"Ces trois armes avaient été soumises à des tests, infernaux disons-le, au polygone de tir de Rjev. Leurs canons, chambres à gaz et chargeurs étaient longtemps maintenus dans des chambres froides à la température de moins cinquante. Ensuite, alors qu’ils étaient recouverts de glace, on faisait fondre celle-ci en tirant des rafales. Une fois cela fait, on remettait les armes au "frigo". Et les fusils d’assaut tiraient, tiraient. C’est vrai que les préposés aux tests remarquèrent que la première balle du Kalachnikov frappait la cible et que les suivantes s’éparpillaient. Les deux premiers projectiles de l’Abakan se logeaient dans la cible de six centimètres de diamètre. L’AEK-971, lui, il en plaçait trois."
En tout cas, elle correspond plus aux nécessité des groupes non professionnel.