Bah les nettoyer si, j'en suis la preuve vivante.

La même a venir    
Je suis invité en loge par un voisin voir un match de foot
Que des patrons, grands directeurs ou DG clients de mon voisin.
Le fameux « et vous, que faites vous ? » pour savoir de manière plus ou moins déguisé si je suis important et ai du réseau ou pas va me mettre mal à l’aise je pense  

 
Voilà qui m'en rappelle une autre. On m'avait propulsé en prestation dans une banque étrangère très classe.
Les mecs faisaient l'aller retour Paris - Toronto le week-end, on s'y échangeait les cartes de visites façon American Psycho, bref ça rigolait pas. Pas du tout.
J'avais rien à voir avec ces gens là, tout ce que je pouvais échanger c'était ma carte orange 5 zones.
 
Ce jour là, je me rends aux toilettes. Ce lieu c'était l'entrée au Valhalla, ça brillait de partout. J'étais fier d'avoir au moins conquis cette partie de ce monde étrange.
J'ai une envie super pressante mais je ne suis pas seul aux chiottes. J'ai beaucoup de mal à pisser avec du monde autour.
 
Alors j'attends, la quéquette à l'air, sortie du caleçon, qui contemple ce superbe urinoir. J'attends que ça veuille bien venir... Là on entre dans la partie technique : je dégageais mon caleçon du pouce gauche prenant appuis sur l'élastique du dit caleçon sus mentionné. Sauf qu'à force d'attendre que ça vienne, l'élastique se fait la malle et claque furieusement sur mes glaouis.
Sans doute une malédiction des Dieux du Valhalla, en tout cas j'ai gueulé comme une truie. Couille gauche assommée.
 
Puis, le silence. Les autres, toujours là, me regardent comme si je venais de me transformer, mi-homme mi-animal.
Et là, tout sourire, avec une couille encore dans les vaps je leur dit : "hi hi elle est tellement grosse qu'à chaque fois que je la sors je suis surpris hi hi".
 
Ca ne fait rire personne, le soir même on me fait savoir que c'est pas la peine de revenir le lendemain.

 
Bah invente toi une vie pour l'occasion ^^

La même a venir    
Je suis invité en loge par un voisin voir un match de foot
Que des patrons, grands directeurs ou DG clients de mon voisin.
Le fameux « et vous, que faites vous ? » pour savoir de manière plus ou moins déguisé si je suis important et ai du réseau ou pas va me mettre mal à l’aise je pense  

 
c'est en suivant leurs regards que j'ai realisé, mortifiée, que j'etais machinalement en train de couper la viande dans son assiette en petits morceaux depuis 3 bonnes minutes et lui avait, gentiment, écrasé les plus gros légumes d'accompagnement en purée.  
 

La même a venir
Je suis invité en loge par un voisin voir un match de foot
Que des patrons, grands directeurs ou DG clients de mon voisin.
Le fameux « et vous, que faites vous ? » pour savoir de manière plus ou moins déguisé si je suis important et ai du réseau ou pas va me mettre mal à l’aise je pense

"Vous savez en depit de mes cheveux blancs je ne suis pas si vieux. Vous êtes mère de jeunes enfants non?"

[...]

c'est en suivant leurs regards que j'ai realisé, mortifiée, que j'etais machinalement en train de couper la viande dans son assiette en petits morceaux depuis 3 bonnes minutes et lui avait, gentiment, écrasé les plus gros légumes d'accompagnement en purée.

 
Bah invente toi une vie pour l'occasion ^^

: "hi hi elle est tellement grosse qu'à chaque fois que je la sors je suis surpris hi hi".

Dans la serie honte professionnelle    
 
 
Il y a de fort lointaines années, doctorante,  j'ai été invitée à participer à un colloque avec des gens tout plein prestigieux  ( enfin prestigieux  dans un cercle tres limité donc d'illustres inconnus pour 99,9% de la population )
 
Je passe sur ma timidité, mon émotion totale d'intervenir devant ces personnes, mon sentiment d'imposture, et donc la nuit quasi blanche qui a précédé mon intervention.  
Nuit  raccourcie qui, hélas, s'ajoutait au manque de sommeil semi-chronique accompagnant les premières années d'élevage d'enfants particulièrement taquins et  noctambules.
 
