Reprise du message précédent :
Gros craving en rentrant du boulot, comme d'hab quoi
Et au lieu d'être une merde, je suis allé à la salle de sport. 1h de vélo.    
La dernière fois que j'y suis allé, c'était en mai 2018, j'avais fait 5 jours d'abstinence + sport.  
Ça s'est mal passé le 6eme jour    
Et les 100 autres jours qui ont suivi.  

Ya bon les endorphines  
Accroche-toi, ne ressors pas ce soir pour t'acheter de la merde.
Bouffe tôt, si ce n'est pas déjà fait, ça diminue le craving en général

https://www.youtube.com/watch?v=6EghiY_s2ts
Elle parle du naltraxone. C'est le baclo ou autre chose ?

La naltrexone c'est un antagoniste des récepteurs opioïdes, comme la naloxone utilisée pour traiter les overdoses d’héroïne & cie, grosso modo ça empêche d'agir les opioïdes, morphine héroïne etc mais aussi les endorphines produites naturellement par le corps.

C'est utilisée pour limiter l'euphorie liée à la consommation d'alcool, le but c'est de limiter l'envie : tu bois mais ça te fait pas vraiment de bien, du coup t'as moins envie de boire.

J'ai pas d'expérience sur le sujet mais l'efficacité est considérée comme pas formidable déjà c'est pas pour tous les profils, pour l'alcoolisme chronique c'est à peu près inutile parce que tu bois plus tant pour le fun que pour arriver vaguement à fonctionner au quotidien et avoir un peu moins envie de te pendre, c'est plutôt pour les buveurs plus occasionnels mais qui ont du mal à se modérer ou ceux en sortie de cure pour limiter les rechutes. Un des soucis c'est que ça bloque aussi les endorphines, ça veut dire potentiellement (ça dépend des gens) moins de plaisir par les méthodes "naturelles" (sport, bouffe, sexe, etc) ou alors il faut gérer ça en prenant ton traitement après ta séance de sport pour pouvoir en profiter pleinement, mais bon du coup j'imagine qu'à l'occasion t'es aussi tenté de zapper ton traitement histoire de pouvoir aussi profiter pleinement de ta soirée au bar. C'est un peu le problème principal avec ce type de traitement, si t'as vraiment envie de boire bah tu le prends pas tu te mets une cuite et basta, et de toute façon comme l'aotal ou le baclo ou tous les médicaments c'est juste une béquille pour accompagner la psychothérapie et un travail plus lourd de changement des habitudes, le médoc peut aider un peu mais en soi il ne change rien.

Edit : j'ai regardé la vidéo, j'y ai trouvé un tas de trucs énervants voire complètement débiles que j'avais commencé à lister mais la méthode dont elle parle est pas inintéressante et je voudrais pas l'enterrer à cause d'une très mauvaise présentation. Au lieu d'avoir un traitement quotidien ou une injection mensuelle tu prends une pilule 1-2h avant de boire avec tout de même l'objectif final de réduire fortement les occasions où tu bois, du coup tu prends le moins de naltrexone possible et ça doit pouvoir limiter les effets secondaires. C'est cohérent mais pas destiné à tout le monde et faut bien le mettre en œuvre ce qui est loin d'être évident, et comme AA les fanboys ont l'air très axés sur le "si ça marche pas c'est que tu respectes pas la démarche", ce qui est agaçant et très contre-productif

Han ! J'ai été coiffé au poteau

La Naltrexone chlorhydrate est commercialisée en France sous le nom de Revia par le labo Bristol-Myers Squibb (10ème groupe pharmaceutique mondial).
Son impact sur le craving oscille entre le zéro absolu et l'effet placebo pour ceux qui veulent y croire.
J'en parle en connaissance de cause, je l'ai essayé, comme tout ce qui est disponible sur le marché français. J'en ai aussi souvent parlé avec d'autres patients qui ont confirmé ce que je dis au-dessus : pas d'effet marqué, on renâcle à le prendre, ce n'est pas un traitement de fond, ça ne fait pas disparaître le craving, si la pulsion te prend par surprise (comme c'est souvent le cas) bah t'es un peu dans la merde.

