas équilibré.

  si tu fréquentais des associations ou groupes réunissant des "aspies" tu verrais qu'elles ont souvent des métiers communs qui leurs permettent de faire avec leurs paticularités...

un constat sans appel sur la psychiatrie en France, notamment sur le "traitement" des autistes, à l'occasion de la sortie en salles de "Elle s'appelle Sabine" :
 
http://www.france-info.com/spip.ph [...] s_theme=30

Tu n'as pas compris...

je n'ai pas compris quoi?

"Des problèmes sensoriels, n'aimant pas trop être touché par un individu ou toucher une tierce personne">>>40 ans toujours puceau quoi

le personnage principal de ce film n'est pas un aspie...

en parlant de ça, ben-x arrive au ciné:

Ben n'est pas un adolescent tout à fait comme les autres. Choyé par sa mère et protégé par son petit frère, il vit dans son propre monde. Pour lui, l'extérieur est d'une violence inouïe. Aller à l'école est devenu chaque jour un peu plus un enfer depuis que deux types de son lycée technique lui rendent la vie impossible, ne cessant de le traquer, de le harceler, de l'humilier, le poussant lentement mais sûrement à bout.
Son unique havre de paix est sa chambre. Dès qu'il s'y retrouve, il allume son ordinateur et plonge dans le seul univers où il se sente bien et un peu plus en " sécurité ", celui d'Archlord, un jeu en ligne fascinant. Il devient alors Ben X, un héros prêt à tout, invincible, qui a le coeur battant pour une certaine Scarlite. Alors qu'il décide d'en finir avec son douloureux quotidien - par le seul moyen qui trouve grâce à ses yeux ? cette jeune fille énigmatique va entrer dans sa vie...

http://www.allocine.fr/film/fichef [...] 32087.html

on apprend dans le film que le perso principal à Asperger.

merci freeza001...merci pour tout ...

 
  euh... y'a pas de quoi

J'passais par là    
Bonjour    
 
J'avoue que c'est assez effrayant de voir à quel point il est difficile de faire comprendre les spécificités de ce syndrôme.
 
L'asperger, ce n'est pas tant le fait de ne pas vouloir aller vers les autres.
Je le fait, tout le temps. Obligée, je bosse.
 
le problème, c'est dans le fonctionnement de mon petit cerveau : j'ai du mal à "lire entre les lignes".
Sans en avoir conscience, tous, quand vous communiquez, vous sous-entendez des choses. par vos mots, votre intonnation, vos gestes.
ça fait pleins de trucs à décrypter, et vous ne vous en rendez pas compte, parce que la grande majorité des gens sont comme ça.
 
Le problème c'est que nous, Aspie, ne sommes pas/peu capables de "lire" tout ça. On a une facheuse tendance à tout prendre au pied de la lettre.
 
Et oui, c'est un vrai handicap : je travaille depuis fin 2000, et là c'est ma 7ème boîte, que je rêve de quitter, parce que ça y est, c'est plus possible. Mes relations avec les autres ont encore dégénérées, et ne je comprends pas pourquoi, ni comment.
j'ai longuement interrogé, et il semblerait que, au vu de mon comportement, on a cru que....je vous passe les détails.
 
bref, encore un échec.
 
Et pourtant, je fais des efforts.
 
Mais mon petit cerveau, si rapide et efficace quand il sagit de logique, n'est pas capable de comprendre toutes les nuances dans les émotions.
 
J'ai un petit côté "simplet", que les gens ne comprennent pas puisque, par ailleurs, dans mon travail, il est évident que j'ai une intelligence supérieure.
 
Donc on me soupçonne de le faire exprès, ou je ne sais pas quoi d'ailleurs.
 
Pour finir, donc, je suis une Aspie, et je meure d'envie de m'intégrer.
Sans succès jusqu'à présent.

Hum... Quelle modestie !    
 
Alors dis-moi, qu'est-ce que l'intelligence ?

Vaste question, à laquelle j'apporterai une réponse basique : les tests de QI.
 
Sur les 2 que j'ai fait, les résultats sont probants : je suis une craque pour toute les question logiques, et pour tout le reste, je suis dans la moyenne.
 
Concrètement, je suis comptable, et le fait est que mon cerveau logique raisonne beaucoup plus rapidement que celui des autres.
Ce qui, évidemment, ne simplifie pas mes relations : je me trouve fréquemment face à des collègues qui ont peur pour leur boulot parce que je suis meilleure, et à des patrons qui apprécient peu d'avoir quelqu'un qui pige + vite qu'eux.
 
Edit : quand à ma modestie, laisse tomber, on se connaît pas, je n'ai aucun intérêt à mentir. Absolument aucun.

Alors effectivement l'intelligence ne se résume absolument pas à celà (element de ta réponse), et en est très loin.
 
Seconde question en relation avec ta réponse donc : Sais-tu à quoi servent les tests de QI ? (et donc quel est l'intérêt de leur passation) Apparemment pas tout à fait, sans quoi tu ne chercherais pas à nous ressortir tes bon résultats te servant uniquement de tremplin intellectuel (qui n'en est d'ailleurs pas un)...
 
L'intelligence "sociale" fait elle par exemple partie du tout que l'on compacte dans le terme "d'intelligence" usuelle. Donc il semble soudainement que ta dite "supériorité" en prenne déjà un vaste coup juste en prenant en compte ce point. Et ce n'est qu'un détail.