L'épreuve de la prise de parole publique surmontée, ( non vous n'aurez pas de honte flatulences ou pdfcochon inopiné ) c'est donc dans un etat de soulagement béat doublé surtout d'un coup de pompe carabiné que j'aborde le diner prévu pour les intervenants avec l'idée saugrenue que le plus ardu est passé et que je n'ai plus qu'à tenter de faire plus ou moins bonne figure à la table où l'on m'a placé.
 
 
La conversation vole un peu trop haut pour mes neurones tres fatigués.
les plats succèdent aux entrées, mon voisin de gauche, sommité et quasi dieu vivant pour l'etudiante que j'etais encore,  fait quasiment toute la conversation  mais s'interrompt soudain au milieu d'une anecdote :
"Vous savez en depit de mes cheveux blancs je ne suis pas si vieux. Vous êtes mère de jeunes enfants non?"  
 
.…incompréhension totale ...  
 le changement de ton me sort cependant immédiatement du mode veille/automatisme où s'était refugié mon encéphalogramme à plat.
dans de curieuses microsecondes s'étirant façon siecle je prends aussi brusquement conscience que, curieusement, toute la table  me fixe  entre hilarité et horreur.
 
c'est en suivant leurs regards que j'ai realisé, mortifiée, que j'etais machinalement en train de couper la viande dans son assiette en petits morceaux depuis 3 bonnes minutes et lui avait, gentiment, écrasé les plus gros légumes d'accompagnement en purée.  
 
   
 
J'ai bien evidement passé la fin du repas entre bredouillages d'excuses, rougeurs, à m'enfoncer un peu plus à proposer un echange d'assiettes… et surtout interrogée sur mes gnomes au lieu de parler de ma brillante ( forcement brillante ^^) these …
Un gros sens du réseautage.  

Mannequin de forum de geeks, ça devrait en imposer de ouf.

Dans la serie honte professionnelle    
 

Trop dangereux
Au bout de une ou deux questions pour savoir si tu connais untel ou untel tu es grillé

Dans la serie honte professionnelle    
 

Voilà qui m'en rappelle une autre. On m'avait propulsé en prestation dans une banque étrangère très classe.
Les mecs faisaient l'aller retour Paris - Toronto le week-end, on s'y échangeait les cartes de visites façon American Psycho, bref ça rigolait pas. Pas du tout.
J'avais rien à voir avec ces gens là, tout ce que je pouvais échanger c'était ma carte orange 5 zones.

Ce jour là, je me rends aux toilettes. Ce lieu c'était l'entrée au Valhalla, ça brillait de partout. J'étais fier d'avoir au moins conquis cette partie de ce monde étrange.
J'ai une envie super pressante mais je ne suis pas seul aux chiottes. J'ai beaucoup de mal à pisser avec du monde autour.

Alors j'attends, la quéquette à l'air, sortie du caleçon, qui contemple ce superbe urinoir. J'attends que ça veuille bien venir... Là on entre dans la partie technique : je dégageais mon caleçon du pouce gauche prenant appuis sur l'élastique du dit caleçon sus mentionné. Sauf qu'à force d'attendre que ça vienne, l'élastique se fait la malle et claque furieusement sur mes glaouis.
Sans doute une malédiction des Dieux du Valhalla, en tout cas j'ai gueulé comme une truie. Couille gauche assommée.

Puis, le silence. Les autres, toujours là, me regardent comme si je venais de me transformer, mi-homme mi-animal.
Et là, tout sourire, avec une couille encore dans les vaps je leur dit : "hi hi elle est tellement grosse qu'à chaque fois que je la sors je suis surpris hi hi".

Ca ne fait rire personne, le soir même on me fait savoir que c'est pas la peine de revenir le lendemain.

 
Voilà qui m'en rappelle une autre. On m'avait propulsé en prestation dans une banque étrangère très classe.
Les mecs faisaient l'aller retour Paris - Toronto le week-end, on s'y échangeait les cartes de visites façon American Psycho, bref ça rigolait pas. Pas du tout.
J'avais rien à voir avec ces gens là, tout ce que je pouvais échanger c'était ma carte orange 5 zones.
 