Les gens qui trouvent que ça fonctionne veulent s'y raccrocher (leurs thérapeutes aussi ). Si l'auto persuasion les aide, je ne crache pas dans la soupe, tant mieux pour eux.
C'est ce type de molécule que les labos veulent absolument vendre, donc ils veulent que les médecins et les spécialistes les prescrivent et on connait leurs méthodes : beaucoup de lobbyisme, avec le corps médical et avec les agences gouvernementales garantes de la santé publique.

L'effet corollaire est qu'ils ont entravé l'autorisation et la commercialisation du Baclofène, un vieux médicament qui coûte que dalle, dont l'usage dérivé a donné des résultats inattendus, de l'aveu de patients et médecins qui ont déjà essayé tout ce qui existe sur le marché depuis 30 ans.

Quant à la madame qui fait son speech au Tedx, c'est effectivement une actrice, elle vend bien son show à la 'ricaine
On entend surtout les AA à travers son discours et plusieurs détails dans son histoire m'ont fait tiqué.
De là à dire qu'elle est VRP pour le produit, il n'y a qu'un pas

Ça a l'air bien tentant quand même.
Ça veut dire qu'il n'y a plus besoin de luter contre le craving (qu'on fini toujours par perdre un jour ou l'autre).  
Il suffit juste de prendre la pill, attendre 1h et boire sa boisson favorite.
On peut même faire du drinking social à nouveau.

Cf mon avis après avoir expérimenté le machin et ceux de la plupart des patients qui m'en ont parlé  
Et ça efface le craving uniquement quand on le prend et au bout d'un certain laps de temps (1-2 h), alors que le craving te prend quand il veut sans se soucier du temps
Mais en général, on te prescrit une prise de 50 mg/jour.
Ca peut filer des nausées, surtout en début de traitement. Perso, ça ne m'a jamais coupé l'envie de picoler, ni d'être bourré (alors que c'est aussi censé gommer l'euphorie alcoolique).
 
Mais libre à toi de tenter l'expérience, les toubibs le prescrivent facilement, c'est même leur premier réflexe quand ils sont ignorants du Baclofène, ce qui englobe une majorité d'entre eux.
Ca m'étonne même qu'on ne te l'ait jamais proposé. En France, son petit nom c'est ReVia (chlorhydrate de naltrexone).
Tu feras peut-être partie des patients chez qui c'est efficace, c'est tout le mal que je te souhaite

Mouais pour le complot pharmaceutique, à un comprimé par jour ça fait 30 balles par mois ça m'a pas l'air de rapporter beaucoup plus que le baclo    
 
Balco si ça te parle comme traitement faut pas hésiter, comme dit bpb c'est plutôt facilement prescrit (je me souviens qu'on m'avait parlé du selincro en cure, c'est le même genre de molécule) et bon c'est un médicament, ya bien sûr des effets secondaires potentiels mais c'est pas une chimio non plus si tu penses que ça peut t'aider va en parler à un médecin/addicto

Le Selincro, c'est du Nalméfène. Je ne sais pas exactement quelle est la différence avec le Naltrexone, je crois que la molécule est antérieure.
J'ai testé aussi, ça ne m'a rien fait, je picolais toujours autant comme un porc à l'époque.
J'arrivais même à me pinter sous Espéral (Disulfirame), alors que ça te file la gerbe, de la tachycardie et des vieilles bouffées de chaleur (c'est censé te dégoutter de boire).
Je devais avoir une grosse motivation... à boire
 
Je pense que j'ai fait le tour de tout les traitements génériques proposés.
Quant aux anxios (Seresta ou autres benzos), je finissais toujours par mélanger avec l'alcool, pour les effets catastrophiques prévisibles

Merci, c'est super intéressant !