Je suis pas sûre qu'on se soit bien compris.
 
Je ne suis pas supérieure.
 
Puisque, précisément, ce que j'ai de plus en logique, est dilué par mon intelligence sociale, qui est, elle, au raz des paquerettes.
 
Je ne suis donc pas supérieure, mais différente. Et moi, je ne peux rien y faire. C'est pas faute d'avoir essayé pourtant.
 
Ceci dit, cette incompréhension est précisément le problème que je rencontre avec les gens avec lesquels je bosse : ils me voient qui bosse mieux que la moyenne, se sentent inférieurs (à tort), et me le font payer.
 
Vous, NT (NeuroTypiques), avez la capacité de se mettre à la place des gens, de comprendre, au moins un peu, ce qu'est l'Asperger.
Et pourtant, vous ne faites pas l'effort.
 
En faisant ça, vous nous excluez, purement et simplement.

Tu as bien dis, je re-cite : "intelligence supérieure" en en parlant te concernant. Je t'ai donc recadré rapidemment le terme d'intelligence afin de te faire comprendre que la façon dont tu l'employais été mauvaise.  
 
As-tu fais au moins fais un test pour t'assurer que tu es effectivement Aspergers ?
 
Je crois que le problème vient de ta fausse perception, tu es tellement imbus de toi même vis à vis des tes capacités de logiques (globalement) que tu considère que lorsque quelque chose ne va pas c'est forcement dû aux fait que les autres se sentent inférieurs...
 
Enfin évite de m'inclure dans le "vous", étant donné que tu ignore qui je suis, et ce que je suis, en dehors de celui qui a justement fais ce topic (qui te permet d'ailleurs de t'exprimer sur ce point).  

j'ai employé ce terme d'intelligence supérieure parce que c'est ainsi que les autres le voient, en tout cas dans mon travail.
 
Alors non, ce n'est bien évidemment pas la seule cause de mon isolement, je l'ai dit et je le répète, il est bien évidemment dû à mon incapacité à "lire" les gens.
 
Simplement, mes capacités particulières s'exprimant dans le travail, et non pas ailleurs, et dans la mesure où c'est justement là que j'ai le plus de difficultés sociales, au fil des années, j'ai effectivement finit par faire le lien.
 
pas tout seule d'ailleurs, mais suite à une longue conversation avec une personne "normale".
 
Pour finir, non je ne suis pas officiellement diagnostiquée, ni d'ailleurs ma mère, ni ma grand-mère. Le diagnostique est extrêmement difficile à obtenir.
C'est juste une tragédie familiale chez nous, qui n'avait pas de nom jusque là.
De toute façon, je ne ressens pas le besoin qu'on me mette cette étiquette. J'ai suffisament de "traits" aspi pour être, du moins, différente, et en souffrir, sans être capable de savoir comment faire pour être comprise....puisque moi je ne peux vraiment comprendre les autres, s'ils ne font pas la démarche, malgré tous mes efforts, ma bonne volonté......ça n'est pas suffisant, loin s'en faut.

Tu dis ne pas ressentir le besoin qu'on te mette cette étiquette, et c'est pourtant précisement ce que tu es entrain de faire sur toi, ta famille, et les "autres".

je suis très fatiguée, je viens de subir 4 jours d'agression sonore et verbale. Du coup je m'exprime mal, même à l'écrit.
 
Je reprends donc.
 
Compte tenu de mes soucis, de mes perceptions, il est évident que je suis aspi, et au vu de mon histoire familiale, que c'est héréditaire.
 
Je ne ressents donc pas le besoin de subir une batterie de test pour qu'un psy me dise que je suis aspi.
 
Je prends un exemple pour m'expliquer : je suis allergique au pollen, depuis l'âge de 14 ans. Je l'ai su parce qu'un ophtalmo me l'a suggéré. J'ai fait attention, par la suite, aux périodes auxquelles j'avais de la conjonctivite, pour arriver à la conclusion qu'effectivement, j'était bien allergique au pollen
Plus tard, pour modifier le traitement qui ne suffisait plus, j'ai consulté un allergologue, qui m'a fait une batterie de test, pour, au final, me dire "Mademoiselle vous êtes allergique au pollen, ça fera 250 Frs".
Merci beaucoup, mais enfin j'avais pas besoin de ça, mais de solution.
 
Idem pour le SA. je vois pas bien ce qu'un psy pourrait m'apporter, c'est pas un truc qui se soigne.
 
Ensuite, oui je me mets une étiquette si on veut......disons surtout qu'après de longues années de difficultés, d'efforts stériles, j'ai finit par perdre le peu de confiance en moi que j'avais, en me disant que, quand même, j'était même pas capable de m'intégrer dans une entreprise.
 
La découverte du SA m'a déculpabilisée, et me permet aujourd'hui de m'accepter.
 
Ceci dit, c'est une dont je n'ai jamais parlé à mon entourage, et surtout pas au boulot. Donc c'est pas une étiquette bien dangereuse, c'est juste une "case" qui me convient, qui me correspond, et qui me permet de m'accepter.
 
Je crois que je me répète, je vais sans doute arrêter là pour ce soir, je suis vraiment épuisée.