Ce jour là, je me rends aux toilettes. Ce lieu c'était l'entrée au Valhalla, ça brillait de partout. J'étais fier d'avoir au moins conquis cette partie de ce monde étrange.
J'ai une envie super pressante mais je ne suis pas seul aux chiottes. J'ai beaucoup de mal à pisser avec du monde autour.
 
Alors j'attends, la quéquette à l'air, sortie du caleçon, qui contemple ce superbe urinoir. J'attends que ça veuille bien venir... Là on entre dans la partie technique : je dégageais mon caleçon du pouce gauche prenant appuis sur l'élastique du dit caleçon sus mentionné. Sauf qu'à force d'attendre que ça vienne, l'élastique se fait la malle et claque furieusement sur mes glaouis.
Sans doute une malédiction des Dieux du Valhalla, en tout cas j'ai gueulé comme une truie. Couille gauche assommée.
 
Puis, le silence. Les autres, toujours là, me regardent comme si je venais de me transformer, mi-homme mi-animal.
Et là, tout sourire, avec une couille encore dans les vaps je leur dit : "hi hi elle est tellement grosse qu'à chaque fois que je la sors je suis surpris hi hi".
 
Ca ne fait rire personne, le soir même on me fait savoir que c'est pas la peine de revenir le lendemain.

 
Et ? Tu t'en cognes justement.
 
Tu peux aussi tenter un truc improbable :
 
- prince Nigérien  
- recruteur pour le PSG
- champion de curling
- fan de Denis Roussos. Tu ne vis que pour Denis !
- tu préfères rester discret sur ta mission actuelle en Ukraine.  
- obiwan

La même a venir    
Je suis invité en loge par un voisin voir un match de foot
Que des patrons, grands directeurs ou DG clients de mon voisin.
Le fameux « et vous, que faites vous ? » pour savoir de manière plus ou moins déguisé si je suis important et ai du réseau ou pas va me mettre mal à l’aise je pense  

 
tu penses qu'ils t'ont vraiment dégagé pour ça?    

Dans la serie honte professionnelle

Il y a de fort lointaines années, doctorante, j'ai été invitée à participer à un colloque avec des gens tout plein prestigieux ( enfin prestigieux dans un cercle tres limité donc d'illustres inconnus pour 99,9% de la population )

Je passe sur ma timidité, mon émotion totale d'intervenir devant ces personnes, mon sentiment d'imposture, et donc la nuit quasi blanche qui a précédé mon intervention.
Nuit raccourcie qui, hélas, s'ajoutait au manque de sommeil semi-chronique accompagnant les premières années d'élevage d'enfants particulièrement taquins et noctambules.

L'épreuve de la prise de parole publique surmontée, ( non vous n'aurez pas de honte flatulences ou pdfcochon inopiné ) c'est donc dans un etat de soulagement béat doublé surtout d'un coup de pompe carabiné que j'aborde le diner prévu pour les intervenants avec l'idée saugrenue que le plus ardu est passé et que je n'ai plus qu'à tenter de faire plus ou moins bonne figure à la table où l'on m'a placé.

La conversation vole un peu trop haut pour mes neurones tres fatigués.
les plats succèdent aux entrées, mon voisin de gauche, sommité et quasi dieu vivant pour l'etudiante que j'etais encore, fait quasiment toute la conversation mais s'interrompt soudain au milieu d'une anecdote :
"Vous savez en depit de mes cheveux blancs je ne suis pas si vieux. Vous êtes mère de jeunes enfants non?"

.…incompréhension totale ...
le changement de ton me sort cependant immédiatement du mode veille/automatisme où s'était refugié mon encéphalogramme à plat.
dans de curieuses microsecondes s'étirant façon siecle je prends aussi brusquement conscience que, curieusement, toute la table me fixe entre hilarité et horreur.

c'est en suivant leurs regards que j'ai realisé, mortifiée, que j'etais machinalement en train de couper la viande dans son assiette en petits morceaux depuis 3 bonnes minutes et lui avait, gentiment, écrasé les plus gros légumes d'accompagnement en purée.