Ce qui a tendance à me faire comprendre pourquoi le kratom réussit à m'empêcher de boire

Les vidéos de stopdrinkingexpert.com sont aussi super intéressantes.
J'hésite même à payer pour avoir accès au programme.

Euh là par contre je déconseille fortement  

Pour revenir au Naltrexone (ReVia en France), j'ai un peu creusé la question par curiosité.
 
Vu que c'est un antagoniste des opiacés endogènes (=produits par son propre cerveau), il bloque la sensation de plaisir, de récompense que déclenche normalement la prise d'alcool ou d'opiacés (qui étaient sa cible, à l'origine).
Donc il n'y a plus de production de dopamine, molécule du plaisir mais qui est aussi celle qui créée une habitude de consommation, une mémoire de ce qui est bon et donc de ce qui doit être répété, recherché, ce qui débouchera sur le craving, dans sa forme la plus exacerbée (phénomène de renforcement positif).
Si le cerveau désapprend sa mémoire positive de l'alcool, le craving est censé disparaître au bout d'un moment.
C'est le mécanisme visé par le médoc'.
 
Là où il y a une subtilité dans la façon dont le traitement doit être utilisé, c'est qu'il DOIT être associé avec des prises d'alcool pour mettre en place un changement de paradigme dans la relation à l'éthanol.
Pour désapprendre le rapport plaisir=alcool, il faut pratiquer. C'est la répétition d'expériences qui ne seront plus satisfaisantes qui va provoquer mécaniquement le désintérêt et effacer la mémoire positive dopaminergique.
Donc il faut prendre son ReVia (1 h avant alcoolisation ou tous les jours si on boit tous les jours) et puis commencer à boire comme d'habitude. En principe, on devrait boire moins puisque la réponse dopaminergique sera moindre et la mémoire plaisir/alcool devrait commencer à diminuer, par suite logique le craving aussi.
Le processus global est basé sur la répétition de ce désapprentissage, donc en consommant (normalement de moins en moins si ça fonctionne) sous traitement.
 
Certains médecins estiment qu'il faut 3 à 4 mois pour désapprendre cette mémoire dopaminergique.
Sur la chaîne What I Learned, je suis tombé sur une vidéo récente sur le sujet qui résume bien le processus
 
Reste que, de mon expérience personnelle et de celle d'autres patients, si on a vraiment envie de boire, on boira quand même. Qu'il y ait plaisir moindre ou pas, la sensation d'ivresse sera quand même au rendez-vous
Si on est enferré dans un mode comportemental, il n'y a pas que le problème pur de chimie cérébrale, mais aussi la notion rassurante d'habitude ou une conformation sociale ou une forme d'automédication mal gérée rt parfois juste un désir d'oubli ou d'auto-destruction, une pulsion de mort. Il y a aussi le phénomène de manque des premiers jours de sevrage ou de réduction de la conso.  
Qui a dit que l'alcoolodépendance n'était qu'une affaire de plaisir ?
 
Et que se passe-t-il une fois le désapprentissage achevé ? Faut-il continuer le traitement avant chaque prise d'alcool qu'on ne devrait plus avoir envie de boire ? Que se passe-t-il si on en consomme sans Naltrexone ?
Un des problèmes du traitement, c'est que le craving peut saisir n'importe quand dans la journée pour un gros buveur, sans crier gare. Ca ne se prévoit pas forcément 1 h avant.
Ensuite, il y a l'évitement plus ou moins conscient de la pilule pour éprouver à nouveau le plaisir alcoolique dont on se souvient, depuis l'acte manqué jusqu'à celui volontaire.
Enfin, si on prend systématiquement 50 mg quotidiens, à quel moment de la journée est-ce conseillé ? Rien n'est inscrit dans la posologie. Est-ce encore efficace à 20 h si on l'a pris à 8 h ? A priori, non : demi-vie = 4 h, élimination = 13 h, d'après le Wiki. Donc il y a un problème stratégique à traiter, là.
 
En général, j'avais constaté (et je rejoins des avis similaires à ce sujet) que ça évitait des escalades exponentielles délirantes de consommation, mais à aucun moment ça n'avait changé mes habitudes de consommation quotidienne, ma dépendance psychologique et physiologique ou l'existence du craving (purement chimique ou comportemental).
Ca avait atténué une tendance au binge drinking, mais ça s'était arrêté là
Donc ce fut un échec pour moi  
 
Au passage, Wiki Naltrexone

Pourquoi ?

Pour éviter la gueule de bois il suffit de picoler 7j/7

Parce que c'est pas une bonne idée de filer du pognon au premier guignol venu qui est là pour profiter de la misère des autres.
 
Ya un paquet de trucs problématiques et manipulateurs sur ce site, les flatteries à tout va "vous n'êtes pas des alcooliques mais juste des buveurs à problème en restant de bons parents travailleurs blablabla" "mes membres ne sont pas les déchets qu'on voit à la télé mais des gens très intelligents avec un problème d'alcool", les promesses miraculeuses à la con "la meilleure méthode pour arrêter de boire !" "fun, facile, arrêtez de boire en vous amusant" (lol) "résultats garantis" !, les tarifs présentés de façon frauduleuse : 4500$ seulement 450$ ! promo exceptionnelle ! (100% garanti qu'il n'a jamais rien vendu au tarif barré)  
 
Tu recevrais un mail avec le même genre de méthodes de vendeur de canapé de la ZAC d'Amiens nord pour que t'achètes "la super combine qui va vous faire gagner 50000$ par mois ! résultats garantis ! les patrons nous détestent !" tu te dirais à raison "qu'est-ce que c'est que cette merde", là tu considères la chose parce que c'est un sujet à propos duquel tu es vulnérable et les gens comme ça en profitent et tout est fait dans le design et les arguments dans un seul objectif, te prendre ton fric. Et derrière t'as rien, probablement un ensemble de conseils et de techniques juste bien présentées, que tu pourrais avoir ailleurs sur internet ou chez un médecin, + quelques trucs farfelus et des "entretiens privilégiés avec Craig" (wouhou)

 
Yes !! Et de commencer très tôt le matin, pour qu'aux alentours des 19h tu sois endormi sur ton canapé (ou par terre ou peu importe ça dépend de l'intensité de l'exercice). Comme ça les lendemain il reste que l'anxiété et l'angoisse mais pas de gueule de bois  
 
Ou alors faut arrêter de boire  

Ou (ré-)apprendre la modération.
Ce qui est peut-être le plus ardu

Encore une preuve que tu as pris pas mal de distance avec le produit
Suffisamment en tout cas pour ne pas réenclencher la routine d'une consommation quotidienne.
C'est plutôt positif comme constat, en fait.
 
Et être capable de boire, même une quantité un peu excessive, en délayant dans le temps (une demi-journée, une très longue soirée), fait partie des stratégies d'évitement de l'escalade à la conso et du craving qui pourrait survenir plus tard. Faire durer trèèèès longtemps son verre.
 
Je pense qu'il faut définitivement intégrer deux mécanismes "d'auto-défense" pour rester du bon côté de la ligne
- Pas tous les jours
- Lenteur de l'ingestion (l'inverse strict du binge drinking)

Oui d'accord la dessus.
Néanmoins, ses vidéos gratuites sont de grande qualité et m'ont appris beaucoup de choses.
Je surveille le prix, en décembre on était vers les 200€ soit ... 5 jours de conso.
A ce prix la, un coaching de 90 jours c'est pas grand chose au final.

Ca sent quand même la grosse arnaque à plein nez.
Rien qu'à voir leur site : https://www.stopdrinkingexpert.com/
 
Je ne comprend même pas que ça puisse te tenter

Déjà, trouver un bon toubib ou thérapeute, de préférence médecin (ça écarte une partie des charlatans et c'est remboursé ), est un meilleur début.
 