J'ai bien evidement passé la fin du repas entre bredouillages d'excuses, rougeurs, à m'enfoncer un peu plus à proposer un echange d'assiettes… et surtout interrogée sur mes gnomes au lieu de parler de ma brillante ( forcement brillante ^^) these …
Un gros sens du réseautage.

 
 
C'est toi Ksoulet ??

Dans la serie honte professionnelle    
 
 
Il y a de fort lointaines années, doctorante,  j'ai été invitée à participer à un colloque avec des gens tout plein prestigieux  ( enfin prestigieux  dans un cercle tres limité donc d'illustres inconnus pour 99,9% de la population )
 
Je passe sur ma timidité, mon émotion totale d'intervenir devant ces personnes, mon sentiment d'imposture, et donc la nuit quasi blanche qui a précédé mon intervention.  
Nuit  raccourcie qui, hélas, s'ajoutait au manque de sommeil semi-chronique accompagnant les premières années d'élevage d'enfants particulièrement taquins et  noctambules.
 
L'épreuve de la prise de parole publique surmontée, ( non vous n'aurez pas de honte flatulences ou pdfcochon inopiné ) c'est donc dans un etat de soulagement béat doublé surtout d'un coup de pompe carabiné que j'aborde le diner prévu pour les intervenants avec l'idée saugrenue que le plus ardu est passé et que je n'ai plus qu'à tenter de faire plus ou moins bonne figure à la table où l'on m'a placé.
 
 
La conversation vole un peu trop haut pour mes neurones tres fatigués.
les plats succèdent aux entrées, mon voisin de gauche, sommité et quasi dieu vivant pour l'etudiante que j'etais encore,  fait quasiment toute la conversation  mais s'interrompt soudain au milieu d'une anecdote :
"Vous savez en depit de mes cheveux blancs je ne suis pas si vieux. Vous êtes mère de jeunes enfants non?"  
 
.…incompréhension totale ...  
 le changement de ton me sort cependant immédiatement du mode veille/automatisme où s'était refugié mon encéphalogramme à plat.
dans de curieuses microsecondes s'étirant façon siecle je prends aussi brusquement conscience que, curieusement, toute la table  me fixe  entre hilarité et horreur.
 
c'est en suivant leurs regards que j'ai realisé, mortifiée, que j'etais machinalement en train de couper la viande dans son assiette en petits morceaux depuis 3 bonnes minutes et lui avait, gentiment, écrasé les plus gros légumes d'accompagnement en purée.  
 
   
 
J'ai bien evidement passé la fin du repas entre bredouillages d'excuses, rougeurs, à m'enfoncer un peu plus à proposer un echange d'assiettes… et surtout interrogée sur mes gnomes au lieu de parler de ma brillante ( forcement brillante ^^) these …
Un gros sens du réseautage.  

 
Voilà qui m'en rappelle une autre. On m'avait propulsé en prestation dans une banque étrangère très classe.
Les mecs faisaient l'aller retour Paris - Toronto le week-end, on s'y échangeait les cartes de visites façon American Psycho, bref ça rigolait pas. Pas du tout.
J'avais rien à voir avec ces gens là, tout ce que je pouvais échanger c'était ma carte orange 5 zones.
 
Ca ne fait rire personne, le soir même on me fait savoir que c'est pas la peine de revenir le lendemain.

Dans la serie honte professionnelle    
 
 
J'ai bien evidement passé la fin du repas entre bredouillages d'excuses, rougeurs, à m'enfoncer un peu plus à proposer un echange d'assiettes… et surtout interrogée sur mes gnomes au lieu de parler de ma brillante ( forcement brillante ^^) these …
Un gros sens du réseautage.  

tu penses qu'ils t'ont vraiment dégagé pour ça?

 
Et ? Tu t'en cognes justement.
 