J'en ai consulté un grand éventail, du psychologue au psychiatre, de l'alcoologue/addictologue au thérapeute le plus ésotérique (respiration holotropique et autres magnétiseurs) et finalement, depuis plus de 6 ans je suis revenu au médecin généraliste avec qui tout avait commencé il y a fort longtemps.
Elle me connaît bien, a suivi tout mon parcours, on a déjà essayé plein de pistes différentes et elle est capable de plus de psychologie que la plupart de ceux sus-cités tout en gardant les pieds sur terre  
C'est avec elle que j'ai commencé le Baclofène.  
Maintenant, je ne la vois plus qu'une fois par mois ou tous les deux mois pour faire un debriefing, au début c'était hebdomadaire.

Tu peux lire son e-book gratuitement ici : https://www.stopdrinkingexpert.com/altm.pdf
C'est très intéressant, tout comme ses vidéos gratuites.
Je suis effectivement prêt à payer pour avoir accès à plus.
Bon la, il a doublé le prix parce que c'est janvier, les bonnes résolutions tout ça, et il a bien raison.
Mais quand ce sera vers ~200€, pourquoi pas.

Chacun voit midi à sa porte

tu devrais regarder des vidéos sur youtube et garder ton blé, tu apprendras sûrement les mêmes trucs
 

Les mecs qui disent qu'ils ont "un grand secret" et qu'ils ont "découvert la vérité" à propos de [insérez ce que vous voulez : d.ieu, l'alcool, l'amour, la réussite, la plume dans l'cul...] et qui se proposent de te le faire partager contre de la thune et si possible beaucoup de thune (mais ça tombe bien, on fait une promo en ce moment, ça passe de 5 chiffres à seulement 3 chiffres), ça réveille mon radar à bullshit direct
 
C'est le speech 101 du mauvais escroc...

Fais gaffe, tu risques de perdre l'habitude de boire
En plus, ta résistance à l'alcool va diminuer, tu seras pompette avec un ballon de côte et ça te coûtera beaucoup moins cher en conso  
 
Tu files un mauvais coton bouchon  
 
 

Piouff !
 
Je suis pas mal sorti ce we, c'est difficile de rester le plus sobre possible tout en acceptant de boire un peu mais très peu  
 
Premier constat, c'est possible de refuser de boire avant le dîner ou la soirée, il y a une espèce de règle de "rien avant 17-18 h" qui doit venir du UK et de ses pubs ou juste de l'apéro franco français.
Par contre, c'est plus compliqué de se justifier passé cette heure charnière.
En fait, je n'essaye même pas, j'accepte tous les refills et j'en verse un tiers dans les plantes, j'en file un tiers aux autres et je bois le dernier
 
Résultat : je bois moins et je suis très populaire

ça y est, ma femme s'est tirée...elle a pris un appart je sais pas où. Elle me laisse la maison (et le crédit qui va avec...) les 2 voitures , le chat, les enfants et les emmerdes.
Est ce que j'ai envie de boire ? J'y ai pensé rapidement, mais j'ai fait ça trop de fois avant et je sais que ça aggrave les choses. Me laisserai peut-être un peu aller ce we on verra. Et pis si je commence à boire à cause de ça je finirai la bouteille, alors...
 
Quand même, 35 ans de vie commune, je me sens pas au top ce soir...

   
Ha mince, effectivement ça fait quelque chose.
Tente de tenir, on est avec toi  

Voui, ça fait quelque chose...  
 
Merci...

Merci mec...tenez le coup ça en vaut la peine...il y a 1 an ou 2 je me serais bourré la gueule, engueulé avec tout le monde, raconté des conneries et peut-être en faire une...

Arf !
Bon courage allende.
Tiens bon la barre. Comme tu le dis toi-même, noyer ça dans la bouteille n'arrangerait rien, ça ne ferait sans doute qu'augmenter le mal-être

Merci bpb...on apprend au moins ça quand on arrête : l'alcool aggrave TOUT !