Tu peux aussi tenter un truc improbable :
 
- prince Nigérien  
- recruteur pour le PSG
- champion de curling
- fan de Denis Roussos. Tu ne vis que pour Denis !
- tu préfères rester discret sur ta mission actuelle en Ukraine.  
- obiwan

Dans la serie honte professionnelle    
 
 
Il y a de fort lointaines années, doctorante,  j'ai été invitée à participer à un colloque avec des gens tout plein prestigieux  ( enfin prestigieux  dans un cercle tres limité donc d'illustres inconnus pour 99,9% de la population )
 
Je passe sur ma timidité, mon émotion totale d'intervenir devant ces personnes, mon sentiment d'imposture, et donc la nuit quasi blanche qui a précédé mon intervention.  
Nuit  raccourcie qui, hélas, s'ajoutait au manque de sommeil semi-chronique accompagnant les premières années d'élevage d'enfants particulièrement taquins et  noctambules.
 
L'épreuve de la prise de parole publique surmontée, ( non vous n'aurez pas de honte flatulences ou pdfcochon inopiné ) c'est donc dans un etat de soulagement béat doublé surtout d'un coup de pompe carabiné que j'aborde le diner prévu pour les intervenants avec l'idée saugrenue que le plus ardu est passé et que je n'ai plus qu'à tenter de faire plus ou moins bonne figure à la table où l'on m'a placé.
 
 
La conversation vole un peu trop haut pour mes neurones tres fatigués.
les plats succèdent aux entrées, mon voisin de gauche, sommité et quasi dieu vivant pour l'etudiante que j'etais encore,  fait quasiment toute la conversation  mais s'interrompt soudain au milieu d'une anecdote :
"Vous savez en depit de mes cheveux blancs je ne suis pas si vieux. Vous êtes mère de jeunes enfants non?"  
 
.…incompréhension totale ...  
 le changement de ton me sort cependant immédiatement du mode veille/automatisme où s'était refugié mon encéphalogramme à plat.
dans de curieuses microsecondes s'étirant façon siecle je prends aussi brusquement conscience que, curieusement, toute la table  me fixe  entre hilarité et horreur.
 
c'est en suivant leurs regards que j'ai realisé, mortifiée, que j'etais machinalement en train de couper la viande dans son assiette en petits morceaux depuis 3 bonnes minutes et lui avait, gentiment, écrasé les plus gros légumes d'accompagnement en purée.  
 
   
 
J'ai bien evidement passé la fin du repas entre bredouillages d'excuses, rougeurs, à m'enfoncer un peu plus à proposer un echange d'assiettes… et surtout interrogée sur mes gnomes au lieu de parler de ma brillante ( forcement brillante ^^) these …
Un gros sens du réseautage.  

La même a venir    
Je suis invité en loge par un voisin voir un match de foot
Que des patrons, grands directeurs ou DG clients de mon voisin.
Le fameux « et vous, que faites vous ? » pour savoir de manière plus ou moins déguisé si je suis important et ai du réseau ou pas va me mettre mal à l’aise je pense  

ça c'est bien passé finalement (l'OM a gagné en plus)    
Les types pensaient plus à s'empiffrer et à se bourrer la gueule qu'à savoir qui si je pesais dans la game, cool    
J'ai discuté pas mal avec un type assez calé en bière, pizza et BBQ mais se posait aussi des questions sur le café (que des topic que j'ai plus ou moins poncés)  

 
...
 
Puis, le silence. Les autres, toujours là, me regardent comme si je venais de me transformer, mi-homme mi-animal.
Et là, tout sourire, avec une couille encore dans les vaps je leur dit : "hi hi elle est tellement grosse qu'à chaque fois que je la sors je suis surpris hi hi".
 
Ca ne fait rire personne, le soir même on me fait savoir que c'est pas la peine de revenir le lendemain.

 
et il a pas grillé que tu disais d'la merde ?

 
 
C'est toi Ksoulet ??

 
je ne connais ( hélas ? )  pas de Ksoulet  

La maîtresse de ma fille (grande section de maternelle) s'appelle Cassandre. L'autre jour je sais pas pourquoi, je l'ai appelé Cassoulet pour faire une petite blague. Hier à la sortie de l'école ma fille qui me dit "j'ai dit à la maîtresse que tu l'appelais Cassoulet, elle a trouvé ça bizarre"    
 
C'est moi qui emmène ma fille à l'école le matin et je croise donc la maîtresse tous les jours  

 
je ne connais ( hélas ? )  pas de Ksoulet